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florence,belle et douce

Chapitre 1

Inceste
Corrigé par Redflag
Florence, belle et douce
CHAPITRE 1Une jeune fille dotée d’un charme irrésistible

Les personnages :Florence, 20 ans, fille de Jacques et Francine, sœur de Fred, petite amie de Pierre.Jacques, 47 ans, père de Florence et Fred, ex mari de Francine.Fred, 18 ans, fils de Jacques et Francine, frère de Florence.Francine, 43 ans, ex femme de Jacques, mère de Florence et Fred.Pierre, 20 ans, petit ami de Florence.Père François, 63 ans, curé du village.Edward, 45 ans, notaire et second époux de Francine.Armand, 44 ans, chauffeur personnel d’Edouard.Roger, 53 ans, paysan du village.
Dans un petit village de France, au milieu des année 90, tandis que les cloches de l’église sonnent midi, un vélo s’écarte des maisons concentrées pour se rendre dans un hameau non loin de là.Sur ce vélo, c’est Florence, la fille de Jacques, le peintre du village.Florence est une jeune et belle femme de 20 ans, elle est brune aux yeux bleus très clairs. Elle est sortie pour aller chercher le pain chez le boulanger.Dans le village tout le monde adore Florence.Les marchands, les vieilles personnes qu’elle aide parfois, l’apprécient beaucoup.Bien sûr, quelques vieux pervers qui jouent aux boules sur la place ne se gênent pas pour donner un œil sur son postérieur, habillé aujourd’hui, seulement d’une ravissante mini jupe voilée rouge qui s’envole grâce à l’air donné selon la vitesse de la bicyclette.

Alors, c’est avec joie que son ravissant string en dentelle blanc fait son apparition, de quoi faire bander le curé du village, le père François qui est en train de remplir son pot à eau au bassin. Ses yeux trahissent son serment fait à sa foi envers jésus en fixant ses deux fesses charnues posées sur la selle.Sa petite chemise noire lui serre le buste, faisant ressortir sa délicieuse et jeune poitrine.
Ah Florence..., sa silhouette représente, comme son prénom, la beauté. Elle est si belle, aucune parcelle de son corps est à ignorer, le galbe de ses fesses, ses jambes parfaitement lisses, ses seins qui approchent les 90 c.Son visage de poupée, son sourire, ses cheveux fins, tous les hommes de son âge tueraient pour pouvoir, seulement, poser leurs lèvres sur les siennes.Cette petite bouche pulpeuse qui en dit long le jour où elle taillera sa toute première pipe de sa vie à l’heureux élu.
Hé oui, Florence n’a jamais fait cela, est-ce à cause de Pierre, son petit ami ?Ou est-ce qu’elle n’a encore jamais osé faire ceci ?Cette fille si sage, l’est-elle aussi en amour ?Mais Florence est aussi une femme très intelligente, très sociable et surtout très polie. Elle aide son père qui a divorcé alors qu’elle n’avait que 11 ans.Sa mère est partie avec un notaire, Jacques n’a jamais su si la raison était pour l’argent, mais une chose est sûre, c’est qu’il s’est occupé de sa fille et de son fils du mieux qu’il le pouvait pendant que Francine ne donnait aucuns signe de vie à ses propres enfants.
Florence lui en est éternellement reconnaissante et fait tout, aujourd’hui, pour le lui montrer.Entre la cuisine, la vaisselle, le ménage et les cours, elle n’arrête pas une minute, Jacques est si fier d’elle.
La voilà, enfin, qui arrive à la maison, elle ouvre la porte d’entrée de cette ferme retapée par son père après le divorce.Il y a beaucoup de champs autour et des vergers.L’été, avec son frère, elle part ramasser les pêches de vignes avec toujours la même joie de pouvoir manger de bon fruits.Les cigales commencent à donner de la voix, alors que nous ne sommes même pas encore au mois de juin, la chaleur est précoce, cette année.
« C’est moi, je suis rentrée !– Ah, ma chérie, viens me voir, j’ai à te parler… !– Oui, j’arrive, papa ! »
Elle pose le pain sur la table de la cuisine et file voir son père qui se trouve au premier dans son atelier de peinture.Lorsqu’elle arrive aux pieds des escaliers, elle quitte ses petits baskets blancs pour ne pas salir le premier étage.Marche après marche, ses pieds habillés de petites chaussettes blanches, elle monte pour rejoindre son père.Elle arrive à la porte, elle retrouve ce dernier en train de peindre un tableau commencé il y a une semaine, au bord d’un lac.
« Tu penses le finir quand ?– Oh, ben…, j’n’en sais rien…, il est plus long que je croyais !– Tu comptes déjà le vendre ?– Et que veux-tu que j’en fasse, ma puce ? On n’a pas de place, ici !– Dommage... !– M’oui, tiens, peux-tu, s’il te plaît, fermer la fenêtre, le courant d’air me gêne, s’il te plaît ?– Oui, bien sûr ! »
Florence passe devant son père en direction de la fenêtre, elle ne semble pas prêter attention au vent qui soulève admirablement cette mini jupe qui semble si légère.Jacques, concentré à son tableau, ne s’en aperçoit pas.
« Papa, je ferme aussi les volets ou pas ? »
Son père tourne la tête pour regarder la luminosité du soleil et c’est ainsi qu’il tombe sur les fesses magnifiques de sa fille, habillées seulement d’un affriolant string blanc.Attendant la réponse de son père, Florence s’était, quand-même, penchée pour pouvoir attraper les vieux volets bleus.Du fait de cette position et de la jupe qui ne sert pas a grand chose, la vulve de la jeune femme peut ainsi se voir entres ses cuisses.Bien sûr, la dentelle blanche du string est là, mais il cache seulement le strict minimum, le peu de poils pubiens assombrit la transparence de la dentelle.Cet endroit là est bombé et, d’ailleurs, les lèvres extérieures se voient car le tissu semble prendre un malin plaisir à passer entre, ce qui donne un léger vertige à son père qui, sans un mot, fixe ce tableau qui n’est pas son œuvre.
« Oh papa, je te parle… ! »
Florence, sans se retourner, attend une réponse de son père, ce qui fait sortir celui-ci de son rêve érotique.
« Euh non, ce sera bon..., merci ! »
Florence ferme la fenêtre et quitte la pièce en disant que ce sera bientôt l’heure de manger.Entretemps, Jacques s’était assis pour pas que sa fille ne puisse voir que son jeans était déformé au niveau de l’entrejambe.
Une fois seul dans la pièce, Jacques pose son pinceau et se dirige vers la fenêtre, la honte le ronge à l’intérieur de lui.C’est vrai que sa fille est une beauté rare, mais est-ce vraiment une excuse pour un père d’avoir une érection comme ça ?Depuis que Francine est partie il n’a jamais rencontré une autre femme.Son cœur avait été brisé, il l’aimait tant… D’ailleurs, quand il y pense, elle aussi, était une très belle femme.
Mais Francine aimait l’argent et Jacques, lui, n’en avait pas.Pourtant, tout était bien parti, il devait devenir un grand sportif dans la natation, mais un accident de voiture l’avait éloigné des bassins pendant longtemps..., trop longtemps…À son retour, les portes se sont refermées devant lui et il dut renoncer à sa carrière.Jacques n’a jamais su remonter la pente et Francine, au lieu de l’aider, a plutôt enfoncé le clou.Elle travaillait dans le cabinet d’un notaire qui avait son âge, qui était riche et beau.Francine n’a pas résisté longtemps à son charme, le divorce était inévitable.Son épouse a tout plaqué, Jacques, les enfants…, tout.Et elle s’est remariée avec ce notaire qui lui avait tout pris.Pendant plusieurs années, c’était le chaos dans sa vie, mais c’est grâce à ses enfants qu’il a pu remonter la pente.
Mais aujourd’hui, Florence est devenue une femme, une très belle femme.Il sait aussi que tous les hommes du village fantasment à lui passer dessus, même qu’un soir, au bar, il avait failli se battre en entendant Roger dire des saloperies à son égard.Roger, quel salopard, un paysan du coin qui voulait racheter les terres du père de Jacques.Mais lorsque ce dernier refusa, il a pris une colère folle chez le maire.À partir de ce jour, à chaque fois que Jacques vient au village, il peut l’entendre l’insulter au bar, le provoquant sans cesse.Jacques essaye de l’ignorer, mais ce soir là, lorsqu’il traita sa fille de petite salope des vergers, il devint fou et lui posa son poing en pleine figure, le faisant tomber contre la table.Les deux hommes n’avaient pas pu régler leurs comptes, car les personnes autour les avaient séparées.
Jacques n’a jamais raconté tout ça à sa fille, mais Florence l’avait appris par une marchande le lendemain, mais le garda pour elle.
« Papa, à table… !! »
L’appel de sa fille le sort de ses souvenirs et Jacques descend pour manger.
« Fred n’est pas là… ?– Je ne sais pas, je pense qu’il est dans sa chambre, attends, je vais voir… ! »
Florence traverse le couloir pour se rendre dans la chambre de son frère.Entretemps, elle avait enfilé une paire de pantoufles.Elle frappe à sa porte :
« Fred, on mange… !– Mmm…, euh, attends… !!!– Pourquoi "attends", c’est midi.... !– Ouais, ben..., attends, merde... !– Bon, ça suffit, j’ouvre… ! »
Florence ouvre la porte et découvre son frère dans les draps de son lit, torse nu.Celui-ci a l’air bien réveillé, mais assez gêné, presque furieux.
« Flo..., putain, n’rentre pas... !!!!– Mais qu’est-ce que tu fais dans le lit… ? C’est plus de midi... !– Florence, sors… !!!! Retourne dans la cuisine, j’arrive… !!– OK…, mais regarde-moi ce foutoir, tu ne peux pas ranger un peu ? »

Florence passe devant son lit et, sans faire attention à lui, ramasse le linge au sol.La jupe, si courte, remonte sur ses fesses et de là où est Fred, il peut voir presque la totalité des fesses rebondies de sa sœur, séparées par la minuscule ficelle en dentelle blanche de son string.Fred n’en perd pas une miette, il n’écoute plus les reproches de sa sœur sur la propreté de sa chambre.Il en vient même à passer une main sous les draps pour atteindre son entrejambe.Il prend le risque de se branler alors que sa sœur est à quelques centimètres de lui.
« Bon, allez, tu te dépêches, je ne ferai pas plusieurs services… ! »
Sans le regarder, elle quitte la chambre, laissant son frère complètement ivre d’excitation.Lorsqu’il est certain qu’elle soit partie, il sort un string caché sous les draps.Si Fred avait l’air si gêné, c’est parce qu’il était en train de se masturber avec un string en dentelle rose, appartenant à sa sœur.
Comment en est-il arrivé là ?Fred, ce jeune homme de 18 ans, fantasme sur sa sœur depuis le jour où ses hormones ont commencé à le travailler.Bien sûr, il y a eu la honte, car même si Florence est une belle femme, c’est avant tout sa sœur.Mais elle est si désirable que son combat contre ses jeunes pulsions était battu d’avance.En plus d’être une belle femme, Florence ne se cache pas derrière des vêtements larges qui cachent presque la totalité de ses formes.Non..., elle est sans cesse en train de porter des mini jupes plus affriolantes les unes que les autres, dévoilant ses cuisses parfaites et, parfois, même sa lingerie.Et quelle lingerie… ! Des strings en dentelles ou transparents, ce qu’il lui va à ravir, puisqu’elle a le corps pour pouvoir mettre ce genre de sous-vêtements.Pourtant, ce n’est pas une allumeuse, cette femme est d’un tel naturel que ça en devient même encore plus excitant comme ça.
Dès lors, rien qu’en pensant à tout ça, Fred recommence là où il en était.Il se masturbe frénétiquement dans ce tissu si doux et si excitant.Mais quelle en est la cause de cette excitation ? Parce qu’il appartient à sa sœur ou parce que ce string est tout simplement ravissant ?
Peut-être les deux, Fred adore la lingerie fine féminine et si, en plus, la personne qui la porte est une femme très attirante, ça peut être encore mieux.Et c’est bien le cas de Florence.Enfin bref, toutes ses pensées et questions érotiques font venir le jeune homme dans un petit râle de plaisir.
« Oooh, Florence, mmm… !!! »
Son membre, entouré du tissu, explose, lâchant plusieurs jets de sperme qui s’infiltrent dans la dentelle du string.Le bassin de Fred donne quelques bonds pour en rechercher toute la puissance de sa jouissance.
Lorsque ses pulsions se sont dissipées, il se lève de son lit, s’habille et cache le string sous l’armoire, pour que personne ne puisse le trouver, en attendant qu’il le lave.Il rejoint ensuite son père et sa sœur dans la cuisine.
« Ah enfin, jeune homme, c’n’est pas trop tôt !– Désolé, mais j’n’arrivais pas à dormir hier soir, à cause de cette si soudaine chaleur… ! »

Le repas fut servi et Jacques attend que sa fille s’asseye pour pouvoir parler.
« Bon les enfants, j’ai quelque chose à vous dire et ça vous concerne tous deux ! »
Ils le regardent tous les deux, dans un silence de mort, se demandant ce que leur père souhaite leur faire part.
Bientôt la suite....
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