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la fille de la voisine est gourmande

Chapitre 1

Erotique
Un bel après-midi de printemps baigné par le soleil. Je suis dans mon salon, toutes fenêtres ouvertes, je prépare des cartons pour mon prochain déménagement vers une villa au bord de mer. Je viens de vendre une start-up basée sur la sécurité à un grand groupe tout en gardant des actions. Je suis en claquettes et short, torse nu. Âgé de quarante ans, un mètre soixante-quinze, quatre-vingts kilos de muscles, adepte de natation, course à pied et karaté.
Le carillon de la porte me fait sursauter, je vais ouvrir, devant moi se tient Laurine la fille de ma voisine. Âgée de vingt-trois ans, blonde aux cheveux mi-longs bouclés, aussi grande que moi, elle est vêtue de hauts talons comme toujours et d’une robe longue.
— Bonjour François, j’espère que je ne te dérange pas ?
Elle se colle contre moi pour me faire la bise, je sens sa poitrine ferme s’écraser contre mon torse, elle ne porte jamais de soutien-gorge.
— Non absolument pas, tu es toujours la bienvenue.— Je viens de chez maman, sa voiture n’est pas là et je n’arrive pas à la joindre au téléphone.— Ta mère est partie voir sa sœur en Auvergne et tu sais que les portables ne passent pas là-bas.— Veux-tu une boisson fraîche, je vais en prendre une ?— Avec plaisir, il commence à faire chaud.
A mon retour dans le salon, Laurine est devant la baie vitrée et le soleil me permet de voir qu’elle ne porte absolument rien sous sa robe légère et transparente. Son verre terminé, elle se jette dans mes bras en pleurant, elle est collée et se frotte contre moi. J’essaie de m’écarter un peu d’elle, car son corps chaud et ondulant contre le mien développe chez moi une érection.
— Que t’arrive-t-il pour être dans cet état ? — Mon copain m’a virée, je n’ai plus de travail et ma voiture ne passe pas au contrôle technique.— Tu commences bien l’année, c’est en un an le troisième copain qui te vire, raconte-moi !— La femme de mon patron nous a trouvés en pleine action avec lui, elle m’a virée et prévenu mon copain.— Tu collectionnes les histoires de cul avec tes copains, tu es trop gourmande.
Laurine ne me répond pas, mais se colle davantage contre moi, elle frotte son bas-ventre sur mon érection qui devient de plus en plus dure. Elle pose ses lèvres sur les miennes et ma bouche est envahie par sa langue pour jouer avec la mienne tout en malaxant ma queue au travers mon short. Laurine tire sur mon short en s’accroupissant et ma verge dressée comme un cierge lui saute au visage, elle le gobe, l’avalant immédiatement pour le ressortir et fait tourner sa langue sur mon gland.
C’est une experte de la fellation, elle me gobe les couilles l’une après l’autre puis sa langue monte le long de ma hampe. Sans contact avec une femme depuis plus de huit jours, la pression monte dans ma queue qui crache plusieurs jets de sperme qui lui remplissent la bouche, le surplus coule aux commissures de ses lèvres. Elle se relève en déglutissant et passe sa langue autour de sa bouche pour récupérer le sperme en même temps qu’elle fait glisser sa robe le long de son corps. Je découvre son corps parfait, de longues jambes, un ventre plat, une chatte lisse brillante de mouille et des seins en forme de poire avec des tétons qui regardent vers le ciel. Elle ouvre la bouche encore pleine de sperme pour me parler et j’ai l’impression qu’il y en a autant dans ses yeux.

— Viens, baise-moi !
Laurine pose ses fesses contre le rebord de la table, jambes bien écartées, les mains posées derrière son dos faisant saillir sa poitrine. Quelle belle femme, ma queue a retrouvé toute sa raideur, mais je me mets à genoux pour m’occuper de sa chatte qui déborde de cyprine. Mes premiers coups de langue passent sur le bord de ses lèvres pour récupérer son jus abondant qui me fait penser à un plat salé sucré.
Plus ma langue s’enfonce dans le marécage qu’est devenue sa chatte, chaude, humide et elle coule sans discontinuer. Maintenant ma langue fouille le fond de sa chatte, Laurine saisit ma tête pour la presser contre sa chatte et déclenche une jouissance assez courte, mais, très intense. Je ne la laisse pas récupérer, ma langue monte sur son clito et j’introduis deux doigts dans sa chatte. Son clito est petit, mais c’est un bourgeon très raide et le mouvement de mes doigts fait entendre un léger clapotis comme la mer sur un rocher. Une nouvelle jouissance aussi intense que la première, mais plus longue commence ponctuée de cris de plaisirs. Laurine jouit un bon quart d’heure.
J’enlève mes doigts de sa chatte, ma main est couverte de cyprine jusqu’au poignet et je me relève pour enfiler ma queue dans la fournaise de sa chatte. Je la possède en douceur tout en lui tétant les seins, contrairement à son clito ses tétons grossissent rapidement. Je mords dedans comme dans un fruit mûr, la jouissance de Laurine recommence beaucoup plus fort. J’accélère mes pénétrations et m’enfonce davantage dans sa chatte.
Laurine avance son bassin pour venir au-devant de ma queue qui s’enfonce au maximum, mes mains ont pris possession de ses tétons à la place de ma bouche. Ses tétons roulent entre mes doigts qui serrent de plus en plus fort, Laurine bombe encore plus le torse devant ces caresses. Ses cris augmentent.
— Défonce-moi la chatte, je ne suis qu’un trou pour ta bite.
Je donne la peine puissance de mes coups de reins pour m’enfoncer dans cette chatte en fusion, mon gland percute avec violence son utérus ponctué à chaque fois d’un cri plus aigu. Rivée au fond de sa chatte, ma queue crache de nombreux jets de sperme épais ; je reste planté dans sa chatte. Nos corps couverts de transpiration restent collés l’un à l’autre, nos respirations sont saccadées, du au rythme infernal de cette copulation.
— Reste dans ma chatte, j’aime sentir une queue se rétracter doucement en moi. Tu as une putain de queue, elle m’a fait jouir comme jamais. Si les hommes que j’ai connus avant en avaient une pareille, je n’en cherche pas une autre.
Après une douche réparatrice, je charge ma voiture de carton et Laurine m’accompagne pour rejoindre ma nouvelle maison, où il y a encore quelques ouvriers qui terminent l’entretien de la pelouse, la piscine. Pendant que je décharge les cartons, je remarque que Laurie se conduit comme une petite pute : en effet elle se trouve toujours entre l’ouvrier et le soleil, et l’ouvrier ne peut que voir son corps par transparence et qu’elle est absolument nue, sous sa robe.
— Peux-tu me prêter ton téléphone il faut que j’appelle mon ex pour récupérer mes affaires ?
J’ai accompagné Laurine devant chez son ex-copain pour récupérer ses affaires et fait venir un garagiste pour récupérer sa voiture. De retour à la maison, je dépose ses valises et sacs dans la chambre voisine de la mienne. Ceci terminé, Laurine me retient par la main et m’attire à elle pour m’embrasser.
— Merci pour ton aide, tu es très gentil ; si tu as envie de baiser c’est où et quand tu veux, je suis toute à toi et qu’à toi, je n’ai pas envie d’aller voir ailleurs, tu as une bonne queue et tu sais faire jouir une femme— Merci pour tes compliments, mais pour bien jouir il faut être deux bons partenaires et je dois dire que tu es douée pour le sexe. J’ai encore des cartons à faire, mais prépare-toi pour aller dîner au restaurant, mon frigo est vide.— Merci du compliment. J’ai commencé jeune à me caresser puis me faire jouir la première fois avec le manche de ma brosse à cheveux de plus en plus gros puis avec carottes, concombre ou autres et après des gros godes simples puis vibrants et avec des picots. J’ai découvert l’anal en regardant des pornos à la télé donc j’ai acheté des plugs de plus en plus gros, puis plugs vibrants. Pour finir, j’utilise des godes vibrants dans ma chatte et mon cul en même temps, par contre je veux essayer la même chose avec deux hommes.Le lendemain de mes dix-huit ans, je suis allé chez un médecin pour me faire prescrire la pilule, pour pouvoir baiser sans crainte. J’aime tellement sentir le foutre de mon partenaire remplir ma chatte et le sentir couler le long de mes cuisses après, surtout en hiver quand mes bas retiennent davantage la coulée du jus de ma chatte, cyprine et sperme mélangés. Tu peux me traiter de salope, j’en suis une, il me faut du sexe tous les jours et je suis sûre qu’avec un homme de ton expérience, je vais encore beaucoup apprendre. Tu as vu aussi que j’aime m’exhiber, je mouille quand je vois qu’un homme me reluque.
— Je ne suis pas surpris par tes aveux, ta mère s’est déjà confiée à moi sur ton appétit sexuel et tu peux rester chez moi jusqu’à son retour.— Je n’ai aucun endroit où aller. Tu as baisé avec ma mère ?— Une fois ou deux sans suite, ta mère à moins d’appétit que toi.
J’ai réussi à remplir quelques cartons avant de m’habiller et retrouver Laurine déjà prête, ses talons sont encore plus hauts que ce qu’elle portait cet après-midi, par contre sa robe est beaucoup plus courte à mi-cuisses et encore plus moulante ; même sans le soleil on devine l’absence de sous-vêtements. Lorsqu’elle s’assoit à côté de moi, sa robe remonte tellement que sa chatte est visible découverte par la robe très courte. J’ai du mal à regarder la route, mon regard est attiré par sa chatte, cette petite salope s’en rend compte et écarte ses cuisses en avançant légèrement ses fesses sur le siège. Sa chatte s’ouvre un peu, elle est luisante de mouille. Mon érection grimpe très vite dans mon boxer.
— Ta salope ne te plaît pas, pourquoi tu n’oses pas me toucher ? — Tu me plais beaucoup, mais je dois faire attention à la route.— Sur ta voiture tu as une boîte automatique et un régulateur pour te libérer une main pour moi.
Je craque et pose ma main sur sa chatte gluante, j’entre des doigts dedans. Cette salope ouvre davantage ses cuisses, pose la jambe droite sur le tableau de bord. Ma main entière est dans sa chatte la salope jouit, ma queue est au bord de l’explosion. Je stoppe sur le bas-côté une partie de la voiture sur la route, je me précipite dehors, et fais le tour de la voiture. J’ouvre la portière, côté passager et arrache Laurine de la voiture, je l’allonge sur le capot, je dégrafe mon pantalon et plonge ma queue dans la chatte de cette salope qui jouit dès mon introduction en elle.
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