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Ma fille unique

Chapitre 3

Les 18 ans de Nathalie, la maman d'Emma

Inceste
Emma, après avoir visualisé la vidéo sur laquelle Nathalie, sa maman, se donnait sans retenue à mon frère Michel, ne ratait pas une occasion de me rappeler que je devais lui raconter les 18 ans de Nathalie, auxquels Michel faisait allusion sur la vidéo, puis de lui raconter notre mariage à Nathalie et moi, mariage auquel mon frère avait également fait allusion sur la vidéo.
— Papa, ça fait maintenant plusieurs jours que tu évites soigneusement de me raconter ce que tu dois me raconter. Tu trouves toujours une raison pour pas le faire. C’est pas cool.— Emma, comprends-moi, c’est pas évident pour moi... Te raconter, raconter à ma fille comme sa maman a pris de plaisir à se donner à d’autres... et pas n’importe quels autres !— C’est bon papa, mon petite papounet cocu d’amour, je sais bien que ça t’excite tout ça, et moi j’ai envie de tout savoir. Alors aujourd’hui, tu te défiles pas. Je vais dans ma chambre et quand tu es disposé à tout me raconter, tu me rejoins mon petit papa pervers.
Je savais très bien que je ne résisterais pas longtemps à rejoindre Emma dans sa chambre. Je savais aussi que tout ce que j’avais à lui raconter, je le lui raconterais, car aussi fou que ça pouvait paraître, je savais que ça m’excitait, depuis bien longtemps, ce statut de « cocu ». Je savais que la situation récente où ma propre fille se donnait à moi et jouait avec ce que j’étais, m’excitait encore davantage. Elle tenait de sa mère, c’est certain !Je n’ai donc pas attendu longtemps avant de rejoindre Emma dans sa chambre. J’ai toqué à la porte par principe, elle m’a dit « entre papa ». Emma était dans son lit, un livre à la main. Elle avait un grand lit et avant que je ne me demande où je devais m’installer, elle m’a fait signe de la rejoindre sous la couette. J’ai gardé mon caleçon et je suis allé sous la couette. Emma avait gardé un petit haut à fines bretelles et un short en tissu léger. Elle était nue dessous.
— Je t’écoute papa, alors les 18 ans de maman... Si ça te permet d’être plus à l’aise, oublie que tu es avec moi et fais comme si tu le racontais à des copains à toi qui seraient super excités de t’entendre.
Après quelques instants d’hésitation, je me lançais.Pour les 18 ans de ta maman, papi et mamie avaient accepté de nous laisser inviter du monde à la maison. Ils étaient OK pour partir dès le matin et ne revenir que le lendemain. Avec Michel, on avait préparé les choses simplement, mais de manière à ce que ta mère soit contente et on avait invité quelques copains et copines. Papi et Mami nous avaient juste demandé que nos amis, s’ils devaient dormir sur place, s’installent dans des tentes, dans le jardin. On était en juillet et cela ne posait aucun problème.
Je passe sur le déroulement de la journée. On s’était bien amusés, on avait un peu picolé, mais sans trop, et au fil des heures, la nuit avançant, chacun et chacune était allé dormir dans une des tentes qui étaient dans le jardin. On avait passé la soirée sur la terrasse et chacun était un peu éméché, il faisait super bon et tout le monde était content. Dominique, la copine de ta mère, avait copieusement dragué Marc, le copain de Michel que ta mère avait accepté d’inviter aussi, sachant que Dominique flashait sur lui. Et les deux tourtereaux avaient été les premiers à aller prendre possession d’une des tentes.
— ça m’intéresse pas vraiment papa, ce que Dominique a fait avec ce Marc.— J’imagine ma chérie, mais ça a une importance pour la suite et l’état d’esprit général.
Dominique avait allumé une torche dans la tente et très vite, on a tous pu voir, en ombres chinoises, que Dominique était en train de faire une superbe fellation à Marc qui poussait des râles de plaisir, fellation qui a duré un bon moment, avant que Marc ne dise à Dominique de se tourner, ce qu’elle fit sans se faire prier et Marc l’a prise en levrette. Les petits cris de jouissance de Dominique ont décidé plusieurs autres couples à partir dans les tentes et au bout de quelques minutes, on s’est retrouvés, Michel, ta mère et moi, seuls rescapés de la soirée, sur la terrasse. Je voyais que ta mère était émoustillée par ce qu’osait faire Dominique. Jusque-là, ta mère avait souvent exprimé son attirance pour tel ou tel beau gosse, particulièrement pour Michel et tout aussi souvent, je la provoquais en lui disant que Dominique, elle, osait ne pas se contenter d’imaginer.
Michel saisit l’occasion pour faire un peu monter la température en disant que Dominique avait l’air d’être une sacrée petite salope et qu’elle avait l’air de sucer comme une déesse. Je me suis fait un plaisir de lui répondre que Nathalie, quand elle se lâchait, suçait aussi comme une déesse.
Michel a surenchéri en disant :« je demande qu’à voir... ».J’avais peur que ta mère se lève et parte, furieuse, mais à ma grande surprise, elle est restée là, sans bouger, sans rien répondre à Michel. J’ai regardé ta mère qui s’était un peu empourprée, mais n’avait pas réagi. J’étais tout d’un coup super excité de me dire que quelque chose d’extraordinaire était peut-être en train de se tramer. J’ai simplement dit : « on monte ? », sans m’adresser à l’un plutôt qu’à l’autre. Ta mère s’est levée et est partie vers l’étage où se trouvaient nos chambres à Michel et moi. En haut des escaliers, Michel a pris le relais et a dit :« on finit la soirée dans ma chambre ? Je vous invite »et il s’est dirigé vers sa chambre. Nathalie a suivi, sans un mot. Mon cœur battait à tout rompre et je me disais que c’était à peine réel. Avant de les suivre, je me suis précipité dans ma chambre prendre mon appareil photo puis je suis allé les rejoindre dans la chambre de Michel. Je suis entré...
Ta mère était en train de détacher le pantalon de Michel. Elle n’a pas fait attention à mon arrivée, Michel ne disait rien, il se tenait debout face à ta mère, assise sur le lit. Elle a baissé le caleçon de Michel et a avalé sa bite déjà dure et bien érigée. Michel a toujours eu une bite bien plus impressionnante que la mienne.
Moi j’étais comme un fou, je prenais des photos sans arrêt, Nathalie me rendait fou. Elle suçait mon frère, le dévorait, me regardait par moments en souriant, prenait le temps de sortir la bite de Michel de sa bouche, le branler, puis l’avaler à nouveau. En quelques minutes à peine, Michel a éjaculé. Nathalie n’a pas bronché, a tout gardé dans sa bouche et a tout avalé.
Quand Michel s’est retiré de sa bouche, il était aux anges bien entendu. Il a dit quelque chose comme « Nathalie tu suces vraiment divinement bien ». Puis, remettant juste son caleçon, il nous a dit, « bougez pas, je reviens... » et il est sorti précipitamment de la chambre.
Nathalie m’a pris par la main et m’a guidé jusqu’à ma chambre. Sans rien dire, elle a commencé à se déshabiller et m’a dit de me déshabiller aussi. Elle avait encore sa culotte quand on a entendu Michel qui remontait les escaliers, et après avoir constaté qu’on était plus dans sa chambre, il a déboulé dans la mienne. Marc était avec lui...
Michel a pris les commandes de la situation et ni Nathalie ni moi, n’avons même essayé de stopper la machine qui s’emballait.
— Nathalie, suce Marc comme tu m’as sucé, qu’il puisse nous dire qui de toi ou Dominique sucez le mieux. Toi, frérot, continue de prendre des photos.
A peine quelques secondes plus tard, Nathalie suçait Marc avec une application et une gourmandise, une motivation, décuplées par le challenge qu’avait lancé Michel. Pendant que ta mère suçait Marc, Michel, assis à côté d’elle, caressait ses seins et avait plongé sa main dans la culotte de ta mère.
J’étais excité comme un fou, je prenais des photos sans arrêt tout en me branlant.Marc a pris la tête de ta maman entre ses mains et s’est enfoncé dans sa gorge pour y déverser sa semence abondante. Ta mère en a avalé une partie et Marc a fini d’éjaculer sur son visage.Michel, en quelques secondes, a retiré la culotte de ta mère et s’est allongé sur le dos. Il a dit à ta mère de venir s’empaler sur lui. Elle a obéi et a de nouveau déversé tout son sperme, mais cette fois, dans la chatte de ta mère qui était empalée sur lui et qui jouissait en hurlant comme une louve.
Je me suis approché et ta maman, a pris ma petite bite et l’a mise dans sa bouche. J’ai éjaculé aussi dans sa bouche. Ta mère avait franchi le pas, le jour de ses 18 ans. L’adorable salope qui sommeillait en elle s’était révélée pour toujours... Et la nuit n’était pas finie !
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