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La fille du bout du monde

Chapitre 7

Les premières photos de Salomé

Erotique
Les premières photos de Salomé
Que c’est long une journée lorsque, bloqué par un stupide accident, on se trouve limité dans ses moyens. Bon, j’avoue que cette chute m’a apporté aussi d’autres satisfactions et... quelques désirs sexuels. Salomé a été là pour moi, cette jeune fille que je ne connaissais pas encore il y a quelques jours, celle qui vient d’un ailleurs dont je n’ai aucune idée. Mais bon, il n’en reste pas moins que ne pouvant pas aller à la plage, ne pouvant pas rester debout et de ce fait ne pouvant ni pêcher ni peindre, il m’a bien fallu me rabattre sur la télé et internet.A midi, contre toute attente en ce jour d’arrivée touristique, je vois venir la gérante du camping. Elle sonne deux fois à la porte d’entrée :
—   Entrez.— Bonjour, je passe en coup de vent. Salomé m’a dit que votre plaie n’était pas trop vilaine mais qu’elle vous avait dit de vous reposer. J’ai pensé que pour ce midi, une salade composée et un haut de cuisse de poulet vous permettrez de ne pas avoir à vous mettre aux fourneaux. Et puis j’en avais fait pour un régiment, autant que vous en profitiez.— Oh là, mais vous êtes trop aimable. Il ne fallait pas vous donner cette peine, j’ai des conserves pour dépanner ça aurait bien fait l’affaire. Mais j’apprécie le geste, cela prouve qu’en Bretagne on a du savoir vivre. (sourires)— Ce n’est rien, c’est notre repas de ce midi, nous sommes obligés de manger sur le pouce comme on dit. Bon... zou je vous laisse je pose ça sur la table. Salomé reprendra les plats ce soir après son service.— Merci mille fois et bon courage à vous. Je suppose que la journée va être chargée.— Oui oui ! Mais on a l’habitude et Salomé fait très bien son job ! C’est une perle cette jeune fille.
Je n’ai pas le temps de répondre que la gérante est déjà repartie. Oui, Salomé est une petite perle, je n’ai aucun doute là-dessus.Vu l’heure, je décide d’attendre encore un peu avant de me mettre à table. Je prendrais bien une douche, mais ce n’est pas facile avec cette saloperie de blessure. Enfin, faut faire contre mauvaise fortune, bon cœur et prendre mon mal en patience.
Je prends un bouquin sur la photographie. Je vais prendre Salomé en photo dès que possible et il me faut des idées et des exemples. Après il faut encore qu’elle accepte, mais, je me promets de faire ce qu’il faut pour cela.
Au bout de trois quarts-d ’heure, je crois avoir trouver. Je mets un marque page pour retrouver sans perdre de temps le cliché et je me mets à table. La salade est fraîche et super bien assaisonnée. Un vrai régal, dommage il me manque le pain. Je me contente d’une biscotte.
Une fois terminé, je me dirige tant bien que mal vers l’évier pour y déposer mon assiette et je regagne mon canapé pour une sieste. Le privilège de l’âge, je n’ai aucune honte à faire un somme tous les après-midi pas plus que je n’ai honte de me masturber de temps à autre.
Il faut croire que les événements de la veille ont eu plus d’effets encore que prévu. En me réveillant de ma sieste je constate que ma verge est raide comme la justice. Sans doute que Salomé a traverser mes songes.
Il est déjà dix huit heures lorsque la jeune fille arrive.
— Salut le grand blessé !
Elle a crié devant la porte. Je ne l’ai pas entendue arriver.
— Entre, c’est ouvert.
Salomé entre, toujours affublée de sa tenue de camping.
— Vous avez passé une bonne journée ?— Oui et non. C’est long tout seul. En plus je n’ai pas pu prendre ma douche avec ce "putain" de pansement.— S’il n’y a que ça, je peux vous faire la toilette, dans deux ou trois jours vous devriez pouvoir vous laver sans aide.— Tu veux rire j’espère ? Déjà me faire les soins, ça me gêne, mais si en plus tu commences à me laver je vais me prendre vraiment pour un vieux.— Vous n’êtes pas vieux, juste et momentanément en difficulté pour les choses courantes de la vie... et encore.. pas toute à ce que j’ai pu constater. (rires)— Ah ne remet pas une pièce dans la machine. — Je ne dis rien j’ai juste vu que si vous avez la jambe raide, une autre chose a tendance à se raidir aussi.— Tu ne serais pas un peu vicieuse sur les bords ?— Non, disons que j’aime savoir que je fais de l’effet... surtout à un vieillard (nouveaux éclats de rire)— Bon c’est pas tout ça, je n’ai pas beaucoup de temps, on regarde cette vilaine blessure ?— Oui ben tu ne regardes que la plaie cette fois !— Ah... je ne crois pas non. Dites moi où se trouvent vos affaires de toilette, je vais vous rafraîchir.
Salomé ne semble pas changer d’idée. Elle veut à tout prix faire ma toilette... qu’à cela ne tienne. Après tout, autant satisfaire ses exigences, surtout que je tiens à la prendre en photo. Je lui indique la salle de bain, elle en ressort dix minutes plus tard avec serviettes, gant, bassine et savon.
— Bon... faut peut-être vous dévêtir un peu non ?— Attends, passe moi l’une des serviette d’abord. — Pourquoi ? — Pour me couvrir au moins le bas.— Pas la peine, je vais déjà regarder la plaie et remettre de la vaseline. Après vous avoir fait un brin de toilette. Assez-vous maintenant sur le divan.
Je m’exécute, à quoi bon discuter avec elle.
— Allez ! Ôtez votre truc là que je puisse y voir quelque chose.
Une fois de plus, sans sourciller, j’obéis et je me retrouve à poil avec juste ma main pour cacher mon intimité. Faut pas qu’elle insiste trop non plus faute de quoi ma main ne sera pas assez grande pour cacher l’objet qu’elle tente de dissimuler.
— Je vais chercher l’eau chaude, ne bougez pas je reviens.
Elle file dans la cuisine, revient trente seconde plus tard.
— Bon je fais le dos et le cou. Après je regarde votre blessure et je fais le reste.
C’est un calvaire. Sentir sa main me parcourir la nuque puis le dos, passer sur mon torse. Elle fait ça bien, trop bien même, j’ai la verge qui grimpe. Je sais qu’elle s’en aperçoit.
— On va attendre un peu pour la plaie... histoire de laisser retomber la tension !— Si tu veux, mais j’ai bien peur que ça ne retombe pas aussi vite que ça.— Bon ben je continue alors, faut que je me sauve après.
La voilà qui enlève le pansement du matin. La plaie s’est déjà bien refermée. Elle nettoie les contours, remet une couche de pommade, un pansement propre. Elle trempe à nouveau le gant dans la bassine et commence à me laver les cuisses. Faut à tout prix que je pense à autre chose. Comme prévu ma main ne cache plus rien de mon sexe en pleine érection. Je n’ai jamais été autant gêné. C’est le moment de lui demander pour la photo.
— Dis moi Salomé, ça te dirait de me laisser te prendre en photo pour commencer une toile ?
Bon ça n’a aucun effet sur la rigidité de mon sexe, mais ça occupera l’esprit de Salomé, du moins j’espère.
— Heu... c’est à dire ?
Même si elle semble se poser des questions, je sais au ton de sa voix qu’elle n’est pas contre.
— Ben tu te mets en maillot, devant les bougainvilliers dehors, je fais une ou deux photos et c’est tout. Après je m’occupe de la toile.
Il est vrai que de la prendre en photo devant les arbustes en fleur me paraît une excellente idée. Je me souviens d’un séjour en Grèce où j’avais découvert ces derniers, j’en étais tombé fou. Du coup je m’étais promis d’en mettre chez moi lorsque j’aurais ma maison.
— Ah. Si ce n’est que ça, oui pourquoi pas et je vous achèterai la peinture, ça me fera un souvenir de mon séjour en Bretagne.— Non, ça pas question, je te l’offrirai, du moins... si elle te plaît !— Vous voulez faire ça quand ? Ce soir après mon service c’est possible ?— Oui mais ça va te faire revenir. — Pas grave, ce soir j’aurai le temps et j’aime la marche, en plus j’avais prévu une petite baignade nocturne.— Tu as bien raison pour la baignade, reste à savoir l’heure à laquelle tu passeras je me couche avec les poules.— Vers vingt-et-une heures au plus tard. Par contre je commence tôt demain matin.— OK, alors ça roule pour moi.— Ça a l’air de rouler pour vous aussi (sourires)
Elle vient de me laver rapidement le sexe et elle a, sans aucun doute, dû sentir la tension et mon cœur battre dans les grosses veines qui l’irriguent.
— Je suis vraiment désolé d’être dans cet état. Tu dois me prendre pour un cochon.— Non ne vous inquiétez pas, c’est tout à fait normal. Allez, remettez votre robe de chambre, je me sauve et je reviens comme prévu. Juste le temps de ranger les affaires de toilette et de mettre un coup dans la salle de bain.
Salomé fait ce qu’elle a à faire, puis quitte la maison en me lançant avec un grand sourire :
— Kenavo (au revoir en Breton)— Kenavo Salomé et vraiment, merci pour tout et encore toutes mes excuses pour le triste spectacle que je t’offre.
Elle ferme la porte en riant. Moi je suis toujours aussi gêné et je décide de préparer mon appareil photo.Pour une fois, le temps s’est très vite écoulé, Salomé est déjà là, toute souriante, même si, le hâle de sa peau, laisse apparaître une légère rougeur ... serait-elle gênée ?
— Entre Salomé, je suis à toi tout de suite !
Je prends mon appareil, d’un pas traînant je la rejoins à l’entrée.
— On fait ça derrière, dans le jardin, c’est là que les fleurs sont les plus belles, et que la lumière sera idéale.— Je n’ai pas mis mon maillot... Comment fait-on ?
Ah... Là elle me pose un problème la petite mais très vite, je réagis.
— Je ne prendrai que ton visage s’il faut !— Oui... ou alors je retire tout et vous verrez !
Je feins de ne pas comprendre. Elle ne veut tout de même pas se mettre nue pour la photo ?
— Oui si tu veux, en sous-vêtements ça fera l’affaire.
Je sais très bien qu’elle n’a pas de soutien gorge, on voit sa poitrine sous le tee-shirt complètement libre.
— C’est à dire que... sans vous choquez bien sûr... j’aurais aimé une photo de moi totalement nue.
Pour le coup c’est moi qui prend des couleurs, je sens que mon front perle de sueur et que mes joues s’embrasent.
— Tu veux vraiment poser nue dès la première fois ?— Oui... un vieux fantasme que je n’ai pas encore réalisé.— Comme tu veux Salomé, mais tu me surprends... agréablement bien entendu. Tu peux passer à côté si tu veux pour te préparer.— Oh, pas la peine regardez !
En deux temps trois mouvement, voilà ma Salomé qui quitte le tee-shirt, le pantalon et les chaussures. Elle est là, nue et magnifique devant moi et sous mon peignoir je sens que ma queue se dresse déjà. Il faut avouer qu’elle est plus que bandante. De la tête aux pieds elle ressemble à une déesse de l’antiquité, un corps superbement sculpté, des petits seins fermes, et pour le reste, je vous laisse imaginer le bas de son ventre et ses cuisses musclées.
— Ça va ? Vous êtes tout rouge !— Oui oui... disons que ce n’est pas vraiment ce à quoi je m’attendais, et ce n’est pas plus la même situation qu’à la plage. Allez on y va avant que la lumière ne change.
Et nous voilà partis pour une séance de photographies, un brin osées. Elle prend les poses comme une pro. Ses tétons sont bandés, et moi j’ai bien du mal à dissimuler l’émoi qui enflamme mon sexe.Après une cinquantaine de photos, je lui propose d’en rester là. Je lui ferai bien l’amour s’il n’y avait cette différence d’âge, mais ce n’est qu’une gamine.
— On s’arrête là Salomé. On boit un coup vite fait si tu veux et demain je te ferai choisir la photo que tu veux que je garde pour commencer ma toile.
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