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La fleur d'Amaelle

Chapitre 1

Hétéro
Il y a presque une semaine, que Fiona, ma filleule, m’appelait pour me dire que sa meilleure amie, Amaelle, avait un projet un peu dingue dans sa tête, puisque depuis ses quatorze ans, elle a envie de se faire dévierger par John, son père. Mais celui-ci, n’est pas intéressé pour avoir une aventure avec cette jeune fille rousse, qui est pourtant très agréable, charmante, très aguichante et relativement bien dotée par dame nature. Mais aussi, qu’elle n’en pouvait plus d’attendre ce moment qu’elle a envie de connaître.
Par contre, elle lui a fait lire l’histoire de notre aventure et celle-ci, lui a beaucoup. plu Alors, elle lui a demandé si ça la dérangeait de me demander si je serai d’accord de lui faire vivre la même aventure.
Après une très courte réflexion, je lui ai répondu qu’il n’y avait aucun problème pour moi, du moment que c’est elle la demandeuse et du moment qu’elle est majeure, il n’y a plus aucun souci. Alors, nous nous sommes mis d’accord et, elles sont venues, toutes les deux, chez moi, pour une semaine de vacances au soleil.
Pour marquer leur arrivée, je leur propose de faire une petite sortie en mer. Là, ma filleule me dit !
 - Parrain, je suis désolé. Tu sais je crains, j’ai le mal de mer. Alors, je ne vous accompagnerai pas. Je m’excuse. Mais, vas y avec Amaelle.Moi. - Ma chérie, c’est pas grave, c’est ce qu’on va faire ! Amaelle, tu n’as pas le mal de mer, toi ?Amaelle. - Non François..., au contraire, j’aime beaucoup.
Le lendemain matin.
Nous quittons le port vers huit heures du matin, direction le large et la petite île du Roucas, à petite demie heure de mer.
Là, je vois une jeune fille heureuse, souriante et détendue, qui a envie de passer une agréable journée.
 - Alors, ça te plaît... ? - Oui François. Mais depuis qu’avec ma famille, nous avons quitté la côte, je n’en ai plus fait. - Bon écoute..., puisque Fiona a le mal de mer, nous, nous allons passer cette journée, comme un couple amoureux.
Là, elle se met à rire de bon cœur, puis elle vient se blottir contre moi, m’enlace et me fait un énorme smack sur la bouche.

Arrivés sur l’île.
Nous rejoignons la petite plage main dans la main. Et là, elle me dit comme ça :
 - Tu sais François, je te connais que depuis deux jours et, il me semble qu’on se connaît depuis toujours. Qu’est ce que j’ai été bête de m’accrocher au père de Fiona ! - Mais, pourquoi tu me dis ça ? - Parce que lui, il ne m’a jamais regardé comme tu le fais ! - Tiens, on arrive..., elle est pas sympa cette plage ? - Ah si ! On va être bien pour nous baigner. - Et même, ici c’est privé. On peut se baigner tout nu..., ça te dit ? - Non François ! J’ai un peu honte. Je suis pas à l’aise toute nue sur la plage et puis, on se connaît pas encore assez. - Bon c’est pas grave..., comme ça tu aurais pu te faire bronzer intégralement !
Alors, nous nous mettons à l’eau et après avoir fait quelques longueurs, nous commençons à batifoler, toujours dans l’eau. Comme ça, ces petits jeux innocents, nous permettent de nous rapprocher, de nous frôler et même, de commencer à flirter un peu. Une bonne demie heure plus tard, nous rejoignons la plage main dans la main et nous nous allongeons sur le sable, côte à côte.
Quelques minutes après, Amaelle se tourne vers moi, passe son bras par dessus ma poitrine et vient offrir à ma bouche la sienne. Elle m’offre un long baiser que je partage avec un plaisir infini. Puis, je la regarde avec un large sourire et :
 - J’en avais envie ! - Merci ma belle. Il était délicieux ce baiser ! Si, tu en as beaucoup encore..., je suis preneur.
Une nouvelle fois, elle se met à rire, et je la rejoins aussitôt. Je ne sais pas trop ce qui se passe mais, je crois que le courant passe plutôt bien entre nous. C’est plutôt bon signe.
Après une nouvelle baignade, l’après midi, où nous sous sommes encore découverts un peu plus, puisque elle m’a laissé lui caresser ses jolis lolos et lui donner plein de petits bisous dans le cou ou même sur con corps, nous avons fait le chemin à l’envers. Mais cette fois, tout le long du trajet, Amaelle est restée collée à moi à la barre. Et, c’est en nous bécotant régulièrement, que nous sommes arrivés au port.
Plus tard à la maison.
Fiona nous accueille et nous dit dès notre arrivée :
 - Ça va les amoureux, vous avez passé une bonne journée ?Amaelle. - Oui. Tu sais François est trop chou..., tu peux pas savoir ! - Si je sais ! Moi, ça fait longtemps que je le connais. - Ah oui, j’avais oublié.Fiona. - Et toi François ? - J’ai passé une merveilleuse journée. - Et, qu’est ce qu’on fait ce soir ? - On peut se faire un petit resto !Amaelle. - Ah oui, génial !Fiona. - Ça me va aussi.
Alors, puisque tout le monde est d’accord, Amaelle et moi, nous filons à la salle de bains, pour prendre une douche après cette journée à la mer. Et une fois à l’intérieur :
 - Et maintenant, comment tu fais..., Tu restes habillé ou tu te mets à poil et on la prend ensemble ? - Tu crois que je peux faire autrement ? - Alors, on la prend ensemble. - Bien sûr François !
Et là bien sûr, nous nous retrouvons tous les deux à poils sous la douche. Comme ça chacun découvre le corps de l’autre. Pour ma part, je suis admiratif devant la beauté de ses formes. Elle a de très jolis seins, des hanches bien galbées tout comme ses fesses et une petite fente d’amour surmontée d’un pubis bien bombé sur lequel se trouve un ticket de métro de poils roux, rasés de très près. Rien que de belles choses qui m’attirent encore un peu plus et qui, ne me laisse pas insensible puisque, quelques minutes plus tard, mon pénis s’est fortement redressé.
Amaelle, s’apercevant de la chose se met à rire et me dit comme ça :
 - Alors François..., qu’est ce qu’il t’arrive ?Moi aussi, je me met à rire et lui répond : - je sais pas trop..., mais je crois que t’y es un peu pour quelque chose ! Tu crois pas ? - Tu crois... ? Tu sais François, j’aime bien ton pénis ! - Et t’as envie de le toucher ? - Oui..., je peux ? - Bien sûr ! Et de toute façon, je crois que tu es ici pour ça ? - C’est vrai...
Après cette douche, je m’aperçois qu’Amaelle est plus détendue. Elle n’est plus sur la réserve comme à son arrivée.
De retour du resto, un peu gai quand même :
Amaelle. - Il était bon le vin !Moi. - Ben..., heureusement que tu en as bu qu’un peu.Fiona. - Si non, tu aurais dormi sur la table...
Et là, nous éclatons de rire. Puis ;
Amaelle. - Je vais me coucher.Moi. - Mais, nous aussi.
Mercredi après le petit dej.
Moi. - Bon..., qu’est ce qu’on fait aujourd’hui ?Amaelle. - Ce que tu veux François.Fiona. - Et, si on allait balader en ville ?Moi. - Aller Ok..., on part et on verra sur place.
Après bien avoir traînés nos pieds dans les rues marchandes où, nous avons fait du lèche vitrines, nous nous arrêtons devant une bijouterie. Et là, les filles se collent le nez à la vitrine et commentent un peu les petits bijoux qui s’y trouvent. Alors, je passe ma tête au dessus de leurs épaules et leur dit.
 - A ce que je peux voir, il me semble qu’il y a quelque chose qui vous plaît !
Toutes les deux ensemble.
 - Oui François. - Alors, on entre...Amaelle. - Non François ! - Et, pourquoi pas ?
Un quart d’heure plus tard :
Amaelle. - François..., pourquoi ??? - Parce que ça me fait plaisir.Fiona. - Tu sais, il est comme ça François. Moi, il m’en a fait tout plein de cadeaux comme ça !Amaelle. - Merci François..., elles sont trop belles ces boucles..., tu es vraiment trop chou.Moi. - Tu me remercieras à la maison, tout à l’heure. - Pas de problème.
De retour chez nous :
Aussitôt entrés dans le salon, Amaelle s’approche de moi, me saute au cou, me serre contre elle et m’offre un nouveau baiser. Puis, me glisse, discrètement, à l’oreille un je t’aime François.
C’est vrai, que ça fait du bien d’entendre des petits mots comme ça.
Le soir, après avoir pris notre repas, sur la terrasse au bord de la piscine, nous nous sommes étendus sur la pelouse, à nous câliner et à flirter comme deux ados, jusqu’à ce que Fiona nous laisse.
Alors cette fois, c’est elle qui a pris l’initiative de venir se lover sur moi. Nos caresses et les baisers qui s’en suivent, ont fait monter la température d’un cran et de ce fait, il n’aurait pas fallu grand chose, pour que nous fassions l’amour. Mais, je pense que le bon moment n’est pas encore venu. Par contre, c’est avec un grand sourire qu’elle me dit :
 - François..., je peux te demander quelque chose ? - Mais bien sûr..., je t’écoute ! - J’aimerai bien que tu me fasses un massage. Ça me détendrait encore un peu plus ! - Ça, c’est avec plaisir ! Mais, un massage comment ? - Comme tu le sens ! J’ai envie de sentir tes mains sur moi. - Pas de problème..., je reviens.
Alors, je viens, jusqu’à la salle de bains, chercher un flacon d’huile de massage. Lorsque je la retrouve sur le bord de la piscine, elle est allongée sur le ventre m’attendant gentiment. Elle a déjà ôter son soutien gorge. Alors, aussitôt, je lui enduit le dos d’huile et commence à la masser en douceur, jusqu’à atteindre ses fesses. Et là, j’en profite pour faire glisser mes doigts jusqu’à son anus, avant de lui demander de se retourner pour faire le devant.
Et là, rebelote, je commence par ses jolis seins que je masse avec application en insistant aussi sur ses tétons. Après cet épisode qui a l’air de beaucoup lui convenir, elle m’adresse un nouveau sourire et me lance comme ça :
 - Oh François, c’est trop bon ce massage. - Mais, c’est fait pour ça ma belle !
Et sans rien ajouter, je continue par son ventre puis, je passe les doigts sous son string pour venir lui masser son pubis et sa fente d’amour.
Et là :
 - François..., s’il te plaît ! - Qu’est ce qu’il y a ma belle ? - Pas ce soir..., là ce sera pour demain ! - D’accord ma belle..., on verra demain. - Oui François, demain, je te promets !
Alors, je met fin à ce massage pourtant délicieux, qui pour ma part, m’a déjà fait monter une belle érection et prenons la décision d’aller nous coucher.
Mais, juste avant de rejoindre, chacun, notre chambre :
 - François, j’ai envie de retourner sur l’île, on pourra y aller demain ? - Bien sûr.
Donc se vendredi est consacré à la plage. Nous reprenons la mer et une demie heure plus tard, nous retrouvons l’île du Roucas et sa plage privée.
La température de l’eau est très agréable. Alors, nous reprenons, comme l’autre jour, nos petits jeux très rapidement.
Après cette baignade, où Amaelle s’est laissée allée encore un peu plus. Elle m’a permis de lui caresser ses seins et même de poser main main sur son pubis et sa fentounnette. Chose qui m’a bien émoustillé. Puis, nous rejoignons la plage, nous nous allongeons au soleil et là, je vois mon Amaelle commencer à dénouer les cordons de son maillot et ôter son soutien puis son string à ficelles. Là, je suis un peu surpris par son initiative, mais aussi, charmé par la vue de ses deux magnifiques monts blancs, aux aréoles d’un rose tendre et de son pubis au ticket de métro de poils roux rasé de très près.
Alors, je ne peux m’empêcher de lui poser la question :
 - Mais dis moi, je croyais que tu ne voulais pas te dénuder ! - Ça, c’était l’autre jour. Aujourd’hui, j’en ai envie pour toi. - Merci ma belle. C’est trop gentil ! Alors, ça veut dire que..., - Le moment est venue et, que je vais me donner à toi bientôt !
Après un petit moment passé au soleil, soudain je sens sa main venir chercher la mienne. Puis, elle se tourne vers moi et me dit d’une voix douce :
 - François, embrasse moi stp. J’ai envie d’un gros baiser !
Alors, je la rejoint pour une longue étreinte et nous nous embrassons et nous nous câlinons et nous nous caressons presque sans retenue. Cette fois, je crois que la glace a définitivement brisée car, quelques minutes après ce premier câlin, Amaelle ôte complètement son bas de maillot, le jette à coté d’elle et, une fois à poil, vient s’allonger sur moi.
Nous passons une grande partie de la journée comme ça entre câlins sur la plage et baignade encore plus sensuelle. Quand au retour à la maison, c’est collé l’un à l’autre que nous sommes revenus.
Samedi après midi au bord de la piscine.  
Il fait un temps magnifique. Amaelle, elle, porte un maillot encore plus sexy qu’hier, un maillot ultra mini à lanières, rose tendre et bleu ciel, comme la couleur de ses yeux, dont le haut, couvre tout juste les aréoles de ses superbes seins et le bas est aussi un string, dont la lanière de tissu est profondément enfouie entre ses fesses. Quand au triangle de tissu du devant, lui, il est fortement renflé par la proéminence de son pubis et happé par sa fente d’amour. Ce qui n’est pas pour me déplaire. Ça va même aller dans le bon sens des choses à venir Quand à Fiona, elle se baigne toute nue comme à son habitude.
Un gros quart d’heure plus tard, Amaelle me rejoint sur la pelouse et s’allonge à côté de moi. Et :
 - Tu sais que tu es belle à croquer... - Merci François. Mais..., c’est juste pour toi ! - Il était bon le massage avant hier soir ? - Oui François. Mais tu sais, tu as failli me faire craquer ! - Et aujourd’hui..., comment tu te sens ? - Très bien. - Tu sais, il y a quelques jours, Fiona m’a raconté l’obsession que tu avais dans la tête. Et, c’est pour cette raison que tu es venue jusqu’ici ? - Oui François. J’en ai trop envie depuis trop longtemps. - Tu sais, pour moi, ça sera un vrai plaisir et aussi un honneur de satisfaire ton désir. - Merci François, t’es trop chou ! - Mais, dis moi pourquoi tu avais flashé sur John ? - Parce qu’il est beau et très gentil avec moi. Mais voilà, il n’a pas envie de moi... - Bon, ça c’est pas grave ! Bon dis moi..., pour être plus à l’aise, est ce que tu veux qu’on rentre, nous serons bien mieux à l’intérieur ! - Oui... On sera plus tranquille pour... - Pour flirter ! - Oui, j’ai trop envie de câlins.
Quelques instants après sur le canapé :
Amaelle vient s’asseoir sur mes genoux, me passe les bras autour du coup et me tend ses lèvres sur lesquelles je dépose un baiser, un doux et long baiser langoureux. Puis, je délasse la lanière de son maillot et mes deux mains se posent, en même temps, sur ses deux monts blancs. Ils sont doux, bien ronds et bien fermes. Je les pelote, presque avec frénésie, tellement c’est agréable. Quelques secondes suffisent pour que ses tétons se durcissent et se dressent vers le ciel. Alors, je leurs fait de petites léchouilles, qui la font soupirer. Et là, après un long soupir :
 - Ooooh que c’est bon François !    - Mais, tu sais ma belle, ce n’est que le tout début ! - Peut être, mais ça fait vachement du bien ! Tu sais, moi, j’ai beau me caresser, c’est pas comme toi. Ça me fait pas la même chose !
Puisque c’est si bon, pourquoi ne pas y retourner ? Alors, elle s’allonge et mes mains retrouvent, aussitôt, ces caresses qui lui font tout simplement un bien fou. Trois secondes après, Amaelle ferme les yeux, soupire et se met à gigoter sur mes genoux puis :
 - François..., ça me fait l’électricité dans le corps ! C’est bon, tu sais... - Alors, je continue... ? - Oui. Mais avant, donne moi encore un baiser !
Alors, elle se soulève, s’accroche à mon cou et me tend ses lèvres. Là, nous nous roulons une longue gamelle de folie. Puis, elle reprend sa place, allongée sur mes cuisses. Et là, je pose sa main sur son monticule pubien et !
 - Je peux te caresser là ? - Bien sûr..., mais fais doucement. J’ai envie que ça dure longtemps. - Mais, moi aussi ma chérie !
Alors, ma main commence, tout doucement, par caresser son petit ventre légèrement bombé puis, petit à petit vient à la rencontre de son pubis, qu’elle caresse, dans un premier temps, par dessus le bout de tissu.
Quelques instants plus tard :
 - Heum François... - c’est bon ma belle ? - Ouiiii..., mais si tu veux, tu peux me quitter mon maillot !
Alors, cette fois à chacune de mes caresses, mes doigts descendent un peu plus vers sa fente d’amour, dont je commence à vraiment ressentir la chaleur. Mais, comme elle me l’a demandé, je vais et je viens lentement entre ses cuisses, qu’elle a inconsciemment ouvertes, pour laisser ma main naviguer plus aisément.  
Quelques minutes plus tard :
 - Dis moi François, ça va être tout le temps aussi bon ? - Mais bien sûr ma poupée. - Et, quand tu me feras l’amour aussi ? - Ce sera encore plus fort que ça. - Alors, je me languis que tu me fasses l’amour. - Tu sais là, c’est que le début de la préparation. - Et, c’est quand que tu me feras l’amour ? - Tout à l’heure ! Mais en attendant, lève toi un peu.
Alors, Amaelle, cette fois, s’allonge sur le canapé. Je viens à côté d’elle et lui demande de relever un peu ses fesses, pour je puisse lui ôter son string de bain. Et là, j’ai la confirmation de ce que j’ai pu voir, lorsqu’elle s’est mise nue, l’autre jour à la douche et avant hier à la plage. Et en plus, d’une magnifique fente d’amour, aux lèvres empourprées, elle a un joli bouton d’amour très apparent, que je me languis de cajoler pour de bon.
A ce moment là, devant son corps entièrement dénudé dans l’intimité de mon salon, mon sang n’a fait, une nouvelle fois, qu’un tour dans mes veines et là, je me suis rendu compte vraiment que cette jeune fille, qui m’avait sollicité, était un cadeau du ciel et qu’il ne me fallait surtout pas la décevoir.
Alors :
 - Aïe aïe aïe..., quel beau bijou, quelle belle fentounnette ! - Tu l’aimes ? - Oui, oui ! Et, tu vas m’en faire cadeau..., comme ça ! - Oui François. Tu sais, depuis que nous sommes arrivées Fiona et moi, j’ai beaucoup réfléchi. Ça fait trop longtemps que j’attends ce jour ! - Et, tu crois, qu’il est arrivé ? - Oui François ! - Alors, je vais lui faire un très gros et long câlin à ta fentounnette.
Comme pour me remercier, elle s’assoit, me tend ses lèvres et me propose un long baiser d’amour. Puis, s’allonge à nouveau et m’offre sa vallée des merveilles en retroussant ses jambes sur elle.
Là, je m’assoie sur le bord du canapé, me penche sur elle et cette fois, outre une douce chaleur qui s’en dégage, c’est une odeur enivrante qui m’est offerte. Alors, ma bouche prend aussitôt possession de sa fentounnette d’amour. Je lui lèche abondamment puis, lui ouvre délicatement ses grandes lèvres pour déguster voracement son bouton d’amour que, je suçote, aspire et même, titille avec le bout du doigt. Alors, son ravissant bout de chair rose se gonfle peu à peu et là, elle se met à gémir.
 - Oooh ouiiii..., François... - Tu jouis ma chérie ? - Aaah ouiii..., et, c’est vachement bon !
Et après ces deux heures de câlins intenses, ma filleule fait irruption dans le salon, toujours autant nue que tout à l’heure et me dit :
 - Dis moi parrain, j’ai l’impression que vous vous amusez bien ! - Et pourquoi ? - Parce que j’ai entendu Amaelle gémir depuis la piscine. Tu aurais pu fermer la porte ! - Bon, c’est pas grave..., on s’excuse.
Mais, comme il commence à se faire tard, nous mettons un terme à notre flirt de l’après midi en se disant que ce soir, après le repas, nous allons reprendre là où nous nous sommes arrêtés.
Donc, vers vingt deux heures, Fiona quitte le salon pour aller se coucher.
A ce moment là, Amaelle me dit comme ça :
 - Tu sais François, ça va vraiment beaucoup mieux. Maintenant j’ai confiance en toi. Et ce soir, je vais t’offrir ma fleur d’amour. - T’as oublié John ? - Oui François. Avec lui, de toute façon, ça n’aurait pas été possible. C’est trop compliqué. Et puis, toi, tu es encore plus gentil et attentionné que lui. Là, tu viens de me faire découvrir plein de choses que je ne connaissais pas. J’aime beaucoup comment tu fais attention à moi. - C’est gentil tout ce que tu me dis ! Aller, tu viens..., on continue notre aventure ? - Oui mon François.
Alors, je lui prend sa main et l’attire vers moi. Elle s’accroche à mon cou, me serre fort contre elle et, me donne un nouveau baiser d’amour que je partage avec fougue. Et c’est comme ça, enlacés, que nous rejoignons la chambre.
Aussitôt entrés, je ferme la porte pour ne pas déranger Fiona, qui dort juste dans celle d’en face. Nous nous jetons sur le lit et aussitôt, je m’emploie à re préparer ma belle rouquine pour l’emmener vers sa défloration et pourquoi pas au paradis. Puisque sa venue jusque chez moi en est le but.
Alors, mes mains retrouvent le chemin de ses magnifiques seins. Je les pelote soigneusement et joue, encore une fois, avec ses deux tétons qui, quelques secondes plus tard, se durcissent à nouveau et la font aussi pousser un gros soupir de bonheur-être. Puis comme tout à l’heure, mes doigts viennent caresser l’intérieur de ses cuisses et cajoler sa fentounnette d’amour. Et là aussi, Amaelle réagit à mes caresses et m’adresse un long soupir de bien-être.
Je comprends, à ce moment là, qu’elle est prête pour accomplir cet acte qu’elle attend avec beaucoup d’impatience depuis ses quatorze ans.
Bien que mon sexe ne lui soit pas vraiment étranger. Car, que ce soit à la douche ou lors de cette séance de massage, elle a eu l’occasion de l’observer et du fait, savoir ce qui l’attendait. Alors, j’ôte mon short, pour lui offrir ce qui est pour elle l’objet principal de ses désirs.
Une fois dénudé et la queue déjà bien raidie, elle me lance en souriant :
 - Heum..., François ! - Qu’est ce qu’il y a ? - C’est vrai qu’il est beau ton pénis..., ce soir, j’ai très envie de le prendre ! - Mais vas y ma belle ! Prends le dans ta main et masturbe moi stp !
Alors, elle s’en empare et commence à faire de petits aller retour qui me font, rapidement, beaucoup de bien.
Deux minutes après :
 - Maintenant si tu veux, tu peux le prendre aussi dans ta bouche et le sucer ! - Oui François. Mais, tu sais, ça je l’ai vu que sur des vidéos, mais je l’ai jamais fait. - Alors, puisque tu l’as déjà vu faire, tu n’as qu’à faire comme tu as vu sur les vidéos ! - D’accord François !
Alors, aussitôt, elle fait comme je viens de lui dire. Et même, si au début, c’est un peu maladroit, c’est vachement bon.
Deux minutes plus tard :
 - C’est bon comme ça François ? - Oui ma chérie..., c’est parfait. Mais, doucement..., tu peux le faire gicler aussi, si tu y vas trop fort ! - D’accord !
Peu après, pour changer et aussi, pour varier un peu les plaisirs, je l’invite à faire un truc qu’elle n’a certainement jamais fait aussi.
Pour ça, tout d’abord, je lui demande de relâcher mon pénis, puis, je m’allonge sur le plumard et l’invite à venir se mettre à califourchon sur moi en m’offrant sa moule juteuse. Aussitôt, je lui écarte ses lèvres et plonge ma langue entre pour la déguster et me gaver de son jus de jeune fille et l’invite à retrouver ma queue, pour continuer sa fellation.
Dans cette position de soixante neuf, nous allons prendre un plaisir fou. Amaelle se met à jouir pour de bon cette fois. Quand à moi, je ne suis pas bien loin de lui éjaculer dans la bouche. Alors, comme il nous reste le principal, c’est à dire sa défloration à accomplir, je lui demande de mettre un point final à nôtre soixante neuf.
Après ça, je pense que les préliminaires peuvent prendre fin et que, nous pouvons passer à la deuxième étape.
Amaelle s’installe confortablement, au beau milieu du lit, les jambes ouvertes et repliées sur elle et m’offre, dans toute sa splendeur, son bijou d’amour.
Je viens face à elle. Je prends ma queue en main, l’approche de sa fente détrempée, la fait naviguer un long moment entre ses grandes lèvres, histoire de l’exciter encore un peu, et lui titillant aussi son clitoris, pour la faire repartir une nouvelle fois. Et, ça marche plutôt bien. Amaelle se remet à soupirer fortement puis dans un long gémissement me bafouille :
 - Ooooh François..., c’est bon ça !
Alors, puisque c’est bon, pourquoi ne pas continuer. Je fais encore deux ou trois va et vient et :
 - Ma chérie..., est ce que tu es prêtre maintenant..., tu veux toujours ? - Ouiii François..., plus que jamais !
Alors là, je positionne ma queue entre ses lèvres juste à l’entrée de sa grotte, encore protégée par son voile de protection et, d’une pression un peu plus forte, mais accompagnée d’un cri de douleur, que celui-ci se déchire. Aussitôt, je retire mon sexe maculé de son sang et aussitôt, je viens la réconforter en l’embrassant et en lui disant de petits mots gentils pour lui faire oublier cette douleur.
Une petite minute plus tard :
 - Est ce que ça va mieux ma chérie..., est ce que tu as encore mal ? - Non François ça va, j’ai plus mal. - T’en avais envie Hein ! - Oui François, depuis trop longtemps ! Tu me fais l’amour maintenant ? - Oui ma chérie..., mais pour cette première fois, on va faire simple. On va faire juste deux ou trois positions sympas. - C’est vrai qu’il y en a beaucoup..., tu as raison ! - Mais, comment tu sais ça ? - En visionnant les vidéos sur internet ! C’est comme ça que j’ai eu cette idée. Tu sais, à voir les filles prendre du plaisir, ça m’a donner envie d’en prendre aussi. - Ah ok ! Alors, allonge toi et ouvre bien tes jambes.
Je me remets à genoux devant cette chatte, désormais, bien ouverte mais, qui porte encore les stigmates de sa défloration. Là, je plonge ma queue à l’intérieur et, dès le second va et vient, Amaelle se met à gémir et comme ça, je la lime pendant un long moment et, ma belle partenaire chante, chante. Oubliée la douleur de son dépucelage. Maintenant, c’est que du plaisir, du vrai.
Puis, pour varier aussi, je lui demande de se mettre à quatre pattes, pour la prendre en levrette.
Aussitôt, connectée, je l’empoigne par les hanches, et les va et vient s’enchaînent. Et, très rapidement, Amaelle retrouve ses gémissements qui me donnent du baume au cœur et elle, la conduisent vers les hautes sphères du plaisir.
Comme ça, je lui tamponne ses fesses avec bonheur pendant presque un quart d’heure. Elle, elle jouit autant qu’une jeune fille peut jouir et moi, je me régale de lui labourer sa fente d’amour. Quand tout à coup, je sens monter dans ma queue un flot de sperme qui ne demande qu’à être expulsé.
Rapide question. Je me retire ou je lui éjacule dans sa grotte. Mais, la réponse arrivera trop tard. Ce sont au moins quatre ou cinq flots de sperme qui sont allés lui éclabousser le fond de son cratère en fusion.
Quelques secondes plus tard, je sens ma queue dégonfler lentement et Amaelle revenir tout doucement à elle. Puis :
 - Pardon ma chérie... - Pourquoi, qu’est ce qu’il y a ? - J’ai pas pu me retirer à tant, j’ai éjaculé dans ta chatte. C’est un peu con ! - C’est pas grave François, c’est pas grave ! - Mais, tu sais qu’il y a risque, quand même ? - Non François. Je prend une pilule depuis que j’ai eu mes premières règles. C’est comme ça ! - Ah bon ! Par contre, ça c’est couillon. - Non..., et maintenant, comme ça je suis protégée. - Bon dis moi..., tu es heureuse maintenant que tu as assouvi ton fantasme ? - Ah oui. Mais, c’était pas un fantasme. Je voulais savoir ce que ça pouvait faire, quand on fait l’amour. Tu sais, je suis pas déçue. Au contraire, je me sens une autre personne maintenant. - Bien sûr..., tu es devenue femme. - Et ouiii..., et grâce à Fiona et surtout à toi. Parce que, si on avait pas parlé, toutes les deux, je serai encore en train de me masturber, tous les soirs, dans mon lit en pensant à John. Et maintenant, je vais me masturber en pensant à toi et à ton sexe qui, vient de me faire vachement du bien. Dis François, on recommencera... ? - Bien sûr ma belle poupée. Même dans la nuit ou demain matin, si tu en as envie. - Dis moi François..., depuis tout à l’heure, ton sperme me coule le long de la cuisse et, je crois que ça a taché le drap. - Pas grave. Par contre, viens on va aller faire une petite toilette.
Alors, nous quittons la chambre et nous nous retrouvons sous la douche, où nos corps se frôlent et se mélangent, sous une eau tiède qui nous fait du bien. Et, ça nous fait tellement du bien, que ma queue s’est soudainement et fortement redressée au point qu’Amaelle s’est empressée de la masturber avant d’écarter ses jambes pour m’offrir, une nouvelle fois sa chatte. Et comme ça, nous avons fait une seconde fois l’amour, avant de rejoindre ma chambre, pour une bonne nuit. Mais, la suite sera pour une prochaine fois...
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