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Fiston

Chapitre 2

Partie de pêche avec mon fils

Inceste
Chapitre 2
Le lendemain matin, mon épouse Catherine me demande :
— As-tu parlé avec Julien ? Tu sais, ça m’inquiète qu’il soit homo.— Je n’ai pas eu l’occasion de discuter de ça avec lui hier soir mais de toute façon il faut bien qu’il découvre la sexualité, c’est de son âge. Il faudrait plutôt qu’il ait des expériences diverses. (Si Cathy savait qu’on s’est sucé mutuellement!)— Je préfèrerais que ça soit avec des filles.— Il n’ose peut-être pas les aborder. Je pense même qu’il est encore puceau et que les filles lui font peur comme ça arrive souvent aux garçons de son âge.— Tu crois que … qu’il n’a jamais eu de … enfin, tu me comprends ?— Regarde comme il est timide et coincé. Je pense même qu’il lui faudrait des cours particuliers. Tu ne connais personne pour le dévergonder ?— Non, et puis je ne m’imagine pas demander une telle chose à une jeune fille !— Pourquoi une jeune fille, ça peut être une de tes copines ! Les jeunes garçons sont souvent épris de femmes mûres. On parle beaucoup des MILF, comme disent les Anglo-saxons.— C’est quoi ?— Un acronyme de "Mother I Like Fuck", littéralement ça veut dire: Mère que j’aime baiser.— C’est quoi cette connerie ?— C’est à la mode paraît-il, il y a même un film qui porte ce nom. Bon, en attendant, je lui ai proposé de l’emmener à la pêche avec moi tout à l’heure, j’en profiterai pour discuter avec lui, entre hommes.
Dis-je à ma femme, hypocritement, alors qu’hier soir j’avais préféré sucer mon fils et d’avaler son jus plutôt que de lui faire la morale …
...
Au lever, Julien est d’humeur radieuse, ce qui surprend un peu sa mère. Il est bien entendu ravi de venir à la pêche avec moi, bien plus que d’habitude !Nous chargeons la voiture et…en route !

Aussitôt le coin de la rue franchi, je pose ma main sur le haut de sa cuisse et lui sur mon avant-bras qu’il caresse alors que je flatte sa jambe. Il me demande :
— Dis papa, tu crois qu’aujourd’hui, on pourrait faire comme hier soir … tu comprends ce que je veux dire ?— Ne t’inquiètes pas Julien, je connais un coin sympa et très tranquille.— Où on pourra… ?— Faire ce que l’on veut ! En attendant, ouvre ta braguette !— Tout de suite papa !
Je suis super excité de toucher une bite, tout en conduisant c’est une sorte de fantasme que je réalise. Sa queue a vite raidi dans ma main et c’est un réel plaisir de sentir ce membre dur entre mes doigts.
Dès que j’ai le bras libre, je palpe son sexe qu’il m’offre volontiers en se cambrant sur son siège, et c’est plus difficilement que j’arrive à accéder à ses bourses pour les flatter.Je regrette d’avoir à changer les rapports et de devoir lâcher son doux bâton quand j’ai à manipuler le levier de vitesses. Vive les boîtes de vitesses automatiques ! Pensais-je.
À cet instant, je meurs d’envie d’arrêter la voiture pour être plus libre de mes mouvements, mais il vaut mieux attendre d’être arrivés à destination pour cela.Il n’empêche que j’ai une sacrée trique en ce moment si particulier!

Le pauvret se tortille sur son siège et me dit:
— Oh papa, arrête, c’est trop bon ce que tu me fais !— Je n’ai pas envie de m’arrêter, j’aime trop te toucher, ton sexe est si doux et tellement dur !— Dis-moi, papa j’ai une question, avec ton copain avant … Tu as déjà … je veux dire... couché avec lui?— Un tas de fois ! Qu’est-ce qu’il me mettait ! J’en ai encore des frissons rien que d’y penser.— C’était toujours lui qui te …— Il arrivait parfois que ça soit moi qui étais sur lui. Mais le plus souvent, c’est quand même lui qui me baisait.— Tu ne le regrettes pas ?— Parfois, mais quand je suis tombé amoureux de ta mère, je l’avais déjà perdu de vue, car il avait dû déménager à l’étranger et certainement refait sa vie. Depuis, je n’ai pas eu d’autres relations, ni avec lui, ni avec quiconque, à part avec toi, hier, bien sûr !— Tu sais papa, ça me fait bizarre d’apprendre tout ça ! Jamais, je n’aurais pu penser que … enfin...— Que j’aie pu sucer un homme, le branler ou même me faire enculer? C’est un secret que je partage avec toi seulement. Ta mère n’en sait absolument rien ! Mais hier soir, entre nous deux, ça a réveillé en moi un tas de souvenirs agréables et surtout le désir de recommencer ces expériences. — Mais, qu’est-ce qu’on va dire à maman ?— Rien pour le moment. Je te demande juste d’être très discret et de tâcher de t’intéresser aux filles ou au moins, de faire semblant.— Je vais essayer ...
***

Le coin de pêche que je choisis pour nous poser est loin de la maison et difficilement accessible, mais ça vaut le coup de faire une telle route. Les arbres fournissent de l’ombre sous laquelle nous nous installons. Nous posons nos lignes et nous allongeons côte à côte sur une grande serviette de bain que j’ai disposée sur l’herbe.
J’enlace mon fils en le serrant fort contre moi. Sa main glisse tout de suite vers ma braguette et ma main vers la sienne. On se caresse mutuellement l’entrejambe alors que nos souffles s’accélèrent et que la folie sexuelle nous gagne.
Je me relève, regarde alentour, et entreprends de lui ôter son tee-shirt, puis lui propose de faire de même avec moi. Très vite j’enlève son short et lui mon pantalon. Après quelques minutes de caresses mutuelles nous sommes complètement nus tous les deux.
J’admire quelques secondes son corps encore juvénile, mais finement musclé, puis me précipite sur ses tétons pour les sucer avec ardeur, tout en pétrissant son sexe. Sa main cherche, et trouve, le mien pour le malaxer. Avec frénésie, il se penche sur moi afin de me gober et moi, je m’allonge tête-bêche pour prendre sa bite en bouche.
Dans ce soixante-neuf endiablé, nous nous suçons mutuellement avec passion. Je me régale autant que lui à téter une bite. On dirait qu’il a fait ça toute sa vie car je ressens énormément de plaisir à sentir sa langue sur mon gland ou quand il me gobe complètement.Pour ma part, je fais courir mes mains sur ses fesses musclées tout en avalant le plus possible son membre chaud.
Quand mon doigt effleure son anus, mon fiston se met à se tortiller d’excitation. C’est le moment que je choisis pour cesser de le sucer afin de me relever pour prendre dans mon sac ce qu’il me faut pour la suite. Julien me regarde, intrigué, voire inquiet de cette soudaine interruption alors qu’il prenait grand plaisir de me faire cette somptueuse pipe. J’avais prévu de prendre un tube de lubrifiant. Aussi, quand je m’agenouille près de lui, je lui propose de se tourner pour me présenter son dos et surtout son derrière.
— Tu veux me faire l’amour? Demande-t-il, mi-inquiet, mi-ravi. — Non mon chéri, pas aujourd’hui, je vais juste te doigter. Tu vas voir comme c’est bon ! Tu vas adorer ! J’aime bien quand ta mère me fait ça ! — Maman te met un doigt dans le derrière?— Elle fait ça très bien je t’assure, et pas seulement avec un seul doigt. Détends-toi et … je suis sûr que tu vas apprécier…
Il reste contracté quand je force un peu son petit trou, mais émet un long soupir quand je franchis sa porte. Par commodité, je demande à mon fiston de se tourner pour qu’il se mette sur le dos et je renouvelle la pénétration plus facilement maintenant qu’il s’est décontracté. J’entreprends alors de le limer délicatement avec mon doigt, tout en suçant avidement sa bite dressée.
Au régime de plus en plus rapide que j’impose aux doigts qui le sodomisent, il met moins de cinq minutes pour exploser dans ma bouche. Je le dissuade de s’en excuser tant j’apprécie de déguster son jus.
— Ça va Julien ? Tu n’as pas trop mal ?— Pas du tout ! C’était super ! Je vais te faire la même chose …— Non, reprend des forces et … c’est autre chose que je voudrais de toi. Dis-je en désignant son sexe encore tendu.— Mais...Je… Je ne sais pas comment on fait…— Ne t’inquiètes pas, ce genre de chose s’apprend très vite.
Nous restons à poil pour discuter, longtemps. Même lorsque nous mangeons nos sandwiches.… Bien sûr, nous parlons essentiellement de sexe, des femmes, de tout ce qui peut l’inhiber. Cette discussion est franche et directe, sans détour ! Je le convaincs de me faire totalement confiance, comme moi j’ai su le faire en lui avouant mes relations passées.
Progressivement, il se lâche et me confie ses fantasmes les plus fous. Je l’écoute sans émettre la moindre remarque négative. Je lui caresse le sexe alors qu’il évoque ses désirs, ses besoins, ses délires sexuels. Il me parle de ses échecs avec les filles et même des moqueries de ses camarades de classe au lycée qui le traitaient de puceau.Je le console, le rassure et le prends dans mes bras pour une nouvelle fois lui caresser l’entrejambe. Ce qu’il accepte volontiers car sa bite durcit bien sous mes doigts.
Constatant son état d’érection, je lui propose de passer à l’action, pour de bon et sur moi.Il aurait préféré le contraire, mais j’insiste tellement, qu’il finit par se laisser convaincre.
Je badigeonne mon petit trou de lubrifiant ainsi que son membre ce qui lui procure beaucoup de sensations agréables au vu du sourire qu’il arbore.Je me tourne et m’agenouille, puis me positionne en appui sur les coudes avec le cul en l’air, prêt à le recevoir. Je l’encourage à oser se lancer alors qu’il hésite à se positionner derrière moi.Enfin, je sens son bout s’insinuer dans ma raie!
D’une main, je dois toutefois guider son chibre sur ma rosette, car il désespère d’arriver à pointer mon anus correctement tant il dérape à chaque tentative. Il faut dire qu’il tremble particulièrement d’émotion, ce qui explique sa maladresse.
Maintenant qu’il a trouvé le bon angle de pénétration, je lui dis de pousser fort et il s’exécute en m’enlaçant par la taille. J’ai un peu mal, je l’avoue, quand il franchit le seuil, mais rapidement je le sens progresser pour m’envahir de toute sa longueur. C’est alors une explosion de sensations oubliées. Je me remémore tous les plaisirs d’antan quand mon ami entrait en moi pour me labourer. Ici, c’est beaucoup mieux, car mon fils est très bien membré. Il est surtout plus gros et plus long que mon ancien amant!
— Wouah !!! S’exclame-t-il.— C’est bon, n’est-ce pas? Ça te plaît?— Oh oui ! Me répond-il avec un trémolo d’excitation dans la voix. — Vas-y mon chéri! Fais-toi plaisir maintenant!
Je l’encourage à me pénétrer à fond en allant à sa rencontre, tout en lui disant ce qu’il doit faire. Et en moins de deux minutes, il a tout compris. Je me masturbe lentement alors que mon fils me nique comme un chef. Je contracte mon sphincter pour presser son sexe un peu plus, je l’incite à se libérer, à écouter son instinct.
— Vas-y plus fort mon Juju! — Comme ça ?— Encore plus fort! Montre-moi ce que tu sais faire! Défonce-moi!
Mon jeune se révèle bien plus performant pour m’enculer que je ne le pensais. Il m’attrape par les épaules et se met à me sabrer. Emporté par la passion, il s’allonge sur mon dos, et moi, me mets à plat ventre, tandis qu’il me laboure. Je ne pense plus que c’est mon fils qui me donne ces coups de reins sauvages. Plus que mes sensations passées, je suis en train de vivre ce rêve inavoué d’être forcé par un inconnu. J’apprécie plus que pleinement cette façon d’être sailli par cette jeune bite bien dure qui me perfore le ventre. J’apprécie également qu’il sache se retenir d’éjaculer pour pouvoir m’enculer aussi longtemps. Je suis sur un petit nuage alors qu’il me bourre tel un taureau en rut tout en me mordillant le cou en ahanant.
Il émet un grognement rauque à mon oreille quand il se raidit pour me féconder de son jus chaud. Il reste ensuite fiché en moi un long moment, il faut dire que je le tiens par les hanches pour qu’il ne se s’échappe pas et que je puisse profiter un peu plus longtemps de son sexe encore raide.
C’est un peu taquin de ma part, mais sans la moindre provocation, je lui dis :
— Te voilà un homme, mon fils !— Mais enfin papa, ce n’est pas pareil …— Si ! C’est même plus facile avec une femme si tu veux tout savoir. En tout cas, j’ai vraiment bien aimé, et toi ?— Je suis désolé, je me suis laissé emporter… je ne t’ai pas fait mal ?— Pas du tout ! Je te le redis : C’était génial. Tu m’as baisé admirablement bien.— Ça me fait bizarre de penser que ma première expérience se soit faite avec toi, tu es mon père !— Eh bien moi, j’espère que ce ne sera pas la dernière fois !
Je tourne la tête vers lui et suis fier de le voir radieux. Un gros flot de sperme s’échappe de mon anus quand il sort de moi. Je me tourne sur le dos et lui se précipite pour me sucer, mais quand il sent mon éjaculation proche, il préfère me masturber frénétiquement pour me faire gicler. Putain, comme c’est bon !
Alors que nous reprenons nos esprits, je lui précise que si j’ai beaucoup apprécié sa brutalité pour me saillir, il devra toutefois être plus tendre avec une femme. J’invoque tout ce que je sais de l’importance des préliminaires, des caresses, de la différence entre le plaisir masculin et le plaisir féminin.
...

Plus tard dans la journée, bien avant de repartir, il me demande:
— Dis papa?— Oui mon chéri, qu’y a-t-il ?— J’aimerais essayer, enfin... tu comprends...— Tu souhaiterais que je te pénètre moi aussi, c’est ça ?— Oui, voilà !— Il faut d’abord que tu sois préparé, que ton anus soit un peu plus détendu, sinon tu souffriras plus que tu n’apprécieras.— Qu’est-ce qu’il faut faire pour ça ?— Je te propose de t’allonger sur le dos comme tout à l’heure. Je vais de nouveau utiliser mon doigt, et peut-être même deux, pour t’élargir un peu et que tu t’habitues progressivement à être pénétré. — D’accord papa, merci.— Mais surtout, je veux te sucer en même temps car j’ai très envie d’avaler ton bon jus.
***

Lors du retour à la maison j’ai plutôt mal au cul après cette journée de folie, mais ne peux m’empêcher de caresser sa bite de nouveau en érection. J’apprécie la vigueur dont il dispose en permanence. Et surtout, j’adore cette complicité nouvelle avec mon fils que je suis fier d’avoir libéré de ses frustrations.
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