Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 149 J'aime
  • 15 Commentaires

Ma fille : la plus sexy des valentines

Chapitre 12

Le point de non retour

Inceste
Les deux amoureux s’étaient assis l’un à côté de l’autre. Tandis que je m’affairai en cuisine, Gary avait tendu sa main vers ma fille pour la poser sur sa jambe gainée de nylon rouge. Face au plan de travail, je pouvais voir dans le reflet d’une glace cet enfoiré caresser la cuisse de Lucile. Il avançait sa main vers l’intérieur, puis vers l’extérieur. Il ne cherchait même pas à en découvrir plus. Malgré son audace, son geste avait l’air de rester très respectueux. Dans un certain sens, ce petit m’impressionnait. A mon époque, si jamais une fille comme la mienne s’était accoutrée de la sorte et m’avait laissé caresser sa cuisse, ma main aurait inévitablement fini dans son intimité, de force ou non. Mais Gary... Pff, ce jeune gringalet ne savait rien de la vie. Rien du sexe. Il ne serait jamais le premier, pas sur elle ! — Jamais ! Les deux tourtereaux regardèrent vers moi tandis que je leur tournai toujours le dos. Inconscient de ce qu’il venait de se produire, je réalisai tout à coup que je tenais un couteau dans la main gauche et que je l’avais violemment planté dans le malheureux poulet qui se trouvait devant moi. J’avais crié « Jamais » sans même m’en rendre compte, semblait-il...— Vous allez bien David ? me demanda Gary, tout en prenant garde de retirer sa main de ma propriété de chair. — ça va, fis-je toujours le dos tourné. J’étais perdu dans mes pensées, ne t’en fais pas...— Crois-le ou non, intervint Lucile, mais mon père a souvent des moments... d’absence.Elle prit une voix plus énigmatique et sensuelle avant de poursuivre.— Il lui arrive même de faire des malaises parfois, pour des raisons bizarres d’ailleurs... Hein Daddy ? Je me retournai subitement, le rouge aux joues, la mâchoire serrée et les yeux perçants. Gary eut l’air inquiet quelques secondes, mais ce n’était pas lui que je fusillai du regard. — C’est personnel ma chérie. Les gens n’ont pas à savoir ça, répondis-je presque trop calmement.Etant tous deux de profil par rapport à moi, Gary ne vit pas le regard de ma fille qui se trouvait plus loin de moi que lui-même. Elle avait subtilement posé un doigt sur ses lèvres, avant de sortir sa langue pour en lécher tout le tour en plissant les yeux. Mon Dieu ! Je n’allais pas tenir ! Si elle continuait, cette soirée pourrait prendre une tournure tragique. J’eus des centaines d’images qui défilèrent devant mes yeux, certaines montrant Gary enfermé dans ma cave pendant que je fouettais Lucile nue à la cravache, d’autres modélisant ma fille à genoux avec ma queue qui martelait son anus bien ouvert tandis que Gary gisait inconscient au sol... Le point commun à toutes ses images étant bien sûr ma victoire sur cette salope tentatrice !— Qui veut du poulet ? annonçai-je soudain pour changer de sujet à tout prix. J’amenai le fait-tout à table et le lâchai lourdement sur le dessus-de-plat. Perturbé, Gary n’osa pas répondre à ma question. Mais Lucile s’en fit une joie, consciente de son emprise retrouvée. — Oh que oui Daaaaaddy..., fit-elle d’un air de gourmande. Je veux goûter ! Putain, la situation m’échappait encore ! Je n’arrivai plus à calmer le mal qui montait, tant en moi qu’en mon entrejambe. Je m’assis rapidement pour dissimuler le tout et ignorai ma fille pour me saisir de la carafe. Je versai du vin dans les trois verres avec une célérité incroyable et proposai de trinquer. — A la vôtre les jeunes ! dis-je en levant mon verre avant de le vider d’une seule traite. Gary me regardait avec des yeux craintifs, il ne savait visiblement plus comment réagir. Il prit son verre et humecta le bord des lèvres dans le vin, semblant hésiter. — Bon allez, je sers, repris-je après cette longue descente d’alcool qui calma mes ardeurs autant qu’elle me brûla la gorge. Lucile me tendit son assiette la première. Je versai mon poulet curry au plus vite, me préservant de tout regard vers elle. J’enchaînai prestement avec l’assiette de son voisin, lui arrachant quasiment des mains. — Merci M’sieur, fit-il doucement. Cette fois-ci, je ne relevai pas. Il ne méritait plus de m’appeler David ce salopard ! Je lui en voulais à mort de résister.
— Bois mon garçon, c’est un grand cru que j’ai ouvert pour ce soir. Il faut y faire honneur. Il prit son verre une nouvelle fois et avala une, puis deux gorgées sous mon regard insistant. Je levai la carafe et le resservis à peine eut-il poser son verre. Lucile, elle, nous observait d’un regard lointain, comme si elle assistait à un combat de mâles prêts à tout pour la séduire, pour la conquérir, pour la... Que dis-je ! Pour la baiser oui ! Pour lui éclater sa chatte de pucelle et lui écarteler son petit cul d’ado...Non !!! Le circuit infernal recommençait. Mon esprit divaguait encore une fois vers des pensées obscènes. Il fallait à tout prix reprendre la main. Je me jetai alors sur mon assiette, dévorant mon poulet à grands coups de fourchettes, multipliant les assauts de couteau pour le déchiqueter. J’alternai avec des gorgées régulières de vin, tout en levant les yeux vers mes deux convives. Gary, désormais bel et bien effrayé, restait concentré sur son assiette, la mine basse, se demandant sûrement ce qu’il avait fait pour mériter de vivre cette soirée. Mais lorsque je dirigeai mes yeux vers Lucile, je demeurai ahuri, la bouche ouverte. Cette salope avait pris sa cuisse de poulet à pleine main, et tout en me regardant, engloutit la chair du poulet entièrement dans sa bouche. Elle gonflait et dégonflait les joues, pompant le blanc de cette volaille comme une traînée. Ses lèvres pulpeuses dégoulinaient de jus tandis qu’elle faisait avancer plus loin la cuisse dans sa bouche. Ma fille me fixait d’un regard intense et provocateur. Quelle garce !!! Elle allait finir par me tuer ! Elle poursuivit sa progression jusqu’au moment où la viande dut atteindre sa gorge pour recracher le morceau tout entier en toussant bruyamment. — ça va ma Lu ? fit Gary inquiet en se tournant vers elle. — Oui... répondit-elle en reprenant son souffle. Oui oui ça va. J’ai juste... avalé un trop gros morceau, reprit-elle en me fixant dans les yeux. Mon sang ne fit qu’un tour et je fus pris d’un étourdissement qui me vrilla les tempes. Non ! Il fallait arrêter cela, je ne pouvais pas me permettre de m’évanouir et risquer de laisser ce petit salopard prendre la virginité de ma petite fille chérie. Cette traînée était à moi !Je me resservis un peu de vin et en profitai pour remplir les verres de Gary et Lucile. — Ce sont des choses qui arrivent ma chérie, allez cul sec pour faire passer ça comme on dit, hein ? Elle me fixa intensément et je la sentis un instant hésitante. Comme si une infime partie d’elle avait envie de jouer encore plus avec moi. Elle prit alors son verre en m’adressant une moue très étrange sous le regard ahuri et désespéré de Gary. Il se résolut à faire de même et nous levâmes nos verres à l’unisson avant de les descendre cul sec. Le pauvre garçon déposa son verre maladroitement sur la table et ferma les yeux en posant une main sur son front. Il était maintenant assurément dans un sale état. Lucile, quant à elle, but lentement, et à une gorgée de finir, retira ses lèvres du cristal pour renverser le reste de vin qui dégoulina en une longue traînée sur sa robe. Mais qu’est-ce qu’elle imaginait encore ?! me dis-je inquiet. Un autre de ses plans machiavéliques pour m’achever...— Mince, fit-elle exagérément. J’ai taché ma robe, je crois. Gary ne semblait même plus avec nous, il s’était pris la tête dans les mains, les deux coudes posés sur la table. — Je vais me nettoyer, enchaîna Lucile, ne semblant s’adresser qu’à moi, d’une façon très étrange. Elle semblait elle aussi bien éméchée. Elle se leva de sa chaise difficilement et s’éloigna vers la salle de bain, ne manquant pas de m’envoyer un baiser en cœur en passant.La fin de soirée allait être difficile, je le savais. J’allais devoir tenir les armes ! Et malheur, la carafe de rouge était vide ! Il allait falloir des munitions supplémentaires pour vaincre cette adversaire. Je me levai prestement et me saisis de la deuxième bouteille que j’avais sortie. Je la débouchai avec une agilité étonnante malgré les épreuves et le stress accumulé de la journée. Je m’apprêtai à verser le contenu de la bouteille dans la carafe quand je sentis soudain ma poche vibrer. Je sortis mon portable de ma main libre et ouvris l’icône des messages reçus.
Une simple photo... Sans texte... Rien qu’une image...
C’est ce qui me fit lâcher la bouteille au sol. C’est ce qui réveilla Gary soudainement, pris de panique. C’est ce qui fit exploser ma braguette au même moment que les gerbes de vin rouge. C’est ce qui me fit lever la tête vers le jeune. C’est ce qui me fit lui intimer de sortir de chez moi dans les 10 secondes. C’est, sous mon regard menaçant, ce qui lui fit quitter les lieux sans demander son reste. C’est ce qui me fit le courser en le traitant d’ivrogne. Enfin, c’est ce qui me fit défaire ma ceinture pour la replier comme un lasso. C’est tout bonnement ce qui allait marquer « le point de non-retour » depuis le début de cette mascarade.
C’est une photo de ma fille, Lucile, adossée contre le montant de mon lit, simplement vêtue de ses bas en nylon rouge de salope, le visage rougi par les trois doigts ancrés au plus profond de son intimité...
Diffuse en direct !
Regarder son live