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Ma fille : la plus sexy des valentines

Chapitre 11

La riposte se prépare

Inceste
1/ « L’homme est né pour se reproduire. Son instinct premier réside en cette vérité... ».2/ « La nature nous soumet aux tentations. Il n’est pas de règle plus immuable que celle-ci... ». 3/ « Le corps de l’homme domine celui de la femme, mais l’esprit féminin est en tout point supérieur à celui de l’homme... ».4/ « Le véritable désir de l’homme se concentre dans son éminence. Mais l’éminence intellectuelle n’est-elle point supérieure à toute autre ? ».

Perdu dans mes pensées, je me remémorai ces quelques citations. Chacune plus vraie que la précédente. Je m’étais reproduit il y a 18 ans. La nature, patiente, avait attendu son heure et me soumettait à un désir ardent pour ma propre fille. A plusieurs reprises, j’aurais pu disposer de son corps sans aucune difficulté. Me servir de son corps comme un objet de luxure et de débauche pour assouvir mes pulsions. Malgré cela, c’est Lucile qui disposait aisément de mon esprit. Ce même esprit qui se retrouvait torturé lors de ce dîner de Saint-Valentin pour ma fille chérie et son petit ami. A la suite de sa longue descente sensuelle et envoûtante des escaliers, Lucile m’avait clairement fait comprendre d’un regard qu’une vengeance se préparait. L’avantage que j’avais réussi à prendre allait être de courte durée. Après cet échange de regards emplis de défiance entre ma fille et moi, j’avais proposé au jeune Gary et à ma fille de passer dans le salon pour un petit apéritif.
— Alors Gary ? dis-je en m’installant dans l’un des fauteuils. Comment tu la trouves ta première valentine ce soir ?— Très bien mons..., David je veux dire, corrigea-t-il. Elle est vraiment... vraiment...
Le pauvre garçon avait l’air si perdu en contemplant la beauté qui se trouvait à ses côtés qu’il en oubliait totalement ses mots. — Merci Gary, remercia Lucile en lui prenant la main. Tu t’es fait beau aussi, ajouta-t-elle en détaillant son jeune corps sans se gêner, les lèvres pincées par moments.
Il portait une paire de jeans slim noir de jet surmontée d’une ceinture Terruci, assortie à une chemise d’un blanc brillant à col ouvert. Le petit était bien foutu, remarqué-je en le haïssant. Tout en le matant allègrement, Lucile me jetait des coups d’œil réguliers comme pour me rendre jaloux. Et je dois avouer que cela fonctionnait malheureusement très bien. Ma tension montait petit à petit et une chaleur s’intensifiait en moi. — Asseyez-vous les amoureux, le canapé n’attend que vous, dis-je en tendant le bras vers eux. — Bon, j’espère que vous serez satisfaits du repas que j’ai préparé, je ne suis pas un cordon bleu, mais ce sera tout de même quelque chose de mieux qu’un fast food. — ça ira très bien, répondit Gary en prenant place confortablement dans mon canapé. — Oui, surenchérit ma fille, j’en ai déjà l’eau à la bouche papa. Tiens ! Elle ne m’appelait pas Daddy devant son copain... La garce ! A peine les yeux tournés, je vis qu’elle avait fini sa phrase en passant subtilement sa langue sur sa lèvre supérieure. Quelle traînée ! La voir me provoquer comme ça devant un autre mec et dans cette tenue me rendait fou. Les citations 2 et 3 me revinrent en tête et un début d’érection commença à poindre dans mon entrejambe.
— Qu’est-ce que je peux te servir mon garçon ? demandé-je. J’ai de la bière, du whisky, de la tequila, ...— Oh rien de tout ça, me coupa ce jeune salopard dont la main de Lucile venait de se poser sur sa cuisse. Un coca sera très bien. — Un peu d’alcool pour fêter ta première Saint-Valentin Gary, j’insiste ! Ce n’est pas tous les jours, il faut profiter de ces moments rares... Crois-moi sur parole. J’appuyai la fin de ma phrase en fixant Lucile dans les yeux. Moi aussi je voulais me faire comprendre. Elle n’allait pas m’échapper comme ça ma petite fille. Gary sembla hésiter longuement, mais se résolut finalement à accepter sous le regard approbateur de sa dulcinée. Même sur lui, elle avait déjà de l’emprise. Elle cachait bien son jeu, à l’image de sa mère : manipulatrice à souhait !— Un whisky alors s’il vous plaît, mais avec un coca par contre. Et ce foutu voleur de fille qui en plus voulait noyer mon whisky japonais dans du coca ! J’allais lui retourner la tête à ce vaurien !— Pas de soucis mon garçon, pendant que je te sers, tu veux bien aller chercher une bière au frigo pour moi. J’aurai bien demandé à ma fille, mais elle a l’air d’avoir du mal à marcher avec ses talons, lancé-je innocemment. — J’y vais David, répondit du tac au tac Gary en se levant prestement. Dès qu’il eut le dos tourné, je profitai de l’instant pour lui servir un triple whisky, à peine noyé par 3cl de Coca. Lucile me fusilla soudain du regard et tenta de me prendre le verre des mains en se penchant en avant. — Qu’est-ce tu fais ?! Donne-moi ça papa ! Tu vas le rendre mala...- ... Ah c’est papa ce soir hein ?! Où est passé le Daddy ? la coupé-je. — Pas devant lui, c’est trop...Elle s’interrompit, entendant Gary approcher. — Tenez David, c’est bien celle-là ?— Oui parfait mon garçon, ça fera l’affaire. Je servis à Lucile un verre de blanc, comme à son habitude, et nous pûmes trinquer. — A vote première Saint-Valentin les jeunes, qu’elle soit... mémorable. Je vis à la fois Gary faire une grimace de dégoût en avalant une première gorgée de son verre et Lucile se caresser sensuellement le haut de sa cuisse du bout des doigts en me fixant. La salope, elle voulait me faire sortir de mes gonds ; je devais résister ! — Il est bon hein fiston ? — Oui excellent M’sieur... David pardon, dit-il en toussotant. — Haha je savais que ça te plairait. Le whisky japonais, il n’y a que ça de vrai. J’allais le noyer dans l’alcool. Ma parole et mon âme que ce jeune homme n’allait pas trouver la chatte de ma petite fille ce soir. Et ça, Lucile commençait à le comprendre. — Daddy ? entends-je d’une petite voix sensuelle minauder. — Oui ma belle ? (Elle repartait sur mon surnom, hum... Qu’est-ce qu’elle manigançait cette salope ?). — Est-ce qu’on pourrait passer à table directement si c’est prêt ? Je suis déjà fatigué et j’aimerais profiter de la soirée avec Gary un peu après. On se mettra sûrement un film...Elle appuya tellement sur le « sûrement » que je faillis me lever pour la gifler. — Si ton petit ami n’y voit pas d’inconvénient, pourquoi pas ? — ça me va très bien aussi, fit le jeune en avalant une autre gorgée de son verre. Le pauvre garçon semblait se dépêcher de finir son apéritif pour en être débarrassé. Alors j’en abusai allègrement. — Allez fiston, on finit notre verre avant de se mettre à table, dis-je en me levant et en descendant le reste de mon verre cul sec. Je vis Gary hésiter en jetant un regard sur son verre encore à moitié plein, mais il obtempéra en fermant les yeux, pour en finir. Il prit un air de dégoût extrême et plissa les yeux de révulsion. L’alcool devait lui brûler l’œsophage et il devait déjà être bien amoché. Attends sale mioche ! J’ai encore des litrons de vin rouge qui ne demandent qu’à être bus !— Je t’en prie Gary, va t’installer dans la cuisine, fis-je en levant la main. Le pauvre garçon se redressa difficilement et tituba comme un soulard. Ma stratégie fonctionnait à merveille. Lucile se leva également, ce qui fit encore remonter sa robe pour me laisser apercevoir ses bas de putain. Le rouge du tissu en nylon fit monter une chaleur dans tout mon corps. Désormais, ce corps était devenu mon unique raison de vivre. Mon unique raison de baise. J’allais la posséder cette putain. Fille ou pas. Elle s’arrêta devant moi et baissa les yeux vers mon entrejambe. Elle ne dit rien, mais je la vis qui souriait. Cette petite pute provocatrice allait encore jouer de ses charmes pour me faire chavirer et me pousser plus loin dans la perversité. Elle se dirigea vers la cuisine et remua son petit cul exagérément. Sa robe de salope me rendait fou, une envie de domination sur ma fille me traversait. Je rêvai de l’humilier, de la soumettre et de la dresser pour que jamais plus elle ne s’éloigne de moi. Qu’elle sache que son unique maître sera son père à vie ! Je restai là, prostré, la suivant du regard en train de s’installer à table. Jamais je ne laisserai ce cul à un autre homme ! Je n’y survivrai pas... Elle le savait, j’en étais sûr. Comment pouvait-elle avoir le moindre espoir de se faire troncher par ce petit gnome insignifiant alors que je serai dans la chambre voisine ce soir ? Je devais mettre mon plan à exécution. Ce soir, Lucile sera déflorée. Et seule ma queue aura cet honneur. C’est ma récompense ultime ! Mon droit et mon devoir de père bon dieu !
J’avançai vers la cuisine, déterminé et résolu à faire de ma fille une femme cette nuit...
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