Cela fait déjà prêt de six mois que tout les matins, dans le bus qui me mène au travail et qui est bondé, je croise cette charmante jeune femme. Elle doit avoir entre 20 et 25 ans, 1,65m, brune, cheveu mi long, de très jolies seins ainsi qu’un cul d’enfer. Cette femme semble réservé et timide, ce qui lui donne encore plus de charme.Malheureusement, elle a un copain. Je le sais car il prend de temps en temps le bus avec elle. Je sais aussi que je lui plais car malgré que je la regarde avec insistance, elle jette toujours un coup d’œil pour vérifier si je la matte bien. Un jour j’ai donc décidé de vérifier si je lui plais vraiment ou pas. Je m’étais donc assis au fond du bus comme toujours, en attendant qu’elle arrive avec ses copines. Comme d’habitude, elle me jette un petit regard, puis reprend sa discussion avec ses copines. Je décide alors de me faufiler entre les gens pour me placer derrière elle.A chaque arrêt, le bus continue de se remplir et la rapproche un peu plus de moi. J’ai bien vu qu’elle se demandait où j’étais passé, car elle regardait discrètement, pour ne pas que ses copines ne se posent de question, a droite et a gauche. J’ai alors placé ma main délicatement sur ses fesses. Je me préparai a prendre une claque. Elle se retourna doucement avec un air apeurée et gênée. Mais lorsqu’elle aperçue mon visage, sa peur disparue pour laisser place à l’étonnement et un léger sourire, puis se retourne vers ses copines qui continues de discuter. Je la vois rougir sous les caresses de ma main qui se fait de plus en plus précise a travers son jean. Je sent son entre-jambe brulant. Je remonte ma main sur ses fesses, passe ma main dans le bas de son dos sous son chemisier. Je lui caresses doucement la peau de ses reins toute douce et chaude. Elle semble apprécier de se faire caresser par un inconnu devant tout le monde sans que personne ne puisse nous voir, pas même ses amies. Je tire alors légèrement sur son jean taille basse et attrape son string. Je lui remonte tant que je peu pour lui faire rentrer dans la chatte. Nous arrivons a son arrêt. Elle est rouge de honte. Avant qu’elle descende, je lui glisse a l’oreille, "demain tu te mets en jupe!"Elle sort du bus, et me lance un petit regard a travers la vitre.Le lendemain, je me suis déjà placé à la place d’hier, elle monte dans le bus, elle est seule et en jupe. Elle se dirige droit sur moi sans me regarder, se retourne et se colle à moi. Ma main se plaque sur ses fesses. Je lui malaxe sans ménagement. Je lui demande comment elle s’appelle. Elle se prénomme Julie. Après plusieurs minutes a lui maltraiter le cul, je bande comme un fou et je veux qu’elle le sente. Je me place discrètement derrière elle, lui remonte un peu sa jupe et commence essayer de lui baisser sa culotte, mais elle ne semble pas d’accord. Après quelque essaie, sa culotte se trouve juste au bas de ses fesses, je sors alors ma bite et lui fait coulisser le long de son anus et de sa chatte. Après quelques va et viens, elle semble y prendre du plaisir. Une nouvelle fois nous arrêtons car son arrêt arrive. Elle remet sa culotte, personne ne c’est aperçu de rien. Le surlendemain elle est une nouvelle foi seule, mais malheureusement en jean. Une nouvelle fois je lui pelote le cul dès son arrivé, puis lui dit que nous descendrons tous les deux au prochain arrêt. Sans qu’elle ne comprenne réellement pourquoi, elle s’exécute et me suis jusqu’à un hall d’immeuble. Une fois rentré, je me retourne vers elle et l’embrasse fougueusement en la caresse de partout. Après quelques instant. Nous reprenons notre souffle. Je lui demande son numéro de portable, qu’elle me donne, et lui dis que je souhaite avoir une photo d’elle seins nues pour la voir lors de ses appels. Après plusieurs minutes de négociation elle sort sa belle poitrine de son chemisier et je la prend en photo. Je m’approche d’elle et tente de lui caresser mais elle n’est pas d’accord de faire ça ici. D’un ton plus sec je lui dis, "tu n’as pas le choix ma belle. Sinon je diffuse ta photo sur internet". Alors elle se laisse faire. Je lui malaxe les seins, tout en sortant ma bite devant elle. Je lui prend sa main et la met sur ma bite et commence un va et viens. "tu vois tu apprécie toi aussi. Maintenant tu va gouter ma bite." je la force un peu a ce baisser, mais n’oppose pas beaucoup de résistance et je lui enfourne ma bite dans sa bouche. Tout en me faisant sucer je lui dit:-"tu aimes ça je suis sur, sucer un mec tu ne connais pas, même pas le prénom."Elle ne réponds pas, elle essaie de partir. Je la rattrape par le bras, et lui dit que j’en veux plus. Elle me répond que l’on peu être vu. Je lui soutien que non et arrive a la forcer a nouveau a me sucer.-"c’est bien ici tu vois on nous dérange pas. Ne met pas ta main quand tu me suces, uniquement ta bouche. Tu aimes ça être ma salope, hein?"Elle le réponds toujours pas et enlève sa main de ma bite. Je sors mon portable et film un peu la scène. Alors je passe ma main derrière sa tête et commence à lui baiser la bouche.-"jamais j’aurai pensé que tu étais une aussi bonne pute. Maintenant je vais jouir dans ta bouche, tu vas me montrer mon sperme à mon portable avant d’avaler sinon je balance le film sur internet."Elle me fait ok de la tête. J’accélère alors mon va et viens dans sa gorge, et lui crache tout dans la bouche. Bien docilement elle montre mon sperme dans sa bouche a ma camera, et avale.-"c’est bien tu es une bonne pute!"Elle me réponds "c’est assez, je m’en vais." -"non on peu faire plus"Je la rattrape a nouveau, lui ressort les seins de son soutif, lui caresse sans ménagement.-"on a pas encore fini ensemble"Son son chemisier et son soutif son remonter au dessus de ses seins. Je lui dis enlève tes vêtements, elle répond non mais ne fais rien lorsque je défait sa ceinture, lui baisse son pantalon et son string. La retourne place ma bite au porte de sa chatte en levrette. Et d’un coup brusque lui enfonce dans la chatte. Elle crie de plaisir.-"ah, c’est bon ça de ce faire défoncer hein?"-"c’est ça que tu voulais, te faire fourrer par un inconnu. Salope"Elle répond "oui".Je continu a filmer tout en la chevauchant sauvagement. Mes couilles claque contre son clito. Elle jouie. Je sors ma bite et lui film sa chatte dilaté. Je lui ordonne de s’assoir par terre, lui enlève son jean et son string. Lui écarte les jambes et la chevauche comme une trainé, tout en lui malaxant les seins.-ça t’excite que je te filme? Tu es ma salope maintenant? Tu le sais?-oui. Continue.-ok ma salope"Après quelques minutes, je ressors ma bite, l’attrape par les cheveux et lui fourre ma bite dans la bouche."goutte à ta chatte. T’aime ça que je te traite comme une chienne".Cette fois elle ne répond pas car je lui baise la bouche violemment.En la tirant par les cheveux je la relève, la retourne a nouveau et la reprend debout en levrette tout en lui tirant les cheveux. Elle hurle de plaisir. C’est vraiment une chienne. Je passe une main jusqu’à sa bouche lui attrape la mâchoire et accélère mes coup de boutoirs dans sa chatte. Je lui défonce littéralement le sexe mais elle semble aimer.Après quelque instant de ce traitement je lui demande où elle veux que j’éjacule, elle répond sur son visage.-"t’es vraiment qu’une trainé, je ne m’imaginais pas ça de toi salle pute."une nouvelle foi je lui tire les cheveux, la met a genoux devant moi et jouis sur son joli visage. Mon sperme inonde sa face, ses yeux, son nez. Elle en a partout. Après avoir bien joui sur elle, je tire sur son chemisier qui est toujours au dessus des ses seins, et essuie ma bite dedans. Et enfin je lui demande:-"ça va, je n’ai pas été trop dur avec toi?-non ça va!-tu peux me dire la vérité tu sais.— non réellement c’était très bien.-ok. Tu sais que j’ai tout filmer?-oui. S’il te plais garde ça pour toi?-bien sur que je vais le garder, mais tu devras faire tout se que je te dis.-de tout façon je n’ai pas le choix!-c’est ça salope tu as tout compris. Rhabille toi, essuie-toi le visage. Et va faire ta vie. On se voit demain dans le bus. N’oublie pas, tu n’en parle a personne, pas tes amies ou ton copain sinon je diffuse tout.— oui oui, j’ai bien compris.-tu t’es déjà fais baiser comme ça?— non mais petit a petit ça m’a plus.— t’es vraiment qu’une chienne alors. Allez casse toi.Elle parti avec du sperme encore collé dans les cheveux, et la grosse trace de ma bite sur son chemisier.Vivement demain.
