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La fille du patron

Chapitre 1

Hétéro
Fin des années 90, je travaillais dans le milieu de la nuit. Avec mon collègue, nous gérions les entrées d’une boite de nuit. Boulot sympa, beaucoup de jolies filles. De temps à autre, nous devions bien sûr intervenir pour sortir des perturbateurs mais dans l’ensemble des conditions de travail plus qu’agréable.Le patron de la boite était une personne vraiment sympa, la bonne cinquantaine et toujours un mot sympathique pour son personnel. Pour lui, du moment que le travail était fait correctement et que l’argent rentrait, il était content. Que demander de plus.Avec mon collègue, il nous arrivait de draguer ouvertement, nous ne sommes pas de bois. Il le savait et fermait bien souvent les yeux. Un jour, il arriva accompagné d’une jeune femme que nous ne connaissions pas et nous la présenta:
— Voici ma fille V, elle va me remplacer quelque temps, j’espère que vous lui ferez bon accueil.— Bonjour V, moi c’est L et voici mon collègue H.— Enchantée de vous rencontrer, je vous verrais plus tard.
Et ils continuent leur tournée.
— Elle n’est pas mal, la fille de la patronne me dit H.— Oui, jolie, mais je ne sais pas pourquoi, j’ai l’impression que nous n’allons pas rigoler tous les jours.— Oh H arrête tes conneries, de toute façon, si ça ne nous plait pas on se casse, il y d’autres endroits pour travailler.— T’es vraiment con, tu crois que j’ai envie de recommencer ailleurs, je suis bien moi ici. — Bon, écoute, on verra comment ça va se passer, pour l’instant, le boss est toujours là.— Oui, tu as raison, on ne va pas se tracasser pour le moment.
Le reste de la nuit se passe sans trop de problèmes et au petit matin, après un café au bar, nous quittons les lieux.Pendant quelques semaines, le père et la fille viennent travailler ensemble. Nous avons eu l’occasion de parler avec V plusieurs fois. Elle nous explique que son père va se faire opérer et ne sera pas présent pendant quelques semaines.Nous avons également parlé de nous, mon collègue H et sa petite vie de famille, moi de même.
V nous explique qu’elle vit en couple et a deux enfants. Je dois dire qu’au départ, je ne me suis pas trop intéressé à elle. Pourtant, elle est blonde, grande et bien proportionnée. Un visage fin, et un sourire ravageur qui fait le bonheur de tous.Mais les blondes, cela n’a jamais été mon truc. En plus, les filles en jeans, ce n’est pas ce que je préfère.Et voici qu’en ce 1er samedi de septembre, elle arrive seule. Nous la saluons, et lui demandons des nouvelles de son père.
— Il va bien, merci. L’opération s’est bien déroulée, mais il ne sera pas de retour avant l’année prochaine.— Vous lui remettrez tous nos vœux de bon rétablissement.— Je n’y manquerais pas, bonne soirée à vous deux.
Les semaines se passent et le travail continue normalement.Lorsqu’arrive ce dimanche à la mi-octobre. Nous avions débuté notre soirée avec mon collègue lorsque V arrive.
— Bonsoir, vous allez bien.— Oui, merci, c’est calme ce soir.— Bien à tantôt alors.
Mon collègue me dit alors:
— Mon vieux, elle te dévore des yeux.— Qu’est-ce que tu racontes là, t’es bourré ou quoi.— Non, je te jure, tu as un ticket.— T’es vraiment un bourrin.
Une heure ne s’est pas passé, que V revient à l’entrée et nous dit qu’elle va rester un peu avec nous pour voir comment nous travaillons. Si ça lui faire plaisir. Et la soirée se passe, nous faisons le taf et lorsque nous avons une accalmie, nous parlons tous les trois de choses et d’autres. La nuit se termine, comme chaque fois, même rituel, notre petit noir avant de rentrer à la maison.Je rentre à la maison, il est presque sept heures du matin, mon épouse est déjà levée et se prépare pour le boulot. Elle me demande si je sais conduire les enfants à l’école avant d’aller dormir, car elle a beaucoup de travail ce jour et rentrera tard. Pas de souci pour moi, je conduirais les mômes à l’école et ensuite au lit.Réveil en début d’après-midi, allez à la douche, il doit être 14 heures.Après la douche, un bon café et ensuite, je vais faire du repassage, j’ai besoin d’une chemise pour ce soir et elles sont toutes au panier à linge.
A peine installé, que l’on sonne à la porte.J’ouvre et là V, avec un grand sourire.
— Bonjour, je ne te dérange pas.— Non, mais comment se fait-il que tu sois là.— J’ai ton adresse au bureau et j’avais envie de te voir.
Je suis bien embarrassé, la fille de mon patron est devant moi et j’ai l’air d’un con, je ne sais que faire.
— Je peux entrer ?— Oui, oui, désolé je suis encore un peu fatigué de la nuit.— Je comprends.
Nous nous rendons au salon, et elle prend place sur le canapé.
— Tu veux boire quelque chose café.— Je veux bien un verre d’eau.
Dans ma tête, tout se bouscule, L tu es en train de faire une connerie. Si ma femme arrive, que vais-je pouvoir expliquer.
— Voici, ton verre d’eau, je le dépose sur la table.— Merci.
Je m’assieds dans le fauteuil face à elle. Je remarque alors qu’elle porte une robe. C’est la première fois que je la vois en robe. Bon dieu, elle est vraiment sexy. La robe moule son corps, ses formes se dessinent ses seins, ses hanches. J’aurais dû la regarder de dos lorsqu’elle est entrée, car en jeans elle a un cul d’enfer mais en robe grrrrr.Allez reprend toi L, ce n’est pas le moment.
— Puis-je savoir pourquoi cette visite, il y a un problème au boulot.
Pas de réponse, juste ses yeux qui me transpercent. Je ne sais ce qu’il s’est passé dans ma tête, mais je glisse du fauteuil sur les genoux et m’avance vers elle à quatre pattes comme un fauve qui va bondir sur sa proie. Nous sommes enlacés, nos bouches se frôlent, nos langues se cherchent. Mes mains courent sur son corps. Je perds carrément le contrôle de la situation. Je caresse ses seins, les pointes sont dures comme des pierres. Elle n’a pas mis de soutien-gorge, juste le tissu de sa robe m’en sépare.Longue séance de baisers fougueux.
— J’en avais envie L, cela fait des semaines que je pense à toi.— Tu es folle, nous ne devrions pas.— Oui, mais c’est trop dur de te voir au travail et de ne pouvoir te toucher, sentir et toutes ces choses-là.
Je passe ma main sous sa robe et remonte vers son entrejambe. Elle se tortille lorsque je tire sur sa culotte qui se retrouve bien vite à ses pieds. Ma main remonte vers son ventre. A peine ai-je touché sa toison, qu’un de mes doigts entre dans sa fente. Elle est trempée, cela fait longtemps que je n’ai eu l’occasion de sentir une chatte aussi humide. Sans y réfléchir, je me retrouve avec quatre doigts dans son ventre.Là j’ai compris que je pourrais en faire ce que je voulais.J’ai retiré mes doigts, me suis relevé et dit qu’ici ce n’était pas possible.
— Oui, mais ce soir, lorsque tu viens au travail, je te remplace par un de tes collègues et tu me consacres ta nuit.— Oui, j’en serais très heureux.
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