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Fille et Femme

Chapitre 1

Inceste
Fille et femme
Bonjour, voilà ma deuxième histoire, encore un inceste, en espérant qu’elle plaira et sera meilleure que ma précédente. Cette fois-ci, l’histoire se passe entre une fille et son père.
Je m’appelle Émilie, je suis une fille quelconque je me débrouille bien au lycée sans être non plus une grosse tête, et je ne suis pas non plus la plus populaire, et heureusement. Ce n’est pas que je suis laide, mais j’ai un physique banal : je mesure à peu près un mètre soixante pour une cinquantaine de kilos, les cheveux longs et noirs, j’ai un petit 85 B en guise de poitrine. Avec tout cela je n’ai pas de petit ami, mais peu m’ importe car une seule personne compte pour moi, mon père, Charles. Ma mère est morte quand j’avais deux ans, suite à un accident de voiture, nous laissant seuls moi et mon père. Mais jamais je n’ai manqué de rien, mon protecteur ayant toujours réussi à concilier son travail et à s’occuper de moi après l’école, en gros j’ai une vie heureuse avec lui. Notre relation est très fusionnelle, nous faisions toujours tout ensemble : les courses, le ménage, la cuisine, et parfois même quelques sorties le samedi soir au cinéma ou au restaurant. Et aujourd’hui, nous allons fêter ce qui procure une grande fierté à mon père, mes 18 ans. À chacun de mes anniversaires, nous restons seuls à la maison où il fait tout, pour que moi je n’ai rien à faire à part me reposer et profiter de la journée. Le soir venu, quand nous passons à table pour manger les plats qu’il a lui même préparé, nous posons toujours une photo de ma mère où nous la voyons toute souriante, avec moi dans ses bras et mon père à côté. Mais ce soir-là, je voyait bien que quelque chose n’allait pas chez lui, et je devais savoir quoi.— Papa ? Est-ce que ça va ?— Ou...oui ma puce ne t’inquiètes pas. Je suis juste un peu fatigué avec mon travail.— Pourquoi tu ne me l’a pas dit alors !? J’aurais pu t’aider !— Hors de question, aujourd’hui c’est ton anniversaire, ce n’est pas à toi de faire quoi que ce soit.— Mais je ne veux pas être un boulet pour toi.— N’importe quoi, tu n’as rien d’un boulet ! Maintenant tais-toi, et ouvre moi ce cadeau, joyeux anniversaire ma chérie. J’ attrapais le paquet carré enroulé dans du papier cadeau, en me doutant bien de ce que c’était à l’intérieur. Je n’ai jamais vraiment rien réclamer à mon père depuis longtemps, mais quelques jours plus tôt, alors que nous faisions les courses, j’ai remarqué un joli pendentif où il était possible de glisser une photo à l’intérieur qui m’avait tapé dans l’œil, et n’avais pas échappé à ceux de mon père. Mais dés l’instant ou je l’ai ouvert, les larmes ont commencé à couler sur mes joues, car à l’intérieur il y avait une photo de mon père et moi au parc d’attraction qui datait de l’année dernière, avec gravé en dessous « Pour la deuxième femme de ma vie ».— Papa...je...je suis touché. Je te remercie, jamais je ne te ferais honte et tu seras toujours fière de moi.— Tu seras toujours une source de fierté pour moi, comme tu l’as toujours été. Je me levais pour prendre mon père dans mes bras de toute mes forces. J’aime cet homme qui prend soin de moi depuis ma naissance et qui fait tout pour moi, je ne veux pas le perdre. À la fin du repas, pendant que nous débarrassons, je remarquais qu’il avait toujours cet air triste dans le regard, mais je savais qu’il ne se confiera pas ce soir. Je décidais alors de laisser tomber et partie prendre ma douche avant d’aller me coucher. Après m’être rincée et avoir mis une serviette autour de mon corps, je prends la direction de ma chambre, et entendit un bruit en passant dans celle de mon père. Et ce que je vis en regardant par l’entrebâillement de la porte me déchira le cœur. Il était assit au bord du lit, avec une photo de ma mère et lui à ma naissance, des larmes coulant de ses joues. Mais contrairement à il y a quelques minutes, ce n’était pas de joie qu’il pleurait, mais de tristesse, pendant qu’il marmonnait devant la photo.— Notre fille est devenue grande Emma. ( c’était le nom de ma mère) Elle est exactement comme tu voulais qu’elle soit, belle, intelligente, et d’une maturité incroyable pour son âge. À ce moment précis, j’assistais à ce que j’avais jamais vue de ma vie : mon père se mit à pleurer à chaud de larme. Dans la seconde qui suit, je me mit aussitôt à pleurer à mon tour, posant ma main sur ma bouche et mon nez pour pas qu’il m’entende.J’espère que tu est fière de ce qu’elle est devenue...même si je sais qu’ avec toi elle aurait été mieux qu’avec moi... C’est trop ! Je n’en peux plus, je ne peux pas le laisser se lamenter ! Comment peut-il penser que j’aurais été mieux avec maman qu’avec lui, après tout ce qu’il a fait pour moi ! Ne tenant plus, je pousse sa porte violemment, le faisant sursauter et me jette à ses genoux en lui prenant ses mains, mes yeux remplis de larmes et de colère.— Arrêtes de dire n’importe quoi ! Jamais je n’aurais pu avoir un meilleur parent que toi ! Tu as toujours tout fait pour moi sans te soucier de toi ! Je t’aime papa, je n’aime personne d’autre que toi ! Et là, sans même faire attention à ce que je faisais, je me jetais sur les lèvres de mon père pour y coller les miennes, ce qui le fit basculer le dos sur le lit, et moi au dessus de lui. Ce baiser dura quelques secondes, mais cela me parut duré une éternité. C’est la première fois que j’embrassais quelqu’un, cependant le fait que ce soit mon père me procurait un bien immense, et je n’avais pas envie d’arrêter ; et à mon grand étonnement, mon père non plus n’avait pas envie que cela cesse. Mais les choses allaient basculé encore plus. Alors que mon père commençait à bouger, ma serviette glissa de mon corps, et je me retrouvait complètement nue, avec mon père juste au dessus de moi, sans que l’un ou l’autre ne sache quoi faire. Puis me rappelant l’inscription dans le pendentif qu’il venait de m’offrir, je pris sa main, et la posa sur mon sein gauche.-Émilie...commença-t-il. Qu’est ce que tu fais ?-Tu as dit que j’étais la deuxième femme de ta vie, alors vas-y. Fais de moi cette femme. Fais moi l’amour. Je le sentais hésitant, rien qu’en plongeant mes yeux dans les siens, mais aussi en sentant sa main tremblante sur ma poitrine. Cela dura quelques secondes, qui me parut une éternité, mais après cette instant de réflexion, ses lèvres se recollèrent aux miennes, et sa main se mit à malaxer mon sein, suivie rapidement par sa deuxième qui vint se mettre sur mon autre téton...et qu’est-ce que j’aimais ça ! Sentir ses mains se balader sur mon corps nu, sa langue dans ma bouche caressant la mienne m’excitais au plus haut point. Puis il commença à faire descendre une de ses mains le long de mon ventre, se dirigeant vers mon sexe, mais au lieu de s’arrêter, il remonta le long de mon corps et recommença pendant plusieurs minutes. Il jouait avec moi ! Lui qui hésitait encore à me toucher il y a un instant, s’amusait à me faire attendre qu’il s’occupe de moi !Je pris donc les devants, et sa main, et la posa sur mes parties intimes, où il commença à bouger ses doigts. Hum ! Instantanément, le plaisir monta en moi, et ses doigts se retrouvèrent rapidement trempés de ma cyprine. Je me mit à gémir, mais plus je gémissait, et plus ses doigts accéléraient et appuyaient sur mon clito ; par conséquent, des cris remplacèrent vite mes petits gémissement. Han mon dieu que c’était bon ! Chacun de ses mouvements me rendait de plus en plus folle, et je sentais mon premier orgasme arriver ! Cependant je ne voulais avoir mon premier orgasme que lorsqu’il sera en moi, alors je l’arrêtais en reprenant sa main, et je le regardais à nouveau droit dans les yeux.— Tu as pris soin de moi pendant des années, alors maintenant c’est à moi de veiller sur toi. Je l’allongeais donc sur le dos, lui enleva son pantalon et son caleçon, et je voyais enfin le gros engin qui se cachait derrière ses vêtements. Je commençais des va et viens léger avec mes mains, et donnais des petits coup de langue sur le bout de son pénis. En voyant cela, je me suis dit que je pourrais lui donner plus de plaisir en le prenant dans ma bouche... et j’avais raison ! Aussitôt, c’est lui qui commençait à pousser des gémissements, j’étais fière de moi, et j’aimais aussi avoir son pénis dans ma bouche. Je voulais le faire éjaculer, mais tout comme moi, il m’arrêta juste avant ce moment, me prit dans ses bras, m’allongea sur le lit et commença à se positionner devant mon vagin.— Tu es sur ma chérie ? Tu veux vraiment le faire avec moi ?— Oui papa. Je te veux pour ma première fois, même si toi tu as sûrement déjà eu d’autre femme bien meilleur que moi.— En fait...ta mère a été la seule avec qui je l’ais fait. Je n’ai jamais recouché avec quelqu’un...avant toi.— Alors vas-y, prends moi, et je serais vraiment ta deuxième femme. Mon cœur battait la chamade, mon père allait prendre ma virginité, et je le voulais. Je n’aurais jamais pus espérer de meilleur première fois. Je le sentais commencer à bouger, entrer en moi, une douleur subite, il venait de percer mon hymen, puis la montée vers le septième ciel commença ! D’abord immobile, il commença de petit va et viens en moi pour que je m’habitue à lui en moi. Puis sentant mes jambes se refermer sur lui, il accéléra le rythme, ce qui me donna déjà plus de plaisir qu’au moment où il me touchait ! Hum...son pénis...je le sentais au moindre de ses mouvements ! Lui venait à peine de commencer, mais moi, j’avais déjà l’impression que je ne pouvais pas éprouver plus de plaisir ! Cependant, chacun de ses coups de rein me prouvait le contraire, et le plaisir augmentait et me faisait perdre la tête.— Oh oui ! Continues papa, j’aime ça ! Ne t’arrêtes surtout pas, je veux que tu me fasse jouir ! Et il exauça ma prière, en augmentant encore le rythme de ses vas et viens. Je n’en pouvais plus ! C ’était trop bon ! Mon père me faisait l’amour le soir de mon anniversaire, et j’aimai ça ! Ho oui ! Et je sais que je ne pourrais jamais connaître mieux ! Ces flammes qui me consumaient de plaisir, seul lui pourrait les alimenter !— Émilie, je vais me retirer...— Non ! Reste en moi ! Je veux te sentir jouir en moi ! Ho oui jouis, vas-y ! moi aussi ! Je jouis ! Je jouis ! C’était vraiment incroyable ! Au moment où je le sentais éjaculer en moi, une explosion de plaisir envahit mon corps entier, et un immense cri sortit de ma gorge ! Après cet enchaînement d’émotion, je sentis mon père s’écrouler sur moi, et mes yeux commençaient à se fermer, puis je sombrais dans un lourd et long sommeil.
La suite plus tard si vous aimez. Et n’hésitez pas à commenter pour me donner vos impressions.
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