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le fils du voisin

Chapitre 1

Gay
A 30 ans, j’enseigne depuis un an au collège de ma ville. Bien que l’air assez masculin, blond et musclé, je suis un pédé passif, attiré par les hommes plus mûrs que moi.
Plus jeune, je trainais le soir dans les toilettes publiques, installé face à un urinoir, mon pantalon légèrement baissé dévoilant le haut de mes fesses. J’adorais m’y faire tripoter et même doigter le cul. La présence d’autres mecs jouant les voyeurs, ajoutait à mon excitation. J’ai perdu ma virginité anale, un soir, tard. J’étais tout seul dans les toilettes, quand deux mecs dans la cinquantaine, assez trapus, sont arrivés. Ils se sont installés de part et d’autre de moi, me pelotant le cul à tour de rôle. Brutalement, ils m’ont saisi, et entraîné dans une cabine. L’un d’eux m’a plaqué les mains sur la cuvette des WC, tandis que l’autre me baissait froc et slip aux chevilles, et m’insérait un doigt. Je l’entendis s’exclamer :Putain, il est bien serré ! Il doit être puceau ! Je vais bien le déboucher !
Je sentis son gland appuyer contre mon anus. Quelque part, j’attendais cet instant, car je bandais dur. Je déchantai un peu, quand je sentis la douleur de la pénétration et poussai un petit cri de douleur. L’homme s’immobilisa, et je sentis la douleur se dissiper. Il entama une lente progression, puis se mit à m’enculer, lentement. J’étais partagé entre la sensation d’irritation, un certain plaisir que je sentais monter, et le plaisir vicieux de me faire enculer. L’étroitesse de mon anus fit décharger assez rapidement le mec. Son copain vint le remplacer. Ils ne me tenaient plus, j’étais consentant. Je sentais l’irritation diminuer, et le plaisir augmenter. Ils sont repartis en blaguant sur ma docilité et l’étroitesse de mon anus...
Je suis ressorti de là, le cul irrité, mais bien décidé à recommencer. Et j’ai pris l’habitude d’aller dans les toilettes plus tard le soir, à une heure où on peut se livrer à des activités plus « poussées » que des attouchements.
En arrivant en ville, j’ai choisi de m’installer dans une petite maison à un étage, en lisière de ville, avec un jardin, et, surtout une piscine. La maison voisine était assez semblable à la mienne, mais la surplombait, car bâtie sur un terrain en pente. Quand j’arrivai, elle était inoccupée. Il y a deux mois, de nouveaux voisins sont arrivés, un couple avec un fils qui devait avoir dans les dix-huit ans. Je suis allé les inviter à un pot de bienvenue, et nous avons très vite sympathisé. Le père, dans la quarantaine, moustachu, prenant un peu de poids, était assez dans les « profils » que je recherchais. Mais je me suis surpris à être attiré aussi par son fils, brun, petit et musclé, et d’apparence très « macho ». Comme ils n’avaient pas de piscine, je leur offris d’utiliser la mienne quand bon leur semblerait.
Ce matin, en début d’été et donc en vacances, j’entre dans ma salle de bain, au premier étage. Comme il faisait déjà chaud, j’avais laissé la fenêtre ouverte, pour faire entrer un peu de fraicheur. Et je découvre le fils de mes voisins, Richard, à bronzer en short, installé sur une chaise longue. Comme il est sur un terrain surélevé par rapport au mien, il a une bonne vue sur ma salle de bains. Je décide de laisser la fenêtre ouverte, pour lui donner une bonne vue de la salle de bains, et enlève mon pantalon de pyjama, en lui tournant le dos. Puis je passe sous la douche, en lui offrant le même spectacle, un « vu de dos ».
Dans le miroir en face de moi, je le vois qui continue à me regarder prendre ma douche. Je savonne bien les mains, et commence à me savonner les fesses, puis, en prenant mon temps, la raie de mon cul. Je vois sa main tripoter rapidement sa braguette. Je suppute qu’il doit commencer à bander, et qu’il vient de réajuster sa bite dans son short.
Je me rince, entoure pudiquement ma taille d’une serviette, et sort de la salle de bains pour enfiler un slip de bain. Je sors dans le jardin.
— Bonjour, il fait déjà chaud, je vais me baigner un peu. Rejoins-moi !
Il acquiesce et me dit qu’il rentre se changer. Pendant ce temps, je dispose ma serviette sur l’herbe, ôte mon slip de bain, et plonge. Je me mets à nager le crawl en prenant garde à bien arquer mon cul, pour qu’il soit bien visible, à la lisière de l’eau. Il revient, franchit la haie qui sépare nos propriétés, et je le vois marquer un temps d’arrêt, surpris du spectacle que je lui offre. Du coin de l’œil, je vérifie que ce n’est pas ma tête qu’il regarde, mais mon cul. Il se décide à poser sa serviette à côté de la mienne, et plonge me rejoindre. Nous faisons quelques longueurs de bassin, puis nous arrêtons pour nous reposer un peu. Bavardages. Il ne fait aucune allusion, sur le fait que je suis complètement à poil. Je lui suggère un coca, et l’envoie le chercher dans le réfrigérateur de la cuisine. Pendant ce temps, je sors de l’eau, déplie une petite table que je place au bas de ma serviette. Et je m’installe à plat ventre sur ma serviette, ma tête reposant sur mes bras croisés, les yeux mi-clos. J’ai une jambe étendue, et l’autre repliée ; les cuisses bien écartées. Avec ma main, je repousse mon sexe entre mes cuisses, exhibant ainsi mes couilles et ma bite qui bande bien.
Il revient avec les canettes qu’il pose sur la table. Entre mes yeux mi-clos, je le vois contempler le « spectacle intégral » que je lui offre. Sa bite bande tellement que le bout va finir par sortir de son slip. Il me tend mon coca, et va s’allonger à côté de moi, sur le ventre, pour cacher son érection. J’attaque :
— Je bronze toujours à poil ! le maillot laisse des marques de bronzage, et puis je déteste cette sensation de linge mouillé— Non, moi je bronze toujours en maillot !

Bon, il est excité, je le sais, mais visiblement pas prêt pour « passer à l’acte ». Je continue :
— Tu as des copines ou des copains ?— On n’est là que depuis deux mois ! Je me suis fait un copain, Gérard, mais pas de copines, et toi ?— J’ai une bande de potes. Les nanas c’est chiant ! Tu les baratines, et quand tu les crois prêtes à passer au pieu, elles trouvent un bon prétexte pour rentrer chez elles. Les mecs, au moins c’est plus direct.
Difficile d’être plus clair ! Mais il est gêné, et ne tient pas à se laisser s’entraîner sur ce terrain et ne répond pas... Nous finissons de nous sécher au soleil, puis il m’annonce qu’il va rentrer chez lui. Il ne me reste plus qu’à ranger mon matériel, et mon cul dans mon slip ! En début d’après-midi, je l’aperçois enfourcher son vélo. Il part en promenade. Pas de piscine cet aprèm.
Je décide d’aller au ciné porno. A l’époque d’Internet, plus personne ne s’intéresse à ce genre de ciné... Sauf pour draguer dans la salle, surtout les mecs mûrs, ceux que je préfère. Je ne porte qu’un tee-shirt et un short sans slip. Je m’installe dans une rangée, ôte mon short, me laisse glisser dans le fauteuil, en posant mes mollets sur les dossiers des sièges devant moi, cuisses bien écartées. Un mec ne tarde pas à s’installer dans la rangée devant moi. Il tend la main, se saisit de ma bite et commence à la branler doucement. Un petit vieux s’installe dans le siège à côté de moi. Il tend la main, et je sens un doigt titiller mon anus. Il retire sa main, et le doigt, mouillé de salves s’enfonce. Je m’étire à fond sur mon fauteuil pour bien m’offrir aux deux mecs. Comme ils y vont doucement, la séance dure un bon moment, et je repars, soulagé de mes pulsions sexuelles.
Le soir je me couche dans ma chambre. Richard, qui connait la maison, sait qu’elle est au rez-de-chaussée. Comme il fait chaud, je décide de laisser fenêtres et volets ouverts. A tout hasard, je me lubrifie l’anus, puis me couche à plat ventre, dans ma position favorite, une jambe repliée, le mollet reposant sur le genou de l’autre jambe, l’entrecuisse bien ouvert. Je suis sur le point de m’endormir, quand j’entends un léger bruit dans le jardin. Je lève la tête et devine la silhouette de Richard qui s’approche. Je l’ai bien excité ce matin, et là, il n’en peut plus...
Je repose ma tête sur mes bras croisés, et me mets à ronfler doucement, les yeux mi-clos. Je le vois enjamber la fenêtre. Je sens une main me caresser doucement l’intérieur d’une cuisse. La main remonte à mon entrejambe et me pelote les couilles. Un doigt trouve mon trou bien lubrifié. Il appuie un peu et ça rentre comme dans du beurre. Il se couche doucement sur moi. En réaction, je ronfle un peu plus fort. Je sens sa bite contre mon anus. Il appuie doucement, il n’ose pas. Mais je suis tellement bien lubrifié que ça rentre quand même. L’émotion, le plaisir, la crainte de me réveiller, je le sens jouir très vite. Il s’en va tout doucement, ayant eu ce qu’il voulait.
Le lendemain matin, je décide de le frustrer un peu. Il est sur sa chaise longue, mais je n’apparais pas, ni à ma salle de bains, ni dans le jardin. Ce n’est qu’en début d’après-midi, après le départ de ses parents, que je vais le rejoindre dans son jardin. Je suis très direct :
— On pourrait aller à la piscine, mais on a peut-être mieux à faire...- ??— Recommencer dans ma chambre de qu’on a fait cette nuit !
Il devient rouge comme une pivoine, mais la bosse dans le slip est éloquente. J’y pose doucement la main.
— Allez, viens, suis-moi !
Et je repars sans me retourner, certain d’être suivi. Une fois dans ma chambre, je lui baisse le devant de son maillot. Sa bite jaillit. Je la prends dans ma bouche et le suce doucement. Il commence à gémir. Ça doit être sa première fois. J’arrête car c’est dans mon cul que je veux son foutre, pas dans ma bouche ! Et il est suffisamment lubrifié comme ça ! J’enlève mon maillot et me mets à quatre pattes sur mon lit, un peu en travers, histoire de me voir dans la glace de l’armoire. Joli spectacle : mon cul rebondi, bien offert, et entre mes cuisses écartées, mes couilles qui ballotent. Il s’installe à genoux derrière moi, et presse doucement sa bite contre mon trou de balle. Je ne bouge pas d’un pouce. Rien qui puisse l’exciter davantage, il l’est bien assez. Il me pénètre doucement et commence à me baiser doucement, en gémissant de plaisir. C’est encore trop rapide à mon goût, mais ça commence à ressembler à un enculage. Après, je le prends dans mes bras.
— Tu as aimé ?— Beaucoup !— Tu recommences quand tu veux ! Au fait, avec Gerard, vous avez fait des choses ?— Des tripotages, un soir où on dormait dans le même lit : branlette, main au cul,...— Tu crois que ça lui plairait de le faire avec nous ?— Pas impossible... Je vais lui en parler
En fin d’après-midi, tout fiérot, Richard vient m’annoncer que Gerard est d’accord pour une partie de piscine un peu cochonne avec nous.Ils arrivent depuis leur maison, en maillot, alors que moi je suis déjà à poil.
— Pas de maillots ici ! les haies du jardin nous protègent des regards indiscrets.
Un peu gênés, ils baissent leur maillot et s’installent à plat ventre sur leurs serviettes, pour cacher leurs érections. Je me place entre eux. Gerard est blond, moins musclé que Richard, et un peu grassouillet. Mais, à plat ventre, il a un cul bien rebondi, tout rose. Je commence à trouver du charme aux jeunots ! Le « programme » ayant été défini à l’avance, je n’ai pas à me gêner et je commence à caresser le cul de Gérard. Il se laisse faire, sans réaction apparente. Je me place derrière lui, lui écarte les cuisses, et sous l’air ahuri de Richard, me mets à lui lécher la raie. J’entends bientôt Gérard pousser des gémissements de plaisir. Je décide de lui tester la rondelle avec un doigt. Tout doucement. Ça rentre comme dans du beurre, et les gémissements augmentent. Je ne suis pas le premier à lui faire ça, et je soupçonne un peu Richard d’être passé là avant moi. Je retire mon doigt et me couche sur lui, faisant coulisser ma queue. Je lui murmure à l’oreille :
— Tu préfères que je te mette ma bite dans le cul ou l’inverse ?— Ça doit faire mal !— Un peu, la première fois. Alors, c’est toi qui vas me la mettre ! Allons dans ma chambre.
Là, je recommence le même scénario qu’avec Richard, la veille au soir. Je suce un peu Gérard, pour la lui lubrifier, puis m’offre, à quatre pattes. Gérard apprécie beaucoup, mais jouit, bien sûr, très vite. Je vais un signe de tête à Richard, qui s’empresse de prendre la place de Gérard.Nous retournons ensuite à la piscine où plongent les deux jeunes. Moi, assis dans une chaise, sur le bord, je contemple le spectacle, en me branlant doucement. Est-ce le fait d’être à poil, le souvenir de ce qui vient de se passer, ou le fait de me voir me branler, les deux dans l’eau commencent à s’amuser. Et je te passe la main eu cul, et je t’attrape la bite. Je finis par éjaculer. Gérard repart ravi, en promettant de revenir.
La nuit, je ne suis pas surpris de voir Richard revenir. Il se blottit contre moi, et me dit qu’il veut essayer de se faire mettre, mais en me faisant jurer d’y aller doucement. Je le place couché sur le côté et commence à bien lui travailler le trou avec du lubrifiant. A un moment, j’y insère un peu un deuxième doigt, sans entendre de protestations. Il est prêt ! J’appuie doucement mon gland jusqu’à la pénétration. Je le sens se raidir de douleur. J’arrête et lui laisse le temps de se détendre. Je rentre tout doucement la moitié de ma bite, et le lime en douceur. Et je commence enfin à l’entendre gémir de plaisir. Il est reparti, l’anus un peu endolori, mais ravi.
J’étais rêveur dans mon lit. Bien sûr, offrir mon cul à des mecs mûrs m’excitait toujours, mais les jeux avec les deux autres, aussi. Pervertir des jeunes c’était aussi excitant. J’étais bien décidé à continuer.
Fin
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