Chapitre 4 : Le fils inclus dans le complotUne heure après que je me sois réveillé, nu avec ma fille qui se trouvait dans la même situation que moi. J’entendis la porte s’ouvrir. Je m’étais rendu dans la salle de bain pour me laver, espérant que mon fils ne se rendrait compte de rien. La porte de la chambre d’Akim s’ouvrit et se referma lentement.Une fois bien propre, je me suis rendu dans sa chambre. Il était en train de jouer à un jeu que j’avais programmé récemment. Je le payais, bien sur. Mais en échange, il devait noter tous les bugs, tous les glitchs qui s’y trouvaient. Il arrivait au troisième niveau. Je crois que c’est le jeu que j’ai créé dont les niveaux sont les plus long. Je le laissai après avoir vu sa maitrise (presque parfaite) du personnage et des mouvements qu’il pouvait exécuter.Il continuait à jouer tranquillement pendant que je regardais la télé dans le salon. Les deux derniers jours avaient été hauts en couleurs. D’un coup le Vendredi soir j’ai surpris mon fils en train de se masturber en pensant, paraissait-il à ma fille et cette dernière en train de se doigter en espionnant son frère.Ensuite, le Samedi après-midi, Sarah s’était doigtée devant moi dans le salon, quoi que ce ne fus qu’en gardant ses vêtements qu’elle l’avait fait. Et pour finir, Sarah m’avait presque violé, malgré que le résultat était très différent: au lieu de me dégouter, elle m’avait fait libérer mes désirs incestueux. J’espère qu’elle n’ira pas dire ça à sa mère.Dimanche. J’ai tout à fait intérêt à laver les couvertes tachées du sang vaginal de ma fille. En même temps que je pensais à ça, j’eus une mince crainte. Je n’avais pas mis de condom et je lui ai joui dans le vagin. Allait-elle être enceinte? Elle arrivait, cette fois la plus matinale des deux, dans la cuisine.Elle vint m’embrasser directement sur la bouche.-Mais... ton frère pourrait nous voir si tu fais ça.-Et alors? Ce n’est pas comme si je n’avais pas le droit d’embrasser mon père. Et puis, s’il soupçonne quoi que ce soit, je peux lui offrir un marché maintenant, avait-elle dit en me frôlant le pénis.Elle m’embrassa langoureusement pendant que je me laissais faire. Mon fils entrait dans la cuisine en plein milieu de cette petite gâterie que je m’offrais. Je ne l’avais pas vu pourtant. Il ne semblait pas avoir remarqué, ou peut-être n’en faisait-il tout simplement pas un cas.-Papa, est-ce que tu pourrais lâcher Sarah un peu et me faire des œufs s’il te plait?Zut! Il avait remarqué. Je laissai Sarah pour les lui préparer.-Pourquoi est-ce que vous vous embrassez comme ça?Sarah parla avant que je n’ai pu dire quoi que ce soit.-Papa m’a fait l’amour hier. Autant ne pas te le cacher, parce que ça va surement se reproduire.Il s’étouffa avec son morceau de pain.-Quoi? Tu as couché avec papa? Tu es folle?-Non. Pourquoi est-ce que tu réagis comme ça? Je suis une femme, et lui un homme. C’est tout à fait normal.-Mais c’est de l’inceste!-Savais tu Akim que l’être humain est la seule espèce du règne animal à avoir un tabou de l’inceste?-Beurk...Il fit la moue. Semblait-il qu’il désapprouvait cette révélation choc. Il me regarda pour avoir ma confirmation des dires de sa sœur. Je confirmai péniblement.-Mais, Akim... je voudrais que tu me promettes quelque chose. Que tu ne vas pas le dire à maman.-Qu’est-ce qui m’en empêche? Vous êtes dégoûtants... vous couchez ensemble... papa, franchement, c’est ta fille...-Et une très belle femme.
-Et qu’est-ce qui me convaincrait de ne pas le dire à maman?Je fis mine de penser, mais je savais ce qu’il voulait.-Qu’est-ce que tu dirais d’une augmentation sur ta paie? 20% de plus, ça monte à 12$ de l’heure.-Bon... OK... mais de ton côté ne vas pas dire à maman que tu m’as donné une augmentation... elle va surement vouloir contrôler mon budget et ça, je peux le faire moi-même.Après avoir conclu un pacte avec le diable, dirait-on, je m’assit à la table en pensant à la journée d’hier. Par tous les dieux, pourquoi fallait-il que je sois celui sur qui tout cela était tombé? Ça n’aurait pas pu tomber sur le voisin?Sarah m’avait donné chaud ce matin en parlant de ce sujet avec son frère. Était-elle folle? Ou tout simplement elle voulait qu’Aline et moi nous nous quittions pour m’avoir à elle seule? Akim était parti « travailler » et je demeurais pour la énième fois seul avec ma fille.-Est-ce que tu sais vers quelle heure maman doit rentrer?-Elle ne rentre pas avant demain. Elle a appelé son patron pour prendre une journée de congé. Elle n’en avait pas pris l’an dernier sauf pour ta fête et celle de ton frère. Je crois que c’est ce qui a fait penché la balance en sa faveur.Mais derrière cette question s’en cachaient deux autres bien sur. Elle cherchait à savoir si je voulais bien être amoureux d’elle pour tout le temps que sa mère ne serait pas là et elle se demandait si le fait qu’Akim soit dans la maison changerait quelque chose à nos plans d’inceste.Sans me les faire poser, je les avais devinées. Pour la réconforter, je me suis levé et me suis placé derrière elle. Me penchant un peu, je lui fis un câlin chaleureux et invitant avant de poser ma main sur une de ses cuisses, très près de son entre-jambes.La quittant pour quelques instants, peut-être quelques heures, j’allai voir mon fils. Cependant, j’ai eu une crainte. Je ne jetai qu’un bref regard à travers la porte à moitié fermée. En effet, il jouait sur mon jeu, et ma crainte était infondée. Je regardai sa progression. Pas grand chose comparé à la veille. Il terminait le troisième niveau, sur 6. Et au voir de son chrono de temps de jeu, il a joué environ 13 heures. Normal. Je lui donnai quelques tuyaux puisqu’il semblait qu’il n’avait pas assez de vie pour résister aux attaques du Boss. Ça, c’était mon idée. Tant que le joueur n’avait pas assez de points de vie pour résister à l’attaque la moins forte du Boss, tu ne peux entrer. Chaque Boss a sa condition, mais celui-ci était mon chef d’œuvre.Sarah était venue nous rejoindre. Elle aimait regarder son frère se faire battre. Cela lui démontrait que même s’il était un excellent joueur, il n’était pas invincible, et Akim détestait ça. Je l’embrassai quand elle arriva et continuai à regarder l’écran.-Papa, est-ce que vous faites des choses comme ça depuis longtemps, demanda Akim en marchant dans un couloir.-Depuis hier seulement. Avant, je ne la voyais que comme une jeune fille. Ta sœur t’as absolument tout dit ce matin. Nous avons couché ensemble hier pendant que tu étais chez ton ami et visiblement, nous nous aimons passionnément maintenant.-Je vois. Bon, le Boss. Est-ce que je peux avoir un peu de silence?Nous partîmes, le laissant jouer. Mon ordinateur personnel était connecté à celui de mon fils et enregistrait tout combat qu’il livrait. C’était ma façon à moi de le surveiller pour ne pas qu’il triche sur son temps de jeu.Arrivés dans la chambre de Sarah, elle retira sa robe de chambre pour que je puisse l’admirer à nouveau. Je l’embrassai et elle décida que c’était l’heure pour un second rapport sexuel. Je passai ma main lentement sur ses seins, prenant le temps de les caresser pendant que ma langue cherchait quelque trésor qui ne semblait pas être là.Je la laissai retirer mes vêtements, lentement, érotiquement. Pendant ce temps, j’atteignais lentement son bas-ventre, sachant que j’allais y trouver un partie de son corps qu’il me restait encore à découvrir le mieux possible. J’y allais allégrement avec quelques caresses superficielles pendant qu’elle semblait se languir de pouvoir me masturber en plein jour.J’étais visiblement très excité par le spectacle de ses seins aux airs insolents et de sa vulve de laquelle semblait commencer à s’écouler un liquide transparent et un peu gluant. Rien de tel que cette lubrification naturelle pour permettre à ma (peut-être un peu trop) chère fille se faire entrer un doigt par son père.Mes lèvres étaient à présent en train de gouter ses seins, accentuant visiblement son plaisir pendant que ma verge était abandonnée par Sarah pour placer une main derrière ma tête et l’autre sur son autre sein, en train de se caresser. Je décidai de la coucher sur le dos et de la pénétrer tout de suite. Son frère serait surement surpris s’il venait nous voir entre temps. Bien sur, il jouait dans sa chambre, et sachant ce qu’on devait être en train de faire, il n’oserait pas entrer, mais on ne sait jamais.Les pseudo-gémissements qu’émettait ma proie sexuelle commençaient à sonner un peu plus fort, faisant durcir encore plus mon pénis qui était déjà presque dur comme fer. Elle jouissait désormais assez fort pour se faire entendre de tout l’étage, et probablement d’en bas aussi.Mon fils fit éruption dans la chambre. Pris la main dans le sac. Ou plutôt, le membre dans la femme. Il nous demanda tout simplement s’il était possible de baisser le son, que c’était très dérangeant et qu’il lui semblait impossible de jouer en essayant d’ignorer le fait que son père et sa sœur fassent l’amour dans la pièce d’à côté.-C’est étrange que tu n’essaie pas de vouloir nous regarder, lui dit Sarah.À Akim de répondre qu’il préférait n’avoir pas à faire grand chose avec notre histoire. Il serait silencieux, mais c’était tout.Après une telle interruption, je fus surpris d’être encore excité. Je repris mes mouvements avec une douceur étrange. J’étais d’habitude plus... brutal disons. Je tentai de reprendre cette cadence, sans résultat. J’embrassai ma maitresse incestueuse et je me retirai. Je voulais qu’elle me suce pour finir. Elle se pencha et me prit en bouche. Sa fellation était délicieuse, tout comme la veille. Sa langue me caressait le gland à chaque descente, m’attaquant d’éclairs de plaisirs, tout comme la veille. Cette fois, je ne pus résister, je lui bloquai la tête et donnai moi même les coups de reins.Mon éjaculation ne tarda pas. Était-ce par pure cruauté ou bien par curiosité de savoir si elle aimerait ça? Les faits étaient qu’elle avait tout reçu en bouche et que, la tête bloquée et le pénis de son père en bouche, elle avait dû avaler.-Alors, lui dis-je en lui lâchant la tête, as-tu aimé?-Non. Mais je dois dire que je n’ai pas détesté non plus. Ça ne m’a pas dérangé que tu fasses ça.-D’accord. Maintenant recouches-toi.Elle s’exécuta, sachant ce que j’avais en tête. Je m’agenouillai devant elle pour lui lécher le surplus de lubrifiant naturel et en même temps, explorer plus profondément cet endroit qui était supposé m’être interdit à vie.Les grandes lèvres n’étaient pas un obstacle encombrant, contrairement aux petites. J’enfonçais ma langue comme je l’avais fait peu de temps au paravent avec mon organe, et elle soupirait bruyamment. Quel supplice ce devait être pour une crieuse de ne pas pouvoir lâcher son orgasme à pleine puissance.Elle se cambrait à une fréquence élevée, maintenant ma tête en place. Pour ma part, je n’avais pas l’intention de partir tout de suite. Du bout du nez, j’envoyai ma fille au septième ciel en lui chatouillant le clitoris. Elle lâcha un cri semblable à celui du spectacle de masturbation sans exhibition qu’elle m’avait offert hier après-midi.-AH!!Puis silence, interrompu à une fréquence élevée par ses halètements d’essoufflement. Cela semblait être épuisant pour elle de ne pas jouir haut et fort. Je l’embrassai longuement avant de me lever, de m’habiller et d’aller préparer le repas du midi.Je préparai un petit plat composé de viandes froides et de légumes coupés, le tout accompagné de quelques tranches de pain et du pâté de foie. Personne ne semblait déçu de la qualité du repas.
