Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 90 J'aime
  • 9 Commentaires

Ma fille, championne du sexe

Chapitre 3

Ma fille, mon amante

Inceste
— Et si tu me rejoignais maman ? me demande-t-elle alors. Je voudrais te proposer quelque chose.
      Je suis tétanisée, complètement immobile et incapable de prononcer la moindre lettre. Je suis là, devant ma sublime fille entièrement nue, ne sachant absolument pas quoi lui répondre et même quoi faire. Seul un raz-de-marée de pensées érotiques de moi couchant avec ma propre fille me parvient dans mon esprit. Des images de nous deux en train de faire l’amour m’envahissent, pour mon plus grand plaisir. Je me vois en train de masturber sa petite chatte tandis qu’elle m’embrasse passionnément et langoureusement. Des pensées aussi taboues et interdites que sauvages et magnifiques. Mais je ne peux décemment pas le faire. Je veux dire, il m’est impossible de vraiment le faire. C’est de l’inceste, ça doit absolument rester un fantasme.
— Maman, tu m’as entendue ? me demande alors ma fille.
      Je ne me rends alors compte que maintenant que j’ai fait un petit blocage devant ma magnifique fille. Je reprends mes esprits, tentant de chasser mes pensées et envies incestueuses, avant de me concentrer sur Bridget.
— Heu, oui je t’entends chérie, bien sûr, lui répondis-je en balbutiant un peu.— Tu m’as fait peur, t’es partie loin on aurait dit, me répond-elle, toute mignonne.— Ça va chérie, ne t’inquiète pas. Mais bon sang, qu’est-ce que tu fais comme ça, toute nue ?— Je voulais te proposer quelque chose maman.
      Bridget s’avance alors vers moi, me lançant un regard de braise tout en faisant rouler son cul et son bassin dans sa démarche. Tout en reculant très légèrement, je ne peux cependant pas m’empêcher de la regarder sous toutes les coutures. Je regarde son corps, ses courbes, ses formes, ses adorables seins, son intimité imberbe, son visage angélique, ses lèvres pulpeuses. Mon Dieu, qu’est-ce que je meurs d’envie d’embrasser ses putains de lèvres pulpeuses. Je l’admire de tout son être, et elle le sait pertinemment. Au fond de moi, c’est comme si elle savait ce que je ressens pour elle. Mais elle se fait des illusions. Si elle me propose quoique ce soit de sexuel entre nous, je me dois de refuser, aussi bien pour elle que pour moi. J’espère qu’elle comprendra.
      Ma fille chérie arrive finalement à seulement quelques centimètres de mon corps, pile en face de moi. Je suis un peu plus grande qu’elle, mais là, c’est comme si elle me dominait. Je sens son odeur, sa présence, son magnétisme. De nouvelles pensées incestueuses me submergent, mais je tente de tenir bon, de ne pas céder à la tentation. Ma morale me le dicte, cela ne doit rester qu’un fantasme.
— J’adorerais te proposer quelque chose maman, me chuchote-elle d’un ton charmeur.— Écoute ma chérie, ce n’est pas bien, lui répondis-je en fuyant son regard. Je t’aime énormément, mais comme une mère. Je sais très bien ce que tu veux, ce que tu attends de moi, mais je ne peux pas te l’offrir. Tu dois le comprendre.— Crois-moi maman, tu changeras d’avis après ça.
      À peine finit-elle sa phrase que Bridget saisit mon visage de ses mains délicates et vient m’embrasser fougueusement sur la bouche. Et j’ai à peine le temps de régir qu’inconsciemment, sous l’émotion et la surprise de l’instant, je me laisse faire. Ma fille, dans notre baiser volcanique, fourre sa langue au plus profond de ma bouche pour venir jouer avec ma langue, tandis que tout son corps se frotte contre le mien. Ses mains viennent se rejoindre dans mon cou, m’enlaçant ainsi tendrement tandis que les miennes viennent caresser ses hanches. Notre baiser dure ainsi quelques secondes, jusqu’à ce que la raison revienne à moi et me force à interrompre notre passionné baiser.
— Non Bridget, je ne peux pas ma chérie, proclamai-je en me reculant d’elle. Je ne peux pas faire ça avec toi.— Mais tu en meurs d’envie maman, me répond-elle de sa voix suave. Tout ton corps me réclame, je le sais.
— Non, tu as tord ma chérie. Tu n’as aucune idée de ce que tu veux. Enfin chérie, ce serait de l’inceste, ce serait mal.— Serait-ce si mal que ça ? Si ça restait entre nous et que nous le voulions toutes les deux, où serait le mal là-dedans ?
      Ma fille semble trop obstinée pour m’écouter. Des pulsions m’envahissent, des pensées d’elle et moi règnent en maître dan mon esprit, mon corps brûle de désir pour elle, mais je m’y refuse. C’est de plus en plus difficile d’y résister, mais je continue de m’y refuser. Je me décide à quitter le couloir en me passant à côté d’elle pour rejoindre le salon quand Bridget m’agrippe le bras et me ramène à elle.
      Je me retrouve alors subitement collée à elle, et elle collée à moi. J’en ai le souffle coupé et les muscles de mon corps en train de trembler. Ma fille me regarde avec son air adorable et innocent, mais qui cache des envies et des pulsions bien réelles. Les miennes aussi sont réelles, et elles sont de plus en plus difficiles à maîtriser.
— Allez maman, s’il-te-plait, fais le pour moi, me susurre-t-elle.— Pourquoi Bridget, pourquoi ? lui demandai-je en haletant.— On en meurs d’envie toutes les deux. Nous sommes mère et filles, mais on peux devenir bien plus. Je veux qu’on devienne bien plus.— C’est interdit ma chérie, c’est tabou. Ce serait de l’inceste. Et même si ça resterait entre nous, je ne me le pardonnerait jamais.— On a aucune honte à avoir. Je me branlais en pensant à toi tout à l’heure, et je sais que tu t’es branlée en pensant moi tout à l’heure.— Alors, tu m’as entendue ? Oh mon Dieu, Bridget, tu m’as entendue ?— Je t’ai entendue et je t’ai maté aussi. C’est ce qui m’a donné envie de me branler en pensant à toi.— Oh ma chérie...
      Sans m’en rendre compte, ma fille et moi nous sommes retrouvées en train de danser légèrement pendant que nous parlions. Ses mains étaient posées sur mes fesses, tandis que les miennes étaient sur ses épaules. La pression est devenue insoutenable. Si vraiment nous le faisons, qu’est-ce qu’on risque ? Je me suis déjà branlée sur elle, et je n’ai toujours aucune honte. Ma morale me dicte ceci et cela, mais est-ce que ça veut vraiment dire quelque chose ? Une mère et une fille ne pourraient-elles pas se rapprocher d’avantage en couchant ensemble, en ayant un rapport sexuel ? Après tout, ne serait-ce pas la preuve ultime d’amour entre une mère et une fille ? C’est ainsi que soudain, la vérité me parvient.
— Faisons l’amour maman, me dit-elle tout doucement. Baisons ensemble, s’il-te-plait maman chérie.— D’accord, ma chérie, finis-je enfin par répondre. Je n’en peux plus de résister. Je te veux, toi et ton corps, tout de suite.
      Sans en dire plus, ma fille me prend par la main et m’emmène dans sa chambre. Elle m’envoie me faire tomber sur son lit et part fermer la porte, comme pour s’assurer que cela reste parfaitement entre nous. Je suis allongée sur le lit de ma fille, et cette dernière vient alors s’avancer vers moi, entièrement nue pour enfin s’offrir à moi.
— Oh, tu es tellement parfaite ma chérie, dis-je émue en admirant ma fille.— Tout comme tu l’es maman chérie, me répond-elle.
      Bridget se met alors à quatre pattes au bord du lit, avançant telle une tigresse au-dessus de moi avant d’arriver à mon visage. Je me retrouve complètement à sa merci, et tandis qu’elle commence à m’embrasser avec une passion certaine, nos mains se rejoignent au niveau de ma jupe et nous l’enlevons ensemble. Très rapidement, je me retrouve la chatte à l’air libre, uniquement vêtue de ma chemise. Notre baiser dure de longues et délicieuses minutes, avant que ma fille n’y mette fin et descende vers mon intimité tout en recouvrant mon ventre et mon pubis de doux baisers.
— Prête maman ? me demande-t-elle.— Plus que jamais, lui répondis-je.
      Et enfin, après tant d’attente, d’angoisse, de refus et d’envies, ma fille et moi couchons finalement ensemble. Ma Bridget vient plaquer ses lèvres et sa langue contre ma chatte tout aussi imberbe que la sienne, et elle fait rapidement pénétrer sa langue au plus profond de moi. Elle me lèche, me titille, me caresse, me bouffe la chatte, provoquant chez moi de vraies vagues de plaisir incestueux. Ma fille est vraiment douée. Elle me fait gémir comme jamais aucune autre femme ne m’avait fait gémir. Ses coups de langue sont divins. Elle accélère ensuite le rythme et la puissance de ses coups, me faisait de plus en plus gémir et cambrer tout mon corps sur son lit. Après plusieurs minutes, l’orgasme me parvient enfin et, en bonne femme fontaine que je suis, je libère un torrent de cyprine dans la bouche de ma fille qui n’en rate pas une goutte, se délectant mon précieux jus incestueux.
— Mhm, tu es tellement bonne maman, me dit ma fille après avoir avalé ma cyprine.— Je sais ma chérie, lui répondis-je. Maintenant, à mon tour de te faire plaisir.
      Je me relève et ôte enfin ma chemise, l’envoyant valdinguer à travers la chambre et finissant enfin toute nue, libérée de toute entrave. Assise face à ma fille, je l’invite à se remettre à quatre pattes, mais en m’offrant son cul cette fois. Dieu que j’ai envie de son cul. Elle s’exécute et m’offre alors son magnifique fessier bien rebondi. Je me penche et vient écarter ses fesses pour venir titiller son anus avec ma langue. À la vue de ses gémissements et de ses sourires, elle a l’air de particulièrement apprécier. J’enfonce alors ma langue au plus profond de son cul, commençant mes va et vient dans son anus tout en venant branler sa chatte avec ma main. Lui procurant ainsi un double plaisir, il ne faut pas plus de quelques minutes pour que ma Bridget adorée ait à son tour à un puissant orgasme. Sous mes coups incessants et presque violents dans son cul et dans sa petite chatte, ma fille tremble de tout son corps et hurle de plaisir, et éjecte aussi toute sa cyprine sur le drap de son lit, faisant un grande tâche de sa délicieuse mouille.
      Mais à peine son orgasme prend fin que Bridget saute sur moi pour m’embrasser à nouveau. Nous retrouvons toutes les deux couchées sur le lit, elle sur moi et me dominant totalement, tandis que mon cul trempe littéralement dans la tache de jus de ma fille sur son drap. Notre baiser, plus lent et langoureux cette fois, dure plusieurs minutes, jusqu’à ce que ma fille me fasse une certaine proposition.
— Mhm, j’ai envie de t’enculer maman, me dit-elle alors.— Attends, comment espères-tu...
      Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que ma fille se penche vers sa table de nuit et sors d’une des armoire une ceinture en cuir noir ornée d’un énorme godemichet en latex rose.
— Mhm, ma fille adorée, fais moi cet honneur, lui dis-je en l’embrassant fougueusement.— Tout de suite maman chérie, me répond-elle en se relevant et sortant du lit.
      Je vois ma fille en train de mettre la ceinture, ce qui me donne terriblement envie et une impatience folle. À peine est-elle prête que je me mets déjà en position, à quatre pattes et offrant à ma fille mon énorme cul bien rebondi. Et sans prévenir, avec une grande vigueur, ma fille vient me pénétrer violement avec le godemichet, ce qui me fait hurler instantanément d’un intense plaisir. Penchée sur moi, ma fille commence alors à m’enculer, allant à chaque pénétration plus vite, plus loin et surtout plus fort. Rapidement, ma fille m’encule frénétiquement, et nous gémissons à l’unisson, prenant chacun son pied dans notre rapport sexuel complètement incestueux et interdit, mais ô combien passionné et volcanique. Bridget m’encule ainsi jusqu’à ce que de nouveaux orgasmes nous parviennent, nous faisant hurler et gémir de douleur et de plaisir.
       Mais j’en veux encore plus. À peine remise de ma jouissance que je me retourne et que j’arrache de force la ceinture de ma fille, l’envoyant par terre et saisissant Bridget pour la ramener vers moi. Elle se laisse faire et nous nous mettons à faire les ciseaux. Prises par des pulsions encore jamais vécues, nous baisons littéralement comme deux chiennes en chaleur. Nos chattes se touchent, se caressent, se frottent, s’embrasent et dansent ensemble sous les coups frénétiques de nos va et vient, alors que nous nous embrassons sauvagement en même temps. Et à nouveau, la jouissance nous emporte rapidement, et nous déversons des flots et des flots de cyprine qui se mélangent et qui arrosent le lit et nos corps. Putain de merde que c’est divin.
      Histoire de se reposer un peu et de souffler après cette baise phénoménale, nous nous allongeons l’une à côté de l’autre, nos corps dégoulinant de sueur et nos chattes dégoulinant encore de jus. Nous reprenons doucement notre souffle tandis que nous regardons droit dans les yeux.
— C’était incroyable maman, me dit alors Bridget entre deux respirations. C’était encore plus jouissif que dans mes rêves.— Oui, c’était grandiose ma chérie, lui répondis-je en souriant. C’était absolument divin même.— Je t’en prie, dis-moi qu’on va le refaire un jour, s’il-te-plait.— Mhm, bien sûr ma chérie. Ce qui es fait est fait, nous avons franchi la ligne. Nous ne sommes plus seulement mère et fille, nous sommes dorénavant amantes. Je t’aime tellement ma chérie.— Je t’aime aussi tellement maman.
      Nous nous blottissons l’une contre l’autre, nos corps plus proches que jamais, et nous nous embrassons tendrement, lentement et langoureusement comme les deux amantes que nous sommes désormais. Nous ne sommes plus mère et fille, c’est vrai. Nous avons franchi la frontière, nous avons bravé l’interdit et nous nous sommes offertes l’une à l’autre. Plus rien ne sera jamais comme avant.
      FIN
Diffuse en direct !
Regarder son live