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Le Fils du Forgeron

Chapitre 2

Hétéro
Juste avant d’arriver à la forge, les deux jeunes tourtereaux s’étaient donnés rendez vous le surlendemain pour un petit pique-nique entre eux. Après, avoir ferré le cheval, Marie et son père, rentrèrent au village, mais juste avant de partir, Paul lui dit: « tu me payeras comme tu pourras, même en nature s’il le faut ».
Le lendemain, Marie resta à la maison à faire ses tâches ménagères et à repriser des vêtements. L’après midi, elle continua un moment sa couture, puis s’isola un long moment dans sa chambre, elle préparait une surprise pour Marc. Celui ci avait travaillé comme un forcené toute la matinée, prenant même de l’avance sur les commandes. Son père était à la fois étonné et content de voir son fils aussi dévoué à son métier. Il lui permit donc d’arrêter au milieu de l’après midi pour qu’il puisse aller se reposer. En fait, Marc avait d’autres projets. Il alla d’abord à la rivière pour se laver et enlever l’odeur infecte de transpiration ainsi que la poussière de métal. Puis il s’habilla avec son pantalon de cuir brun plus large que l’autre pour lui permettre une démarche plus aisée, et mis une chemise en lin et à manche courte, mais il ne l’avait pas mise depuis un certain temps, si bien qu’elle le serrait au niveau des épaules où le tissu se déchira. Il enleva les bouts de tissu qui pendaient pour se retrouver avec une chemise sans manche. Il accrocha une petite bourse à sa ceinture, elle contenait ses maigres économies accumulées depuis des années: quelques piécettes de bronze et d’argent et une en or. Son père avait pris le relais à l’atelier et était absorbé dans son travail, Marc lui dit: « Je vais me détendre un peu, je reviendrais tard ce soir, ne m’attend pas », son père acquiesça et son fils partit très vite en direction de la forêt.Il marcha environ 1/2 heure au milieu des arbres et des animaux sauvages qui croisaient son chemin. Soudain il arriva sur un petit sentier couvert de cailloux et qui s’enfonçait dans une partie plus sombre de la forêt. L’air s’était refroidi sous l’épais feuillage des arbres, de rares rayons de soleil éclairaient de manière diffuse le chemin caillouteux. Il vit au bout du chemin, une lumière plus intense qui indiquait que Marc allait déboucher sur une grande clairière verdoyante. Quand il arriva enfin, il constata que la clairière était en fait un immense jardin où poussaient des plantes plus bizarres les unes que les autres. De toutes les couleurs, de toutes les formes, de toutes tailles, toutes paraissaient étranges pour Marc, qui fut surpris en voyant une plante, dont la fleur avait la forme d’une mâchoire et qui attrapait un oiseau au vol pour le gober tout entier. Marc, un peu paniqué, se promit de rester sur le chemin pavé. Au bout de l’allée, il vit la maison de la sorcière: petite à première vue, carrée, de plein pied, en bois noirci par le temps, des petites fenêtres, une cheminée qui crachait une légère fumée blanche et une tour sans toit, plus haute que la cheminée, elle devait lui servir pour l’observation des astres. Il se présenta à la porte et juste avant de frapper, une voix s’éleva à l’intérieur: « Entrez! » dit une voix féminine. Il entra en faisant grincer la porte et la refermant derrière lui. En se retournant, il sursauta: la sorcière s’était glissée juste derrière lui et collait presque son visage au sien. Qu’elle est jeune! Pensa Marc, elle avait un beau visage au teint hâlé, des cheveux noirs l’encadrait, une bouche fine lui souriait, et il se plongea dans les yeux violets de la sorcière. Celle ci le réveilla brutalement en lui donnant une petite claque sur la joue: « Hé oh! On se réveille! ». Il retrouva ses esprits pour voir la sorcière Clara se placer derrière une table totalement dégagée. D’un coup d’œil, il fit le tour de la bicoque: un bric-à-brac incroyable s’amoncelait partout, sur les étagères, comme sur les autres tables. Il y avait même des piles d’objets qui commençaient par terre et s’élevaient à hauteur d’homme. Derrière la sorcière sur sa gauche, le foyer de la cheminée brûlait à feu doux pour chauffer une marmite dont une mixture bouillonnait de temps en temps. Marc s’approchait prudemment au milieu de ce capharnaüm et s’assit sur une chaise en face de la sorcière. Qu’elle est belle! Pensa-t-il, en voyant, en plus du fabuleux visage, une merveilleuse poitrine qu’un décolleté blanc, très échancré, mettait en valeur. « Tu es là pour ton amoureuse » lui dit elle à brûle pourpoint. Relevant le regard de la poitrine généreuse vers ses yeux violets, il balbutia: « Ou…Oui, je…j’aimerais lui faire plaisir, mais j’ai un problème de…taille.— Tu as une queue trop petite? Tu veux que je l’agrandisse?— Non, ce n’est pas pour l’agrandir, mais pour la…rétrécir»  dit il gêné.Clara eut un moment de surprise, d’habitude les hommes venaient pour l’agrandir. « Tu veux vraiment la rétrécir? Et de combien de cm?— Suffisamment pour qu’elle est du plaisir sans avoir de douleur. Donc il faudrait la raccourcir d’environ 10 cm, et la faire maigrir d’au moins 3 cm. »La sorcière resta interloquée, elle n’en croyait pas ses oreilles: « Montres moi ça, que je me rende compte ». Alors Marc un peu gêné se releva, et fit tomber son pantalon. Il était contre la table, si bien qu’en libérant sa queue, celle ci vint taper lourdement contre le bois de la table, « et c‘est comme ça depuis 3 ans maintenant, ça a poussé d‘un coup » déclara Marc. En face, la sorcière, sous l’effet de surprise, en était restée bouche bée, car en effet ce qu’elle voyait était gros, mais au repos! « Et en action, c’est comment? demanda-t-elle, montres moi.— Je suis très gêné.— Ne t’inquiètes pas, je vais te décoincé alors… »Elle monta à 4 pattes sur la table et alla prendre en bouche l’énorme engin. Si au début elle put engloutir tout le membre, elle dut se retirer centimètre par centimètre, au fur et à mesure que Marc bandait. Pendant qu’elle le prenait en main pour soutenir la grosse massue, il avait retiré sa chemise, laissant apparaître sa forte musculature. La sorcière était impressionnée devant cette virilité qui émanait de lui, et elle eut une petite frayeur en voyant ses grandes mains calleuses se diriger vers sa poitrine. Elle pensait qu’il allait malmener ses seins, mais en fait, il fut d’une douceur incomparable. Puis il se pencha pour lui relever ses jupes noires et dévoiler des fesses assez larges dont il pourrait très bien se saisir. En se penchant un peu plus il lui introduisit un doigt dans le con qui mouillait déjà. Ne pouvant avoir plus que le gland en bouche, elle utilisait à merveille, selon Marc, ses mains pour faire monter l’excitation: d’une main elle le masturbait, d’ailleurs sa petite main ne pouvait faire le tour du chibre, de l’autre, elle lui caressait tantôt les bourses qui lui semblait bien grosses et pleines, tantôt son torse musclé et velu à souhait pour descendre le long des abdos sculptés à la perfection pour revenir sur les bourses.Cette relative douceur tomba soudainement. Marc, tellement excité, eut un grognement d‘animal et il prit alors la sorcière par la taille, la posa en position assise sur la table, face à lui, il lui déchira les vêtements tellement vite qu’elle ne se rendit pas compte qu’elle fut nue en quelques secondes. Ses jambes étaient bien écartées, elle se cambrait en arrière, offrant à Marc sa généreuse poitrine. Le jeune forgeron avait une main sur les fesses de Clara pour l’empêcher de reculer, et l’autre dirigeait son braquemart vers la vulve rouge et humide. Il pénétra son énorme gland en faisant gémir la sorcière et il eut un temps d’arrêt. Sa partenaire redressa la tête et eut un sentiment de terreur en voyant le visage de Marc: son regard noir s’était plongé dans les yeux inquiets de la jeune femme, son sourire montrait ses dents comme un chien montrait les siennes pour effrayer, la lueur rouge orangée du foyer lui donnait un air de diablotin, ses cheveux ébouriffés accroissant cette sensation.Et soudain, 2 éclairs, l’un de douleur atroce et l’autre de plaisir intense: Marc venait de l’empaler d’un seul coup dans le vagin et butait déjà contre le fond. Il lui souriait toujours pendant qu’elle cria sa douleur. Il était encore au fond quand elle descendit son regard vers l’énorme verge dont son vagin tentait d’en prendre la mesure tant bien que mal. Alors elle vit qu’en effet, 10 bon cm étaient encore dehors, faute de place. Marc commença à se retirer, son gland raclant au passage l’intérieur de la cavité qui fit gémir Clara. Celle ci mit une main sur son ventre, chuchota quelques mots, il y eut quelques étincelles, puis elle plaça sa main derrière le cou de Marc pour bien s’accrocher à lui pendant le deuxième coup de marteau. En effet, Marc avait armé le bélier, laissant juste le gland à l’intérieur, et attendait que Clara se soit bien positionnée. Et ce fut une nouvelle décharge mais moins forte: la sorcière avait agrandit son vagin grâce à la magie. Toutefois, si la largeur était convenable pour accueillir ce gros morceau, elle n’avait pas assez agrandi en longueur, si bien, qu’il lui toucha le fond une fois de plus. Elle s’était collée à lui, ses mains autour du cou de son amant, les seins plaqués contre le torse de celui ci, les jambes enlacées à hauteur de ses reins. Marc l’avait soulevée en la prenant par ses grosses fesses, et c’est en poussant un nouveau râle de bête enragée qu’il commença à la pilonner fortement et à une vitesse folle! La pauvre était secouée comme dans un tremblement de terre, ses seins claquaient contre ceux de son jeune homme fougueux, elle gémissait d’un plaisir intense en se disant qu’elle avait bien fait d’agrandir son vagin sinon elle aurait souffert le martyr.Il transpirait à en avoir le front qui perlait de sueur, l’air chaud et étouffant de la pièce calma un peu ses ardeurs. Mais il aimait les bruits de plaisir que produisait Clara, alors il stoppa ses va-et-vient, recula jusqu’à buter contre la chaise et se laissa tombait dessus comme une masse. La jeune femme eut un nouveau cri quand elle sentit la queue de Marc taper violemment dans le fond de ses entrailles, et une fois bien installés, les mouvements rapides du bas ventre reprirent de plus belle. Elle adorait ça, se faire ramoner jusqu’au fond, à une cadence aussi élevée, et elle avait maintenant la tête de Marc entre ses deux gros seins qu’il léchait de sa longue langue.Après une dizaine de minutes de ramonage intense, Marc renversa sa tête en arrière et crispa son visage: il sentait que le jus allait sortir. Clara l’avait aussi remarqué en sentant le membre qui la pistonnait, se gonfler un peu plus, même si elle pensait que ça ne pouvait être plus grand. Sentant Marc lâcher prise sur ses fesses, elle réussit à se dégager et retirer le pieu de son trou béant et coulant abondamment de sa mouille. Elle se mit à genoux entre les jambes du jeune homme, mais devant la taille de la verge elle dut se relever et se pencher en avant, les deux mains s’activant vite sur la queue trempée pour ne pas faire retomber la pression. Sa bouche s’activait sur les zone sensible du gland en donnant de bon coup de langue. Enfin ce fut l’extase: Marc lâcha un râle de jouissance, pendant que la jeune sorcière, la queue au plus profond de sa gorge, sentit des flots l’inonder de l’intérieur. Elle faillit se noyer sous la quantité de jus, mais avala rapidement, ce qui lui permit de respirer à pleins poumons pour son plus grand soulagement. En goûtant un peu plus attentivement les dernières gouttes de semence de Marc, elle remarqua un goût étrange. Une fois qu’elle eut bien tout nettoyé le gland et tout avalé, elle demanda: « tu as mangé quelque chose de particulier ces temps ci?— Non, pourquoi?— Quelque chose avec des fruits, précisa Clara.— Je mange quelques fruits que je trouve sur les arbres, ou des baies, et ma copine nous fait des tartes et petits gâteaux aux fruits des bois de temps en temps. Elle en fait depuis qu’on a 15 ans, un vrai cordon bleu…— Tu m’en diras tant, coupa la sorcière. Comment s’appelle-t-elle?— Marie, une belle brune au yeux verts, répondit Marc rêveur. »Clara réfléchit un instant puis laissa tomber, ça lui reviendra plus tard. « Rhabilles toi et assieds toi, je vais te préparer, quelque chose pour ton gros… » Elle n’osa pas prononcer le mot de peur de réveiller la bête.Elle s’activa dans tout les sens dans la maisonnette, cherchant des herbes, des plantes, préparant des mixtures… En voyant les formes généreuse de la sorcière quand elle se penchait en lui présentant aussi bien son décolleté que ses fesses moulées par la robe noire, Marc ne put s’empêcher de repenser à leurs ébats, et inconsciemment, il commença à rebander. Pour éviter que l’entrejambe de son pantalon de cuir ne craque, il dut sortir sa pine. Clara, en voyant ça, rougit, avec un sentiment de gêne et joie mélangé. Elle finissait sa préparation en mettant l’onguent dans une petite boîte en bois dont elle referma avec un couvercle à visser. « Voilà, lui dit elle en lui tendant la boîte, à appliquer directement sur ta queue, comme une pommade. L’effet dure environ une journée, ça résiste à la mouille et à la salive, mais ça peut partir à l‘eau. Ça devrait te la rétrécir suffisamment…— Devrait? S’inquiéta Marc.— S’il le faut, tu en remet une couche et sa doublera l’effet. Pour l’odeur, je l’ai camouflé avec un parfum de fraise, j’espère qu’elle aime ça.— D’accord, et… combien je te dois? Je n’ai pas beaucoup d’argent…commença Marc. »La sorcière baissa son regard jusqu’au membre de Marc toujours gonflé, et toujours aussi gros. « À vrai dire, je comptais te vider d’autres bourses, dit elle avec un sourire malicieux tout en s‘approchant. Je peux très bien être payée en nature… » Et donc, pendant une bonne heure, les deux jeunes amants eurent à nouveau des ébats plus que mouvementés. Marc n’avait pas utilisé l’onguent provoquant non seulement des douleurs dans le vagin de Clara, mais également dans son cul, où, après le passage de Marc, la petite rosette ne ressemblait plus qu’à un trou béant laissant couler une abondante semence blanchâtre et visqueuse. Il s’était rhabillé et avait porté la jeune femme dans son lit pour qu’elle puisse se reposer confortablement. Il l’embrassa une dernière fois et elle lui avait chuchotait à l‘oreille: « Si ça marche bien, n’oublie pas de venir me remercier… », puis elle s’évanouit d’épuisement. Marc ramassa la boîte de l’onguent pour la mettre dans sa bourse, puis il prit un morceau de bois à côté de la cheminée suffisamment épais pour s’en faire une torche. En effet, la nuit était tombée et il allait devoir rentrer dans le noir.Il suivait le sentier de cailloux depuis un bon moment, et se rendit compte qu’il était plus long qu’à l’aller, mais il continuait à le suivre. Plus tard, il aperçut une lueur dans le fond du bois. En s’approchant il s’aperçut que s’était la lumière de la forge. Il marcha jusqu’à sortir de la forêt et se retourna: le chemin de cailloux s’enfonçait dans la terre pour disparaître complètement. Sacrée sorcière! Pensa-t-il, elle l’avait guidé par la magie. Il se dit également qu’il irait la remercier très, très vite!
à suivre...
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