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Ma fille fait des extras nocturnes…

Chapitre 2

Inceste
Ma fille fait des extras nocturnes... (2)
« Les femmes sont pires que les hommes, moins brutales, mais plus froidement cruelles »

Milène finit rapidement de boire son jus d’orange, avant de fermer les yeux afin de masquer son exaspération apparente. Elle se massa les tempes quelques secondes. Lasse, elle fit face à l’objet de son exaspération matinale. Devant elle, habillée seulement d’une petite culotte et d’un top transparent, sa fille Claire mangeait des céréales bruyamment, la bouche grande ouverte. Une mine de dégoût se dessina sur le visage de la plus âgée de deux femmes. Moment que choisit la plus jeune pour la regarder, et un beau « je sais et je t’emmerde» se dessina dans les yeux et dans le sourire sarcastique de la petite. Une veine gonfla sur le visage de sa mère. Heureusement, l’ambiance électrique naissante se brisa avec l’arrivée de l’homme de la maison.
Un sourire enfantin se dessina sur le visage de la jeune rebelle qui se jeta au cou de son papa, et avec une grâce enfantine et naïve, câlina son grand ours de père tout en lui donnant les noms les plus affectueux : « papou, mon papounet »et autres mièvreries, qui donnaient à sa mère l’envie de fuir aux toilettes pour vomir devant tant de niaiseries. Après avoir papouillé avec amour son père, la jeune fille quitta la table. Le regard de Milène s’attardât sur la culotte de sa fille qui dandinait innocemment, et la jalousie la rongea. Elle avait de petites fesses fermes à tomber, là où celles de sa mère commençaient à être gagnées par la cellulite et les traces du passage du temps... Dans les yeux de cette mère de famille se mêlèrent alors envie et jalousie.
La situation de ce matin n’était pas nouvelle. Depuis quelques années ne subsistaient plus que haines et mépris entre les deux femmes, toute trace de leur ancienne relation fusionnelle avait disparu. La fille ne reconnaissait plus l’autorité et les valeurs de sa mère. La mère quant à elle était dévorée par la jalousie. Jalousie de l’indépendance de sa fille, jalousie de voir sa fille devenir une femme possédant un corps qu’elle n’aurait jamais, jalousie devant la relation innocente et enfantine entre le père et la fille, dont Milène semblait exclue. C’est dans ce contexte de guerre froide que la mère découvrit le secret de sa fille. Sans le savoir, Claire venait de fournir à sa mère un moyen de se venger de ses années de mépris.
Rien n’échappe aux yeux d’une mère, c’est une vérité intemporelle, hélas pour Claire, elle l’avait oublié.
Il y avait maintenant une quinzaine de jours que Milène fréquentait discrètement le bar où travaillait Claire, histoire d’apparaître aux yeux du propriétaire comme une habituée et gagner plus facilement ses faveurs. Alors qu’elle savourait un mojito au bar, elle réfléchissait aux meilleurs moyens d’humilier sa fille : la prendre sur le fait ? La prendre en photographie et l’envoyer à tout le monde ? Non trop simple... perdue dans ses pensées, elle répondit machinalement au barman qui lui demandait un nouveau verre : « Un Tullamore de vingt ans d’âge, directement servi au fût ». Le serveur écarquilla les yeux.
— Bah mince alors, répondit l’homme en se grattant nerveusement la tête. Ma serveuse fait même de l’effet aux vieilles bourgeoises à frange...
Milène rougit sur place, mais emportée par l’alcool, trouva l’idée que forcer sa fille à coucher avec elle était une magnifique vengeance et une douce humiliation.
— Une réflexion misogyne ? contre-attaqua la cliente, enhardie par l’alcool et la chaleur qui venait de naître au creux de ses reins. Les femmes n’ont-elles pas les mêmes droits que les hommes dans ce bar ? — Si... mais ma serveuse est libre, je ne suis pas sûr qu’elle apprécie les petites couguars à frange.— Allons ! Je suis sûr que vous saurez la convaincre... surtout si je vous propose une petite pipe ? À votre regard, j’ai l’impression que les couguars à frange vous dérangent nettement moins. — Vendu !
Le serveur attrapa Milène par la main pour la guider vers l’arrière-salle du bar. Là, la porte s’ouvrit et se referma dans un brouhaha masqué par la musique. Tenant la femme d’une main ferme, de peur qu’elle s’enfuie sans le sucer, l’homme la guida entre les barils et les futs pour arriver dans une petite alcôve où trônait un sofa rouge. Là, il demanda à la mère de famille de se déshabiller, ce qu’elle fit sans protester, si tel était le prix de sa vengeance et des années d’outrages que lui imposait sa fille à la maison, elle le paierait de bonne grâce.
Pressée d’en finir, Milène se glissa au pied de l’homme, et lui fit la pipe de sa vie. Il tomba vite, vaincu par le jeu de mains, la langue et l’expérience d’une femme mature, loin d’en être à sa première fellation. Rapidement, il juta tout son sperme dans la bouche mature. En femme bien élevée, la mère de famille avala tout jusqu’à la dernière goutte. En gentleman, l’homme lui apporta son verre, et le magnifique breuvage chaud permit à la petite brune à frange de se rincer la bouche de l’odeur de bite.

Assise en tailleur, nue, puissante, un verre à la main, Milène attendait tremblante l’objet de sa vengeance. Quelque temps plus tard, le barman revint avec la marchandise : une jeune pierreuse à frange, presque nue, portant seulement des escarpins. Lascivement, elle se positionna offerte et présenta ses conditions, puis elle se figea sur place, en reconnaissant la femme dans le canapé. Elle blanchit sur place à vue d’œil. Dans le sofa, sa mère arborait un sourire sadique et carnassier devant ce spectacle grisant.
Dès lors, et dès qu’elles furent seules, une longue séance d’insultes, de menaces et de chantages commença entre les deux femmes. Séance qui se finit par la jeune femme en pleurs, faisant promettre à son bourreau de ne rien révéler de ses activités nocturnes à son père. La corde sensible qu’avait fini par trouver Milène. Rien ne comptait plus pour Claire que de rester la petite fille à son papa, pas même sa dignité (si elle savait...)
Vaincue, Claire s’offrait maintenant tout entière à la femme qui l’avait mise au monde.
— Eh bien ma fille, qu’attends-tu pour me montrer ton minou ? Tu es une truie non ? Allez, montre à ta mère ton instrument de travail.
Soumise, en pleurs, Claire tenta de se recomposer un visage serein, sans grand succès. Elle écarta ses petites mains délicates de son antre et écarta les jambes devant sa mère. Celle-ci tout en savourant son verre de whiskey avait les yeux fixés sur les yeux coulants de mascaras de Claire. Sans s’en rendre compte, Milène écarta les jambes, tremblante, elle cuisait dans son jus, et sentait la mouille couler le long de son vagin, comme un filet de bave. Le corps de la mère dégoulinant de plaisir devant l’humiliation de la fille chérie.
— Approche, ordonna Milène d’une voix tremblante de plaisir.
D’une main ferme, Milène attrapa sa fille nue, et la posa sur ses genoux, telle une mère avec sa petite fille. Claire tenta de dissimuler son regard sous sa frange, histoire de fuir encore un peu la réalité. D’un doigt, Milène souligna le tracé des lèvres de sa future amante. Elle se pencha, sa bouche effleura celle de Claire, qui sentit une langue chaude, douce, sentant l’alcool et la cigarette pénétrait entre ses lèvres.
— Tu sais que tu me fais de l’effet, ta bouche est beaucoup plus agréable quand elle ne parle pas, la railla sa mère, en lui tenant fermement le cou.
Tremblante de sa toute-puissance, la mère de famille se laissa emporter. Elle glissa sa main sous l’un des petits seins de Claire, elle l’empoigna, tira dessus, avant de les griffer.
— J’adore tes petits seins de putain, exulta Milène, tes aréoles sont très petites, ça me plaît, et surtout, ils sont plus petits que les miens. Enfin un domaine où tu me cèdes en tout.
Elle pinça entre le pouce et l’index les tétins de Claire, les fit rouler pour les faire durcir. Claire, les yeux rouges, avait baissé ses petits yeux de biche pour contempler les doigts qui la touchaient. Son humiliation persistait, mais du plaisir commençait à s’y mêler. Pour la première fois, elle oublia qu’elle était la victime de sa mère et se laissait aller. Sa mouille ruissela discrètement sur les cuisses de sa mère.
— Une greluche, rien qu’une greluche, murmura sa génitrice. Une petite fille modèle, toujours prête à faire des poutous à son père... si innocente, pourtant ça porte des pantalons moulants en cuirs, et ça se fait sauter par tout le quartier comme la première traînée venue dès que la nuit tombe.
Milène glissa, sa main entre les cuisses mouillées de sa fille, constata ce qu’elle savait et pendant quelques secondes fouilla le vagin de sa fille, avec une rage démente, sûre de sa victoire. En réaction, sa fille tremblait de tout son corps et gémissait comme une jeune fille découvrant ses premiers émois. Puis, soudain, la mère acariâtre se rappela qu’elle était là pour son plaisir à elle, et non celui de sa chère et tendre fille.
— Viens me sucer maintenant petite pute, ordonna Milène, je suis sûre que tu n’as pas oublié comment on fait depuis l’adolescence... tu passais alors tes soirées à brouter la petite voisine. Eh oui ma fille ! Je sais tout de toi. Viens, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas !
Claire, honteuse, après une hésitation, alla s’accroupir devant sa mère. Son sexe charnu et brun était trempé et dégageait une forte odeur de femme. Elle sépara du bout des doigts la grosse vulve, et du bout de la langue effleura le clitoris saillant. Ça faisait une éternité que la jeune femme n’avait pas léché une chatte, elle avait presque oublié le plaisir qui en résultait. Si seulement ce n’était pas sa mère. Oubliant petit à petit la répugnance incestueuse, elle posa sa bouche dans la mouille et avidement ouvrit la chatte de sa mère. Elle fit frétiller sa langue et sentit la vieille femme se cambrer.
— Dire que tu viens de là... haleta Milène entre deux gémissements rauques de plaisirs, tout en se massant frénétiquement les seins.
Claire trouva le clitoris, elle l’aspira, puis le titilla de sa langue. Le goût du con de sa mère et le mélange de mouille et de sueurs emplissaient la bouche de la jeune fille la rendant folle. Elle se sentait enfin dans son élément, maîtresse de la situation, elle tenait sa salope de mère par le bout de la langue, c’était ironique, mais elle avait de nouveau le pouvoir, pendant que sa mère lui griffait le cou de ses ongles, hurlante de plaisir.
Soudain, les jambes de Milène se raidirent et se serrèrent autour du cou de Claire, sa mère venait de connaître un orgasme foudroyant sous l’action de la langue de sa chère et tendre fille. Milène était maintenant avachie dans le canapé de l’alcôve, fiévreuse et blanche comme la neige suite à l’orgasme ravageur.
Instinctivement, Claire alla se blottir dans les bras de sa mère qui l’accueillit maternellement. Les deux femmes, nues, en sueur, et pleines du mélange de leurs mouilles respectives, s’enlacèrent. D’une main, Milène caressait avec amour la frange de sa fille. Et c’est ainsi, que seins contre seins, con contre con, les deux femmes se regardèrent avec amour pour la première fois depuis des années...
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