Désolé chers lecteurs et lectrices pour cette longue attente sur ce chapitre final, une nouvelle histoire arrive bientôt avec plusieurs chapitres...Bonne lecture.
A peine me vit-elle qu’elle se jeta sur moi, m’enlaça au milieu des escaliers et on s’embrassa. Je retrouvais la personne que j’attendais. Julie n’était pas au courant de ce que j’avais fait avec notre mère juste avant son arrivée, tout comme Carole ne savait pas ce que j’avais fait avec ma sœur. Dans ce câlin au milieu des escaliers, je retrouvais une douceur pas comme les autres. Les mains de Julie sont si petites et paraissent si fragiles, mais quand elle me touche, je ressens une sensation différente de toutes celles que je pouvais connaître. Nos mains parcoururent le corps de l’autre et ce moment me sembla éternel. Je commençais à durcir dans mon pantalon, Julie dut le sentir car nous étions collés et ma bite grossissait contre son ventre. J’avais envie d’elle, je tripotais son sein droit de ma main et je voulais la déshabiller là, maintenant. Mais je désirais quelque chose de romantique, aussi je lui pris la main et on se dirigea vers ma chambre. On se retrouva enfin dans cette chambre, seuls comme hier. Je la fis assoir sur mon lit et l’embrassai. Ses mains parcouraient mon torse, tandis que moi je me dirigeais plus bas, au niveau de ses jolies fesses. Je la mis rapidement en sous-vêtements et la posai sur le lit. Je m’allongeai et elle me vint dessus. Voulant l’admirer encore plus, quand elle se penche pour me donner un nouveau baiser, j’enlevai son soutien-gorge qui me tomba dessus. J’attrapai ses seins pour les malaxer. Elle y prenait visiblement du plaisir et frottait son entre-jambes sur ma queue qui ne demandait qu’à sortir du caleçon où elle était encore rangée. Elle colla son corps contre le mien, embrassa mon torse plusieurs fois puis descendit. Elle se positionna juste au-dessus de mon caleçon sur lequel elle déposa quelques baisers. Puis enfin elle se mit à tirer sur le tissu pour le faire descendre et libéra ma queue qui se dressa directement en face de son visage. Elle sourit puis saisit le pieu et commença à me branler doucement, mais fermement. Ce n’était pas la même sensation que ma mère, la main de Julie était spéciale, ses doigts fins qui entouraient ma bite me donnaient un bien incroyable. En fait, avec Julie c’est beaucoup plus sensuel, je prends beaucoup plus de plaisir. Pendant cette branlette, elle remonta pour m’embrasser tout en continuant son mouvement de poignet. Je saisis et pinçai un de ses tétons, ce qui lui fit pousser un tout petit cri de plaisir. Je lui souris et me levai pour me placer debout en face d’elle à côté du lit. A quatre pattes sur le lit, elle avait mon gland juste devant ses yeux. Elle posa le bout de ses lèvres dessus et rien que ça, je commençais déjà à prendre du plaisir. Elle le rentra complètement à l’intérieur de sa bouche et je sentis sa langue commencer à tourner autour de mon gland qui était brulant d’excitation. Dans cette poussée l’adrénaline, je poussai un peu ma bite, ce qui la brusqua sur le coup. Je m’excusai rapidement, mais elle continua son mouvement exceptionnel tout en rentrant de plus en plus ma queue dans sa bouche. Après un moment, quand elle commença à être habituée à me sucer, je saisis ses cheveux pour accompagner un peu plus rapidement son mouvement. Je sortis ma bite et la regardai, puis je m’accroupis pour l’embrasser. Je lui demandai alors de se retourner en restant à quatre pattes, me retrouvant avec son joli cul et son string noir devant mon visage. J’enlevai sans grande difficulté cette petite culotte et remarquai rapidement qu’elle mouillait énormément. Je m’approchai donc et récupérai tout le liquide avec ma langue en parcourant son minou. Julie poussa un long gémissement, elle agrippa les draps en les serrant dans ses petites mains. Ma langue voyageait à l’intérieur de sa chatte trempée et je la maintenais fermement en écartant ses fesses pour me faciliter l’accès. Julie agitait son bassin en avant et en arrière et elle poussa un cri, un jet me venant sur le visage aussitôt. Je la lâchai et elle tomba sur le lit. Elle se mit sur le dos et me sourit, je me redressai pour venir l’embrasser sans m’être essuyé le visage. Julie écarta ses cuisses pour me montrer le passage, caressant son clitoris et attendant que je vienne la pénétrer. Je plaçai ma queue sur ses lèvres encore très humides et rentrai tout doucement, car je savais que c’était sa première fois. Je forçai un peu et sentis que je perçais l’hymen. Julie cria de douleur sur le moment. Je posai mes mains sur son visage pour la calmer, sa respiration était forte. J’entamai les va-et-vient tout doucement pour l’habituer à la sensation. Quand elle commença à prendre du plaisir, j’accélérai le mouvement petit à petit et je n’avais aucun mal à me mouvoir tant sa chatte était mouillée. Une fois que sentis que Julie prenait son pied en gémissant de plaisir, j’allai de plus en plus vite en mettant ma main sur sa bouche pour camoufler ses gémissements devenant de plus en plus fort. Julie finit par atteindre l’orgasme, ce qui me fit aussi jouir à l’intérieur de son corps. Je pris sa tête dans mes mains et l’embrassai tendrement. Cet acte sexuel magique avec ma sœur était fini. On attendit d’être un peu remis de nos émotions pour retourner dans le salon retrouver notre mère qui depuis qu’elle m’avait quitté avait fini de prendre sa douche et avait remis son superbe string-ficelle rouge en résille. J’avais l’impression et surtout l’espoir qu’elle ne se douterait de rien car nous étions comme d’habitude. Moi en caleçon et ma sœur qui avait remis son string. Pendant que nous l’aidions faire à manger, Carole nous prit de court en nous avouant qu’elle avait tout entendu et qu’elle ne nous en voulait pas de coucher ensemble, ce qui nous a bien rassurés avec Julie. Dans la foulée des révélations, je me lançai et avouai à ma sœur que j’avais aussi couché avec notre mère. Elle le prit bien et m’assura qu’elle ne m’en voulait pas. Tout se finissait pour le mieux. Julie et moi n’avons plus de rapport ensemble depuis longtemps. Avec ma mère non plus, d’ailleurs. J’ai construit ma vie avec une autre femme que j’ai rencontrée peu de temps après cette aventure et je suis heureux comme ça...
