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Ma fille : la plus sexy des valentines

Chapitre 7

Un réveil brumeux

Inceste
Mon corps avait sombré. Mon esprit s’était éteint. Les deux en accord pour mettre fin à toute cette tension à laquelle Lucile les avait exposés. Ce fut mon cerveau qui se réveilla en premier. Je sentis le système se remettre en route, quelques connexions nerveuses qui se firent maladroitement, puis s’ensuivirent quelques spasmes dans les membres inférieurs. Le sang affluait dans tout mon corps qui reprenait conscience. La dernière image qui me vint fut la main de Lucile effleurant ma bite dressée. Ce souvenir m’électrisa et des décharges successives me firent trembler des pieds à la tête. J’ouvris les yeux péniblement et fus aveuglé par la lumière du jour qui envahissait ma chambre à travers les volets mal fermés. Lucile n’était plus là. Première constatation qui, finalement, m’apaisa. J’étais vêtu de mon boxer, deuxième constatation rassurante. Enfin, aucune tache de sperme détectable, ni sur moi ni sur les draps. Je soufflai et me fendis même d’un sourire de soulagement. Le passage à l’acte n’avait peut-être pas eu lieu. Ma fille était sans doute sortie de ma chambre aussitôt que je m’étais évanoui dans un sommeil profond.
Je passai à la douche, m’habillai prestement, sans croiser Lucile. Je redoutais bien entendu le premier contact que nous allions avoir ensemble aujourd’hui. Une gêne nouvelle se manifesterait inévitablement entre nous. Je descendis les marches de l’escalier, fis un bref tour du rez-de-chaussée, et trouvai finalement ma fille dans la cuisine, déjà attablée devant son petit-déjeuner.
— Ah Papa ! me lança-t-elle dès qu’elle me vit. Tu vas bien ? Enfin... mieux ?— Oui oui ma belle je vais bien. Je... euh... Je voulais m’ex...— Non ! N’en dis pas plus, m’interrompit Lucile avant que je termine. Tu n’as rien à te faire pardonner. Elle se leva et me serra sans aucune gêne dans ses bras. — C’est moi qui ai provoqué tout ça, et... j’assume. C’était à moi de faire attention et de contrôler mes agissements. Ça ne se reproduira pas, tu peux compter sur moi !Elle m’asséna cette phrase avec tellement de vigueur que je crus presque qu’elle m’en voulait. — Comment ça ? fis-je décontenancé. Qu’est-ce qui n’arrivera plus ?? Elle rompit notre étreinte et retourna s’asseoir. — Tu ? Tu ne te souviens pas ? demanda-t-elle hésitante. — D’hier soir ?— Oui, quand on est rentré ? — Euh non, pour dire vrai, de rien. Je me rappelle ma chute dans le couloir, puis notre montée dans les escaliers, et... tu m’as couché sur mon lit, c’est tout.Comment pouvais-je en dire plus ? Fallait-il prendre le risque d’avouer que je me souvenais parfaitement de sa main se posant sur ma queue ?!— Donc la dernière chose dont tu te souviens, c’est de moi te couchant dans ton lit ? Lucile posait ses questions avec réserve et je crus lire une certaine inquiétude dans ses yeux pétillants. — Oui malheureusement, fis-je la mine basse. Ah si ! je me souviens que tu m’as retiré mon pantalon, mais c’est tout, après, le trou noir. Je me surprenais moi-même, je parvenais à dire cela sans la moindre honte. Je mentais ouvertement à ma fille, lui dissimulant la véracité de mes souvenirs, et avec une voix parfaitement sereine. — C’est très bien Daddy, me répondit soudainement Lucile. Elle parut changer d’humeur en un quart de seconde. Comme si ma réponse lui avait apporté un grand réconfort. — Il ne s’est rien passé d’autre ? la questionnai-je exprès.
— Non non ! Rien Daddy. Je t’ai juste donné de l’eau et souhaité bonne nuit. Tu t’es endormi en quelques secondes, rigola-t-elle. Elle semblait désormais guillerette. Je vis son visage se détendre et ses traits reprendre leur symétrie parfaite. — Bon, tant mieux ma chérie. Je ne sais pas ce qui m’est arrivé...— C’est rien Daddy. C’était marrant. — Marrant ? la taquinai-je. Marrant de devoir porter ton père dans sa chambre après un malaise ?— C’est vrai que tu pèses peut-être le double de mon poids, donc c’était pas une mince affaire, mais j’ai réussi. Et ne t’en fais pas, c’était la fatigue sûrement. Là, tu as l’air d’aller beaucoup mieux, me fit-elle en souriant. — Tu es forte, je n’en ai jamais douté ma belle. Encore désolé pour ça. Ma fille me sourit et tenta de détourner le sujet de la conversation. — Alors, quoi de prévu pour aujourd’hui ? — Rien de spécial, et toi ? Tu vois ton... euh, copain ? Je vis Lucile se tendre instantanément sur sa chaise. — Euh ... oui, il... Elle parut hésiter, le rouge lui montant aux joues. — Je peux te le présenter ce soir ? reprit-elle timidement. — Bien sûr ma chérie ! la rassurai-je. Je ne voulais pas la mettre mal à l’aise plus longtemps avec ça. Rien ne justifiait que je la torture psychologiquement, du moins d’ici ce soir... — Invite-le à dîner ! Je pourrai échanger avec lui et apprendre à le connaître. — Merci, susurra Lucile, la voix quasi éteinte. — Hey ! Ma chérie ? lui lançai-je gaiement en soulevant son menton de mon index. Ne t’inquiète pas. Si ce sont les événements de la soirée d’hier qui te stressent, sois rassurée. Je n’en parlerai pas à ton petit ami. — C’est que..., elle esquissa un léger sourire en coin, c’est terriblement gênant. — Mais non ! Ecoute, je pense que toi comme moi, on a un peu déraillé hier. C’était rien de méchant quand on y réfléchit. Ça peut arriver, et comme tu l’as dit, ça ne se reproduira pas. Je tentai au maximum de la rassurer, mais je devais me faire violence. Lui affirmer que tous les événements de la veille n’auraient aucune conséquence sur le futur... C’était clairement un pur mensonge ! Pour moi, tout commençait justement. Et j’allais trouver le moyen de l’amener là où je la voulais. Elle avait enclenché une tension érotique entre nous, et même sexuelle en ce qui me concerne, hors de question de s’arrêter après ça. — Je sais Daddy, c’est juste que j’aurai sûrement du mal à... oublier... Elle me lança un regard de braise. Ou du moins, je l’interprétai de cette façon. J’eus soudain un léger doute. Me fixait-elle de ses yeux brillants emplis de tentation en référence à ce que nous avions vécu au love night ? Ou faisait-elle référence à ce qui avait suivi mon évanouissement hier ? Si seulement je pouvais savoir ce qui s’était réellement passé après cette subite perte de conscience !! Comment me faire une idée précise de ses insinuations avec ce manque d’informations ? — Je comprends ma belle. Je préférai botter en touche pour tempérer la situation. Je finirai bien par découvrir le pot aux roses. — Mais faisons en sorte d’oublier tout ça... pour le moment, rajoutai-je. — Lucile me fixa alors une nouvelle fois, une expression indéfinissable sur le visage. — On va faire ça, Daddy. Elle insista si fortement sur le Daddy que j’eus un début d’érection. Ses lèvres légèrement mouillées par le jus de fruit qu’elle venait de finir me firent un effet monstrueux. Là tout de suite, j’avais juste envie de la prendre à pleine bouche. Dévorer ses lèvres de jeune fille et l’embrasser d’un long baiser bestial.Mes poings se fixèrent sur la table, les mains gorgées de sang. — Allez, ma belle, va te préparer. Je suppose que tu as plein de choses à faire et que tu veux te pomponner pour ce soir. — Oui, j’y vais, me répondit-elle la voix rieuse. Je te laisse prendre ton petit-déj.Elle se leva et vint m’embrasser rapidement sur la joue avant de se lancer hors de la cuisine. — Attends Lucile ? — Oui ? — Pense à laver tes achats d’hier si tu veux, enfin... tu vois... pour ton copain, achevai-je. — La machine tourne déjà Daddy, me fit-elle avec un clin d’œil. — C’est bien ma belle.
En répondant, je la détaillai quelques secondes de toute sa longueur, sans me fendre d’aucune gêne pour la reluquer. J’étais certain qu’elle comprenait ce que je faisais, mais elle ne bougea pas. Elle était sur la pointe des pieds, l’épaule calée contre la tranche de la porte. Ses jambes fines étaient nues jusqu’à mi-cuisses. Seul un petit short rose en tissu brillant recouvrait le haut de ses jambes et son petit cul. En haut, un t-shirt blanc moulant enserrait sa poitrine sans soutien-gorge, et laissait son ventre apparent. Quand j’y réfléchis, je me dis que malgré les péripéties d’hier, elle avait revêtu une tenue plus que provocante pour un samedi matin. Tenta-t-elle de me faire passer un message ? Ou peut-être juste de continuer à m’exciter malgré ses belles paroles... ? — Tu auras le choix pour ce soir au moins, repris-je en lui rendant son clin d’œil. — Oui Daddy. D’ailleurs... Elle me lança un regard que je perçus comme érotique. — J’aurai peut-être besoin de toi avant que mon copain arrive. — Ah ? Et pourquoi ? répondis-je intéressé. — Tu verras bien Daddy, rigola-t-elle en tirant la langue sensuellement entre ses lèvres.
Sur ce dernier acte de tentation, elle s’éloigna doucement vers l’escalier en remuant ses petites fesses. Je la suivis avec des yeux envieux et gourmands. Lucile se retourna délicatement, juste avant de mettre un pied sur l’escalier, et m’adressa un nouveau sourire. Je vis alors quelque chose qui tendit mon sexe à la seconde, provoquant une moue de douleur sur mon visage. Même de loin, je pus apercevoir une petite empreinte mouillée sur le minishort rose de ma fille.
Lucile se retourna brusquement et monta à l’étage. Le mouvement de ses fesses acheva de me faire bander au maximum de mes capacités. Était-ce de la mouille que j’avais cru voir sur son entrejambe ? Et si oui, qu’est-ce qui avait bien pu provoquer cela ? Je pris mon portable par réflexe et accédai à ma galerie. J’affichai en grand la dernière photo enregistrée, et j’aperçus ma fille dans sa tenue de putain provocatrice, la bouche en cœur. Des souvenirs affluèrent dans mon esprit malsain, et tout à coup, une impatience monta en moi.
J’avais terriblement hâte d’être à ce soir...
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