Elle renifle encore un instant avant de sortir le bout de sa langue. Je comprends immédiatement qu ’elle léchait le sperme sur mon ventre et je repousse sa tête autant que je le peux. Elle esquive et se met à lécher le sperme sur mon ventre de plusieurs coups de langues experts. Je reste là avec la langue de Carla qui essuie de long en large mes traces de spermes. Ce qui m’excite, c’est son regard coquin qui me fixe pendant qu’elle me nettoie. Après un moment,je reprends mes esprits et je me lève sans laisser le nettoyage de Carla se finir. Il est très bon ton sperme parrain.Pas un mot à Sabrina, tu es vraiment folle.Folle de toi. Et je suis certaine que Sabrina ne dirait rien du tout.Tu arrêtes tes conneries et tu ne dis rien, après tout tu m’as quasiment violer. Je me dirige vers la salle de bain pour prendre une douche. Mardi Soir Sabrina rentre du boulot, elle va embrasser sa cousine qui est dans le salon. Moi j’étais dans la cuisine pour regarder la tv du salon car je n’avais pas envie d’être dans la même pièce que Carla. Je vois Sabrina s’avancer vers ma filleule pour lui faire la bise. Je vois Carla se lever et embrasser tendrement les lèvres de Sabrina qui lui rend son baiser. Pas possible, je suis encore en train de m’imaginer des choses. Carla me perturbe et j’imagine vraiment n’importe quoi pour le moment. Sabrina vient me dire bonjour dans la cuisine comme si de rien n’était. C’était bel et bien mon imagination. Mercredi Au matin, je remplis des caisses de bibelots que je dois remonter au grenier. Je me penche pour prendre la dernière lorsqu’en me relevant, je me coince des vertèbres. Une douleur fulgurante traverse mon dos. Je lâche la caisse et je me plie en deux sur le sol. Carla a sûrement entendu le bruit sourd de mon corps tombé sur le parquer car elle est là en train de me regarder d’un air inquiet. Ça va Parrain ?Non, je me suis coincé les lombaires je crois. Je crève de mal.Attends, je vais essayer de te relever pour te mettre au lit.Merci Carla se penche. Malgré la douleur, je m’aperçois qu’elle ne porte pas de soutien-gorge en dessous de son petit pull en laine. Elle me soulève comme elle peut, une de ses mains sous mon aisselle et l’autre autour de ma taille. Elle me porte jusque la chambre avant de me coucher sur le lit pour calmer les douleurs.
— ça ira ? Tu ne veux rien d’autre ? Me demande-t-elle.Non ça ira, amène moi juste un antidouleur et un relaxant musculaire qui sont dans l’armoire à pharmacie s’il te plaît. Elle me ramène ce que je lui avais demandé. tu ne veux pas que je te masse le dos pour te soulager le dos ?Euh... oui pourquoi pas si tu ne tentes pas quelque chose d’autre.C’est d’accord. Elle commence par me masser les épaules avec des gestes lents et appuyés. Je trouve que ses mains sont douces. Elle fait glisser ses mains le long de ma colonne vertébrale avec des gestes fluides. Je trouve qu’elle masse très bien. Elle a une manière sensuelle de me masser.... ou c’est moi qui interprète mal son intention. De toute façon, je vois du sexe partout à cause d’elle. Elle descend plus bas au niveau du sacrum et s’amuse à visiter la raie de mes fesses sans pour autant y pénétrer. Je la laisse faire car la douleur semble se calmer sous ses mains. Elle masse très lentement mon sacrum et insère deux doigts dans les cavités creuses du bassin. Cela me fait un bien fou. Tu as l’habitude de masser ?Non pourquoi ?Bah parce que tu masses super bien.Je m’applique parce que c’est toi.Ah euh, bin euh... c’est gentil. Tu peux arrêter si tu veux. Elle continue de me masser mais elle insiste de plus en plus sur mes fesses et m’écarte de temps en temps la raie. Tu as un beau petit trou me dit-elle.Dis, Carla, arrête s’il te plaît, ne gâche pas tout.Ok, j’ai rien dit,mais Sabrina doit aimer s’amuser avec, j’en suis certaine. Elle avait raison, Sabrina aime me titiller l’anus avec ses doigts et parfois elle me branle tout en me doigtant le cul. C’est la branlette que je préfère. Mais comment sait-elle tous ces détails ? Elle arrête son massage. Moi je commence à planer à cause du relaxant musculaire et je m’endors.
