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Ma fille unique

Chapitre 4

18 ans de Nathalie, mon père découvre certaines choses

Inceste
Nathalie s’était ensuite rapidement endormie. Moi, super excité par tout ça, j’avais eu du mal à imaginer dormir au contraire, et j’étais redescendu pour tranquillement regarder les dizaines de photos que j’avais prises. Tout en me masturbant, je me régalais de voir Nathalie, ma copine, le jour de ses 18 ans, se lâcher enfin... Les expressions de son visage pendant qu’elle suçait Michel, mon frère, puis Marc, le copain de Michel. Son regard vers moi qui semblait me dire « ton frère a vraiment une bite bien plus grosse que la tienne »... Les photos enfin de Nathalie empalée sur Michel, jouissante, son corps tellement beau se donnant totalement à mon frère...Après un bon moment où j’ai regardé et re-regardé toutes ces photos, je suis enfin monté me coucher, la tête pleine de fantasmes tels que seul un vrai candauliste peut en avoir.Quelques heures plus tard, je me suis réveillé, ou plutôt, Nathalie m’a réveillé en me chuchotant à l’oreille tout en me caressant le torse.
— Christophe, tes parents sont rentrés !— Quoi ?— Tes parents sont rentrés...— OK, et ?— Et... je crois que tu as fait une bêtise !
Cette dernière phrase a fini de me réveiller et je me suis redressé. Mon cœur s’est mis à battre la chamade, m’imaginant mille choses !
— Comment ça ? On a fait quoi comme bêtise ?— Tu as laissé l’appareil photo en bas en venant te coucher...
Nathalie n’avait pas l’air plus affolée que ça, au contraire, elle a ajouté :
— Et quand je suis descendue dans la cuisine pour boire tout à l’heure, ton père était en train de mater les photos...
Elle venait de me dire ça, en toute tranquillité, tout en posant sa main sur ma petite bite qui n’avait pas tardé à réagir... Nathalie me connaissait et savait que j’allais immédiatement imaginer mille choses qui allaient m’exciter, exciter le candau que j’étais déjà.
— Oh merde, il a maté les photos, tu es certaine ?— Oh oui je suis certaine...— Il t’a dit quelque chose ???— Plutôt oui...
— Oh merde, merde, merde... raconte vite.— Ben disons que déjà quand j’ai vu qu’il était là, j’ai déjà été un peu emmerdée qu’il me voie en culotte... mais bien sûr, quand j’ai vu qu’il tenait l’appareil photo, je me suis figée, mais bizarrement, sans vraiment paniquer, j’ai même trouvé ça plutôt marrant comme situation tordue...— Tu deviens une vraie petite salope ma chérie.— Eh oui... Mais ça plaît beaucoup au petit candau que tu es non ? Et ton petit oisillon a l’air d’apprécier aussi !
Elle avait initié une masturbation lente de mon petit oisillon comme elle aimait à l’appeler parfois.
— Humm, ouiiiiii, j’adore, continue, il s’est passé quoi alors ?— Ton père m’a vue, il a levé les yeux vers moi, comme pour vérifier que la nana qu’il matait sur les photos était bien moi... et il m’a appelée : « Nathalie ! Que... que s’est-il passé cette nuit ??? ». Il n’y avait aucun ton de reproche ni de colère dans sa voix. J’ai vite compris au contraire qu’il s’inquiétait pour moi. Il a poursuivi : « les garçons t’ont obligée à faire des choses que tu ne voulais pas faire ? Ils ont abusé de toi ma petite chérie ? ».
Que ton père m’appelle sa petite chérie m’a fait parcourir un frisson, et qu’il s’inquiète pour moi m’a donné envie de m’asseoir sur ses genoux et de me mettre à pleurer comme une petite fille qui a besoin d’être consolée...
— T’as pas fait ça !!!— Mais non, j’ai pas fait ça. J’étais bien embêtée au contraire... Alors je lui ai simplement dit la vérité. C’est-à-dire que personne m’a forcée à rien et qu’on s’est lâchés... Il est resté un petit moment comme scotché, la bouche ouverte. Ses yeux ont parcouru mon corps puis il m’a regardée dans les yeux et a repris la parole... « Bon... je sais pas quoi dire... Si tu es certaine que personne ne t’a contrainte à rien... alors... ». Puis il m’a à nouveau déshabillée du regard et à nouveau, il m’a parlé en me regardant droit dans les yeux : « vous êtes une génération vraiment étrange... j’avoue que je me sens totalement dépassé... Mais dis-moi, c’est bien Christophe qui a pris toutes ces photos ??? ». J’ai répondu par l’affirmative. Il s’est enfoncé dans son fauteuil, a hoché la tête et a expiré longuement... « ça veut dire qu’il a pris du plaisir à te regarder faire ce que tu as fait ? Et que toi tu as pris du plaisir à faire ce que tu as fait ? ». Je lui ai répondu que oui, c’est bien ça... — Wouaouuuuu...— Comme tu dis, et tu sais quoi, en disant ça, je me suis amusée à jouer la petite fille qui a fait une bêtise et qui s’attend à être grondée...— Hummm et mon père a fait quoi ???— Il a pas vraiment réagi, alors j’ai un peu insisté et je lui ai dit que j’adore faire des fellations et voir l’effet que ça fait sur un garçon... Que Michel et Marc avaient visiblement adoré ...— T’es folle.— Peut-être, mais ton père était visiblement perturbé... il a repris la parole sans vraiment se rendre compte de ce qu’il a dit, il me semble.— Il a dit quoi ?— Il a encore hoché la tête, poussé quelques sifflements de surprise, et il a dit quelque chose comme « je sais pas quoi dire... les choses ont bien changé... ça n’aurait jamais pu arriver à notre époque... ». Et avec une sorte de rictus moitié amusé, moitié exprimant du regret, il a ajouté : « d’ailleurs, ça m’est jamais arrivé tout court... ».
Je crois qu’il n’a pas vraiment réalisé ce qu’il venait de dire, mais j’ai sauté sur l’occasion pour réagir.
— Tu as fait quoi ?— Je lui ai spontanément demandé si ça voulait dire qu’il avait jamais été... enfin... que jamais personne lui avait fait une... Et je me suis tue en m’excusant. Il n’était pas contrarié et a juste répondu avec toujours ce demi-sourire : « et non ma petite chérie, jamais personne ne m’a fait une fellation... ou une pipe... ou sucé, comme vous dites maintenant » !
A ce moment, mon sang a bouilli, et je n’ai eu qu’une idée en tête...
— Non, tu me fais marcher, t’as pas fait ça !!!— J’ai demandé à ton père s’il accepterait que je sois la première... Il a été suffoqué, je crois, mais il était déjà tellement bouleversé qu’il n’a pas réagi... Je lui ai pas laissé le temps de réagir d’ailleurs, je me suis mise à genoux devant lui et j’ai posé ma main sur son caleçon. Il est resté pétrifié comme un petit garçon qui ne sait pas ce qu’il doit faire. J’ai pris le bord de son caleçon et j’ai commencé à le lui enlever. Il a soulevé ses fesses pour que je puisse lui enlever entièrement... Tu sais mon chéri, ton père, c’est pas un oisillon qu’il a, mais une superbe bite qui s’est immédiatement durcie et que j’ai pris dans la main tout en lui caressant les bourses de l’autre main. Il a fermé les yeux, a avancé ses fesses sur le bord du fauteuil et m’a laissée faire...— Oh putain, t’as sucé mon père ? Sérieux ?— Oui, et j’ai adoré qu’il soit à ma merci, incapable de refuser le cadeau que je lui offrais. J’ai pris le temps de bien prendre son gland décalotté entre mes lèvres, tout en le branlant, puis de le branler avec ma bouche, de le regarder dans les yeux en souriant, de le dévorer encore. J’ai rapidement senti que l’éjaculation n’allait pas tarder. Sa respiration s’était accélérée et ses testicules s’étaient resserrés. Alors j’ai retiré sa bite de ma bouche et je lui ai chuchoté « donnez-moi tout... » et je l’ai repris dans ma bouche. A peine quelques secondes plus tard, il a éjaculé une quantité énorme de son sperme dans ma bouche, un nombre de jets que j’ai même pas pu compter. Je me suis appliquée à tout avaler pour pas prendre le risque de faire des taches sur le fauteuil...— Hummm finis-moi en me suçant aussi s’il te plaît.— Attends, je finis l’histoire... On est restés comme ça quelques minutes, le temps que j’avale bien tout et qu’il n’ait plus une seule goutte à me donner... Puis je l’ai libéré quand sa bite a retrouvé un état moins rigide. Il a fini par ouvrir les yeux et m’a juste dit : « Nathalie, tu es divine... ». Je me suis fait plaisir en lui disant juste, merci monsieur. Il a ajouté que c’était sans doute déplacé de sa part, mais qu’il aimerait savoir comment me remercier...
Je lui ai dit qu’il pouvait peut-être me rendre service en me ramenant chez mes parents en fin de matinée... j’ai ajouté que j’aimerais aller visiter son entreprise et son bureau... et enfin, j’ai dit que tu aimerais sûrement faire des photos de son entreprise et son bureau... J’ai constaté que sa bite avait tendance à vouloir durcir à nouveau... Alors je l’ai regardé en souriant, j’ai pris sa bite dans ma main et j’ai dit à ton père d’en garder un peu pour plus tard.Voilà mon chéri, tu sais tout, je te finis avec la bouche et après, je vais me doucher et me faire belle. Ton père a la semence la plus sucrée des trois, plus sucrée que celle de Michel et la tienne, et même que Marc !J’étais sur une autre planète... Nathalie a fini de me sucer, j’ai déversé mon sperme pas très sucré en elle et elle est partie se doucher...
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