A mon réveil, elle était là, endormie, nu, magnifique. Je n’avais pas rêvé, ça c’était bien passé, elle qui me paraissait inaccessible, elle était là dans mon lit. Elle était allongée de trois quart sur le ventre, ce qui me permettait d’admirer la beauté de ses fesses ainsi que la cambrure de son dos. Une jambe droite et l’autre remontée à la perpendiculaire, comme dans la position dite PLS. Je bandais déjà fort rien qu’à la vue de ce spectacle. Je lui caressais lentement le dos, jusqu’à la cambrure, puis remontais jusqu’aux épaules. Ma main dessinait de petit rond sur ses fesses, allant et venant de l’une à l’autre, en effleurant au passant la raie séparatrice. Je laissais glisser un doigt, toujours en effleurant, le long de cette petite vallée, et ce jusqu’à l’entrée de son puits d’amour. A cette caresse, elle modifia sa position, sans ouvrir les yeux, afin de m’ouvrir d’avantage le passage. Mes doigts faisaient de lent va et vient le long de ses grandes lèvres qui gonflaient au fil de la caresse. Un petit mouvement de fesse me fit comprendre qu’elle n’en pouvait plus de ce traitement et je fis entrer lentement mon doigt à la rencontre de son bouton, dans sa fente complètement trempée. Je lui tortillais le clito et à mesure que ma caresse augmentait, ses mouvements étaient de plus en plus désordonnés. Je ne l’ai pas laissé aller à l’orgasme, et me suis placé derrière elle, ou plutôt entre ses cuisses grande ouverte et je n’ai pas résisté au plaisir de son goût si merveilleux. J’introduis ma langue directement entre ses lèvres, à la recherche de son clito que je trouvais rapidement. Je savourais ce moment, récoltant à chaque coup de langue un peu plus de sa cyprine si délicieuse. De temps à autre, je remontais jusqu’à son petit trou et je le pénétrais avec ma langue, lui décrochant des soupirs de plaisirs supplémentaires. Il ne lui fallut pas longtemps de ce traitement pour avoir un orgasme assez puissant, la faisant resserrer aussi sec les cuisses, m’immobilisant la tête pour m’empêcher de continuer. Une décharge de cyprine se déversa sur mon visage et surtout sur ma langue me permettant de déguster encore plus son goût si splendide. Me redressant, je ne lui laissai que peu de répits et me plaçai au dessus de Tiphaine présentant ma queue tendu telle une batte de base-ball le long de sa raie la caressant de ses fesses à son sexe afin de l’humidifier avant de la pénétrer. Je lui ai fait l’amour avec fougue et tendresse. La tension de mon sexe et l’excitation qui m’animaient n’eut d’effet que de me faire durer plus longtemps qu’à la normale, ce qui me permis de lui procurer trois ou quatre orgasmes avec de nouvelle giclées à chaque fois plus intense. Après son dernier cri de plaisirs, elle me demanda de me retirer et de me placer sur le dos afin qu’elle puisse me rendre la pareil. Je m’installais confortablement et la regardais prendre place entre mes jambes. Elle commençait par nettoyer mon sexe complètement luisant de son jus et une fois la pine bien propre, elle l’engouffra aussi profond qu’elle le pouvait. Ses va et vient n’eurent pas à durer longtemps. Je l’ai prévenu que je venais et elle s’appliqua à bien serrer les lèvres sur mon sexe afin de ne pas perdre une goutte de ma semence. Mon jus lui gicla au fond de la gorge et elle l’avala avec délectation. Après avoir bien nettoyé ma queue, elle s’allongea à coté de moi, ou plutôt dans mes bras et après un moment de tendresse, nous avons pris une douche, et repris nos activités normales. Nous sommes restés ensemble quelques mois puis nous avons rompu après avoir fait l’amour une dernière fois et sommes rester amis.
