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La fille prétentieuse du Calife

Chapitre 1

Hétéro
A Bagdad, au IXème siècle, régnait un calife grand de cœur. Superbe souverain de bon caractère et doté d’un talent pour régner, pieux, sage et attentionné, il faisait le bonheur de son peuple. C’est pourquoi l’on se demande encore ce qu’il a bien pu faire pour mériter une fille comme la sienne : certes d’une rare beauté, d’une parfaite éducation -lettrée, elle était accoutumée à la plus haute littérature- mais d’un caractère exécrable. Orgueilleuse et hautaine, elle se vantait partout d’être de pur-sang arabe, de descendre d’une nation élue, du peuple de la Révélation. Aussi méprisait-elle les autochtones, ceux dont les ancêtres étaient là avant la conquête, même s’ils s’étaient convertis à l’Islam. Et même les gens issus de familles arabes, s’ils étaient trop peu fortunés, elle les considérait comme inférieurs. Elle se trouvait finalement au sommet de la hiérarchie et la grande majorité des êtres peuplant la terre ne lui arrivait pas à la cheville. Cela faisait plusieurs années que son père cherchait à la marier, sans succès.
Elle n’accepterait pour époux qu’un homme qui serait son égal, du moins qu’elle considérerait comme tel, ce qui était extrêmement ardu, voire impossible à trouver. Un jour, le calife reçut en son palais un prétendant qui n’était pas des moindres : le fils de l’empereur du Ghana qui était sans doute le souverain le plus riche du monde. Le prince était accompagné de sa suite et d’une vieille femme qui avait été sa nourrice. Il avait par ailleurs fait acheminer d’incroyables quantités d’or. Le calife espérait conclure ce mariage prometteur et fit appeler sa fille. Celle-ci parut couverte de son voile, regarda le prince et ceux qui l’accompagnaient puis éclata de rire : - Père vous n’êtes pas sérieux ?! Cet homme est semblable à nos zandjs [esclaves noirs qui cultivaient les champs pour le compte des abbasides]. Voulez-vous, que nous corrompions notre noble sang ? Voulez-vous que j’enfante un sauvage ? Votre but est-il de nous ridiculiser à tout prix ? De plus, ce peuple est bien connu pour ses mœurs dépravées... et vous voulez que je m’unisse... à ça ?
Sur ces terribles paroles, la princesse se retira. Alors qu’elle traversait le palais pour s’en retourner dans ses appartements, elle tomba sur une vieille femme recroquevillée, au sombre visage et au regard sévère : c’était la nourrice du prince qui était apparu comme par magie. D’abord surprise, la princesse lui adressa la parole :
— Vous... je vous reconnais. Vous accompagnez mon prétendant. Comment êtes-vous arrivée ici ?
Ne prenant pas garde à sa question, la nourrice lui répondit :
— Vous êtes peut-être magnifique mais vous êtes pourrie de l’intérieur. Hautaine et vaniteuse, vous n’avez aucun cœur. Pourtant, vous serez humiliée comme vous ne l’avez jamais été, et vous supplierez le prince, vous l’implorerez de vous laisser l’épouser. Vous aurez tout ce que vous méritez.— Comment osez-vous me manquer de respect vieille sauvage aigrie ?! Déguerpissez et retournez chez votre pitoyable maître avant que je nous fasse décapiter.
Sans rien dire, la vieille femme baissa le regard et s’en alla.La nuit vint et la princesse alla se coucher. Elle s’endormit et se mit à rêver. Un homme noir, grand et musclé lui apparut, il était nu et bien membré. Son visage était très beau mais sans expression. Il la regarda puis s’unit à elle. Au petit matin, elle se réveilla en sueur et toute mouillée. Elle eut alors envie de s’accoupler avec un homme noir. Ne pouvant refréner son désir, elle fit venir une esclave et lui donna la consigne d’aller au marché acheter un esclave venu d’Afrique. Il devait être grand, musclé, beau. En outre, elle devait se débrouiller pour savoir s’il était bien membré. S’il remplissait toutes ces conditions, elle l’achèterait quel que soit le prix demandé par le marchand et le ramènerait dans la chambre de la princesse. En échange de son silence sur cette affaire, l’esclave pourrait garder l’argent qui resterait. Celle-ci partit sur-le-champ afin de trouver ce que réclamait sa maîtresse. La princesse eut du mal à patienter, elle n’arrivait pas à réprimer son désir qui augmentait chaque minute. Elle ne put faire autrement que s’allonger sur son lit, soulever le tissu de son habit jusqu’à sa poitrine, écarter les cuisses, et s’enfoncer les doigts dans le vagin. Elle n’avait jamais fait ça respectant l’interdit posé par sa religion. Pourtant, en ce jour, elle se doigtait avec force tout en pensant à l’homme de son rêve. Avec l’autre main, elle souleva encore le tissu pour libérer son imposante poitrine. Elle se mit à la caresser puis se pinça les tétons. Cela ne lui serait jadis jamais venu à l’idée. La musulmane était comme possédée. Elle haletait et avait le vagin humide. L’excitation continuait à monter et elle n’en pouvait plus d’attendre. Soudain, son esclave entra avec ce qu’on lui avait demandé. Elle fut gênée de voir sa maîtresse ainsi et s’empressa de partir laissant le nouvel esclave seul avec la princesse. Cette dernière fut ravie mais étonnée de constater une ressemblance frappante entre cet Africain et l’homme de son rêve.
Elle était en feu et n’eut même pas le loisir de s’interroger. Elle fit signe à l’esclave d’approcher. Ce dernier compris bien ce qu’elle attendait de lui. Il s’approcha et se dévêtit. Son phallus noir était encore plus grand que dans le songe. Contemplant les cuisses grasses mais fermes, le sexe vierge mais humide, ainsi que l’imposante mais très jolie poitrine de fille du calife, il entama le festin qui s’offrait à lui. Il commença par caresser les cuisses écartées, et les embrassa. Cela le conduit vers le vagin ardent qui ne fut pas calmé par ses coups de langue, ni par les coups qu’il donna sur la surface avec son phallus. Enfin, il commença le travail proprement dit en enfonçant son immense engin à l’intérieur de la princesse. Puis il la laboura intensément tout en lui pétrissant les seins. La musulmane hurlait de plaisir, n’importe qui pouvait arriver et la surprendre en train de forniquer avec cet esclave. Sur le moment, peu lui importait, elle savourait l’instant de plaisir que lui donnait l’Africain.
Il était allongé sur elle et donnait de puissants et vigoureux coups de reins qui faisaient claquer ses testicules contre elle, la faisaient gémir, et faisaient vibrer l’ensemble de son corps gracile. Il se retira soudain pensant que sa maîtresse ne désirait pas qu’il la féconde. Aussitôt, cette dernière l’entoura par la taille avec ses jambes et le ramena vers elle. La musulmane n’était toujours pas satisfaite. Encore consumée par le désir, elle ne pensait pas aux conséquences et incita son esclave à continuer. Il comprit alors qu’elle voulait qu’il aille jusqu’au bout et se réintroduit entre ses cuisses pour terminer son labeur. Donnant encore quelques coups de reins, il jouit en elle et l’ensemença. Le liquide chaud envahit la princesse et éteignit alors le feu qui la dévorait.
Elle fut apaisée. Comme le brouillard qui se dissipe pour faire place au soleil, la princesse elle reprit peu à peu ses esprits. Elle vit alors l’esclave qui était sur elle, mains sur sa poitrine, son sexe tout juste sorti du sien dégoulinant de semence chaude. Elle se rendit compte de la gravité de son acte. Elle commença par appeler sa servante pour qu’elle se débarrasse de cet esclave en l’envoyant travailler aux champs. Elle se mit alors à sangloter de honte : elle, l’une des merveilles du monde, s’était adonnée au commerce charnel avec un non-arabe, un esclave par-dessus le marché ! Et comme si ça ne suffisait pas, il était fort probable qu’il l’avait engrossée. Elle donnerait sûrement naissance à un enfant plus foncé que les autres. L’on saurait alors que son père était noir. Que faire ? Elle se rappela soudain le prétendant qui était un prince venu du Ghana. Il était son seul espoir de faire passer sa grossesse pour légitime. Il lui fallait l’épouser et vite.Quand le calife apprit que sa fille voulait bien se marier au fils de l’empereur, il fut ravi. Ce dernier refusant de revenir, la princesse du se déplacer à la cour de l’empereur du Ghana. Celui-ci fit venir son fils avec sa nourrice. La vieille femme sourit en voyant la fille du calife ici. Elle susurra quelque chose à l’oreille du jeune prince puis à celle de l’empereur qui approuva et dit :
— Soit, princesse, tu épouseras mon fils. Mais tu dois être châtiée pour ton insolence envers lui. Ta punition... tu la recevras de sa part dans ses appartements... maintenant.
Le prince escorta, toujours accompagné de sa vieille nourrice, sa future épouse dans sa chambre. Il se déshabilla et avait le pénis en érection. Il ordonna à la musulmane de s’agenouiller, elle s’exécuta. Il lui frappa alors le visage avec sa grosse verge, donnant plusieurs dizaines de coups. Entre deux biffles, la princesse aperçut la vieille femme en train de rire doucement dans un coin de la pièce. Après cela, la musulmane avait le visage marqué de traces rouges. Le prince ghanéen s’allongea sur son lit, écarta les cuisses, et lui fit signe d’approcher. Elle s’agenouilla près de la couche de son fiancé et mit son phallus en bouche. De sa main, l’Africain la prit par la tête et appuya vers le bas. Elle comprit qu’elle devait lui sucer les testicules, ce qu’elle fit. Mais quelques instants après, il appuya encore sa tête qui se trouvait maintenant face à son anus. Elle hésita. Le prince passa donc sa main à l’arrière de sa tête et appuya. La musulmane se retrouva le visage contre l’anus de son prétendant.
Redevenue elle-même, elle était de nouveau très fière et se sentit alors humiliée de se retrouver dans cette position. Cependant, elle n’avait pas le choix et se résigna à lécher les fesses noires de l’Africain. Finalement, celui-ci se redressa, prit son sexe en main, l’agita et cracha son jus sur les visages de la belle Arabe. Cette dernière n’avait jamais eu aussi honte, elle se retrouvait agenouillée avec du liquide blanc sur son visage et sur son voile, d’autant que la nourrice la regardait avec ses yeux moqueurs.Elle finit toutefois par se marier avec le prince le plus riche du monde et devint une bonne épouse, aimable, généreuse, et emplie d’humilité.
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