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Ma fille fait des extras nocturnes…

Chapitre 3

Inceste
Ma fille fait des extras nocturnes (3)


Caroline percevait bien quelques changements dans sa famille et elle brûlait d’en savoir plus. Cela faisait maintenant un mois que sa mère et sa grande sœur s’étaient réconciliées et passaient la plupart des soirées hors de la maison. Elle avait bien tenté de travailler les deux femmes pour en savoir plus, mais elle n’obtenait en retour que des comptes rendus lapidaires, souvent éludés par les deux femmes, elles normalement si loquaces étaient maintenant muettes. Caroline avait la désagréable impression d’être exclue...La sœur cadette avait bien tenté de combler ce vide en se rapprochant de son père, mais celui-ci aussi fuyait le plus souvent la maison familiale. Passant le plus clair de son temps avec son meilleur ami Manuel, ainsi que le patron de sa mère, Gérard. Ils formaient une drôle d’équipe. Plus personne ne faisait attention à la petite dernière de la famille. Cette pensée lui était insupportable.

À l’origine, il devait s’agir d’un vendredi soir ordinaire, Caroline était en train de jouer en ligne avec ses amis, une bière rosée sur la table, des chips dans la main. Mais l’attention de la gameuse fut attirée par un claquement régulier, la forçant à baisser son casque audio. Elle reconnut le bruit sourd des talons dans les escaliers. Les sens en alerte, son odorat fut rapidement mis en action lui aussi, attiré par un parfum suave et électrisant.
La jeune femme se tordit le cou dans le canapé pour regarder. Elle en eut le souffle coupé. Sa mère Milène et sa sœur Claire traversaient le hall d’un pas chaloupé, toutes deux perchées sur des talons aiguilles. La panoplie des deux femmes était complétée par des robes moulantes, s’arrêtant presque au niveau des fesses des deux femmes, sans compter qu’en observant minutieusement les formes perceptibles à travers le tissu, elles ne semblaient pas porter de lingeries. Caroline se frotta et ferma les yeux, on aurait dit deux escortes de luxes... en les rouvrant, les femmes avaient déjà disparu dans la rue. Elle se pinça la main pour vérifier qu’elle ne venait pas d’halluciner, hélas pour Caroline, la douleur fut bien réelle...
Quelque chose clochait, la jeune femme en avait l’intime conviction. Sa théorie se vérifia rapidement, car quelques minutes plus tard, ce fut au tour de son père de quitter la maison sur son trente-et-un. Mais ce coup-ci, Caroline n’allait pas se laisser faire, ayant raté la coche pour prendre sa mère et sa sœur en filature, elle allait se rattraper avec son père.
Il s’arrêta quelques kilomètres plus loin devant la maison de Gérard, le patron de sa mère. L’espionne en herbe en profita pour se garer en face du porche, d’ici, elle avait un point de vue imprenable sur l’habitation. Quelques minutes plus tard, son père fut rejoint par le parrain de sa sœur aînée, Manuel, lui aussi sur son trente-et-un. Caroline avait l’intime conviction qu’il se passait quelque chose, jamais les deux hommes n’auraient fait l’effort de s’apprêter de la sorte pour une banale soirée bière ou poker.
Après quelques heures de guet, Caroline se rendit compte qu’elle s’était assoupie. Elle poussa un bâillement sonore puis se mordit la langue de panique en se rendant compte que la voiture de son paternel n’était plus garée dans la rue. Elle hurla intérieurement de rage, quand soudain, la porte d’entrée s’ouvrit. La stalkeuse écarquilla les yeux en voyant avec stupeur une jeune femme blonde sortir de la maison, les cheveux en bataille, le mascara en ruine, et une robe ras la fente, la démarche cassée... Malgré sa jeunesse, Caroline sut instinctivement à quel genre de femme elle avait à faire.
La jeune femme en loque fit claquer ses talons à côté de la voiture, et en la voyant passer le long de l’habitacle, le cœur de Caroline s’emballa, elle connaissait cette femme. C’était Nada, son binôme en physique chimie à l’époque du lycée. Prise d’un coup de sang, elle ouvrit la portière et l’aborda.
— Nada ! — Caro ! Nom de Dieu, mon cœur a failli s’arrêter ! Tu es folle ou quoi ?— Nada, je t’en prie, dis-moi tout ce que tu sais, je t’ai vue sortir de cette maison. Par pitié, dis-moi que tu ne couches pas avec mon père et ses amis...— Caro, je suis désolée, mais ma réponse ne va pas te plaire.— Raconte-moi...
Nada prit la main de son amie et délicatement lui raconta sa vie, sa soirée, les soirées précédentes, faisant parfois rougir de gêne ou pleurer de haine ou de rage son ancienne binôme tandis que les coulisses de sa double vie lui étaient dévoilées. Mais au fur et à mesure que Nada faisait son récit, la colère qu’éprouvait l’espionne en herbe contre son père se reporta sur Nada, sur ce qu’elle faisait avec son père. C’était son père à elle, personne n’avait le droit d’être plus proche de son géniteur qu’elle-même. Elle devait être la seule jeune femme que son père pouvait enlacer, la jeune égoïste avait déjà du mal quand sa sœur Claire se montrait mièvre et collante avec... Ce soir-là, la jeune innocente prit une décision complètement irréfléchie et immature, elle ne laisserait pas l’homme de sa vie lui échapper, même si pour cela, Caroline devait rentrer dans son « Nouveau Monde » et s’offrir elle-même en offrande.

La pluie s’écrasait délicatement sur le pare-brise de mon monospace familial. J’étais très agacé, l’horloge de la voiture affichait déjà vingt-deux heures... j’avais donc plus d’une heure de retard pour notre petite sauterie hebdomadaire entre potes. Tout ça par la faute de ma fille cadette Caroline, qui m’avait appelé en panique et en pleurs quelques heures plus tôt pour me dire qu’elle avait raté le bus la ramenant de l’IFSI. En bon père de famille, j’avais tout plaqué pour voler à son secours, pour au final, apprendre une fois sur place que la petite peste était finalement rentrée avec une amie. Elle ne perdait rien pour attendre, dommage qu’elle ait passé l’âge de la fessée cul nul !
D’un pas prompt et leste, je me suis hâté pour rejoindre le porche de la demeure de Gérard, l’organisateur de la soirée du jour. En effet, depuis notre virée pour éclater la chatte de ma chère et tendre Claire, un véritable lien s’était créé entre nous et nous avions pris l’habitude de nous faire une fille ensemble chaque semaine, une véritable « bromance » du sexe. Or, ce soir était un grand soir, Gérard avait réussi à nous trouver un nouveau modèle, et de tout juste dix-huit ans ! Une pensée fugace a alors traversé mon esprit, pile l’âge de ma fille Caroline, c’était donc à elle que reviendrait l’honneur de prendre la fessée par procuration pour sa consœur, vive la solidarité féminine.
J’ai sonné à la porte. Quelques secondes plus tard, Nathalie, la femme de Gérard, m’a ouvert la porte, en pyjama, un masque verdâtre sur le visage et un verre de whiskey à la main.
— Bonjour mon grand, tu es en retard. Les garçons ont déjà commencé à taper dans la petite depuis un moment... Manuel est même déjà reparti. Tu devrais te dépêcher de les rejoindre avant que tout le monde lui soit passé dessus, sauf si tu veux nager dans sa foune.
Nathalie et Gérard étaient un couple libertin depuis des années. Elle n’aimait pas participer à nos petites parties de jambes en l’air, mais ne voyait aucun inconvénient à nous laisser nous amuser avec de la viande fraîche ou moins fraîche. Au fond, elle ne voulait pas mélanger amitié et sexe. Une sage décision, comme on dit par chez nous : « on ne mélange pas les torchons et les serviettes. »
Les mots crus de Nathalie m’avaient mis en ébullition, je me suis hâté de rejoindre la scène de crime. Plus je me rapprochais et plus une odeur de sexe emplissait mes narines. Une émanation où se mêlaient des odeurs corporelles, des odeurs de parties intimes, de sueurs et des relents d’alcool. Ce mélange suave était la plus belle senteur du monde, un doux filet olfactif.
En arrivant dans le salon, un magnifique spectacle s’offrit à moi. La nouvelle petite radasse était à quatre pattes devant le canapé, sa crinière brune complètement enfouie dans le cul de Gérard, qui me fit un clin d’œil. Non d’une pipe, la petite n’avait pas froid aux yeux, elle bouffait docilement le cul du vieil homme, une véritable feuille de rose. Mon regard passa sur l’arrière-train de la petite dévergondée. Sa boule était bien graisseuse, et sciée en deux par un magnifique petit string noir. Ainsi offerte, elle allait prendre !
Quelques secondes plus tard, mon caleçon gisait à mes pieds, et mon sexe pointait fièrement en érection vers le fessier imposant de la petite. Afin de tâter la marchandise, je lui ai agrippé les fesses à pleine main, la surprise la faisant légèrement s’étouffer dans la rosace de Gérard. Je n’en pouvais plus, elle m’était totalement offerte et sans défense. Je l’ai sentie frissonner au contact de ma main.
Avidement, j’ai écarté le petit string pour découvrir l’intimité de la gourgandine. Son con était magnifique et humide, malgré quelques petits poils bruns en bataille. J’ai voulu tester de nouveau la marchandise, mais mon doigt a ripé, comme pris dans un toboggan tant la petite mouillait abondamment. J’ai retenté ma chance avec plus de succès, avant de porter mon doigt à mon nez, elle sentait magnifiquement la femelle en chaleur.
Complètement excité par le doux arome âcre du vagin et l’envie de passer la frustration que m’avait procurée Caroline. Je n’ai pas résisté bien longtemps avant de passer aux choses sérieuses. Pas le temps pour les préliminaires, je lui ai enfoncé mon dard d’un coup sec au milieu de son gros fessier. La petite pute a immédiatement poussé un cri de douleur de se faire enculer sans précaution et par surprise. Un cri qui me coupa le sang et fit sortir le visage de la petite jeunette des fesses chaudes de Gérard. Mon regard croisa alors le regard paniqué de ma fille cadette Caroline...
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