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Fiona

Chapitre 1

Sa première fois

Hétéro
Fiona est une blondinette, aux cheveux lisses et aux yeux gris bleu, très agréable qui aime plaisanter et rire de tout et de rien. Elle est la fille de John, un copain écossais, installé avec sa charmante femme, pas très loin de chez moi.

Depuis le temps, avec ses parents, nous avons lié amitié et de temps en temps, cette jolie demoiselle, qui est, aussi, devenue ma filleule par le baptême, vient me rendre visite et même, de temps en temps, reste chez moi plusieurs jours. Ce qui nous a considérablement rapprochés.

Il y a quelques jours, John me téléphone et me demande si elle peut venir passer le week-end chez moi, car, ça fait quelques jours qu’elle le harcèle avec ça.

Bien sûr que oui. Ça n’est pas un problème. C’est toujours avec plaisir que je la reçois, car, nous passons, très souvent, d’agréables moments et partageons, aussi, quelques petits secrets plus ou moins intimes.

Vendredi soir, vers dix-neuf heures, la sonnette retentit. Je viens ouvrir la porte et là, avant même que j’aie le temps de saluer son père, Fiona me saute au cou et me donne un énorme smack sur la bouche puis :

— Bonsoir parrain... ! Tu peux pas savoir comme je suis heureuse d’être là, avec toi.
— Bonsoir ma chérie, bonsoir John... ! Comment ça va ?
— Très bien. Mais, tu sais, ça fait au moins une semaine qu’elle me saoule.
— Eh oui... ! Je te comprends. Mais, c’est vrai que ça fait un bout de temps que vous n’êtes pas venus. Et, à propos..., comment va Jane ?
— Très bien... ! Elle serait bien venue avec nous, mais, tu sais, avec son boulot... !
— C’est pas grave. Ça sera pour une prochaine fois... ! Bon..., c’est pas le tout. On va se boire un petit coup quand même.

Bref, après un tout petit apéro, John prend congé et donc,  je me retrouve face à face avec ma filleule chérie.

Nous nous asseyons sur le canapé. Elle vient se coller contre moi, me passe la main derrière le cou, me donne un bisou et :

— Tu sais parrain, maintenant, je peux te le dire.
— Me dire quoi, ma poupée ?
— Eh bien..., tu sais, maintenant que je sui majeure, je voudrai te parler de quelque chose qui, me travaille depuis quelques temps.
— Oui ma chérie... ! Mais alors ?
— Alors..., j’aimerai bien que tu me fasses l’amour...! Tu sais parrain..., je ne suis plus la petite fille que tu faisais sauter sur tes genoux. j’ai bien envie de connaitre autre choses. 
— Bien tu sais ma chérie..., pour moi, il n’y a pas de problème. Mais si tes parents l’apprennent, on fait comment... !
— Parrain, s’il te plaît... ! Ne me dis pas non. Et puis..., qui va pouvoir leur dire?
— Bon écoute, ma chérie. Tu sais que la nuit porte conseil. Alors, j’y réfléchis et on verra ça demain.
— D’accord parrain. Je savais que je pouvais compter sur toi...!

Le samedi après-midi.

Il fait un soleil magnifique sur la région et la température de l’eau de la piscine doit être au moins à vingt-cinq. Vers quinze heures, je vois ma filleule entourée d’un drap de bain traverser le salon en chantant et :

— Hey, ma chérie... ! Tu vas piquer une tête ?
— Oui parrain, il fait trop beau pour rester dans ma chambre. En plus, j’en profite, car, j’ai pas de piscine à l’appartement, moi... ! (rires)
— ah... ! Ça, c’est sûr. Allez, vas-y ma chérie. Je finis ce que je suis en train de faire, je te rejoins.

Un gros quart d’heure plus tard, après avoir enfilé un caleçon de bain, je viens me mettre à l’eau et rejoins ma belle poupée au milieu du bain.

Là, je suis plutôt surpris, certes agréablement, car, ma filleule se baigne totalement nue.

Et là :

— Dis-moi parrain, ça te dérange pas, si je suis à poil ?
— Et pourquoi, ça me dérangerait... ! C’est pas la première fois que je te vois nue. Mais, je peux te dire une chose... ! Ça fait un moment que je ne t’avais pas vue toute nue et là, je peux te dire que tu es devenue une belle demoiselle, une vraie petite bombe.
— Merci parrain... !

Après une bonne baignade, nous nous retrouvons allongés sur nos serviettes de bain sur la pelouse et là, je mate scrupuleusement les belles formes de ma filleule qui ne me laissent pas de glace puisque, je ne peux m’empêcher de lui dire :

— Dis-moi Fiona... ! J’ai bien réfléchi cette nuit, à ce que tu m’as dit hier soir et...
— Et... !
— C’est d’accord.
— Merci parrain... ! Je savais que tu accepterais.
— Par contre, motus, ça restera entre nous.
— Oui parrain. Il n’y a pas de problème. Alors, on le fait ici ou on entre dans la maison ?
— Ici, c’est un peu risqué. Il y a des voisins qui risquent d’entendre... !
— C’est vrai, tu as raison. On rentre.

Quelques minutes plus tard.

Nous venons nous installer dans ma chambre. Fiona, elle, est déjà dénudée alors, elle n’a rien à ôter.
Quant à moi, je n’ai pas grand-chose à enlever aussi, mais je rencontre un petit souci avec mon sexe, qui a déjà commencé à bander. Alors, je me déleste de mon caleçon de bain et comme ça, nous serons l’un et l’autre prêts pour le début des jeux. Sauf, que lorsque je me suis retrouvé à poil, ma queue, elle, s’est retrouvée à l’horizontale. Et là :

— Parrain... ! C’est vrai que tu as beau jouet ?
— Eh oui, ma chérie... !

Alors, j’invite ma chérie à s’allonger sur le lit. Je viens me mettre à ses côtés. Je commence par lui offrir un long baiser que nous savourons et partageons avec frénésie.

Ensuite, une de mes mains rejoint ses deux magnifiques monts blancs. Je les pelote tour à tour puis je suçote ses deux mamelons qui se congestionnent aussi sec et là :

— Heummmm parrain... ! C’est bon ça.
— Tu m’as dit que tu avais envie de faire l’amour avec moi... ! Alors voilà !

Après ses tétons et ses lolos, c’est au tour de son monticule pubien et de sa jolie fente rose que mes doigts et ma bouche viennent cajoler. Pour ça, je n’ai même pas besoin de lui demander d’ouvrir ses jambes, ça c’est fait tout seul et ma filleule a accueilli mes caresses avec bonheur. Je lui doigte, longuement, sa petite moule et lui titille son bouton d’amour et là, elle se met à gigoter et finit par me dire d’une voix haletante :

— Heummmm parrain... ! Ca aussi c’est bon.
— Je sais ma chérie. C’est pour ça que je te le fais. Et tout à l’heure, ça sera encore meilleur... !

Mais, pour que ce soit plus juste, après bien l’avoir faite jouir, je l’invite à s’occuper de mon bâton d’amour, car il s’impatiente et commence à réclamer quelques douces caresses. Alors, pour ça, j’invite ma petite chérie à le prendre en main et à le masturber.

Après cette bonne masturbation qui a fini de mettre en forme ma queue, je lui ai demandé de la prendre et de la mettre entre ses lèvres pour me faire de petites caresses, avec la langue, sur le bout de mon gland. Dans un premier temps, elle a été un peu surprise, mais elle a fini par accepter.

Quelques secondes après :

— Fiona, ma chérie... ! Maintenant si tu veux, tu peux la mettre dans ta bouche et me la sucer, tu sais... comme tu suces une glace... !

Alors, elle prend ma queue dans sa main, ouvre grand sa bouche et insère mon mandrin entre ses lèvres, l’aspire et le fait aller d’avant en arrière tout en continuant de me le masturber. Là, cette fois c’est moi qui lui dis :

— Heum ma chérie... ! C’est bon ça ! Vas-y pompe-moi ma chérie... !

Après cet agréable moment où, nous nous sommes donnés, un plaisir fou, à nous mettre dans de bonnes conditions pour réussir sa défloration, nous nous asseyons sur le lit face à face et là :

— Ma chérie... ! Est-ce que ça te plaît ?
— Oui parrain... ! C’est trop bon.
— Alors maintenant..., on se jette à l’eau ? Est-ce que tu te sens prêtre... ?
— Oui parrain, je suis prête... !
— Alors, ma chérie, tu t’allonges sur le lit, tu m’offres ta petite chatte et moi, je t’offre mon pénis. On y va... ?
— Oui parrain.

Alors, je me mets face à elle. Je prends ma queue en main, la promène sur sa vulve et en l’appuyant petit à petit entre ses grandes lèvres jusqu’à ce qu’elle se retrouve en contact avec son hymen. Jusque-là, pas trop de soucis puisqu’elle accepte, avec bonheur, ces caresses puis, d’un seul coup, j’appuie un peu plus fort et là, c’est dans un cri de douleur que je viens de lui déchirer son hymen.

Ma filleule se met à pleurnicher. Je retire, tout de suite, mon mandrin, tout ensanglanté, de sa chatounette, je la prends dans mes bras, l’embrasse, la caresse, la rassure et m’excuse. Puis, une poignée de secondes plus tard :

— Alors ma chérie, ça va mieux... ? Tu n’as plus mal ?
— Oui parrain... ! J’ai plus mal.
— Tu sais, maintenant, c’est fini. Tu n’auras jamais plus mal... !
— Oui parrain... !
— Alors, on fait l’amour ?

Et là, avec un large sourire :

— Oui parrain, fais-moi l’amour... !

Alors, comme ma queue est encore bien dure, je viens me remettre face à elle et je n’ai qu’à lui offrir. Je la pénètre tout doucement. Et là, je vois une Fiona, le sourire aux lèvres et les yeux pétillants me dire :

— Oui..., c’est bon parrain !

Alors, si pour elle c’est bon, qu’est-ce que je devrai dire... ! Chevaucher une aussi belle petite, c’est un cadeau du ciel. Alors, je m’applique et les va-et-vient se font tout en douceur.

Quelques instants plus tard, je la vois, elle a les yeux fermés, elle se mordille les lèvres et même, elle m’accompagne dans mes va-et-vient. Ça la fait jouir comme une petite féline en chaleur. Qu’est-ce que c’est divin !

Après ce délicieux face à face en missionnaire, je l’invite à se mettre à quatre pattes.

Fiona accepte cette idée et se met en position sur le bord du lit. Je lui plante ma queue entre ses fesses et lui investis sa moule dégoulinante de son jus de femme.

Et après quelques va-et-vient :

— Heummm parrain... !
— C’est bon ma chérie ?
— Ah oui, c’est encore meilleur... !

Alors là, je reprends un bon rythme et presque aussitôt, ma Fiona retrouve son rythme de croisière. Elle soupire, gémit et à chaque coup de boutoir ou presque, elle m’invective avec des « Oh oui..., c’est bon..., vas-y..., encore parrain..., ». Alors, je n’ai rien d’autre à faire que de lui bourrer sa moule et la faire jouir.

Et ça, c’est ce que je fais jusqu’au dernier instant où, dans un grognement bestial, je retire mon mandrin de sa moule détrempée pour gicler au-dessus de son trou du cul.

Là, Fiona se retourne et me dit avec un large sourire :

— Merci parrain !
— De quoi ma chérie ?
— De m’avoir fait l’amour... !
— Mais, c’est ce dont tu avais envie ?
— Ben oui... ! Et, c’est vachement bon.
— Et maintenant..., qu’est-ce qu’on fait ?
— Encore l’amour... !
— D’accord..., mais tout à l’heure. Pour le moment, on va à la douche. Après je vais préparer le dîner et après, nous referons l’amour, toute la nuit, même, si tu veux... !
— Tu ferais ça pour moi ?
— Oui ma chérie..., je le ferai pour toi !
— Eh bien..., moi ça me va !
— Moi aussi.
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