Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 50 J'aime
  • 6 Commentaires

Flirt sans suite?

Chapitre 1

Erotique
Mon épouse et moi venions de déménager du nord au sud pour des raisons professionnelles.
Mon nouveau travail se faisait surtout en déplacement. La semaine, j’étais donc rarement à la maison et les relations que je créais étaient surtout dans le cadre de mon boulot, loin de chez moi. De plus, je ne voulais pas côtoyer mes relations de travail en dehors du boulot.
Mon épouse, elle, avait besoin de se faire des amies et se lia rapidement d’amitié avec une collègue de bureau qui, la sachant nouvelle dans la région, l’accueillit avec beaucoup de gentillesse. Elle fêtait son quarantième anniversaire à la fin du mois d’août et nous invita. Une occasion pour nous de faire d’autres connaissances.
La fête se passait dans un collège dans la ville où le mari de l’amie de mon épouse travaillait. C’était un homme très bricoleur. À ce titre, il rendait beaucoup de services ; c’est pourquoi le directeur du collège l’autorisa à utiliser la cantine. Il profita de l’été pour faire une superbe paëlla qu’il prépara dans la cour de récréation.
Quand nous sommes arrivés, nous fûmes tout de suite présentés aux autres invités. La moyenne d’âge était entre trente et quarante ans. L’accueil fut chaleureux, et l’apéro aidant l’intégration, facile. La fête se déroula dans une ambiance parfaite. Nous buvions, parlions, chantions, dansions sur toutes sortes de musiques, valses et tangos inclus.
Bien que n’étant pas un très bon danseur, je sais tout danser. Arrive alors la série de valses où l’on change de partenaire en cours de route. Je me retrouve avec une jolie femme dans les bras, sans fard, jean et chemisier, cheveux courts, pas beaucoup plus petite que moi bien que chaussée de sandales plates. Pendant la danse, elle avait tendance à vouloir prendre la direction, sauf que pour moi, tourner dans l’autre sens était un peu difficile. Donc, naturellement je reprenais les commandes au point qu’à un moment elle m’a directement demandé si je pouvais la laisser faire. Ma réponse, naturellement, fut oui, mais je l’avertis que cela risquait d’être laborieux, vu mes qualités de danseur. Cela ne lui causait aucun problème, et pendant que nous dansions elle me dit :
— Le pire, c’est que j’aime ça.
Ce à quoi je répondis à son oreille, aidé par l’euphorie que l’alcool produit :
— Ne le dites à personne : moi aussi.
Elle eut un mouvement de recul de la tête, les yeux écarquillés :
— C’est vrai ?
Moi, mi-sérieux, mi-amusé, pour laisser planer le doute :
— Bien sûr, mais ça reste entre nous.
— Ne t’inquiète pas, me répondit-elle me tutoyant subitement.
A la fin de la danse, c’est elle qui m’a accompagné à la table en me prenant par la main. Cette situation commençait vraiment à m’émoustiller. Ma femme, s’étant intégrée à un groupe, ne se souciait pas du tout de ce que je faisais. Son mari à elle était lui aussi occupé, dans le même groupe, d’ailleurs, que mon épouse.
Ma nouvelle copine qui s’appelait Graziella, d’origine italienne, s’installa près de moi, elle aussi un peu affranchie par l’ambiance, et certainement un peu de vapeur d’alcool, prit la discussion en main jusqu’au moment où elle me dit qu’elle avait été et qu’en réalité elle a été un vrai garçon manqué. Ce à quoi je lui répondis (toujours aidé par l’alcool) que c’était dommage que nous ne nous soyons pas rencontrés avant, nous aurions fait un beau couple, car moi j’étais une vraie fille manquée. Elle rit aux éclats, puis me regardant droit dans les yeux, sérieuse, elle me dit :
— Viens, accompagne-moi dehors, ma chérie (toujours en riant) ; je vais en griller une petite.
« Ma chérie ! » Ces deux mots dans ma tête la firent exploser.
Une fois dehors, discrètement protégés par la nuit, elle me fit traverser la cour de récréation pour nous cacher entre le mur d’enceinte et les cyprès. Là, bien à l’abri des regards indiscrets, elle m’attira avec une force surprenante contre elle et me "roula une de ces pelles" que je qualifierais de mémorable, dont je ne croyais pas une femme capable. Tout en m’embrassant, elle me retira ma chemise, baissa mon pantalon. Ces baisers voyageaient de mon cou à ma poitrine en passant par mes épaules. Je m’abandonnais totalement à son emprise. Un peu revenu à moi, je voulus la caresser à mon tour, mais dès que mes mains se posaient sur ses seins, elle me les enlevait. C’était plus fort que moi : le cheminement de mes mains les amenait irrémédiablement sur ses seins, si bien qu’elle finit par me saisir par les poignets et me dit :
— Quand je dis non, c’est non !
Puis elle m’administra une gifle, déboutonna son pantalon, le baissa et dit :
— Suce !
Me voyant hésitant, elle ajouta avec autorité :
— Fais pas ta mijaurée avec moi ; je les connais, les p’tites salopes comme toi. Allez, à genoux, et suce ! Ne me déçois pas !
J’obéis, la queue tendue à la limite de l’explosion. Elle semblait apprécier mes caresses buccales quand tout à coup, sans prévenir, elle me repoussa méchamment, se réajusta et partit, me laissant là, seul comme un con, ne comprenant pas ce qui lui avait pris par la tête. J’étais tellement excité par cette petite aventure que je ne pus faire autrement que de me finir à la main.
De retour dans la salle, je ne savais pas quelle attitude tenir. Elle avait rejoint son mari et avait, avec lui, le comportement d’une femme amoureuse. De mon côté, j’essayais de l’interroger du regard, mais il était clair qu’elle me fuyait. Je renonçai donc, plein de doutes. Qu’avais-je bien pu faire qui lui avait déplu à ce point ? Ma petite aventure finissait donc ainsi comme un grand "splash", me culpabilisant jusqu’au complexe. La fête continuait malgré tout et je mis les bouchées doubles.
Contre toute attente, en fin de soirée, elle vint vers moi, me souhaita une bonne fin de soirée, m’embrassa et me glissa dans la main un morceau de papier avec un numéro de téléphone et ces mots : « Appelle-moi lundi à dix heures. »

FIN
Diffuse en direct !
Regarder son live