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La fille du bout du monde

Chapitre 9

Du plaisir pour Salomé

Erotique
Du plaisir pour Salomé !
Dès que j’ai commencé à lui sucer son petit clitoris, Salomé s’est laissée aller... Mais revenons à la suite du précédent chapitre :Depuis quelques jours, le camping bat son plein. Les arrivées se succèdent, tout comme les départs. C’est un perpétuel va et vient. Salomé passe encore malgré tout pour changer le pansement, mais brièvement. J’attends son jour de repos avec impatience.
Sur les plages, nombreuses et parfois difficiles d’accès, je me plais à découvrir ces touristes, hommes, femmes, enfants, qui arrivent pâles et fatigués. Au fil des jours, on les voit prendre des couleurs, parfois tirant sur l’écarlate ce qui me fait sourire, mais je constate surtout que les visages, les jours passant, semblent plus reposés, plus heureux. Des petits couples, tout âge confondu, arrivant avec un mètre de distance entre chacun, se rapprochent, se reprennent même parfois la main celle là même qu’ils avaient abandonnée durant l’année écoulée. Je suis convaincu qu’en plus de la période estivale, la mer joue un rôle prépondérant dans l’harmonie, celle de l’esprit, celle du couple, celle de la vie.
Je me suis lancé, en ce qui concerne ma princesse des îles, dans la réalisation de sa toile. J’ai choisi, avec elle, parmi les photographies prises, une pose où Salomé n’est pas trop "dévoilée". Bien sûr on voit tout de sa poitrine et de son sexe épilé, mais rien de choquant pour une création artistique. J’imagine assez facilement, un style Gustave Courbet ou Henri Gervex. Un corps nu, offert, une femme lascive attendant probablement son amant, ce que j’imagine aussi facilement être. Sa beauté mise en valeur, fera oublier le décor de fond et ces Bougainvilliers qui donneront une touche de couleur pour sublimer le tout.
Ce matin, après avoir opté pour une toile marine, j’ai décidé d’aller l’offrir aux gérants du camping en remerciements des attentions dont j’ai été l’objet à la suite de mon misérable accident qui, je l’avoue, m’a conduit à un érotisme insensé avec la douce et merveilleuse Salomé.
Rien qu’en prenant le tableau, je repense à ce passage sous la douche et je n’ai qu’une envie, presque vitale, recommencer au plus vite  ! Avant que de me perdre trop dans mes idées, ou, plus exactement, mes envies sexuelles, j’emballe dans un grand papier Kraft la "Marine"
La marine est un genre d’art figuratif, qui dépeint ou tire sa principale source d’inspiration de la mer. Ces peintures forment un type particulièrement important entre les XVIIᵉ et XIXᵉ siècles.
. Je l’ai peinte il y a quelques temps déjà, je n’en suis pas peu fier. Elle est fidèle à ce que, mon esprit créatif aidant, avait perçu lors d’une longue promenade en bord de mer un jour de grand vent. Il n’y avait pas de bateau au large... qu’importe, j’y ai mis un vieux voilier bousculé par les vagues ce qui donne plus de vie encore à cette création. En fond, presque simplement esquissé, on peut y voir le phare.

C’est donc joyeux, et cette fois d’un pas assuré, que je me rends au camping du phare.A l’accueil, la gérante me reçoit avec un large sourire.
— Tiens, bonjour ! Déjà en promenade ? Vous êtes matinal !— Non... enfin, oui, mais je viens vous remercier pour ce que vous avez fait pour moi.
Je tends le paquet à la gérante. Elle semble gênée, mais le prend.
— Il ne fallait pas, entre voisins c’est tout naturel, je vous l’ai dit, de se rendre service !— Oui et je vous ai répondu que je tenais à vous remercier... Voilà donc qui est fait.
D’un geste fébrile elle déchire le Kraft, et ses yeux ne trompent pas. Elle aime.
— Mais c’est magnifique ! Il ne fallait pas ! Heu... là vous me mettez dans l’embarras !— Ah bon ! Et comment cela ?— Je ne sais pas où le placer ! Ce tableau est bien trop beau !— Vous avez tout le temps d’y réfléchir !
Pendant que nous échangeons, Salomé arrive. Je ne pense plus du tout au cadeau que je viens de faire. Je ne vois plus qu’elle.En passant derrière moi, et tandis que la gérante semble totalement absorbée par la contemplation de ma "Marine", j’entends murmurer :
— Si vous avez un instant, je prends une pause... et... j’ai envie !
Je ne réponds rien, je sais de quoi Salomé a envie. Je lui jette juste un regard pour lui faire comprendre que moi aussi j’ai envie.Pour couper court je dis à la gérante :
— Ne vous inquiétez pas, si la toile vous plaît c’est le principal ! Je vous demande juste de ne pas la mettre à l’accueil ! Je préfère rester discret et je n’aime pas trop voir mes modestes créations mises en évidence en dehors des expositions !— Non... je vais la mettre chez moi. Elle est trop belle pour rester à l’air iodé. Vous êtes un véritable ami. Merci mille fois.— Pas de quoi, je vous laisse excusez-moi je crois que l’on m’attend.
Elle n’a jamais été dupe de la complicité qui s’est établie entre Salomé et moi. J’ignore si elle sait jusqu’à quelle point va cette complicité, mais elle sait que ... disons que nous nous entendons un peu plus que bien.Je m’éclipse avec encore de chaleureux remerciements pour l’aide apportée, je sens son regard qui me suit, probablement un regard amusé.Je rejoins Salomé à son bungalow. La porte est entrouverte, je frappe deux petits coups sur la vitre.
— Entrez, je suis dans la kitchenette ! J’arrive !
J’entre. L’endroit est sympathique, sobre, décoré avec goût. Je ne sais pas trop quelle attitude adopter, je suis même presque gêné. C’est alors que Salomé apparaît. Complètement nue, totalement offerte déjà à mes désirs.
— Heu...
Je n’en dis pas plus, mon sexe vient de se dresser d’un coup.
— Quoi ? Vous êtes surpris ?
Ce n’est pas mon habitude, mais je ne trouve rien à répondre et ma gêne "morale" est aussi importante que la gêne qui à présent occupe mon bas-ventre.
— Allez... venez ! Je vous offre un café et ... (rires) une petite gâterie !
Son regard se porte sur ma queue qui tend le tissu de mon short. La petite garce n’a vraiment pas froid aux yeux, et rien que ce regard qui m’invite à un plaisir dont je raffole, me fait bander encore plus. J’adore l’idée qu’elle me prenne à nouveau en bouche, l’idée qu’elle goûte à nouveau à ma semence, mais c’est à elle de prendre plus de plaisir aujourd’hui.
— Mettez vous à l’aise... il me semble que vous êtes serré aux entournures !
Oui, je suis serré et pas qu’un peu. J’ai le gland qui frotte la fermeture du short et ce n’est pas ce qui est le plus agréable. Mais je ne vais pas me mettre à poil comme ça... Je suis un romantique, j’ai besoin, parfois, qu’on m’aide.Elle a dû comprendre ou lire dans mes pensées. Elle s’avance vers moi, m’embrasse sur le front tout en glissant sa main sur mon sexe.
— Laissez lui prendre l’air... il ne sera pas longtemps dehors.
Comment expliquer cette sensation troublante lorsque, Salomé avec volupté, ouvre mon short pour laisser se dresser ma verge rose aux veines prêtes à exploser, raide comme un pieux de "bouchot" !
— Non Salomé... — Comment ça non ?— Aujourd’hui c’est ton tour !
Je la prends contre moi et, malgré la chaleur ambiante, je sens bien qu’elle tremble.
— Ne t’en fais pas. Je ne ferai rien sans ton consentement. Je veux juste te rendre ce que tu m’as offert l’autre jour !
Elle frémit encore plus. Je la serre plus fort encore. Ses seins tout contre moi durcissent. J’embrasse son cou, juste au-dessus de l’épaule et une main descend sur ses fesses. Elle ne m’arrête pas. J’en profite pour malmener tendrement son petit cul bien dur. Ma bouche quitte son cou, baise sa poitrine. Quelle sensation magnifique que de sentir ces jeunes petits seins tendus d’un désir qu’elle ne peut cacher. Doucement, je happe le premier téton. Mon autre main lui titille l’autre. Je m’arrête un instant :
— Viens... sur le canapé ce sera mieux.
Je rassemble mes forces, je la prends dans mes bras pour l’allonger sur le canapé. Elle ne dit rien, se laisse faire, au passage, je peux voir sa petite fente humide et son petit abricot que je sais pouvoir croquer dans quelques minutes. Ma queue toujours tendue, commence à être douloureuse. J’ai tellement envie d’être en elle. Mais il me faut me raisonner. Pour cela nous avons tout l’été, là je veux juste la faire jouir avec ma langue et mes doigts.Je la dépose comme on peut déposer un bouquet de fleurs fragiles, doucement. Je lui place un coussin sous les reins et je reprends mes caresses buccales sur ses seins. Je ne ferme pas les yeux, je contemple ce corps splendide qu’elle m’offre.Ma langue quitte les seins au mamelons durs, très lentement elle lèche jusqu’au nombril. Salomé commence à gémir.
— Tu aimes ?
Elle ne répond pas. Tout son corps est dans l’attente de nouvelles sensations, de nouvelles caresses. Elle est totalement mienne à cet instant.Ma main se pose sur son fruit doré. Elle mouille totalement et je n’ai aucun mal à atteindre son clitoris et à le faire sortir de sa cachette. Elle gémit encore plus fort lorsque, entre deux doigts, je le travaille. Sans difficulté aucune, je parviens à faire pénétrer deux doigts dans son intimité. Elle se cambre, lance de petits cris. J’ai une envie folle de la prendre maintenant mais ça serait trop rapide. Mes doigts vont de plus en plus vite dans cette grotte mouillée pendant que je continue avec gourmandise à lui lécher son petit clitoris.
Tout son corps commence à perler de sueur, il brille et se tend à chaque coup de langue ou de doigts. Je pousse le vice à caresser l’entrée de son étoile. Elle veut connaître la sodomie, ce sera pour un autre jour, là je vais juste lui faire sentir le plaisir qu’elle pourra en retirer. J’enfonce un doigt juste au bord, en douceur et sans brusquerie, elle se raidit. Elle semble aimer. Cela m’excite encore plus.
Alors que je prends possession de toutes les parties intimes de son corps, Salomé jouit pleinement, laissant échapper une quantité de mouille impressionnante. Elle jouit tellement qu’elle ne retient plus ses cris. Qu’elle est belle dans cet état second ! Je me redresse, en quelques secondes je jouis à mon tour et ma semence se répand sur son sexe épilé.
A voix basse elle murmure :
— Qu’est-ce que c’était bon !
Je suis content. Elle a reçu le plaisir que je voulais lui offrir ou, tout du moins, une petite partie. Le reste sera pour bientôt, je n’en doute pas.Nous prenons notre douche vite fait, ensemble, sans parler, simplement en nous regardant. Nous n’avons pas le temps de remettre ça, le service de Salomé l’attend. Ce n’est pourtant pas l’envie qui nous manque.
Lorsque Salomé est prête, toute belle dans sa tenue d’employée du camping, nous échangeons un baiser... un vrai, l’un de ces baisers dans lequel on peut ressentir plus qu’une simple attirance physique.
Je quitte le bungalow le premier, heureux. Salomé suit quelques instants plus tard, elle a encore des étoiles dans les yeux.Je ne croise personne en quittant le camping. J’en suis content car on doit aussi voir sur mon visage tout le sentiment de bien-être qui m’envahit.Une fois chez moi, je ne perds pas un instant. L’amour donne des ailes dit-on, je commence à y croire. Je reprends ma peinture, ma toile qui est en attente et je me lance. Il y a dans cette création bien plus que la passion de l’art, il y a les sentiments, la fougue, celle-là même que j’avais pu connaître à l’époque de mes vingt ans.
En fin d’après-midi, ce que je considère comme ma meilleure toile du moment, est quasiment terminée. Salomé y apparaît dans toute la splendeur de son jeune âge, de ses origines. Je n’ai rien pris depuis ce matin, je décide enfin de poser mes pinceaux pour me mettre à table. Pourtant je n’ai pas faim. L’amour nourrit ! Peut-on être amoureux à soixante ans d’une jeune fille qui en a trois fois moins ? Si je m’étais posé la question quelques fois, aujourd’hui j’ai la réponse. Je l’aime et pourtant je sais que cette histoire est sans espoir. Salomé repartira, elle reprendra la route à la fin de la période estivale, pour d’autres aventures, d’autres rencontres. Elle rencontrera l’homme de sa vie et fondera probablement une famille. Je me contenterai de vieillir dans ce village, regardant le phare, soulevant les pages de mes souvenirs. Je ne suis pas vraiment triste. Je sais que dans ceux-ci, Salomé restera comme je l’ai connue. Jeune, belle, attendrissante et énigmatique.
A suivre 
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