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Ma fille, championne du sexe

Chapitre 1

Ma fille, mon trésor

Inceste
Être une bonne mère, ce n’est pas chose facile. Tous les jours, il faut être d’aplomb et présente pour ses enfants, pour qu’ils aient une vie parfaite, remplie de bonheur et d’insouciance quand ils sont jeunes et de soutien et de courage quand ils sont plus grands. Mais être mère est un véritable cadeau. Surtout quand, comme moi, on a qu’une fille et qu’elle est absolument parfaite.
Moi, c’est Jessica au fait, Jessica Keene. J’ai 42 ans, je suis avocate dans l’immobilier et je vis avec ma fille unique âgée de 20 ans, Bridget. Honnêtement, je n’ai pas à me plaindre de ma vie actuelle. J’ai un travail qui me passionne, un appartement des plus confortables, mon petit train-train quotidien auquel je tiens et une magnifique fille dont je suis très fière. Et même physiquement, je peux dire sans me vanter que je suis particulièrement bien fichue. J’ose dire même que j’ai un corps de rêve avec ma silhouette mince et élancée aux formes bien finies et aux courbes sculptées, mes fesses bien fermes, mon ventre plat, ma poitrine ronde et généreuse, mon visage radieux aux lèvres fines et aux pommettes saillantes. Sans oublier mes yeux couleur émeraude et mes cheveux mi-longs ondulés à la magnifique couleur rousse, tirant vers l’orange pure. Bref, un vrai canon, et ce n’est pas que moi qui le dit. J’ai arrêté de compter tous les compliments qu’on a faits dans ma vie.
Mais je n’ai pas toujours eu une vie facile. Je suis là à vous décrire la vie parfaite, mais la mienne ne l’a pas toujours été. Ma vie, comme toutes les autres, a été compliquée par certains moments, dont un en particulier. Ma fille Bridget n’avait même pas 1 an quand mon mari commença à me tromper. Et même pas avec une autre femme, mais avec deux autres femmes différentes, dont une collègue à lui ! Il me disait qu’il s’était lassé de moi, que je ne le satisfaisais plus, qu’il était passé à autre chose. C’était bien le cas, et j’étais effondrée. Il m’avait trahie et poignardée dans le cœur. Il ne me fallut pas plus pour le quitter et divorcer.
Depuis, je vis avec ma fille chérie, Bridget. Elle ne connut donc pas son père et elle grandit sans lui, sans cet enfoiré de salaud, et c’est tant mieux. Mais étrangement, mon divorce eut un autre impact sur ma vie, un impact que je n’aurais jamais deviné. Vite en manque de sexe, je me suis mise à chercher un nouveau prétendant. Je ne voulais pas quelque chose de sérieux, une vraie relation. Je voulais juste du sexe pur et dur, juste de la baise. Et bizarrement, je ne voulais pas nécessairement coucher qu’avec des hommes. Peut-être parce que j’avais été trahie par l’un d’entre eux. Non, je me suis mise à essayer le lesbianisme. Non pas que j’étais bisexuelle. Je voulais juste essayer quelque chose de nouveau, expérimenter le sexe entre deux femmes. Et c’est ce que j’ai fait. Et ça a été une révélation.
Une véritable révélation, car je n’avais jamais autant pris mon pied de toute ma vie. Fini les hommes, je me suis mise à coucher exclusivement qu’avec des femmes, de mon âge ou plus jeunes que moi. Aujourd’hui encore, je ne sais pas dire pourquoi exactement, mais coucher avec une ou plusieurs autres femmes me donne un plaisir sexuel absolument intense et sensationnel, ainsi que des orgasmes exceptionnels qu’aucun homme ne m’avait donnés et qu’aucun homme ne pourra plus jamais me donner. Le lesbianisme a été la plus grande découverte de ma vie, m’offrant aujourd’hui de véritables extases.
Mais assez parlé de moi. J’aimerais vous parler maintenant de ma fille adorée, Bridget. Elle est à l’université, elle étudie les langues et les arts. Elle a toujours été passionnée par la littérature et l’art, la peinture en particulier. Elle-même s’y est essayée et a peint plusieurs toiles dans son enfance. Elle est cultivée, honnête, généreuse et pleine d’imagination. Et surtout, elle est gentille et adorable. Et physiquement, la nature l’a bien gâtée également. Maintenant qu’elle a 20 ans et qu’elle est une adulte, je me rends compte à quel point son corps est tout aussi enviable que le mien. Son corps mince et élancé, mais aux courbes et formes aussi prononcées que les miennes, avec son adorable fessier bien rebondi et ses petits seins ronds. Son visage angélique avec ses petites lèvres pulpeuses et ses yeux en amande couleur ambre. Et ses longs cheveux lisses et roux tirant vers le châtain. Un vrai ange vous dis-je.
Son corps est comme plus gentil, plus mignon que le mien qui tend plus vers le sexy et le canon. Mais ma fille n’en demeure pas moins absolument magnifique et somptueuse. Elle tient ça de sa mère.
Bridget est ma fille chérie. C’est aujourd’hui une femme accomplie, mais elle est et restera toujours ma fille chérie, et je l’aimerais toujours. C’est dommage qu’elle n’ait jamais trouvé de petit ami jusqu’à maintenant. C’est une jeune femme extraordinaire et elle mérite de trouver l’amour et de vivre heureuse pour toujours.
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Aujourd’hui c’est dimanche, et en cette chaude journée d’été, Bridget profite de ses grandes vacances à l’appartement pour peindre et lire toujours plus de livres, tandis que je m’occupe de la maison et du bien-être à toutes les deux. Il fait une telle chaleur dans l’appartement que nous avons dû nous contraindre à porter des habits particulièrement légers. Toujours élégante, je porte une simple chemise blanche en lin, sans soutien-gorge, et une jupe bleue en coton. Dans un souci de respiration de mon intimité, j’ai préféré ne pas mettre de culotte. Ma fille, quant à elle, a préféré opter pour un simple t-shirt gris en coton et un minishort bleu en jean. Et dès que je la vois dans l’appartement, je peux tellement deviner la forme de ses seins sous son t-shirt que j’en déduis qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge non plus. Il faut dire que Bridget et moi sommes des femmes assez libres au quotidien.
Je veux dire, entre mère et fille, on se connaît par cœur, et entre femmes, on se comprend. On ne ressent donc pas vraiment de gêne ni de honte quant à nos tenues et nos façons d’être. Après tout, telle mère telle fille.
Il est presque 11h lorsque l’envie d’une petite masturbation me saisit. Je suis dans le salon, mais ce n’est pas vraiment l’endroit indiqué pour effectuer ce genre de choses. Et Bridget est en train de peindre tranquillement dans sa chambre. Je me lève donc et me dirige vers ma chambre en vue de m’offrir quelques minutes de plaisir en pensant à mon précédent plan cul, une adorable Asiatique que j’ai baisée il y a quelques jours. En passant devant la porte de la chambre de Bridget, je remarque qu’elle est entrouverte.
Curieuse quant à sa nouvelle œuvre, je jette un coup d’œil à l’intérieur de la chambre et je tombe des nues quand je vois ce que je vois. Bridget, ma fille adorée, est en train de peindre un rapport sexuel entre deux femmes. Elles font la position des ciseaux assis tout en s’embrassant. À la vue de ce tableau, une certaine excitation monte en moi, mon corps commence à légèrement trembler et je ressens comme des frissons et des fourmillements dans mon entrejambe. Bridget n’avait jamais peint de tableaux comme celui-ci. Mais elle était plutôt discrète sur ses œuvres dernièrement, elle ne voulait pas les montrer. Je comprends aujourd’hui pourquoi. Bien qu’il ne soit pas fini, je trouve son tableau magnifique, aussi osé que passionnant. Et il ne me laisse pas indifférente, pour sûr. Je me surprends même à venir caresser ma vulve du bout des doigts pendant que je l’admire. Je frotte ma main contre mon intimité, lentement et discrètement pour ne pas heurter ma Bridget.

Je prends du plaisir dans le silence le plus total, soufflant le moins fort possible du nez. Mais l’envie d’aller plus vite et plus fort devient rapidement trop forte, et l’excitation me gagne de plus en plus. J’accélère mon mouvement et je fais pénétrer mes doigts dans ma chatte tout en continuant à admirer le tableau. Bridget ne semble rien remarquer pour l’instant, mais je joue à un jeu dangereux. Je suis là à me masturber dans le dos de ma fille, à seulement quelques mètres d’elle comme une voyeuse qui admire son œuvre.
Ma fille est toujours en train de peindre tranquillement sa toile lorsque l’orgasme me parvient. Tout mon corps tremble de plaisir, je cambre mon dos et tout mon torse sous mes coups et ma chatte bien mouillée enduit mes doigts de cyprine. Que c’était bon ! Très inattendu, mais tellement bon. Je ramène mes doigts à ma bouche et lèche ma délicieuse cyprine avant de me remettre de mes émotions. Je me décale de la porte de la chambre de ma fille et commence à reprendre ma route vers ma chambre. C’est alors que je suis interrompue par ma fille qui me parle depuis sa chambre.
— Je savais que tu aimerais mon tableau maman ! proclame-t-elle alors, me faisant sursauter dans le couloir.— Heu, de quoi tu parles ma chérie ? demandai-je, feignant de savoir de quoi elle parle. Je n’ai pas vu ton nouveau tableau.— Menteuse. Je te connais maman, mieux que tu ne le penses !— Je ne vois pas du tout de quoi tu veux parler mon trésor !
Je me retourne alors et je tombe nez à nez sur ma fille qui était sortie de sa chambre dans le plus grand des silences. Son t-shirt est recouvert de taches de peinture, mais son visage est parfaitement propre, sans aucune tache ni saleté dues à son art. Comme toujours, elle est magnifique.
— Ne me mens pas maman, je sais que tu couches qu’avec des femmes, me dit-elle alors d’un ton assuré.— Et comment peux-tu être aussi sûre de toi ma chérie ? lui demandai-je en croisant les bras.— Facile, tu quittes la maison presque tous les soirs et tu reviens toujours avec du parfum féminin sur toi, mais c’est jamais le tien. Et même, tu reviens avec des affaires qui ne sont pas les tiennes, mais ce sont toujours des affaires de femme. Et surtout, tu mates que du porno lesbien.— Mais c’est que tu m’espionnes maintenant Bridget ?— Je ne t’espionne pas maman. On vit ensemble depuis presque 20 ans, on vit presque l’une sur l’autre, c’était pas difficile à deviner.— Mhm, je vois. Inutile de te mentir chérie. Oui, je me suis découverte lesbienne, tout à fait. Je n’ai couché avec aucun homme depuis ton premier anniversaire. Depuis, je ne couche qu’avec des femmes.
Bridget posa son regard ailleurs, prenant un air réfléchi. Je viens d’avouer à ma fille que j’étais devenue lesbienne, j’imagine que ça doit être perturbant, ou du moins étonnant, d’apprendre ça pour elle. Enfin, d’entendre sa mère l’avouer surtout.
— Maman, est-ce que je peux t’avouer quelque chose aussi ? me demande-t-elle alors.— Bien sûr mon trésor, qu’est-ce qu’il y a ? lui répondis-je en posant mes mains sur ses épaules comme pour la soutenir.— Voilà, je suis également homosexuelle. J’aime les femmes. Je suis aussi lesbienne.
À suivre...
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