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Ma fille : la plus sexy des valentines

Chapitre 1

Le night love (partie 1)

Inceste
Aujourd’hui, nous sommes le 13 février ! C’est la veille d’une journée morne et terne pour moi. Je suis célibataire depuis seulement huit mois, après que ma femme (ex-femme) ait décidé de partir pour une autre. Oui oui : une autre ! Elle ne m’a pas quitté pour une autre queue mais pour aller lécher de la chatte. Non pas que cela me dégoûte de base, bien au contraire, mais l’entendre me dire qu’elle a une aversion pour les hommes après 25 ans de mariage, c’est tout de même dur à entendre et à accepter. Nous sommes donc séparés et avons la garde de notre fille en alternance. Nous avons convenu de la prendre une semaine chacun car ma femme (ex-femme pardon) habite dans la même ville, à exactement 400 mètres de chez moi. Elle s’est installée dans le petit appart de sa nouvelle amante. Ma fille, Lucile, a eu un mal fou à accepter la décision de sa mère. Elle n’a plus voulu lui parler durant près de trois mois, mais elle avait une telle complicité avec elle avant tout ça qu’elle a fini par l’accepter comme elle était maintenant. De ce qu’elle me disait, sa belle-mère était malgré tout très gentille et respectueuse. Il faut dire qu’elle n’avait que six ans de plus que ma fille de 18 ans, donc plus proche de son âge que celui de mon épouse (44 ans) avec qui elle avait 20 ans d’écart.
Lucile est une jeune femme très brillante. Elle avait déjà obtenu son baccalauréat un an à l’avance et étudiait désormais à la faculté de médecine. Elle se passionnait littéralement pour cela et avait déjà passé la première année avec brio en finissant troisième de sa promotion. Je l’admirais tellement ! Elle me remplissait de bonheur. Tout ce qu’elle touchait, elle le réussissait. Rien ne lui résistait. Elle avait cette force d’entreprendre et d’oser des choses nouvelles. Le goût pour l’inconnu et les expériences extraordinaires lui parcouraient l’esprit en permanence. Elle a aussi un formidable potentiel de séduction. Mesurant 1 mètre 72, elle a un corps élancé et sculpté par la danse qu’elle pratique depuis ses cinq ans. Ses longues jambes fines et athlétiques sont souvent mises en valeur par des collants, des petits jeans moulants, des leggings serrés, etc... J’adore particulièrement voir ses cuisses nues lorsqu’elles portent des petites robes très courtes ou des minijupes moulantes, et surtout quand elle s’assoit car le tissu remonte et elle me dévoile la quasi-totalité de ses belles jambes. Elle a une paire de fesses relativement musclée et bien caractéristique des danseuses. Son cul légèrement bombé ressort d’autant plus lorsqu’elle porte des vêtements moulants, ce qui est quasiment tout le temps le cas depuis qu’elle a 15 ans. Son ventre est plat et bien bandé. Des hanches légères donnent une courbe parfaite à sa chute de reins. Sa poitrine n’est pas très opulente mais ses deux seins ont la forme parfaite de deux petites poires bien fermes. Ils se tiennent parfaitement et sont souvent rehaussés et mis en avant par des petits décolletés échancrés.
Son visage enfin, exprime la jeunesse, l’innocence, la pureté. Elle a un visage d’ange au naturel mais son maquillage la transforme tantôt en ange rebelle, tantôt en une diablesse tentatrice. Elle sait quelles teintes donner à sa peau pour faire miroiter son humeur du jour. Ses joues sont légèrement marquées par des petites pommettes, son nez est petit et fin et ses yeux bleu azur vous transportent dans un autre monde lorsqu’elle vous pénètre de son regard. Sa chevelure dorée est aussi une belle pièce de son charme dévastateur. Outre la longueur vertigineuse, c’est le lissage qui lui donne cet aspect si parfait et brillant. Je suis vraiment un père comblé.
Lucile va d’ailleurs bientôt rentrer de la gare ; chaque jour elle prend le train de 17H10 et arrive sur les coups de 18H. Je finis de me préparer et vais me poser dans le salon pour l’attendre. Hier elle m’a demandé si nous pouvions aller faire les magasins de lingerie pour la Saint Valentin. Elle voulait faire plaisir à son tout premier copain. Elle le connaissait depuis seulement trois semaines mais je pense qu’elle se sentait prête à lui offrir sa virginité. En tout cas, c’était ma supposition. Elle ne fréquentait que très peu les garçons auparavant, mais avait décidé de s’y mettre plus sérieusement depuis le début d’année. Cela m’avait paru étrange et même un peu gêné qu’elle me demande de l’emmener pour aller acheter ce genre de choses mais à la fois je sentais qu’elle avait besoin d’être accompagnée pour ce premier événement de sa vie amoureuse, et je ne voulais pas le gâcher. — Hi daddy, entendis-je tandis que la porte d’entrée s’ouvrait. — Salut ma belle. Elle vint vers moi me faire un bisou et je ne pus m’empêcher de la détailler complètement, comme à mon habitude. Je pense d’ailleurs qu’elle le savait très bien mais qu’elle n’y voyait aucun mal. Elle portait des petites bottines noires à talons compensés, une paire de collants de la même couleur, et une jupe échancrée bleu roi qui lui tombait presque à mi-genoux. Pour le haut, un simple pull noir avec les mots « lovely girl » imprimés en caractères dorés complétait la tenue. — Tu es déjà prêt à y aller ? me demanda-t-elle d’un ton enjoué. — Oui on peut partir dès maintenant si tu veux. — Super ! Je suis prête aussi alors. Je pensais aller dans la zone des cerclades si t’es d’accord... Il y a une boutique « night love » à l’étage. — Oui je l’ai déjà vue. Elle a l’air bien achalandée. Allez, on y va. Remets ton manteau, il fait pas chaud. — Je sais oui, je me suis congelé les jambes en rentrant de la gare, dit-elle en frissonnant. — J’aurais dû venir te chercher ma puce je suis désolé. — Non non tu sais bien que c’est à même pas cinq minutes de marche. Je peux faire ça toute seule tu sais.

Nous sortîmes dans le froid de ce mois de février pour monter dans ma voiture. Durant le trajet, je tâchai, du mieux que je pouvais, de me concentrer sur la route enneigée mais mes yeux finissaient inlassablement par jeter des regards furtifs vers les jambes de ma fille. Sa jupe était remontée à mi-cuisses et la vue de ses collants sombres mais légèrement brillants m’électrisait. Nous arrivâmes devant la boutique à 18H30. Ma fille avait été légèrement hésitante devant la devanture, comme impressionnée. Ça ne lui ressemblait pas mais cet univers de séduction et de lingerie fine était encore relativement étranger pour elle. Je pris les choses en main et rentrai le premier. Elle me suivit sans trop me quitter des yeux. Je pensais qu’elle allait essayer de parcourir les allées seule et faire ses choix sans me consulter mais elle me demanda mon avis sur tout ce qu’elle voyait. Je tentai de l’orienter mais il était très difficile de lui répondre à chaque fois qu’elle me montrait quelque chose car je ne pouvais que m’imaginer le corps de ma petite fille dans tous ces ensembles plus sexy les uns que les autres. J’éliminais néanmoins les nuisettes trop sages ou les guêpières trop trash, histoire de ne pas la brusquer dans la découverte de tous les charmes de son corps. Lucile finit par choisir trois tenues différentes qui lui plaisaient beaucoup, plus une qui m’avait vraiment tapé dans l’œil. La première était plutôt sage mais néanmoins très belle. Elle se composait d’une petite culotte blanche avec un cœur rouge sur le devant, d’une brassière de la même couleur avec des petits cœurs sur les emplacements des seins, et enfin d’une nuisette rouge transparente arrivant à mi-cuisses, légèrement évasée. La deuxième était déjà bien différente dans le style. D’un très beau vert foncé avec effet velours, elle se portait un peu comme une robe. Arrivant juste en dessous des fesses, elle avait l’air d’être extrêmement moulante, un peu comme une seconde peau. Elle se nouait sur la nuque et possédait un décolleté assez échancré qui m’avait l’air très prometteur. La petite note en plus était cette fine partie de nylon vert de trois ou quatre centimètres de largeur qui descendait du milieu des balconnets au niveau de la poitrine jusqu’en bas de la robe. Un petit string vert était offert avec. La troisième était de loin la plus sexy des trois que Lucile avait choisies. Je m’étonnais même qu’elle appréciât ce genre de tenue. D’une couleur dorée, c’était une robe à effet filet. Elle était proposée avec un petit string et des caches tétons en forme de cœur de la même couleur. Imaginer ma fille dans cette tenue me procurait désormais des sensations jusqu’à l’entrejambe. Pour la quatrième que j’avais choisie, je ne sais comment la décrire. Peut-être la tenue la plus perverse de la boutique. Je ne lui avais même pas proposé de l’essayer, j’avais juste lâché un « oh putain ! » totalement incontrôlé en passant devant dans le rayon. Lucile s’était retournée pour voir ce qui avait provoqué ma réaction soudaine et était restée elle aussi un peu ébahie en apercevant cette pièce de lingerie. Le rouge lui était rapidement monté aux joues et j’avais tenté de détendre l’atmosphère. — Eh ben, elle est vraiment trash celle-là, dis-je d’un ton détaché.— Ouuuui, répondit-elle intensément. Elle est vraiment très... osée. Elle te plaît à toi ? — Euh, si on aime ce genre de choses, probablement, avais-je tenté de botter en touche. Sauf que ma fille insistait. — D’accord, mais je veux dire, tu penses qu’elle donnerait quoi sur... enfin..., euh... moi, acheva-t-elle en hésitant. Sa question allait me perdre je le savais. Cherchant une réponse, je me prenais déjà à l’imaginer dans cette lingerie indécente et ma vision d’elle se transforma. Je l’imaginais perverse, avide de sexe, ouverte à toutes les formes de... Non !! Merde non ! Je devais me ressaisir. Ma bite était dressée comme un bambou et pointait dangereusement vers Lucile. — Euh je ne sais pas ma chérie, dis-je très doucement, presque en chuchotant. Tu serais sûrement magnifique dedans, mais c’est difficile de se rendre compte sans la voir portée... Mon Dieu ! Je n’en revenais pas de ce que je venais de lui suggérer ! Ma queue contrôlait ma tête par intermittence...Lucile se fendit d’un petit sourire flatté et prit finalement la tenue en mains.
Nous nous dirigeâmes vers les cabines d’essayage et je me posai sur un des sièges face à la cabine dans laquelle ma fille était entrée. J’avoue que j’éprouvais une certaine jalousie vis-à-vis de ce garçon qui allait la voir dans des tenues si excitantes. Je n’avais jamais eu cette chance moi ! Alors que lui, à peine après quelques semaines de relation avec une fille, avait déjà le droit d’assister au grand jeu. Presque malgré moi, j’essayais de voir le moindre bout de chair filtré à travers le rideau mais il était bien trop opaque ; je pouvais juste apercevoir les pieds et le bas des mollets de Lucile. Je la vis retirer ses petites bottines, ses collants, et enfin sa petite jupe. Je vis même un petit shorty en dentelle bleu tomber à ses pieds. Une légère migraine fit son apparition dans ma tête. La chaleur de l’endroit mêlée à l’idée de ma fille nue et essayant de la lingerie de petite pute salope et perverse... Merde !!! Purée ça recommençait ! Des visions de Lucile défilaient dans mon esprit et prenaient petit à petit le pas sur ma raison. Je devais bouger d’ici pour ne pas craquer. Je me levai d’un coup et m’apprêtai à m’échapper mais j’entendis une voix qui m’arrêta net. — Papa ? — Oui ma chérie. — Tu peux venir s’il te plaît ? Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait. Avait-elle déjà tout essayé ??? Cela faisait à peine cinq minutes qu’elle se trouvait dans la cabine. Je m’approchai lentement du rideau et restai tout près derrière. — Je suis là, chuchoté-je. Tu as déjà fini ?— Non pas encore. J’ai juste enfilé la première, dit-elle en tirant légèrement le rideau. Mais j’ai besoin de ton avis. Je vis alors son corps enveloppé dans la petite nuisette rouge qu’elle avait choisi en première. Mon cœur fit un bond et je me collai contre le rideau pour être sûr que personne ne puisse la voir comme ça. Elle était tellement belle ! La brassière et la culotte n’avaient rien d’extraordinaire mais les petits cœurs rouges ajoutaient une touche très romantique, digne de la Saint Valentin. Du fait de sa taille relativement grande, la nuisette lui arrivait sur le bas des fesses. — Alors tu en penses quoi ? me demanda-t-elle en se retournant pour se contempler dans la glace. Je déglutis bruyamment et ne pus que bafouiller un petit « whaooh ». — Mais encore, rigola-t-elle en levant les yeux vers moi à travers le miroir. — Tu es splendide ma chérie. Vraiment je ne sais pas quoi dire, tu es juste superbe. A croquer, ajouté-je en contemplant son cul bien moulé dans sa culotte. — Merci papa, je suis contente qu’elle te plaise. Elle me répondit cela avec un grand sourire et reprit :— Tu la valides alors ?— Oui totalement ! répondis-je peut-être trop brusquement. — Super ! Allez, j’enfile la deuxième et je te rappelle, acheva-t-elle en refermant le rideau devant moi. Mon Dieu ! Je ne pus que retourner m’écrouler sur le fauteuil. J’étais éprouvé comme jamais ! Mon cœur battait encore la chamade et mon pouls était rapide. Impossible de garder des pensées saines et les idées claires. Je calai le plat de ma main contre mon front tout en fermant les yeux pour tenter de me calmer. Lucile n’allait pas tarder à m’appeler dans sa cabine et je savais déjà ce qu’elle allait porter. Des visions lubriques et fantasmagoriques me parcouraient l’esprit. Je voyais les prémices de son corps moulé comme une offrande dans cette petite robe verte ultra-serrée...— Daddy ? entendis-je d’une petite voix. Ça y est ! J’allais enfin la voir, elle n’avait pris que quelques minutes mais ma patience avait malgré tout été mise à rude épreuve. Comment allais-je survivre à cette débauche de sensualité et d’excitation mêlées chez ma fille...

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