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La filleule de mon épouse

Chapitre 1

Le décor et les protagonistes

Erotique
Début du blocus, Lisa, étudiante à l’université en dernière année, c’est la filleule de mon épouse et comme chaque année depuis quatre ans, elle étudie à la maison, car il fait plus calme que chez ses parents ou son kot.
C’est son neuvième séjour de longue durée à la maison. La seule différence cette année, c’est qu’ayant reporté des jours de congé et obligé de les épuiser avant fin d’année, je suis à la maison alors que mon épouse, elle est au travail. Ici, je suis seul avec Lisa. Bon, en réalité, je ne la vois pas souvent, elle a sa chambre et y passe la majeure partie de son temps. Elle étudie encore et encore. On est obligé de lui faire prendre des pauses sinon, elle resterait le nez planté dans ses bouquins.
Lisa, 22 ans, pas très grande, 1m65 pour peut-être 65 kilos, un peu en surpoids, mais rien de bien grave. Les seins difficiles à définir, elle porte toujours des vêtements amples ou de gros pulls masquant ses formes. Des cuisses un peu fortes, mais là aussi, pas évident de bien la décrire, vu les artifices vestimentaires. Mon épouse, Séverine, 1m75 pour 55kilos, mince, élancée, plus jeune que moi d’une quinzaine d’années. Une épouse aimante et dévouée, pas soumise, ni dominante, mais aimant le sexe sous toutes ses formes. Et bien entendu, jalouse ou à tout le moins, attentive à ce que je reste bien dans les balises que nous nous sommes fixées depuis notre rencontre. Elle connaît l’apôtre et la musique.
Et moi, Alex, bientôt 3x20, mais encore bon pied bon œil. J’aime bien la perdrix, mais je me mettrais bien une jeune caille sous la dent. Il ne faut pas trop tenter le faible que je suis devant de la chair fraîche.
Jeudi, épouse partie travailler depuis deux heures, je me lève mais alors péniblement. Un petit café, Lisa est dans sa chambre, en pleine révision. Bien, la journée va pouvoir débuter, pas grand-chose à faire aujourd’hui, je vais préparer le souper, ensuite je rangerais un peu la mezzanine de notre chambre. Mais avant, me douche et m’habiller, d’habitude, je traîne en peignoir, mais vu la présence de Lisa, je fais un effort et aussi pour éviter une discussion avec Séverine le soir si elle apprend que j’ai glandé en peignoir toute la journée. La matinée se passe, tout est prêt pour le repas du soir, il n’y aura qu’à lancer les cuissons. Midi, Lisa descend et nous dinons en tête à tête, papote banale. Elle prend un peu de repos devant la TV, avant de retourner à ses études.
Après avoir regardé le JT, je me fais une petite sieste avant de monter dans notre chambre pour effectuer le rangement de la mezzanine. Comme me le sermonne chaque fois Séverine, tu ne dois pas faire de bruit lorsque la petite étudie. Et patati et patata... Bon, ça va, je ne suis pas un enfant, j’ai compris, pas besoin de le seriner chaque matin ou de me laisser un billet avec des instructions.
Donc, je suis sur cette mezzanine, et je range. En fin du rangement, j’ai à peine commencé que je tombe sur une BD. Et comme un sale gosse, je m’assieds dans le fauteuil et débute la lecture, oublié les bonnes intentions de rangement. Même pas un quart d’heure de passé. J’entends un pas léger, mais alors très léger venant d’en bas.
Alors non, quelqu’un n’est pas entré dans la maison, Lisa est dans ma, notre chambre. Et la manière dont elle y est entrée, à pas feutrés c’est qu’elle ne se doute pas que je suis juste au-dessus d’elle. Je ne vois pas grand-chose d’où je suis, juste une vue sur une petite moitié de la chambre. Mais, attendons, elle ouvre la grande penderie, en fait, six meubles aménagés d’une marque suédoise bien connue, avec différents types de rangements. Deux armoires pour moi et quatre pour Séverine. Dont une avec les vêtements utilisés lors de nos jeux et sorties entre "adulte". En fait, rien de bien méchant, vêtements sexy et classe à la fois, pas de souci.
Par contre, plus embêtant, si elle regarde dans la commode, que j’ai en ligne de mire. Je ne pourrais pas manquer de voir ce qui l’attirera dans celle-ci. Les différents tiroirs contiennent des vibromasseurs, gode ceinture avec embout de différentes tailles, plugs, gel anal, cage de chasteté pour homme, cravaches, etc. Et bien d’autres choses, enfin la panoplie que l’on a chez soi après des années de libertinage.
Lisa doit toujours être dans la grande penderie à regarder les différents vêtements, mais surtout, elle pense à ne pas faire de bruit. Comme moi. Le parquet grince légèrement, elle se déplace, puis plus rien, est-elle sortie ? Non, j’entends une respiration. De l’endroit où je me trouve, je la vois avancer vers la commode. Tiens, elle a quitté son gros pull, elle est en t-shirt, mais toujours avec son pantalon de jogging. Je retiens mon souffle et apparemment, elle aussi. Sa main se dirige vers le tiroir du haut. Elle prend la poignée en main, se ravise, elle le prend par les deux poignées. Finaude, car plus facile à ouvrir et moins de risque de faire du bruit. Et là, doucement, elle fait coulisser celui-ci.
Elle arrête l’ouverture lorsque celui-ci est aux trois quarts, et devant ses yeux, une panoplie de vibromasseurs et godes, de formes, tailles, matières et couleurs différentes. Sa main plonge dans le tiroir, elle en ressort en tenant un gode en verre en forme de phallus, un gland bien dessiné à chaque bout du gode, un gros gland et l’autre plus petit, et surtout une tenue en main hyperpratique. Elle le lève devant ses yeux, touche de sa main gauche le petit gland, puis le gros, elle revient vers le petit. D’où je suis, je vois une partie de son petit manège, soudain, elle porte le gros côté à sa bouche et fais disparaître le gland dans sa bouche et mime une fellation avec le gode.
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