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Ma fille : la plus sexy des valentines

Chapitre 10

Le défi s'engage

Inceste
Une fulgurance ! Mon éjaculation était venue comme telle. Aucun de mes sens ne m’avait permis de l’empêcher, encore moins de la prédire. Toute l’excitation qui émanait de ce bref échange entre ma fille et moi avait conduit mon sexe à réagir et à décharger ce trop-plein d’envie refoulée. Sur l’instant, je ne sus comment réagir face à la situation. Mes yeux s’étaient légèrement révulsés, mes dents avaient mordu ma lèvre inférieure et mes petits gémissements de plaisir n’avaient sans doute pas échappé à ma fille. Il fallait trouver une solution rapidement, sans me lever face à elle, au risque d’exposer un pantalon taché de tout le foutre que je rêvais de lui balancer à la gueule. — Ca va Daddy ? entendis-je soudain, tandis que j’avais baissé la tête. — Hum...— T’as l’air de souffrir ? enchaîna Lucile, perplexe. — Euh oui... Un peu..., concédai-je. Tu aurais un peu d’eau s’il te plaît ? Ma fille parut inquiète et intriguée à la fois. Mais devant mon évident trouble, elle rabattit ses jambes vers elle et fit une petite pirouette pour basculer sur le côté du lit et se lever. Au passage, je pus apercevoir le bas de ses petites fesses superbement moulées dans sa robe qui était un peu trop remontée. Lucile se saisit de la bouteille d’eau sur sa table de chevet, et je profitai du fait qu’elle ait le dos tourné pour me lever et me lancer vers sa porte d’un bond. — Daddy ?? Attends, j’ai de l’eau. — Merci, ma chérie, mais je vais prendre de la glace ! m’excusai-je en ouvrant sa porte. — C’est à cause de moi, c’est ça ? J’ai fait quelque chose qu’il ne fallait pas ?Elle s’était rapprochée de moi en s’arrêtant à quelques centimètres de mon épaule, son souffle chaud, parvenant délicatement jusque dans mon cou. — Non... Non ma chérie, c’est juste que j’ai eu un petit vertige... un peu comme la dernière fois, tentai-je en frissonnant. — Je comprends oui, fit-elle, gênée. Avait-elle compris mon allusion ? Je n’osais pas me le figurer, mais mon sexe, lui, se l’imaginait très bien. Il commençait déjà à retrouver de l’entrain. — Merci en tout cas, Daddy, pour... Elle parut chercher ses mots. - ... enfin d’être venu m’aider, finit-elle.— C’était avec plaisir ma belle. J’avais toujours le dos tourné à elle, le couloir s’étalait devant mon nouveau début d’érection.— Je vais vite fait dans ma chambre et je descends finir les préparatifs, ajoutai-je sans la voir. Je la sentais dans mon dos, tout près de mon corps, comme si elle se rapprochait subrepticement. — Je peux te demander quelque chose à mon tour ? repris-je. — Oui, tout ce que tu veux Daddy ! s’enquit-elle. — Je voudrais que tu restes dans ta chambre encore cinq minutes sans en sortir. — Quoi ? Mais je dois...
— Ferme la porte et ne sort que lorsque je t’appellerai, compris ? — C’est euh... — Lucile ?!— D’accord, Papa.

Je m’avançai dans le couloir et entendis la porte claquer quelques secondes après derrière moi. Enfin ! Elle lâchait enfin l’affaire ! J’allais pouvoir me remettre de mes émotions et me changer. A peine arrivé dans ma chambre, je retirai mon pantalon et mon caleçon puis les jetai au sol. Je ne pouvais pas rester dans cette tenue ! Je pris prestement un boxer dans ma commode puis je me décidai pour un pantalon blanc en lin assez élégant qui ferait très bien l’affaire. Lucile allait très bien s’apercevoir que ma tenue avait changé, mais je doutai qu’elle n’ait pas déjà compris ce qui s’était passé pour moi dans sa chambre.

Je réajustai mes chaussures et attrapai mon linge sale pour aller le foutre dans la panière de la salle de bain. Je revins comme un diable dans ma chambre et cette fois, je pris quelques secondes pour respirer. Je devais me calmer. Rester tranquille. Rien de ce qui s’était passé n’était ma faute. Elle avait provoqué tout ça, je ne devais pas me sentir coupable. Je rouvris mes yeux sur cette semi-certitude dont j’essayai de me convaincre, et concentrai mon attention sur le petit sac que j’avais ramené avec moi tout à l’heure. Je m’en saisis et en retirai la boîte qu’il contenait. Devais-je le faire ? Je n’en étais plus très sûr, mais au point où ma fille et moi étions rendus, je ne voyais pas le mal. Qui plus est, je savais maintenant que mon cadeau serait un atout supplémentaire pour rendre ma petite fille encore plus désirable et bandante !

Cette soirée allait être un pur moment de lutte contre une irrépressible envie de me jeter sur Lucile. Je savais que ma fille allait jouer la salope et user de ses charmes durant tout le dîner pour aguicher son copain et mettre le trouble dans mon esprit. J’allais devoir être fort et éviter de me rincer l’œil, tout en sachant que ce petit chanceux allait sûrement faire l’amour à ma tendre petite fille... Que dis-je ! Que ce parfait connard allait baiser ma petite salope comme une truie ! La chair de ma chair, accoutrée comme une chienne ! Et probablement en passe de se faire trancher par son copain dans sa chambre dans les heures qui viennent, lorsqu’elle aurait enfilé un des ensembles achetés hier en ma compagnie. Je ne devais pas me refuser ce plaisir ! Quitte à voir l’objet de mon désir, là, à quelques mètres de moi durant toute la soirée, inaccessible et promise à un autre, autant le rendre plus sexy que jamais. Je devais exorciser ce vil instinct.Je m’emparai de la boîte sans ménagement et pris donc la décision. En sortant de la chambre, je m’élançai vers les escaliers, en faisant un petit arrêt devant la chambre de ma fille pour lui déposer son petit paquet. J’entendis Lucile juste derrière la porte. Peut-être avait-elle guetté le moindre bruit depuis mon départ...

— Ma belle ? — Oui Daddy ? répondit Lucile du tac au tac. — Je t’ai déposé un petit présent devant ta porte, chuchotai-je. Je veux que tu portes ça ce soir. Tu es déjà sublime, mais je suis certain qu’avec ça en plus, tu mettras ton copain dans un état...Volontairement, je ne finis pas ma phrase, je voulais la laisser dans le flou. Qu’elle se demande encore quelques secondes ce que j’avais pu lui prévoir. — Mais j’ai déjà ma tenue de prévue tu sais, je suis pas sûre que je...— Tu le feras ma belle, tu le...Ding ! Le bruit de la sonnette m’interrompit dans mon élan. Je tournai la tête vers l’escalier et hurlai :— J’arrive !— Papa, il faut que je sorte, il est là ! me pressa Lucile. — Je sais oui, chuchotai-je. Mais n’ouvre ta porte que lorsque je lui ouvrirai moi aussi en bas. Je veux qu’il te voie descendre les escaliers ma chérie. J’avais chuchoté ma dernière phrase, prenant ma voix la plus suave possible. Ma fille avait joué avec moi, c’était à mon tour désormais. — D’accord, d’accord ! Va ouvrir alors s’il te plaît. Elle paraissait tout à coup assez stressée. Je reprenais le dessus sur elle et ma motivation fut d’autant plus grande.

Je descendis les marches rapidement et me dirigeai vers la porte d’entrée. J’ouvris sans attendre davantage et exposai un large sourire à notre invité : — Bonsoir Monsieur, fit timidement le jeune. — Bonsoir... Gary c’est ça ? — Oui, Monsieur. — Ravi de te rencontrer, dis-je chaleureusement en lui tendant la main. Entre, je t’en prie. Gary pénétra dans l’espace réduit que formaient les 3 murs autour de lui et parut tout intimidé. — Ravi, moi aussi, Monsieur, Lucile m’a beaucoup parlé de ...— Pas de Monsieur, s’il te plaît. Appelle-moi David, ça ira très bien. — Euh oui... David alors, fit-il en souriant. Il se détendait enfin légèrement. — Désolé, je dois paraître un peu gauche, reprit-il en me tendant son manteau. C’est que je suis un peu stressé, c’est ma première Saint-Valentin et... — Tu n’as rien à craindre, ma fille sait mettre les gens à l’aise. Et, un petit truc entre hommes, ajoutai-je en chuchotant. Elles sont souvent bien plus stressées que nous, tu sais. Je lui fis un clin d’œil complice et il m’adressa un grand sourire décomplexé. — Vous êtes cool Mons... David, je veux dire ! Si je peux me permettre...— Tu peux, mon garçon, je n’ai encore jamais mangé personne, et ...Je marquai une légère pause, reprenant une voix plus dure et stricte. — Ma fille non plus, à ce que je sais..., ajoutai-je. — Euh oui... Bien sûr oui, fit le jeune homme, décontenancé. — Très bien, souriais-je à nouveau. Lucile ?!Je haussai la voix pour être certain qu’elle m’entende, mais ce fut inutile, car j’entendis sa porte claquer au même moment. — Tiens elle arrive, va l’attendre en bas des escaliers si tu veux, dis-je d’un air faussement innocent. Le jeune s’exécuta, sans se douter de ce qui l’attendait. Moi, je restai trois mètres derrière lui, en retrait, pour admirer ma progéniture descendre les marches, telle une princesse salope prête à faire tourner les têtes. J’entendis d’abord des cliquetis révélateurs sur le parquet du palier de l’étage qui m’excitèrent instantanément. Ma fille apparut alors sur le bord du plancher, en haut des escaliers, face à moi, et à son petit ami. Même à plusieurs mètres, je perçus un bruit de déglutition bruyant et incontrôlable chez mon prédécesseur. Il n’avait jamais dû, ne serait-ce qu’entrevoir, une telle beauté. Lucile commença à descendre, visiblement mal à l’aise et concentrée sur le mouvement de ses pieds. Elle lançait chacun d’eux avec une extrême prudence, de peur de se vautrer en avant. J’étais aux anges. Mon cadeau lui allait à ravir ! Elle avait chaussé ses pieds d’escarpins blancs à hauts talons, fermés sur le devant par une double bride qui barrait le nylon rouge en résille très fine. Les talons d’une couleur argentée brute ne faisaient pas moins de 12 centimètres, raison pour laquelle ma petite fille tortillait maladroitement son petit cul au fur et à mesure de sa descente. Je vis que sa robe remontait à chaque marche qu’elle descendait, laissant apparaître le haut de ses bas, et même sûrement de son string pour son copain qui était placé bien plus près d’elle que moi. Arrivée en bas, Gary lui tendit une main bienveillante et la complimenta comme il pouvait. Les mots lui manquaient tant il devait être subjugué. Lucile le prit dans ses bras, presque pour se retenir de chanceler en arrière, et le serra tout contre son corps, la tête calée au creux de la sienne. Elle leva les yeux et me fixa d’un air mauvais durant une demi-seconde. Elle savait que j’avais réussi à reprendre l’avantage et que c’est moi qui contrôlai la situation en cet instant. Son regard se mua en un rictus crispé et elle finit par me fixer intensément, les yeux brûlant de défiance. Soutenant son regard, je vis se dessiner un léger sourire aux coins de ses lèvres lorsqu’elle fixa mon pantalon. Elle accentua encore la puissance de ses yeux en les replongeant dans les miens, et elle me parut soudain encore plus envoûtante. Je compris alors que sa riposte allait être violente et perverse...
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