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Fin d'année

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Nous étions le 2 Novembre, c’est à cette époque, lorsque j’étais en seconde que j’ai connu ma première histoire d’amour. Vous le savez probablement, ce genre d ’histoire que l’on ne prend presque pas au sérieux et dont nous sommes fiers, juste le simple fait "d’avoir" une petite amie vous rend presque surpuissant aux yeux de tout le monde.Jusqu’ici, nous avons toujours étés très discrets, nous prenions juste le temps à chaque récréation de nous isoler dans notre coin afin de se chercher un petit peu, nous terminions toujours cette pause d’un quart d’heure par un long et langoureux baiser.
Deux ans ont passés et nous avons tout deux fêtés nos 18 ans à deux mois d’écart ; il ne s’est jamais rien passé de sexuel d’ailleurs jusqu’ici. C’est alors que nous nous retrouvons dorénavant à l’époque des révisions, du BAC et ses épreuves tant redoutées, je passais parfois des journées entières chez ma copine : Mégane, une ravissante petite rouquine qui ne manquait pas de me faire comprendre qu’elle voulait plus me voir pour s’entraîner aux contacts buccaux que pour réviser au sens propre du terme.D’ailleurs, un soir, nous étions restés là, près de 20 minutes, sur une chaise de bureau, elle sur mes genoux, à échanger notre salive sans un mot jusqu’à en êtres essoufflés ...
Une semaine plus tard, nous avions décidés, elle et moi, de profiter de deux heures de permanence pour réviser nos cours de Mathématiques en compagnie d’une de ses amies que je connais d’ailleurs depuis le début de l’année de Terminale vu que c’est ma partenaire en TP de Chimie et de Physique : elle s’appelle Laure.
Laure n’a pas vraiment le physique de la jeune fille très attirante, c’est plutôt l’élève un peu "intello", terme certes un peu cliché mais qui lui collait à la peau : un simple jeans gris délavé, toujours à peu près la même rengaine avec un sweet ou un hoodie dans les mêmes tons et une simple paire de Nike blanches aux pied qu’elle ne changeait qu’en hiver pour des chaussures de randonnée résistantes à la neige et aux éclaboussures, style Moonboot.Bien sûr, Mégane à côté, c’était plus le style "gamine" qui me branchait particulièrement, c’est d’ailleurs pour cela que je suis resté avec elle près de trois ans et demi : les jupes, en passant par les simples jeans tout en optant parfois pour un sarouel. Elle adaptait toujours son haut avec son bas et se contentait souvent d’une simple paire de Reebok kakis dans toutes les situations.
Ce soir là, alors que nous étions chez ma copine, en pleine révision, cette dernière nous avait proposé de boire un petit quelque chose. Volontiers, je lui demande un simple café et s’en suit très rapidement la mise en route de la machine, plus loin dans la cuisine.
Il me semble que ce fut comme un coup de foudre ou alors un simple réveil de mes pulsions, j’observais Laure comme une bête affamée, le cahier entre les mains, fixement, presque comme un prédateur. Elle était allongée sur le lit de Mégane, lisant des cours de soutien sur son IPhone, en chaussettes et les jambes écartées telle une étoile de mer, tout simplement à l’aise !
Je ne put résister et j’en avais envie. Je me suis donc levé et j’ai marché en direction de la porte de la chambre, feignant une sortie en direction du salon. Alors arrivé sur l’encadrement de la porte, j’ai attrapé le rebord du lit afin de me laisser tomber à genoux juste devant Laure, au niveau de son visage comme pour entamer une discussion intime.
Elle tourna la tête vers moi, amusée puis allait entamer un sujet rébarbatif sur les Maths lorsque je l’en empêcha : je m’étais déjà penchée vers elle, posant mes lèvres sur les siennes, tentant délibérément de l’embrasser. A ma grande surprise elle se laissa faire et ouvris même la bouche. Je ris devant un tel manque d’expérience amoureuse et alla directement attraper sa langue avec la mienne afin de commencer à jouer en respirant paisiblement par le nez.Elle n’était pas si mauvaise et pris rapidement le plis, je la vit du coin de l’œil se recroqueviller, ramenant ses pieds contre elle et tentant de passer ses deux bras autour de mon cou, comme pour m’empêcher de m’en aller.
Bien sûr, le pire arriva, ma copine rentra et avait du nous observer comme ça pendant une bonne minute d’après la tête qu’elle tirait. Ce que je vis en me retirant auprès de Laure et après avoir rapidement essuyé le contour de ma bouche, ce fut son regard, ce regard si noir que j’ai cru me prendre la tasse à café, le pied et la gifle, tout cela en même temps !
Ce n’en fut que tout le contraire, à ma grande surprise, elle me repoussa en riant et s’assied auprès de Laure, encore toute émoustillée par cette pulsion émanant du plus profond de moi.J’assistai alors à une spectacle qui me fit immédiatement bondir dans mon caleçon : Mégane débuta tout cela en se penchant vers Laure, venant calmement lui déposer deux baisers sur les lèvres tout en détachant les boutons de son Jeans et de celui ce Laure par la suite en poussant un gémissement très léger. Elle passa par dessus la "première" de la classe, comme on l’appelait avant de s’asseoir sur elle, faisant glisser avec soin le Jeans de cette dernière jusqu’au dessus de ses chevilles. Ceci dévoila une magnifique petite culotte rose, ce n’était pas de la lingerie de grande marque mais le simple fait de voir les deux petites lèvres de Laure moulées sur ce simple appareil de tissus rose m’incita immédiatement à défaire ma propre braguette, au fur et à mesure que tout cela se déroulait sous mes yeux.Mégane continua sans un mot en en souriant presque sadiquement ... elle remonta entièrement le t-shirt blanc uni que portait Laure au niveau de ses épaules avant de le retirer, sans le moindre mouvement de la part de sa soumise.
Laure se retrouvait en simples sous-vêtements, frissonnant de plaisir, moi-même j’en avait la chair de poule. Je ne m’en était même pas rendu compte mais Mégane en avait profité pour retirer elle même son sweat-shirt et avait déjà dégrafé son Jeans.
Maintenant, c’est elle qui me faisait signe, elle n’ajouta qu’une phrase : — Je crois qu’on en a envie toute les deux ...
Laure ne se contenta que d’hocher la tête sans un mot, surement par pudeur. Et moi, j’avais déjà une érection phénoménale.
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