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Film X avec ma mère

Chapitre 1

Inceste
Un jour un drôle de gars sonna à la porte de la maison. Ma mère ouvrit.
— Bonjour Madame. Je m’appelle Brice Jones, je suis réalisateur de cinéma. J’habite pas loin dans le quartier et j’ai pris la liberté de venir vous voir.— Ha bon ? Et pourquoi vouliez vous me voir ?— Si je voulais vous rencontrer c’est parce que je vous ai vu avec votre jeune fils dans la rue. Comment s’appelle-t-il ? — Mathieu, pourquoi ?— Hé bien je suis sûr que Mathieu et vous feriez de très bon acteurs pour un de mes films.— Un de vos films ? demanda ma mère avec curiosité. Et quels types de films tournez vous ?— Des films X chère Madame. Et je vous veux tous les deux avec votre fils dans mon prochain film, que vous tourniez ensemble.
Ma mère resta bouche bée, stupéfaite.
— Ensemble, avec mon fils Mathieu ?— Oui Madame. Je suis spécialiste d’un genre un peu spécial. On va appeler ça des films "familiaux", c’est-à-dire tournés entre membres d’une même famille. J’ai un catalogue très vaste et un public de connaisseurs, amateurs du genre, très exigeants. Vous êtes une belle femme, votre fils un jeune homme charmant, et je souhaiterais vous filmer avec lui.— Comment ça "avec lui" ? Vous voulez dire que lui et moi devrons... hum !... Faire des choses ensemble ?— C’est tout à fait ça Madame. Il s’agira de vous filmer en plein ébat amoureux avec lui.
Ma mère resta bouche bée.
— Mais enfin Monsieur, ça ne va pas bien ? Vous n’avez pas honte de venir me voir pour me proposer cette cochonnerie ? Sortez immédiatement !
Ma mère allait fermer la porte mais le gars insista :
— Attendez, je vous laisse ma carte de visite. Bien sûr vous serez largement rétribués pour cette prestation. Pensez y, c’est aussi souvent l’occasion pour les gens avec qui je tourne de réaliser leurs fantasmes.— Je n’ai pas le fantasme de coucher avec mon fils, Monsieur.
— En êtes vous sûre ? Bon je ne vous dérange pas plus longtemps, pensez y seulement...
Et Brice Jones s’en alla. Ma mère était stupéfaite. Jamais elle n’aurais un jour imaginé être démarchée pour ce genre de choses. Elle posa sa carte de visite sur une table et l’oublia là.Le soir je rentrais à la maison après ma journée à la fac et je tombais tout de suite sur le petit bout de carton imprimé.
— Maman, qu’est-ce que c’est cette carte ? C’est qui ce Brice Jones ? Et sa société "love production", c’est quoi ?— Heu rien mon chéri. Un démarcheur, un truc idiot...— C’est-à-dire ? Il vendait quoi ?— Il ne vendait rien. Il voulait nous proposer de tourner un film.— Un film ? Quel genre de film ?
Un peu gênée elle m’expliqua de quoi il s’agissait.
— C’est complètement abject comme idée, dit elle. Tu imagines, ils m’a même dit que ça peut être le moyen de réaliser certains fantasmes !— Des fantasmes ?— Oui, si par hasard j’avais envie de coucher avec toi, ou l’inverse...
Cette dernière phrase me laissa perplexe. Je ne pus m’empêcher de me demander si j’avais déjà eu envie de coucher avec ma mère. Et je devais avouer que oui. Je me rappelais de ce jour où je l’avais surprise dans la salle de bain, à genoux, en train de récupérer un objet tombé sous le lavabo. Elle était entièrement nue, jambes écartées, sa position m’offrant un somptueux panorama sur son sexe. Il était superbe, poilu, bien fendu. Incroyablement indécent. J’aurais voulu l’admirer plus longtemps, mais je choisissais de discrètement m’éclipser avant que ma mère ne s’aperçoive que j’étais en train de la regarder. L’image de cette vulve volumineuse, avec ces grosses lèvres charnues, resta cependant gravée dans ma mémoire (et alimenta quelques-unes de mes masturbation nocturnes).
— Ha... Et ils paient bien pour ce genre de film ? demandais je un peu bêtement.— Comment ça, s’ils paient bien ? Je suppose que oui. Mais tu ne vas quand même pas me dire que tu envisagerais ce genre de choses avec moi, même s’ils payaient bien ?— Non, c’est pas ce que je voulais dire. Je me posais juste la question.
Ma mère voyait bien que j’étais gêné.
— Mathieu, répond moi. Tu n’as pas eu ce genre de fantasmes, de faire des choses avec moi ?— Non... Pas du tout maman.— Bon tant mieux. Ca serait très grave, tu sais.— Oui je sais.— Bon, OK on en parle plus et on on oublie tout ça...
La vie suivit son cours, et le quotidien reprit le dessus. Mais je savais que ma mère n’était pas dupe. Elle avait bien senti mon hésitation. Quelque chose changea alors dans son attitude. Elle qui n’avait jamais été très coquette se mit à être élégante, voire séduisante en ma présence. Elle devint beaucoup plus douce avec moi, voire un peu mielleuse. Inconsciemment il devait se jouer là quelque chose, peut être se posait elle, elle aussi, des questions. Après tout nous vivions "en couple" depuis des années, depuis le décès accidentel de mon père. Avait elle aussi de son côté des moments de faiblesse, certaines attirances vis-à-vis de moi ? J’étais plutôt beau mec, assez viril et elle n’avait plus fait l’amour depuis des années, je le savais. Alors parfois je sentais des ambiguïtés.Jusqu’au jour où... Un événement inattendu changea le cours des choses. Ma mère demanda à me parler d’une chose importante.
— C’est la banque, Mathieu. Je suis à découvert. Et j’ai même pas de quoi payer le remboursement de l’emprunt pour la maison. La banque m’a menacé de saisie sur la maison.— Ho non maman ! Il faut trouver une solution.— Je sais. Mais c’est sans issue. Il faut une somme d’argent assez importante.— Maman, j’ai peut être une idée. Tu te rappelles de ce gars, Brice Jones ?— Oui bien sûr. Pourquoi me reparles tu de ce pervers ?— Parce qu’il proposait une belle somme d’argent pour faire ses films.— Mathieu, tu es fou ? Ce sont des films x. Tu sais ce que ça qu’est-ce que ça veut dire ? Il s’agit de sexe !— Je sais. Mais ça nous sortirait d’affaires... Ça suffirait pour payer l’emprunt sur plusieurs mois, le temps de voir venir.
Ma mère me regarda avec des yeux ronds. J’étais persuadé qu’elle allait refuser et je m’attendais à me faire engueuler d’avoir osé lancer cette idée. Mais elle resta calme, baissa la tête, sembla réfléchir. Elle se mordit la lèvre, ferma les yeux. Puis son verdict sortit, du bout des lèvres, comme si on lui arrachait quelque chose.
— Bon, on a pas le choix. OK.
J’étais stupéfait. Elle semblait avoir complètement avoir changé d’opinion. Réalisait elle bien ce qu’elle s’apprêtait à faire ?Un rendez vous avec l’équipe de production fut pris, et le jour dit, ce fut tout une équipe de tournage de cinéma qui s’installa chez nous. Ma mère pour l’occasion avait mit une petite jupe très courte et un chemiser superbement décolleté. J’étais assez surpris : si elle voulait réveiller mes instincts les plus primaires, c’était la bonne façon de faire.
— On peut s’installer ici, dans le salon, dit Brice Jones. Quelle genre de scène voulez vous jouer ? Nathalie, vous allez devoir séduire votre fils... Comment pourriez vous imaginer faire ?— Pour le séduire ?— Oui. Essayez de trouver quelque chose, une situation érotique, un scénario.— Je ne sais pas, Monsieur Jones. C’est vous le professionnel. — C’est vrai, mais réfléchissez quand même. Pour que ça fasse naturel il faut que ça corresponde à un de vos fantasmes. Peut-être un jour avez vous rêvé d’entrer dans la chambre de votre fils la nuit et le réveiller avec des caresses, voir son membre viril grossir dans vos doigts ? Ou alors peut être avez vous imaginé vous offrir à lui comme cadeau d’anniversaire ? (ou l’inverse).— Non, je n’ai jamais eu ce genre de fantasme, Monsieur.
Elle fit une pause. Sembla réfléchir.
— Par contre il y a quelque chose qui m’a donné des idées, à quelques reprises. J’en ai un peu honte, mais au point où on en est je peux vous l’avouer. Lorsqu’il était plus jeune Mathieu aimait me faire des massages. J’étais assez tendue à cause de mon boulot et ça me faisait beaucoup de bien. Et Mathieu était très doué. Bien sûr il était trop jeune pour penser à mal, mais je me suis parfois demandé ce que ça me ferait si un jour il débordait avec ses doigts vers des caresses intimes. Je culpabilisais d’avoir ce genre de pensées, mais je me disais que ça ne serait pas désagréable.— Très bonne idée ! On va faire ça. J’imagine qu’à l’époque vous étiez en sous vêtements lorsque Mathieu vous faisait ces massages.— Oui bien sûr.— Alors on va faire pareil. Installez vous sur votre canapé en petite tenue, Nathalie.
Ma mère obtempéra et se déshabilla sous les regards de toute l’équipe de tournage. Elle était vraiment belle, grande, avec des belles formes rondes, très agréable à regarder malgré son âge. Elle s’installa alors sur le grand canapé du salon, à plat ventre, en culotte et soutien-gorge, et elle ferma les yeux. Je récupérais de l’huile de massage et je commençais à caresser son dos, ses épaules.La caméra tournait, en gros plan sur mes mains. Le contact avec la peau nue de ma mère me ravissait, comme avant, lorsque j’étais enfant. J’adorais faire des massages et ma mère aimait ça aussi. Mais bien sûr cette fois ci les choses n’en restèrent pas là.
— Bien, dégrafe le soutien-gorge de ta mère Mathieu ! commanda Brice Jones. Ça sera plus pratique pour la masser. Et après tu lui enlève la culotte aussi !
Le ton était directif, mais très calme et professionnel. Ma gorge se serra. Et je supposais que ma mère aussi devait être impressionnée. Je dégrafais son soutien-gorge, caressais son dos nu, le massais avec les mêmes mouvements que je faisais lorsque j’étais enfant. Puis fis glisser sa culotte le long de ses jambes. Je pus alors enfin admirer ses fesses nues. Elle étaient magnifiques, plutôt rondes, somptueuses. Je posais la main dessus et malgré un certain trac je commençais à les caresser. Elles étaient d’une douceur extraordinaire. Je me mis à les masser, les malaxer à pleine main, avec délice. J’en profitais pour écarter les globes des fesses, découvrant un peu plus à chaque mouvement sa fente, toute cette partie cachée de l’anus à la chatte, ce mystère qui excite tant la curiosité des hommes.
La caméra bien sûr filmait tout ça. Mes doigts se rapprochèrent petit à petit du centre de mes attentions, caressèrent son anus. Puis je glissais un doigt entre ses cuisses, le long du sillon de son sexe, pénétrant entre ses lèvres. J’y étais. J’avais un doigt dans sa chatte.
— Superbe, ça. Vas-y jeune homme, rentre ton doigt. Je suis sût que tu en as rêvé plein de fois. Oui comme ça, tu mets ton doigt jusqu’au fond. Tu fais des va-et-vient... Est-ce que c’est mouillé ?— Oui...— Excellent ! Ta mère aime ça ! Continue.
Je ne pouvais nier que j’étais excité, et ma mère aussi. Elle était trempée. Sous l’effet de mes caresses, elle se mit même à gémir. Pas grand-chose, juste un léger bruit. Mais c’était clairement audible. Encouragé par ce gémissement je continuais mes caresses. Ma mère adorait.
— Superbe, s’écria Brice Jones. Maintenant Mathieu déshabille toi aussi. Montre à ta mère que tu n’es pas seulement un bon fils mais aussi un vrai jeune homme, bien membré. Je suis persuadé qu’elle va apprécier.
J’enlevais tout de suite mon pantalon, mon caleçon, exhibant une queue bien droite et déjà dure.
— Bien ! Approche toi de ta mère maintenant. Montre lui ton bel engin !
Je m’exécutais. Ma mère tourna la tête vers cette queue que je lui présentais. Là encore je m’attendais à une manifestation de désapprobation de sa part, voire du dégoût. Mais rien de tout. Sans avoir besoin de plus d’instructions elle approcha son visage et commença à lécher le bout de mon gland. Puis elle mit l’entièreté de mon sexe dans la bouche.
— Superbe... murmurait Brice Jones, superbe...
Le réalisateur était ravi. Il avait eu raison : il avait bien senti que sous son aspect de bonne bourgeoise se cachait une belle cochonne. Ma mère dégustait maintenant ma queue avec appétit. Elle s’était redressée pour mieux me sucer et elle y mettait vraiment du sien. C’était délicieux. Affamée après plusieurs années de chasteté, elle se lâchait, me bouffait littéralement la queue. Elle l’enfournait tout au fond de sa gorge, la suçait à grand renfort de salive, frénétiquement, alternant à merveille entre douceur et énergie.Après un bon moment de ce délicieux traitement, Brice Jones intervint à nouveau :
— Nathalie c’était superbe ! J’avais raison de te faire confiance ! Bien, les tourtereaux, on passe au principal. On change de scène. Mathieu tu vas venir sur ta mère et occupe toi bien d’elle !
Ma mère ne me regarda même pas. Elle avait parfaitement compris ce qu’on attendait de nous. Elle s’allongea sur le dos et écarta les jambes, évitant de croiser mon regard. A nouveau j’en eu le souffle court. J’avais devant moi le plus beau panorama du monde, l’origine du monde personnifiée. Le sexe de ma mère ouvert, offert. Je me penchais vers elle.
— Maman, ça va aller ?— Oui mon chéri. Ne t’en fais pas. Viens, j’ai envie.— Pardon ?— Oui, Mathieu, j’ai envie que tu me prennes, murmura-t-elle. J’ai envie de sentir ta queue en moi. — OK maman. Ecarte un peu les jambes... Encore un peu. Mmmh, tu as une chatte superbe maman.— Merci mon chéri.— Tu sais que tu me fais bander depuis que je suis gamin ? J’ai souvent rêvé de toi dans cette position.— Ha bon ? Remarque je m’en doutais un peu... Alors maintenant baise moi, puisque tu peux le faire. Moi aussi j’ai trop envie.— Bien... Alors j’y vais maman, je rentre...
Et je poussais ma queue à l’intérieur d’elle...
— Ho ouiiiiiiii ! Ha ! Elle est grosse ! Ça fait du bien.— Vraiment ?— Ho oui ! Ça fait longtemps que je n’ai plus fait l’amour. Aïe !— Je te fais mal ?— Non vas y c’est bon ! C’est juste que j’ai plus l’habitude. Mais c’est pas grave. Vas-y, continue. Plus profond, plus fort !— Oui. Alors prends toi ça maman !
Et je rentrais en elle avec plus d’énergie encore... Toute l’équipe de production était ravie. Ils en avaient vu des fils baiser leurs mères, et des papa se régaler dans la chatte de leurs filles ! Mais ils trouvaient que ma mère et moi étions spécialement doués, très beaux à voir. Brice Jones aussi était aux anges. Il ne disait plus rien, il n’avait plus besoin de nous donner des instructions, nous n’avions même pas besoin de nous forcer ni de jouer la comédie. Son film allait être magnifique.En attendant ma mère et moi on s’éclatait vraiment.
— Putain, que t’es bonne maman !— Oui, continue à me baiser, j’aime ça !— Tourne toi maman, j’ai envie de te prendre en levrette.— Comme ça ?— Oui. C’est superbe. Tu as un cul merveilleux !— Et toi une queue splendide mon chéri.— Alors prends la toi à nouveau, maman !
J’agrippais ma mère par les hanches, la pénétrait à nouveau, la secouant dans tous les sens... Le plaisir était somptueux, incroyable, trop fort. Je sentis que je ne pourrai pas me maîtriser longtemps.
— Ha maman, je vais jouir !— Ha NON ! s’écria ma mère, j’en veux encore !— Ha NON ! s’écria Brice Jones, on a encore plein d’images à faire !
Je me retirais alors de ma mère et j’essayais de me calmer.
— OK ça va mieux...— Alors je vais un peu passer au-dessus de toi, mon chéri. Tu vas voir, c’est très bon et tu pourras te reposer...— Excellent ça ! renchérit Brice Jones.
Ma mère se mit à califourchon au-dessus de moi, positionna son vagin pile à l’aplomb de mon membre, et descendit dessus. Ainsi empalée elle se mit à bouger, d’abord plus doucement, puis à un rythme plus rapide.
— Tu aimes ça mon chéri ? Moi j’adore. Dans cette position j’arrive à amener ta queue tout proche de mon point G. C’est délicieux.— Pour moi aussi c’est super, maman. Je te sens bien.
Je regardais ma mère monter et descendre, avec ses gros seins qui ballotaient au-dessus de mon visage. C’était extraordinaire. Nous restâmes quelques minutes dans cette position, ma mère s’agitant comme une diablesse, gémissante de plaisir. Puis elle se remit en levrette. A chaque fois la caméra nous suivait et Brice Jones nous complimentait sur notre sens du spectacle. Après vingt bonnes minutes de prouesses sexuelles, il nous interrompit.
— Bien, vous avez été géniaux. J’ai assez d’images. Bravo à tous les deux. Mathieu tu vas jouir sur les seins de ta mère maintenant.— Je peux pas jouir à l’intérieur d’elle ?— Non, tu l’aurais bien mérité bien sûr, mais c’est pas très photogénique. Il faut qu’on voie ton foutre jaillir et inonder ta mère.— Oui bien sûr...— OK. Alors Nathalie suce un peu Mathieu, jusqu’à ce qu’il vienne...
Ma mère remit mon sexe dans sa bouche et me suça à nouveau avec énergie. Il ne le fallu pas plus que quelques minutes pour exploser. Elle s’écarta et ce fut une superbe giclée de sperme chaud qui lui inonda les seins. Ça coulait, coulait... Jamais je n’avais joui aussi fort. Ma mère en avait partout, sur le visage, les seins. Loin d’être dégoutée elle léchait tout avec gourmandise.
— Vous avez été géniaux, lança Brice. Je n’aurais pas pensé que vous seriez aussi bon. Est-ce que vous êtes disponibles la semaine prochaine. On remet ça si vous voulez, vous allez devenir des stars !
Ma mère et moi on s’est regardé, incrédules. Avoir baisé ensemble une fois était déjà une chose totalement transgressive. Nous avions brisé le tabou de l’inceste. Même pour une somme d’argent importante, je ne pensais pas ma mère capable de recommencer. Mais une fois encore elle me surprit :
— OK Mr Jones. Vous doublez le prix et on sera encore meilleurs !— Accordé Nathalie ! Tu es une vrai coquine toi !
Et il se mit à rire de bon cœur.
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