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Le fils du maître

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Le fils du maître.

Thomas avait 16 ans la première fois qu’on lui présenta la jeune fille. Elle devait avoir sensiblement le même âge, un joli visage de poupée brune, de grands yeux bleu innocents, et des cheveux longs et bien coiffés.
Sa tenue simple, petite tunique d’esclave coupée très court et ne comportant pas de culotte pour plus de commodité, ne cachait quasiment rien de son anatomie de jeune fille juvénile totalement épilée.
Le père de Thomas, fier et puissant dans sa tenue de général de l’armée, portant son sabre au côté, la poussa en avant avec ses bras musclés.
Thomas était assez petit pour son âge, et d’un physique plutôt faible.Son visage était beau malgré tout, héritage de sa mère, mais son corps n’aurait jamais la taille et la puissance de celui de son père.
Malgré tous ses efforts et l’entraînement incessants au maniement des armes rituelles, il restait assez décevant pour les attentes paternelles et la lourde tradition familiale de militaire.
Malgré tout il avait 16 ans aujourd’hui et comme le voulait la tradition il se voyait attribuer sa première pute esclave.
Une jeune fille pure et vierge, choisit pour son exceptionnelle beauté, et dont le rôle serait de le servir dans son plaisir et ses envies, mais également de lui rappeler la faiblesse des femmes. Il devrait apprendre à la dominer et la briser, usant de son anus à loisir mais la laissant vierge. Cette tradition permettant d’assurer la suprématie des hommes sur les femmes et écartant comme indigne les filles ou les hommes jugés trop faibles.
Une autre pute esclave lui serait offerte tous les ans jusqu’à ses 21 ans, jour de l’épreuve ou il gagnerait définitivement son droit et titre personnel de seigneur dans l’armée royale.
Il aurait ainsi constitué et dressé son propre harem personnel, écartant les filles les plus faibles, et pouvant enfin féconder les futures reproductrices qui lui permettraient d’avoir des garçons forts et puissants pour la guerre.
Thomas était une aberration dans sa propre famille, sa propre mère étant inconnue. Son père était revenu un jour après des années d’absence en territoire hostile. Portant Thomas bébé, comme un paquet sous son bras mais refusant d’expliquer qui était la mère et pourquoi il avait gardé l’enfant. Il l’avait confié à son propre harem qui s’était occupé de lui et l’avait élevé dans la tradition.
Thomas n’avait pas de frère ou de sœur, son père refusant de concevoir un autre enfant, pour une raison inconnue de tous. Certaines mauvaises langues prétextant qu’il aurait été châtré par les amazones des confins des terres hostiles, durant la guerre.
Personne n’osait remettre en doute les décisions du père malgré tout car il était un champion du roi et une des meilleures épées du royaume et toute critique ouverte lui donnait droit à provoquer en duel mortel l’imbécile qui oserait la proférer.
Thomas avait entendu parfois des discussions tendues entre son père et ses concubines dans la nuit. Les femmes lui reprochant le fait de ne pas les féconder, mais l’homme terriblement puissant et dominant les renvoyait alors ou les battait jusqu’à ce qu’elles sanglotent et se soumettent en silence à sa loi.
Pour l’instant son père se dressait fier et puissant devant lui, en tenue de combat comme le voulait la tradition.
— ‘ Tu dois la soumettre à ta loi car telle est la tradition. Ne me déçoit pas, et fait honneur à ton rang et tes ancêtres.

Son père était sorti de sa démarche souple et féline de guerrier, le laissant seul avec la petite fille les yeux baissés et soumis.

— ‘ Quel est ton nom ? Demande-t-il doucement en détaillant le petit corps de la jeune esclave et en relevant doucement son menton. ’— ‘ Je m’appelle Julie maître ’ dit-elle en le regardant de ses immenses yeux bleus.— ‘ D’où vient tu, et que sait tu de tes devoirs envers moi femelle ? ’ demande Thomas avec une voix moins ferme qu’il ne le voudrait.— Je suis issue d’une famille d’esclave, on m’a appris à m’occuper d’un homme et de ses besoins. Je sais cuisiner, laver, ranger, chanter et danser, mais je connais également toutes les manières de contenter un sexe d’homme ou de femme avec ma bouche. Le reste est théorique mais j’apprendrais ce que mon maître voudra bien m’enseigner de mon devoir de femelle ’ répond-elle de manière trop rapide, récitant ce qu’on lui a appris.
Cette esclave doit être hors de prix, car leur formation est longue et coûteuse, nécessitant une sélection génétique rigoureuse et la fille doit être intelligente et vive pour apprendre tout à un âge aussi jeune, tout en étant belle et forte. Un cadeau inestimable même pour un noble habitué à toutes les richesses comme Thomas.
Thomas reste un jeune garçon malgré ses ancêtres prestigieux et tous les rituels rigides qu’on lui a appris, et il n’a jamais vu de corps de femme avant, comme l’exige la tradition.
Plus curieux qu’autre chose il tourne autour de la fille bien plus petite que lui et la touche doucement sur les épaules.
’Enlève ta tunique et montre-toi dit-il’
La fillette s’exécute immédiatement, révélant un corps glabre et pas encore développé.
Sa peau est blanche, ses mamelons sont petits et rose. Ses seins minuscules, son ventre est plat et musclé, laissant présager d’une éducation physique importante. Sa fente vulvaire de petite fille présente un capuchon rose assez imposant qui déborde en avant, comme un mini pénis. Ses fesses musclées et fermes sont joliment dessinées.
Thomas se trouve pour la première fois avec une femelle nue à sa merci. Prête à exécuter ses moindres demandes.
Malgré tout la tradition est exigeante et il doit laisser la jeune fille vierge, mais il a droit à son anus et doit lui infliger tous les sévices qui lui chantent, sans que rien ne puisse lui être reproché.
‘ Mon maître veut-il que j’écarte les cuisses ? ’ demande-t-elle simplement en le regardant droit dans les yeux avec un petit air de défi brave, malgré la peur évidente qui émane d’elle.
‘ Assis toi sur le lit et écarte les jambes ’, dis simplement Thomas.La jeune fille monte sur le lit lestement en présentant son cul à Thomas. Lentement, elle avance à quatre pattes, en tortillant joliment son petit cul, comme une panthère.
Thomas a une vue imprenable sur le joli postérieur, le petit anus neuf qui se tient fièrement entre ses deux monts de chair rapprochés. Petit rond parfait qui attend sa queue pour s’ouvrir. Le trou interdit de sa vulve situé juste en dessous, est protégé par des lèvres roses énormes bien visibles quand elle avance.
Elle se retourne, s’assoit sur les fesses et écarte largement les cuisses révélant sa partie intime à Thomas, dont la verge commence à sérieusement tendre le pantalon.
— ‘Mon maître est-il satisfait de son esclave ? Demande Julie doucement, l’air plein de défi et de fierté mêlée’
Fasciné Thomas voit alors le capuchon proéminent de la jeune fillette, son clitoris énorme bien campé en dehors de sa fente, ses larges lèvres mais également en dessous son trou ouvert avec les excroissances de chair de son hymen qui veillent comme un soldat sur son trou de plaisir.
N’en pouvant plus il libère son sexe de son pantalon.Son sexe est assez grand, long et fin avec un bout rose et un gland allongé comme une amende. Une goutte d’un liquide incolore s’écoule doucement de son bout.
La jeune fille regarde d’un air satisfait le sexe tendu de son maître.
-‘ Souhaite tu me prendre maintenant ou veut tu que je te contente avec ma bouche, Maître ? ’
Thomas approche silencieusement de la fille et pose délicatement sa bouche sur le vagin rond et les lèvres proéminentes.
Il sent l’odeur douce de femelle qui exhale du sexe ouvert. Il approche son nez et sent le trou interdit.
La jeune fille étonnée ne dit rien et regarde incrédule le beau visage de son maître dont la langue commence doucement à toucher son trou.Aussitôt il se recouvre d’une substance luisante qui commence à dégouliner.
La jeune fille semble totalement interloquée, alors que Thomas commence à sucer doucement le clitoris énorme, le sentant grossir et prendre vie dans sa bouche, comme un petit pénis miniature, alors que les odeurs de la vulve excitée deviennent plus fortes.
Il frotte doucement son sexe tendu sur le lit, tout en explorant les nouveaux goûts et parfums avec sa langue, comme un fin gourmet découvre un nouveau plat. Explorant doucement l’intimité de la femelle interloquée avec sa langue il goutte le liquide chaud et salé qui dégouline de la fente. Il est sucré et très relevé. Aussi marqué et fort que le clitoris tendu et fier de l’esclave.
Il descend doucement dans l’espace sous le trou approchant sa langue de l’anus vierge et rond. Un goût très différent, plus dur et métallique, lui est renvoyé par l’anus. Il l’écarte très doucement et le lèche longuement tout en caressant le clitoris énorme tendu comme un pénis. L’anus commence à frémir sous sa langue et est pris de contractions involontaires
La jeune fille se met à gémir et laisse échapper un pet involontaire de fort mauvaise odeur.
Elle se raidit immédiatement s’attendant à être battue et chassé, mais Thomas continu tranquillement à la lécher sans rien dire, nullement incommodé par l’odeur intime de ses entrailles.
La fillette semble incapable de comprendre ce qui se passe, elle s’attendait à être sodomisée violemment sans autre forme de procès, par un maître autoritaire et vigoureux. Comme son enseignement le lui avait appris.
Et à la place elle se trouve face à un garçon doux et attentionné qui prend soin de son cul comme le ferait une femme.
À la fois ravie et tendue, s’attendant à moitié à un piège, elle se laisse porter par le plaisir fouisseur de la langue de l’homme sur son trou du cul, et aux caresses maladroites, mais vigoureuses, sur son bourgeon en érection. Malgré tout elle n’arrive pas à se lâcher et jouir, s’attendant à être punie à tout moment.
-‘ Maitre veut tu que je te contente ? ’ demande-t-elle d’une voix anxieuse.
Mais Thomas se contente de grogner doucement alors qu’il remonte le long de la chatte de la jeune esclave, puis le long de son ventre, léchant l’intérieur de son nombril au passage, qu’il lèche doucement les petits seins,simples mamelons roses tendus, et qu’il remonte enfin vers la bouche de la fillette qu’il ouvre et explore avec sa langue.
Le gout de sa mouille et de son anus dans la bouche, mais également les saveurs douces de son mâle la retourne complètement et elle se met à gémir alors que leurs langues se mélangent doucement dans sa bouche.
La verge tendue de Thomas se pose délicatement sur sa fente puis remonte le long de ses lèvres excitées et frotte délicatement son clitoris en érection et son ventre.
Puis la bouche se tend et le sexe dur lâche un long jet chaud sur son ventre et remplit son nombril alors que Thomas se vide pour la première fois sur son esclave comme le veut la tradition.
Il serre fort la jeune fille et lui mordille doucement les oreilles tout en les léchant avec sa langue.
La jeune fille interdite se laisse aller à ce plaisir nouveau, se faisant bécoter comme une adolescente pré pubère, alors qu’elle s’attendait à être sauvagement violée.
Puis le jeune homme se retire et contemple son œuvre, le ventre doux et musclé couvert de longues traînées de foutre blanc.
Il approche alors sa bite encore bandée de la bouche aux jolies lèvres humides de baisers de la fillette, et elle gobe le gland goulûment, suçant toute la semence jusqu’à ce qu’il soit entièrement propre en tirant bien sur son manche viril pour le vider complètement. Le sperme de Thomas est amer et collant, sans vraiment de goût, comme du blanc d’œuf. Julie se lèche les lèvres avec plaisir, savourant malgré tout pour la première fois la semence de son maître et s’imaginant être fécondée par elle un jour.
-‘ Lève-toi et danse pour moi ’ dis Thomas, qui finit de se déshabiller et s’installe sur le lit nonchalamment.
La jeune fille se lève de manière féline et gracieuse tout en commençant à bouger suivant les gestes compliqués des danses de séduction de son peuple. Son ventre luisant et dégoulinant de sperme alors qu’elle se trémousse les yeux brillants devant son nouveau maître.
Le corps nu de Thomas, bien que faible et mince est peu musclé malgré son entraînement. Les poils commencent à pousser sur son torse et son pubis est recouvert d’un léger duvet brun. Le sexe se met à se relever doucement suivant les mouvements de la jeune fille, et regrossit lentement pour devenir long et fin, son large gland décalotté et rougis par son effort précédent et les attentions humides de la bouche de l’esclave. La queue est longue et recourbée et bien que fine atteint presque le nombril du garçon.
Thomas est ébahi par la beauté de la fille et commence à sentir une chaleur étrange au creux de sa poitrine. Il s’attendait à devoir prendre une poupée raide et inutile par le cul, comme on lui a toujours dit qu’il en serait. Personne ne l’avait préparé à ressentir autre chose qu’une simple envie de décharger dans un trou.
Et voilà qu’il prenait plaisir à la présence de la fille, mais également à son odeur délicate, et même au goût étrange de son cul et de son vagin.
La jeune fille se trémousse les yeux brillant, se mettant à sourire tendrement tout en finissant sa danse de soumission et de séduction, les yeux ravis en regardant le sexe se dresser au fur et à mesure de sa prestation.
Thomas se rappelle alors brusquement qu’il doit dresser la fille, car il doit la soumette publiquement pour la tradition. C’est son devoir. Mais rien n’empêche de le faire en prenant plaisir et en donnant du plaisir à la fille ou du moins le moins de douleur possible.‘ Julie se répète-il, elle s’appelle Julie ’.
-‘ Fait ce qui te fait envie esclave, surprend ton maître ’ dit-il en la regardant avec curiosité.
Il aimerait connaître ses goûts et ses envies mais ne peut s’abaisser à lui demander directement.
La fille regarde le jeune homme, étonnée , et demande comme on lui a appris-‘ Veut tu que je me masturbe pour toi, veut tu que je mette quelque chose dans mon cul pour ton plaisir ? ’
— ‘ De quoi a tu envies toi ? ’ demande Thomas.— ‘ J’ai envie de contenter mon maître et de connaître tous ses goûts ’ répète machinalement la fille.
Thomas pousse un soupir, sachant ce qu’on attend de lui et ce qu’il en coûtera à la fille, alors qu’il commence à éprouver une attirance certaine pour elle.
-‘ Accroupi toi et prépare ton cul, je vais bientôt te prendre par-derrière pour te soumettre ’ dit Thomas d’une voix forte mais pas aussi autoritaire qu’il le voudrait.
-‘ Comme mon maître le désire ’ dit la jeune fille en baissant les yeux.
Puis elle s’accroupit au pied du lit, les cuisses largement écarté et son cul bien visible aux yeux de Thomas.
Elle commence alors à se masturber doucement, agaçant son clitoris tendu jusqu’à ce que sa chatte, déjà bien luisante laisse échapper une traîné de mouille qui commence doucement à couler le long de son périnée.
Elle mouille alors doucement son petit anus rond, jusqu’à ce que lui-même commence à luire.
Elle entre son index à l’intérieur et commence à préparer l’orifice vierge, comme ses enseignantes lui ont expliqué qu’elle devait faire.La jeune fille mouille abondamment et dilate doucement son trou, étant habituée à cet exercice.
Thomas les yeux écarquillés, se masturbe doucement, serrant fortement sa queue de peur d’éjaculer à nouveau sans pouvoir se tenir.
Il sait qu’il va devoir mettre sa queue dans le cul de la fille, d’un coup sec et sans aucune aide pour lubrifier l’étroit passage. S’il veut soumettre la femelle dans la souffrance, il doit la prendre sans préparation et la défoncer jusqu’à ce que son anus saigne et qu’elle pleure de douleur.
Mais Thomas aime bien la jeune fille, et il veut mettre en elle sa queue de mâle en la faisant jouir, il veut la soumettre par le plaisir. Il aimerait en faire une parfaite femelle, qui jouit du cul lorsque son mâle la prend. Hors peu de femmes sont aptes à jouir par ce passage, surtout sans préparation réelle.
Il sait peu de chose concrètes mais à pas mal appris de théorie en discutant et blaguant avec ses camarades du même Âge. Certains guerriers prennent plaisir à se sodomiser entre eux, et beaucoup de ses camarades sur le terrain d’entraînement ont déjà une forte expérience de cette pratique, active ou passive.
-‘ Je suis prête à être prise maître, si c’est ton bon vouloir ’
La jeune fille commence à introduire son majeur dans son cul et regarde Thomas bien dans les yeux tout en remuant son bassin.
— ‘ Monte sur le lit et soumet toi, présente ton cul par derrière ’
La jeune fille avance à nouveau et prend sa place a côté de Thomas, la tête posée dans les coussins et le cul fortement relevé en arrière.
Thomas passe derrière elle, il met un coussin sous ses hanches, observe doucement le beau cul offert, détaille l’entrée du trou parfait très légèrement dilaté.
Il commence alors à caresser les deux fesses et introduit à nouveau sa langue à l’intérieur du petit trou marron.
La jeune fille se met à gémir de plaisir et son anus tremble à nouveau de manière involontaire sous les caresses de sa langue. Quelques pets retentissent violemment, preuve de la nervosité de la fille, mais Thomas continu doucement a lécher le petit cul offert. Il commence tout doucement à sodomiser l’intérieur avec sa langue, aussi loin qu’il arrive à faire pénétrer le bout.
Puis il crache a l’intérieur du petit trou, toute la salive qu’il peut et présente enfin le bout de son gland gonflé et rougit sur le petit cul offert
La jeune fille frémis lorsque le gland appuis doucement sur le bouton délicat qu’est son trou du cul et elle pousse doucement ses fesses en arrière.
Thomas appui délicatement, mais le muscle vierge résiste, n’ayant jamais laissé passer quoi que ce soit dans ce sens.
Thomas appuis de plus en plus fort, la jeune fille couvre sa vulve avec sa main pour éviter d’être dépucelée par mégarde au cas où la queue de Thomas dévie et attend en laissant la pression du gland sur son cul faire son œuvre.
Thomas est patient, il sait qu’il va falloir assouplir le trou s’il veut que sa femelle ne souffre pas trop de son dépucelage. Il appuie dont doucement puis relâche la pression de son gland. Il recommence ainsi plusieurs fois.
Pendant ce temps sa bouche s’égare sur la nuque de la petite fille et il l’embrasse doucement tout en léchant ses oreilles. La jeune fille tourne légèrement le visage et il l’embrasse passionnément, mélangeant sa salive a la sienne, tout en maintenant de petites pressions sur le cul offert.
Après un moment interminable, alors que Thomas se demande si il ne vas pas devoir forcer la jeune fille pour parvenir à ses fins, l’anus semble offrir une dernière résistance face à son assaut virile, puis lâche d’un coup. Sa queue s’enfonce alors brusquement dans le rectum offert.
L’esclave pousse un petit cris surpris, et Thomas pousse à fond sa queue dans l’orifice jusqu’à ce que son pubis cogne sur les fesse dure de la fillette, comme ses camarades lui ont expliqué qu’il fallait faire, pour que l’enculée souffre le moins possible.
La fille crie violemment, sentant se déchirer l’intérieur de son cul et les muscles de son anus lorsque le monstrueux serpent de chair de Thomas se fraye un chemin dans ses entrailles. Puis il s’immobilise et ne bouge plus. Laissant la fillette s’habituer à la douleur sourde et sa queue longue et étroite en elle.
Thomas se met alors à bouger doucement dans le fondement de la femelle, savourant les sensations nouvelles. Sa queue est fortement enserrée dans la gaine sèche de la gamine qui le maintien comme un fourreau parfait maintiendrait une épée puissante.
N’y tenant plus il se met à faire des vas et vient à la recherche de son propre plaisir oubliant la douleur que la fille doit éprouver. Il bouge doucement puis de plus en vite, ses mouvement prennent de plus en plus d’ampleur alors que son piston disparait dans les entrailles de la petite pour ressortir, en partie, doucement.
Il voit fasciné le trou rond dilaté autour de son membre, et sa queue partiellement couverte d’une mucosité de merde marron qui entre et sort.
La fillette se met à gémir et haleter, semblant prendre plaisir à être ainsi dominée par son maître, et sentant son rectum comblé pour la première fois, malgré la douleur due à son inexpérience et à la dilatation forcée des muscles de son trou du cul.
Thomas la laboure de plus en plus vite, halète de plus en plus, mêlant ses cris de plaisir à ceux de douleur de la femelle puis d’un dernier coup profond il empale la fille jusqu’à la garde et repent sa semence dans ses entrailles.
Il s’immobilise sur elle et ne bouge plus. Puis il cherche le visage de son esclave, tournant sa tête vers lui. La jeune fille les yeux pleins de larme et vaincue, lui rend son baiser fougueux et il l’embrasse passionnément en laissant sa queue encore tendue, se détendre lentement.
Ils restent ainsi un long moment, Thomas , sa queue blottie au fond du ventre de Julie, laissant sa queue retrouver lentement sa taille normale en savourant la gaine de chair qui l’enserre et en laissant leur langue chaudes s’enrouler passionnément, la bouche pleine du goût salé des larmes de la fillette.
Puis Thomas sens le petit cul pousser et chier doucement sa queue pleinement débandée.
Il contemple alors son œuvre.Le petit rond est maintenant rouge et irrité, et des fissures apparaissent autour de l’anus, lui enlevant son aspect rond parfait de petite fille vierge. La fille est entrée dans l’adolescence et Thomas aussi.
Le petit cul est maintenant dépucelé.
Thomas prend la jeune fille dans ses bras et la console doucement pendant qu’elle pleure la fin de son enfance.
Bien qu’on l’ai préparée toute sa vie pour ce moment, rien ne doit enlever la douleur du dépucelage anal pour la jeune fille dans la tradition, car il permet à l’homme d’affirmer son plaisir face à la douleur de la femme. Une tradition barbare mais nécessaire dans ce monde ou les hommes et les femmes ne peuvent vivre en harmonie, du moins c’est ce que les enseignants prétendent.
‘ Remet toi sur le ventre’ dis Thomas, il me reste une dernière chose à faire pour mon honneur.
La jeune fille se remet dans la même position, et Thomas pose à nouveau sa queue sur la raie entre les deux fesses. Sa queue est légèrement marron, recouverte d’une fine couche de merde sèche qui commence a s’écailler, et sent l’odeur des entrailles de la jeune fille.
Cette fois il se masturbe en se servant des deux globes des fesses mais sans pénétrer le trou de chair irrité. Sa queue grossit doucement en épousant la forme naturelle de la raie du cul, et Il prend son plaisir et râle violemment alors que des traînées de foutre viennent finir d’inonder le dos, le cul et l’anus de la fille.
Il regarde alors sa queue marron de merde séchée en laissant la fille se lever doucement du lit. La jeune fille le regarde d’un air de défis et prend brusquement le bout de son gland dans la bouche, le léchant jusqu’à ce qu’il soit propre.
Puis elle se met en attente face à la porte avec un air grave, petite fille couverte de sueur et de foutre plus ou moins séché face à son nouveau maître.
— ‘ Dois-je me montrer à tous maître ? ’— ‘ Vas-y dis Thomas, montre leur. ’
La tradition exige que la jeune fille couverte de foutre traverse tout le manoir, afin que tous soit témoins de la vigueur du seigneur.
Plus la fille est couverte de foutre, plus l’honneur du seigneur est grand, car cela marque sa virilité.
Cette fois encore la lignée ne faillirait pas.
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