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Ma fille fait des extras nocturnes…

Chapitre 4

Inceste
Ma fille fait des extras nocturnes… (4)


À des kilomètres du lieu où la petite Caroline était consciencieusement à genou devant un homme pouvant être son père, sa mère et sa sœur aînée venaient d’arriver sur ce qui était désormais leur lieu de travail. La soirée était calme pour le moment, le creux de la vague entre la clientèle de l’after-hour et celle du soir. Perchées sur leurs escarpins, les deux femmes embrassèrent rapidement la serveuse en salle, avant de pousser l’énorme porte sculptée grinçante menant vers l’arrière-salle. Les deux femmes passèrent rapidement par l’alcôve pour aller se mettre en place. Dans le canapé rouge, Samuel, le patron de l’établissement fumait tranquillement un cigare cubain. Ce ne fut qu’en s’approchant que les filles réalisèrent qu’il était en train de se faire sucer par la nouvelle serveuse Amel. Le barman s’était résolu presque à contrecœur à prendre une nouvelle étudiante pour la salle en se rendant compte que Claire passait désormais plus de temps dans l’arrière-salle, à servir aux clients nocturnes de l’établissement qu’à servir les clients en salle… En voyant les deux femmes, l’homme gicla dans la bouche de la jeunette, il venait de lui offrir son pot de bienvenue.

Amel et ses 1m55 de sexytude se sentait comme un poisson dans l’eau, c’était son premier jour comme serveuse, pourtant elle avait l’impression d’avoir fait ça toute sa vie. Elle était à l’écoute, à son contact les clients devenaient radieux, elle avait l’impression d’améliorer la vie des gens, d’être utile. Elle ne regrettait pas d’être passée à la casserole pour obtenir le poste de ses rêves au détriment de de nombreuses autres filles, à la guerre comme à la guerre. Elle obtenait toujours ce qu’elle voulait… En apportant des bières en salle, Amel remarqua un vieil homme tout rabougri, l’air maussade, assis à une table. À côté de lui se trouvait un grand sac contenant deux peluches. La jeune serveuse sentit alors qu’il était de son devoir d’aller consoler cette âme en peine. — Bonsoir, monsieur, vos amis les nounours vont devoir s’en aller s’ils ne consomment pas, c’est la règle de la maison. L’homme sortit de sa torpeur, et regarda la serveuse incrédule, puis en voyant son sourire franc et à pleine dent, il comprit que la petite lui faisait une blague. De la vielle-école, il rougit quelques secondes quand il se rendit compte que son regard avait dévié vers le décolleté plongeant de la jeunette qui était penchée vers lui…— Bonsoir, mademoiselle, je suppose qu’ils vont devoir regarder la carte…— Je leur apporte tout de suite. Ils sont magnifiques, c’est pour vos enfants ? — Vous me flattez, mais hélas, je ne suis plus si jeune… ma chère fille a passé l’âge des peluches depuis bien longtemps. Non, elles sont pour mes deux petites-filles. Je leur rends visite ce week-end, ma petite Caroline est une vraie folle des peluches, elle est si enfantine, mais elle réchauffe mon cœur de vieil homme. C’est mon petit ange à moi. — Elle est chanceuse d’avoir un grand-père comme vous ! Et le second ours ? — Il est pour ma seconde petite-fille Claire, elle est tout aussi innocente que sa petite sœur, mais plus mature. Le cadeau ne lui fera probablement ni chaud ni froid, mais ma politique est d’offrir la même chose à mes deux anges, pas de jaloux ! D’ailleurs ma petite fillotte travaille ici, il me semblait pourtant avoir compris qu’elle était de service ce soir… J’étais venu lui faire une petite surprise, mais je ne la vois pas… pourriez-vous vous renseigner, mademoiselle ?— Voyons, vous pouvez m’appeler Amel, très chère. Sinon, voulez-vous boire quelque chose, le temps que je me renseigne ?— Hum pourquoi pas, ça fait longtemps que je n’ai pas bu un bon whisky !Touchée par la petite attention du vieil homme et l’amour visible qu’il portait à ses petites-filles, Amel retourna prestement au bar accomplir sa mission. Bien qu’elle avait encore l’odeur du sperme de Samuel dans la bouche, celle-ci ne lui servit pas de boussole pour retrouver son employeur. Elle mit quelques minutes à le trouver, le temps qu’il sorte de la porte sculptée menant vers l’arrière-salle. — Samuel ! Le vieil homme là-bas a commandé un Tullamore de vingt ans d’âge, directement servi au fût. Il paraît que c’est meilleur… Ah et au passage, il demande après une certaine Claire.— L’ancien est un connaisseur, rigola le barman en adressant un clin d’œil grivois à la petite. Malheureusement, Claire est un petit peu prise… mais je devrais pouvoir trouver de quoi l’aider à patienter. Je m’en occupe. En tout cas ma chère Amel, tu es presque aussi douée en salle qu’avec une bite dans la bouche… la suite de notre collaboration s’annonce prometteuse.— Merci patron !

Martial fut surpris quand le propriétaire de l’établissement vint le trouver en personne pour lui annoncer que la dégustation de Tullamore de vingt ans d’âge, directement servi au fût, se faisait au carré VIP. Il lui emboîta le pas, non sans oublier de prendre avec lui le sac de peluches pour ses petites-filles. Il ignorait que l’établissement comptait une salle du genre. Au moins, le propriétaire lui avait promis qu’il pourrait voir Claire s’il insistait tant, mais qu’il devrait se contenter de la regarder travailler. Toutefois, pour se faire pardonner, il avait promis au vieil homme de lui servir encore mieux : un Tullamore de quarante ans d’âge ! Après avoir passé l’immense porte grinçante, le grand-père dut plisser les paupières pour y voir clair. Ses yeux virent alors un spectacle qui mit presque instantanément son pacemaker dans le rouge. En arrivant dans une petite alcôve, il vit une jeune femme à quatre pattes sur un tapis, un sexe saillant en érection dans chaque main, un homme dans ses fesses et un dernier qui lui tenait le visage et lui baisait ardemment la bouche. Martial blanchit et s’effondra dans le sofa rouge. — Elle encaisse bien ma petite pute, hein, papy ? Asseyez-vous et profitez bien du spectacle. Je vous ramène votre whiskey et une autre traînée rien que pour vous !La gamine se faisait besogner avec vigueur, les hommes se succédaient avec appétit dans son cul, dans sa chatte et dans sa bouche avec délectation et passion. Elle poussait des gémissements indignes d’une fille bien élevée et affichait une expression perverse sur le visage. De temps en temps, un homme y allait un peu trop fort avec son cul, et la radasse poussait un cri un peu plus fort venant des tripes. Elle était bien trop occupée à se faire prendre dans tous les sens et les trous pour se rendre compte qu’un voyeur avait pris place dans l’obscurité pour suivre ses ébats bestiaux. Le barman avait raison, elle encaissait sacrément bien la petite catin, la force de l’habitude probablement. En d’autres temps, Martial aurait été admiratif des talents de la fille, mais pas là ! Là, il s’agissait de sa petite fille, Claire ! Or, un grand-père veut être fier de sa descendance pour une rencontre sportive, une œuvre d’art, une chanson… mais pas pour du ramonage en règle dans l’arrière-salle miteuse d’un bar irlandais. La petite Claire poussa un cri strident qui ramena l’attention du retraité sur la scène bestiale défilant sous ses yeux. À ce niveau-là, ce n’était plus encaisser, deux hommes avaient réussi à coller leurs bites dans le cul de leur amante en même temps. Claire avait donc, une bite dans la chatte, deux dans le cul, et une au plus profond de sa gorge. Pour la première fois de la soirée, l’admiration prit le pas sur la honte, et une érection se dessina entre les jambes du vieil homme qui fit tomber son pantalon et commença à se masturber sur sa petite-fille. Jusqu’ici, il ne s’était jamais rendu compte que sa petite-fille était un avion de chasse, maintenant c’était chose faite. Ce fut le moment que choisit l’homme pour revenir avec le whiskey. Dans son autre main, il tenait une autre radasse par la queue de cheval et la guidait à quatre pattes vers l’entrejambe de Martial. Il lui fit un clin d’œil avant de le laisser, à son Tullamore de quarante ans. La seconde tapineuse était paralysée, blanche et regardait Martial avec terreur. — Mon Dieu, pute de mère en fille… mais quelle famille ! grommela Martial, partagé entre la fatalité, la déception de découvrir sa fille entre ses jambes et l’excitation de se la faire tout en admirant sa petite fille se faire ravager. Et bien ma fille, si tu as décidé d’abandonner ta dignité et que c’est la voie que tu as choisie, fais le bien ! Suce-moi ! La terreur de découvrir son père sous ses yeux et la honte de s’être fait découvrir par son père avait paralysé Milène. Son géniteur était un homme sévère et intransigeant. Prise de culpabilité, elle se remémora les corrections régulières que son père lui infligeait, mœurs d’une autre époque, le martinet, les claques sur les joues, les fessées. Et soudain une chaleur sourde monta en Milène, jamais son père ne s’était rendu compte qu’elle mouillait à chaque fessée. Oui, comme beaucoup de petites filles, Milène avait fantasmé sur son père et avait connu ses premières masturbations en pensant à lui et à ses mains fermes et calleuses sur ses fesses blanches.Toute trace d’hésitation avait quitté Milène, et comme galvanisée par les hurlements de plaisir de sa fille qui semblait véritablement prendre son pied. La mère de famille prit le gland de son père en bouche, il avait un goût âcre. Elle s’appliqua à bien le sucer, tournoyant sa langue avec passion, lui flattant les couilles. Sa bouche remontait avec expérience le long de la verge de son géniteur, dire qu’elle venait de là. Peut-être même qu’elle allait bientôt avaler la petite sœur qu’elle rêvait tant d’avoir plus jeune…— Je savais que tu étais une bonne suceuse, tu as la même bouche que ta mère, dit Martial en lui caressant le crâne. Ça me rappelle ma première rencontre avec ta chère maman, ma tendre Charlotte. Elle était connue dans tout Panam pour faire les meilleures fellations de chez Madame Anaïs… Mon dieu, pute de mère en fille sur trois générations…Milène avançait et reculait la tête, aspirait, se servait de sa langue. Elle était bien trop occupée par sa tâche pour prêter attention à la révélation que venait de faire son père sur sa mère. De toute façon, chaque famille a des secrets dans le placard… Soudain, le sperme lui fouetta le palais, l’émission était puissante, épaisse, gluante. Avant de devenir une belle-de-nuit au côté de sa fille, quand Milène suçait un homme, elle recrachait le sperme, cette fois, elle avala le tout avec plaisir.

La pièce était maintenant silencieuse. Quelques mètres plus loin, Claire était en lambeau sur le tapis de l’alcôve, ivre de plaisir. Ses amants l’avaient suffisamment utilisée pour ce soir, et l’avaient abandonnée à son sort. Elle était gluante de sueurs, de salives et de spermes… Une belle vision de féminité et de dignité. Elle semblait ailleurs, et murmurait toute seule, des « incroyable », « mon Dieu », et semblait parfois prise de spasme et de convulsions. — Je pensais que tu étais une mère aimante, mais regarde-moi ça ! gronda Martial. — C’est son choix et le mien aussi, tenta de se défendre Milène, mal à l’aise face à son père. — Je ne te parle pas de votre choix d’ouvrir les jambes pour le premier venu ! Pour ça, tu es bien comme ta mère… je te parle de prendre soin de la petite, elle est couverte de sperme. Ce n’est pas ton rôle de mère de lui apprendre la propreté ? Nettoie ma petite-fille, elle le mérite, vu comment elle s’est donnée sans retenue ce soir !Rouge de honte, Milène regarda sa fille, du liquide blanc coulait encore abondamment de sa vulve. Un peu penaude, elle attrapa la boîte de Kleenex, et s’approcha de la fente béante de sa fille adorée, quand son père la stoppa fermement.— Pas avec un mouchoir, fais-le avec ta langue… lèche-là !
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