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Fille à papa

Chapitre 2

Travesti / Trans
Fille à papa (2)


Le lendemain matin, en ouvrant les yeux, je sus que je venais de traverser une barrière invisible, barrière qui normalement ne devrait jamais être franchie. En effet, ma tête reposait lascivement sur l’oreiller en plume qui appartenait autrefois à ma mère. Je venais de briser l’interdit de la chambre parental. Hier soir, mon père avait fait de moi son amante, comme ma génitrice le fut avant moi... Or avec lucidité, ce n’était pas la place où un fils ou une fille devait se trouver.
Confuse et légèrement perdue, j’ai fermé les yeux. Fugacement, un souvenir de jeunesse remonta dans ma mémoire. Souvenir d’une nuit d’été étouffante, où, à la recherche d’une bouteille d’eau, mes pas m’avaient guidé devant la même porte en bois que je regardais maintenant depuis l’intérieur. À l’époque, je fus attirée par des grincements et de petits gémissements. Intriguée et naïvement, je m’étais approché de la source du bruit...
Maman était magnifique, sa crinière volait au rythme des assauts de mon père. Les yeux fermés, mon esprit se remémorait ma mère à quatre pattes sur le lit, moite, en sueur, affichant de multiples traces rouges sur son fragile corps blanc. De sa bouche sortaient de petits cris aussi délicats qu’enivrants. Ma mère était une déesse. Maman...
Oh maman. Le souvenir de ses hanches charnues, de ses seins bougeant en rythme, ses fesses blanches et rouges...Captivé, mon regard s’était alors posé sur son visage, serrant alors mon cœur dans ma poitrine. Jamais ma mère n’avait affiché une aussi belle expression, semblait aussi radieuse, elle connaissait une extase indescriptible...
Cette soirée fut un tournant dans ma vie. Pour la première fois, mon esprit avait réussi à mettre des mots sur mes troubles. En observant ma mère, j’avais ressenti de l’envie et de la jalousie, moi aussi... moi aussi je voulais connaître ces sensations, être à sa place. Ce soir-là, j’avais eu la certitude que je voulais être une femme.
Alors que j’étais dans le lit qui m’avait permis cette révélation. Un petit sourire se dessina sur mon visage. Depuis toujours, ma mère était mon modèle, je rêvais de devenir une femme comme elle : élégante, intelligente, sincère et sensible. En me considérant comme son amante, mon père venait de valider mon parcours. En une soirée, je venais de faire coup double, rattraper plus ou moins le modèle maternel, et enfin recevoir l’approbation de mon père, chose après laquelle j’ai couru toute ma vie. Toutefois, mon sourire s’effaça rapidement quand une décharge dans le bas du dos me rappela que mon géniteur ne m’avait pas seulement approuvé en tant que femme, mais qu’il m’avait également littéralement défoncé les fesses, pour parler poliment.

Après la douleur des fesses, ce fut l’appel du ventre, qui me força à quitter l’antre interdit dans laquelle je venais de passer la nuit. Pudique, j’ai enfilé mon string tombé par terre la veille, puis agrippé un t-shirt à l’effigie d’un groupe de rock appartenant à mon père, suffisamment ample pour me faire l’effet d’une robe et masquer ma jeune poitrine naissante. En arrivant dans la cuisine, mon père buvait son café en silence. Il m’a observé un sourire aux lèvres. Son regard me fit frissonner, et je me suis empressée de m’asseoir sur la chaise. Trop précipitamment, car l’action du bois ferme sur mes fesses meurtries me fit pousser un petit cri.
— Doucement ma petite chérie, avec ce que je t’ai mis hier soir, tu vas avoir du mal à marcher pendant un moment, se moqua mon père, visiblement fier de lui. D’ailleurs Mathilde, tu ne t’es jamais demandé quand tu étais petit, pourquoi ta mère déjeunait toujours assise sur un coussin ? Au passage, vous couinez toute les deux de la même façon, quand vous avez une bite dans le cul.
Avec grand talent, j’ai réussi à éviter que la moitié du verre de jus d’orange que je venais d’attraper se retrouve hors de ma bouche. J’ai baissé les yeux, rouges comme une tomate. Aucun enfant ne veut savoir comment sa mère « couine au lit ». Pourtant, un sentiment de fierté venait de naître en moi, ainsi je pouvais rivaliser avec ma mère ?
— Après tu es encore loin de l’égaler, franchement ta mère c’était de la cochonne de compétition comme on en fait plus ! En même temps, elle passait son temps à se faire passer dessus... Mais peut-être que tu as hérité de ses gènes... Mais, Mathilde, qu’attends-tu ? Tu ne vois pas que parler de ta Marie-couche-toi-là de mère vient de me donner une érection de malade ! Pourquoi ta petite bouche n’est-elle pas encore autour de ma bite ?
Je ne sais toujours pas si c’est par envie, pour prouver à mon père que j’étais tout aussi capable que maman ou bien, car sa voix ne semblait pas laisser possibilité d’une contestation, mais je me suis exécutée. À La vue du sexe de papa, je fus prise d’un mélange d’excitation et de honte. À genoux, sur le sol froid de la cuisine familiale j’ai gobé le sexe de mon géniteur. Elle avait un goût fort... visiblement, il n’avait pas pris le temps de se laver depuis qu’il avait pris possession de moi la veille. Mais l’odeur forte n’était pas totalement pour me déplaire.
— Hum, tu manques encore un peu de technique ma chérie, mais ta bouche est agréable, une vraie bouche de suceuse, ça doit être héréditaire, je pense. D’ailleurs Mathilde, je t’ai déjà raconté comment tu as été conçue ?
Ne pouvant pas parler, un gland entre les lèvres, j’ai fait signe que non de la tête. Je n’étais pas franchement emballée de savoir comment la queue de mon père avait fécondé ma mère, alors que je l’avais moi-même en bouche en ce moment, mais vu comment elle frétillait dans ma bouche, la situation excitait mon père, alors je l’ai laissé faire, suçant avec encore plus de gourmandise.
— Quand ta chère mère avait dix-huit ans, elle avait fait du César son repère, elle écumait les soirs de la boîte de nuit en tallons, minijupe ou en robe moulante. Franchement, elle était connue comme le loup blanc dans le secteur. Plusieurs amis de ma promotion lui étaient déjà passés dessus, et ses fellations dans les toilettes étaient presque devenues une spécialité de la ville, me raconta mon père entre deux gémissements de plaisirs. D’ailleurs ma chérie tu es bien sa fille, ton visage lui ressemble tellement quand tu as une bite dans la bouche !
À mesure, que mon papa racontait l’histoire de maman, sa bite grossissait dans ma bouche jusqu’à buter au fond de ma gorge, manquant de m’étouffer plusieurs fois, mais par fierté j’ai continué mon œuvre, faisant comme si je maîtrisais parfaitement la situation, alors que ma bave coulait de façon non voulue sur le sexe et sur moi et que ma mâchoire commençait à être victime de crampes...
— Un soir, j’ai décidé d’aller voir la situation par moi-même. Ta mère était au rendez-vous, son boule serré me faisait des appels de phares. Après une vodka orange, j’ai pris mes couilles en main, espérant que bientôt ce soit elle qui les prennent en main et je suis allé la voir. On a dansé collé serré plusieurs minutes, mes mains ont rapidement exploré son corps sexy et en sueur. Elle de son côté s’amusait à se frotter sur moi et a twerké comme une possédée. Dans le feu de l’action, mes mains sont descendues plus bas et en la pelotant, je me suis rendu compte qu’elle était nue sous sa robe. N’y tenant plus, je l’ai agrippée par les mains, et l’ai traînée dans son domaine : les toilettes. Là, je l’ai soulevée comme une plume et déposée sur l’évier des sanitaires. Chaud comme la braise, je lui ai remonté sa robe bien trop moulante sur le ventre et lui ai écarté les jambes d’un coup. Là, je pense qu’elle a essayé de protester, son truc à elle c’était plus la fellation que de se faire prendre au milieu des toilettes... mais ma bouche en se plaquant sur la sienne l’a empêchée de continuer, et rapidement, c’est elle qui a poussé son bassin sur ma bite. Excité comme jamais, j’ai juté en elle au bout de cinq minutes tant elle m’avait chauffé sur la piste de danse... Et voilà comment grâce à moi et ma vodka orange, une vingtaine d’années plus tard, tu es là à me sucer la bite ! Juste retour des choses.
En toute honnêteté, j’ai n’ai pas entendu la moitié de son récit (loin de celui que conte maman sur la question, au passage), car plus papa s’existait sur maman plus il me baisait la bouche avec force, faisant couler quelques larmes sur mon petit minois, heureusement dénué de mascara ce matin. Mes gémissements indignes masquant la moitié de l’histoire pour mes chastes oreilles. Après quelques derniers, va-et-vient, il a joui, en crachant de longues giclées de spermes dans ma bouche et sur ma langue. Je n’ai abandonné la verge qu’après avoir bu tout mon petit lait du matin... Mon père satisfait, posa sa main sur mon menton et me releva le visage pour que nos regards se croisent. — Après tout ma fille, tu as été conçue par une mère en mode salope... alors est-ce étonnant que tu en sois aussi une en devenir ? Toujours est-il que je suis content qu’elle ne t’ait pas avalé comme elle en avait pris l’habitude à l’époque...
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