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Ma fille fait des extras nocturnes…

Chapitre 1

Inceste
Ma fille fait des extras nocturnes...

Alors que la pluie s’écrasait délicatement contre mon pare-brise, une serveuse plus proche de la belle-de-nuit que des standards de son métier d’origine raccompagnait lascivement un homme par une porte dérobée, à l’arrière de son établissement irlandais. À la vue de ses cheveux débraillés et de sa tenue dépareillée, il n’était pas difficile d’imaginer ce qu’il venait de se passer dans la remise du bar. Soudain, l’homme murmura quelque chose à l’oreille de la fille, qui lui adressa un petit sourire mutin avant de s’agenouiller pour le sucer derrière une poubelle de cette ruelle sombre. À cette vue, je ne pus m’empêcher de me toucher frénétiquement et rapidement le sperme jaillit dans mes mains. Presque en même temps que celui de l’homme entre les lèvres de la serveuse. Voilà maintenant près d’un mois que ce manège durait, chaque soir je venais me garer dans la ruelle, et chaque soir je me masturbais en observant les rondes amoureuses de la jeune serveuse.
Une serveuse hélas si familière. Chaque nuit, j’observais ma chère fille se faire prendre par des inconnues.
Ma fille, ma propre fille était une radasse. Ma fille de même pas vingt ans, en étude de langue, toute fière d’avoir trouvé un job étudiant de barmaid en ville, qui en plus de rincer les clients de son établissement, les vidait également...
Le terrible secret fut découvert le jour où je suis monté en ville pour voir des partenaires et où ayant décidé de faire une surprise à mon petit trésor, je suis venu la chercher à la fin de son service pour lui faire une petite surprise. Dans un premier temps, je me suis installé dans un coin bondé du pub pour l’observer, elle, son sourire d’ange et son petit slim en cuir moulant. Elle passa fièrement la soirée à servir des bières brunes à foison. Empli de fierté paternelle à la voir devenir une adulte responsable, je n’attendais qu’une chose : la féliciter. Pourtant à ma grande surprise, à la fin de son service, elle s’est enfuie dans la réserve, puis rapidement, a été suivie par des clients du bar, avant de ressortir une heure plus tard aussi débraillée que ce soir. Ce jour-là, mon cœur s’est brisé.
J’ai pleuré des heures et vidé de nombreux verres. Cette découverte m’avait littéralement révulsé. Mais au bout du dixième verre, la colère avait été remplacée en moi par l’envie. Une petite graine dont je ne parviendrais jamais à me débarrasser venait de germer dans mon esprit : « moi aussi je voulais ma part du gâteau, je voulais ma fille, je voulais être en elle ». Honnêtement, ma petite Claire était une vraie beauté, elle était grande, fine, l’air si fragile, même son petit 85 c me donnait maintenant envie d’elle. Avant ce jour, je ne l’avais jamais vue comme une femme ayant potentiellement un rôle sexuel et voilà maintenant que je la trouvais désirable, au point d’en délaisser sa pauvre mère.
Entre nous, je ne savais pas quelle était l’idée la plus excitante pour moi. Que ma fille était désirable et que son corps me narguait tel un fruit défendu ou bien l’idée d’imaginer ma fille se faire prendre à la chaîne par d’autres hommes, arborant probablement une expression perverse sur son petit visage d’ange. À la maison, la situation était vite devenue intenable. La moindre vision de ma fille et de ses déambulations me faisait perdre le contrôle de mes sens, j’en devenais fou. Je ne m’étais pas autant masturbé depuis l’adolescence et ma femme en venait à me soupçonner d’adultère. Il fallait que je me tape Claire et vite.
Je suis donc entré dans la chambre de ma fille, l’ai mise à quatre pattes et lui ai fait l’amour sauvagement sous les applaudissements de ma femme... Hélas ! La vie n’est pas aussi simple, la morale n’étant clairement pas de mon côté. On ne peut simplement pas coucher avec sa fille comme ça, il me fallait un plan. Et le plan est venu de mon meilleur ami et accessoirement parrain de ma fille Manuel, seule personne à qui j’ai osé confier mes malheurs et qui à mon grand bonheur a trouvé l’idée de se taper sa filleule existante au plus haut point. Maintenant, je vais vous raconter en détail le déroulé de ce plan joué sans aucune fausse note.
Le premier problème qui nous était posé était celui de l’anonymat, Manuel le résolut en choisissant la soirée d’Halloween et ses masques salvateurs. Le second était ma femme, il fut résolu grâce à Gérard le patron libidineux de ma conjointe, qui lui proposa avec un timing parfait de m’emmener dans une soirée costumée, alibi en béton, même si cela signifiait que le vieux pervers allait également se farcir ma chère fille, un moindre mal.
Le soir même, nous étions donc en ville à savourer des pintes de brunes tout en observant ma fille servir des verres, sourire, aguicher les hommes en touchant délicatement les parties intimes des clients par un léger frottement d’expert, bref faire sa serveuse. En la voyant faire, nous trinquions et échangions de plus en plus de blagues libidineuses sur elle. Puis, connaissant les habitudes de ma fille, Gérard dont Claire ne connaissait pas la voix est allé parler au patron pour commander : « Un Tullamore de vingt ans d’âge, directement servi au fût », le code pour dire que nous voulions passer un peu de temps avec sa belle serveuse. L’homme nous gratifia d’un grand sourire et nous guida dans l’arrière-salle du bar.
Dans un grincement sourd, totalement masqué par les brouhahas et la musique, la lourde porte feutrée de l’arrière-salle du bar s’ouvrit sur nous. Nous avons traversé un couloir de tonneaux et de barils pour arriver dans une petite alcôve où trônaient un petit sofa rouge, une petite table, un tapis, et des bols de préservatifs. Là, le patron nous servit réellement un whisky, puis avec un sourire entendu nous indiqua que la seconde tournée n’allait pas tarder à arriver.
Quelques secondes plus tard, le barman fut de retour avec la marchandise. Elle était magnifique. La jeune serveuse ne portait plus son petit slim en cuir, mais se baladait simplement en string, perchée sur ses escarpins. Elle vint lascivement se positionner face à nous. Ses lèvres étaient rouges pulpeuses sous sa petite frange brune. La vision d’une déesse, si seulement elle n’avait pas ouvert la bouche pour nous expliquer son fonctionnement de nymphomane. Rompant ainsi le charme l’entourant, et la ramenant aussitôt à son statut de vulgaire salope à bite. Ah ! Ma pauvre fille, que te voilà donc devenue !
D’un claquement de doigts, j’ai ouvert le bal. Manuel et Gérard se sont levés et ont pointé leurs sexes en érection sur le visage rougissant de ma chère et tendre petite fille. Avec un naturel déconcertant, elle s’est agenouillée et a glissé ses deux petites mains fraîchement manucurées sur les sexes encore au repos des deux quinquagénaires. Pendant quelques secondes, elle les a masturbés délicatement. Puis lentement, sa petite bouche s’est posée sur le sexe de son parrain dont le gémissement familier fut masqué par son masque d’ogre. Puis, elle commença à le sucer goulûment, tout en le fixant. Mon Dieu j’avais élevé une salope. Ma pauvre Claire, si elle savait qu’elle taillait une pipe à son parrain, homme qui la faisait sauter sur ses genoux encore quelques années plus tôt. Pendant plusieurs minutes, ma fille se souilla avec fierté en suçant avidement les sexes de mes amis.
Lassé par la vision de ma Claire bavant sur des bites, j’ai claqué de nouveau des doigts. À mon signal, Manuel sortit son gourdin de la bouche de ma fille. Lentement, il commença à s’amuser avec son petit trou de balle. Sa bite en érection était vraiment énorme, la gamine allait déguster. Pendant qu’il jouait avec son orifice, moi, toujours sur mon canapé, espérais qu’elle allait apprécier le cadeau, comme sa mère en son temps. Lentement, Manuel souleva ma fille et vint s’empaler d’un coup sec sur son cul, cul ouvert bien trop facilement pour une fille de vingt ans. Claire ne put s’empêcher de pousser un cri. J’ai souri. Elle gémissait vraiment fort, révélant au passage qu’elle n’avait sûrement jamais pris de sexes aussi gros dans ses petites fesses. Gérard agacé par les cris stridents et le langage de pouffiasse qu’utilisait ma fille, qui avait renoncé à toute dignité dans son attitude, s’empressa de lui mettre sa bite dans la bouche, histoire de la faire taire.
Si seulement je pouvais utiliser cette technique tous les jours à la maison, la vie serait bien plus facile.Voilà maintenant deux heures que ma fille était nue, en sueur, rouge, prise et reprise par tous ses orifices. En observant Claire crier et s’effondrer sur le tapis après une énième charge musclée, instinctivement, j’ai su que c’était le moment pour un nouveau claquement de doigts. Mes compagnons mirent ma fille béate à genoux, afin de pouvoir se masturber devant elle. L’insultant au passage de tous les noms. Claire, les aidantes avec ses petits doigts et sa langue délicate. José fut le premier à dégainer, il envoya un long filet de sperme épais et aléatoire sur son visage et sa magnifique chevelure brune. Manuel, lui, de nature bien plus perverse et sadique, s’amusa à viser les yeux de la petite, qui grimaça, mais se tut pudiquement.
Puis lentement, mes amis s’écartèrent pour me laisser enfin profiter de ma fille, seule, offerte rien que pour moi. Il exaltait d’elle une odeur de sueurs et de spermes. Une odeur de salope en somme. J’ai pris le temps de l’admirer et de graver ce moment dans mon esprit. Mon petit trésor était magnifique, ainsi souillé par la semence de mes amis. Mon cœur s’emballa à la vue de son petit minou, si semblable à celui de sa mère, malgré leurs vingt d’ans d’écart. Pour en arriver à une telle déformation de son sexe à son âge, une grande quantité d’hommes devait être passée par là. Cette pensée finit d’achever mon érection, si jamais il y en avait encore besoin.
N’y tenant plus et la bite frétillante, je me suis empressé de lui présenter mon gland. À ma surprise, Claire fit preuve de douceur en l’embrassant délicatement. Puis lentement, elle entoura délicatement mon gland de ses lèvres pulpeuses. Là, ma fille me fit la meilleure fellation de ma vie, digne des plus grandes putes. Elle faillit me faire craquer, mais reprenant mes esprits, j’ai sorti ma bite d’un coup sec de la bouche de ma Claire, lui arrachant un « plop » indigne d’une petite fille bien élevée. Dans l’excitation, je fis basculer la petite sur le tapis. Instinctivement, elle ouvrit ses jambes galbes, dieu, qu’elles les ouvraient facilement, une vraie traînée. Furieusement, je l’ai prise à même le sol en missionnaire. Voulant voir à tout prix son visage si mignon pendant que je lui ravageais sa petite chatte. Mes couilles claquant avec vigueur sur son petit cul.
Son vagin était incroyable, chaud, humide, sa chaleur m’emporta rapidement, et dans un énorme râle de plaisir, je crachais mon sperme au plus profond de son intimité...
En rentrant, je fis l’amour comme jamais à ma femme. Puis tomba rapidement dans les bras de Morphée ivres de bonheur. Le lendemain, je me suis dirigé gaiement dans ma cuisine, pour trouver ma fille assise sur un coussin, savourant un café, toutes traces de la veille avaient disparu d’elle. Toutes, hormis au niveau de ses yeux. — Dis donc ma fille, tu as les yeux bien rouges... tu dois faire une conjonctivite, dis-je paternaliste, en affichant un petit sourire entendu, le sourire de l’homme qui sait...
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