Elle était plutôt dévergondée quand je l’ai connue, nous sommes devenus libertins. On est jeune, on apprend le sexe ensemble, surtout moi. Et on aime tellement ça, qu’on le partage. Lors de nos premiers échanges, j’ai appris que j’aime la voir au prise à d’autres types. La convoitise, l’excitation qu’elle suscite. Comme elle se donne, comme elle s’abandonne. Comme elle me regarde quand elle prend du plaisir coupable. Nous n’avons pas encore trouvé nos limites, elle est intrépide, elle est mon héroïne. On s’est décidé sans vraiment réfléchir, l’idée nous excitait tous les deux. Malgré tout on ne voulait pas qu’elle s’y rende seule, je l’ai donc accompagné sur ce tournage réservé aux amatrices. Un plan dont nous avait parlé un couple rencontré dans un club échangiste. Madame au prise avec un hardeur, filmé par un pro, un souvenir pour la vie. Le producteur avec qui nous avons rdv dans cet hôtel en pleine après midi a plus l’air d’un vendeur de voiture d’occasion que d’un cinéaste. Bien en chair, la cinquantaine grisonnante, lunettes police et blazer bleu marine. Avec lui un grand beau gosse baraqué, parfaitement chauve. Victoire dont la grande peur était de devoir tourner avec un mec moche est rassurée, le bellâtre lui plaît, je le sais à son petit sourire timide. Allume bien la camera, n’est pas peur d’en faire des caisses, voilà pour le scénario. Dans la chambre, elle prend place sur le bord du lit et « moteur ». Le macro derrière la caméra l’a fait parler de ses orientations sexuelles, de ses débuts, de ses envies. Des questions bien banales en vérité. Elle répond qu’elle aime le sexe et veut tout connaître, très souriante dans sa jupette. Moi je sais qu ’elle aime qu’on la regarde. Faut dire qu ’elle est jolie, à peine 22 ans une gueule d’ange, un cul d’enfer. Mr propre entre en scène, il l’embrasse à pleine bouche, il la pelote virilement, elle paraît toute petite entre ses mains.Ils me regardent à tour de rôle. Je tache d’avoir l’air détaché, de sourire et de faire des petits clins d’œil à ma femme pour l’encourager. Alors il passe sous la jupe explorer le contenu de la culotte. Il présente à la caméra la petite chatte qu’il y trouve. Gros plan sur sa fente juvénile. Elle rougie à peine. Plus avant il explore le contenu du petit bijou. Il ouvre ses lèvres de ses longs doigts agiles, caresse avec sa langue ses méandres roses. Elle se met à mouiller brillamment, ce qui n’échappe pas au cameraman. Ses consignes sont maintenant ponctués de « salope » et de « petite chienne en chaleur ». Moi dans mon fauteuil je ne suis pas contre. Il lui sort sa grosse queue d’étalon. La mienne est de jolie taille mais là on est sur un autre level. Il l’a laisse l’étudier et comme elle approuve du regard les « tu aimes les grosses queues » de l’objectif, il lui remplit la bouche, en gros plan comme il se doit, et on passe brutalement d’un mignon butinage de gland a une démonstration de baise de bouche façon gavage d’oie. Elle devient rouge pivoine. Le maquillage craque, les présentations sont faites, on est un peu surpris mais elle accepte le défi. Il l’a débarrasse rapidement de son haut, sans plus d’attention pour ses jolis petits seins. Elle est nue. Il la place a 4 pattes sur le lit. Gros plan sur le cul de ma femme, zoom sur son abricot épilée pour l’occasion et son petit trou délicat. De ses longs doigts il prépare le terrain, un doigt au fond du vagin puis 2. Il se place derrière elle et l’enfile. Le membre s’enfonce au ralenti. A sa basse le diamètre de la queue est impressionnant, le sexe de ma chérie s’écarquille, les lèvres s’ouvrent étonnamment élastiques, rouge sang. Elle le contient, la chatte et le visage déformés. Il se met en branle, son bassin claquent ses fesses. Il accélère. Moi je suis plutôt tendre dans l’étreinte, mais lui au contraire entreprend de lui démonter le cul. Jamais je ne l’avais vu subir un tel assaut, elle lui oppose son cul tant qu’elle peut, plantée dans le matelas. J’ai du mal a savoir si elle souffre ou si elle prend son pied. Mais très vite elle se redresse. Elle émerge du gras du lit, bien campée sur ses 4 pattes. La croupe bien haute, les reins creusés, la tête en arrière, elle râle d’une voix nouvelle. Ça ne fait maintenant plus aucun doute, elle prend son pied. Ça n’échappe pas au réalisateur qui encourage son étalon. Il s’emballe. Il leur fait changer de position, elle dessus, dessous sur le dos, sur le ventre. Quand ce n’est pas lui qui la bourrine, c’est elle qui rebondit de tout son être sur sa queue. Un vrai rodéo, filmée sous tous les angles. Il demande à ma femme en plein extase de regarder la caméra dans les yeux. A moi il me confirme que ma copine est une bonne petite salope qui le fait bien bander. Moi au contraire je ne bande plus, je retiens ma respiration. Je crois qu’elle jouit plusieurs fois d’affilé, je ne la reconnais plus. Puis ils se calment et vient le moment de la récompense, lui au dessus, elle a genoux, elle attend convaincue qu’il lui gicle sur le visage. Elle est rincée, corps et âme. Superbe ! Il est content, et nous assure qu’il y a matière a faire une bonne vidéo et qu’elle sera parfaite dans d’autres productions. Je lui promet d’y réfléchir dès qu’elle aura retrouver l’usage de la parole. Reste une petite scène a tourner, la signature de la production. Un petit debrief sous la douche juste elle et lui, la salle de bain est petite. Elle le suit machinalement, Je reste une dizaine de minute interminable en tête à tête avec Rocco la queue à l’air qui reprend son souffle. Puis je passe la tête voir ce qui se trame dans cette salle de bain. Il est assis sur les toilettes le pantalon sur les chevilles, ma femme a genoux entre ses cuisses en train de le sucer. Nul trace de caméra ce coup-ci. L’interview a un peu dérapé il semblerait. La tête de ma chérie monte et descend en rythme, la tête de l’autre grimace et pousse un râle de plaisir, il vient de lui jouir dans la bouche visiblement. Je ne sais pas comment réagir. Il prend l’initiative avec assurance, elle est douée, j’insiste, je veux la voir sur un autre tournage. Elle me regarde assouvie la bouche encore pleine. Sur son trône pendant qu’il se faisait tailler une pipe, il l’a convaincu de renouveler l’expérience, puisqu’elle veut remettre ça très bientôt.
