Le lendemain, au petit-déjeuner, Alex me dit qu’il souhaitait me montrer le bateau du resort, de sorte que je puisse accompagner certains VIP qui voudraient un peu d’isolement. Le yacht me paraissait immense. Il devait mesurer au moins dix mètres de long. Après avoir fait le tour du propriétaire, Alex proposa d’aller faire un tour pour voir si je savais le conduire. Une fois sorti du port, il me passa les commandes. Finalement, une fois le truc assimilé, le maniement était assez facile. Alex arrêta le bateau et jeta l’ancre. — Regarde comme, il fait calme. Il était vrai que le fait d’être seul au milieu de la mer était un sentiment d’isolement agréable. La chaleur était accablante, et Alex proposa de se mettre à l’aise. Il se déshabilla et se retrouva en boxer. Je fis de même. Je le regardais. Malgré son léger embonpoint, Alex avait dû être un bel homme. Torse poilu, jambes musclées, j’aurais aimé le connaître plus jeune. Il était occupé à me montrer la cabine intérieure quand il se colla à moi. Je sentis une bosse dure au niveau de son entre-jambes. — Puisque tu te tapes le fils, pourquoi pas le père ? siffla-t’il dans mon oreille. Je me retournai éberlué. — Je sais tout... Je vous ai vu. Je vous ai entendu. Ça m’a excité. Soit tu coopères, soit tu reprends le premier avion pour la Belgique. Je n’avais pas le choix. Il abaissa son boxer et je me retrouvai face à une bite certes pas très grande, mais d’une largeur impressionnante. Il me la poussa sans ménagement en bouche. J’eus même un haut le cœur tant il la poussait loin. Quand il fut suffisamment excité, il me retourna. Il m’ordonna de me mettre à quatre pattes et se mis derrière moi. Il frotta son gland sur mon cul, puis je l’entendis cracher. Il présenta sa bite sur mon anus et s’y enfonça d’une traite. Il me prenait vigoureusement, tout en m’insultant. Mine de rien, il m’excitait. Il se retira complètement et m’allongea sur le dos. Mes jambes sur ses épaules, il recommença à me pilonner de plus belle. Après plus d’une demi-heure, il se figea et m’inonda de jus chaud. Il m’envoya au moins huit copieux jets de sperme. Il souriait et paraissait fier de lui. Après s’être chacun douché, il vint me trouver. — Andrew pourra emménager avec toi. Je gère Julia. Rien de ceci ne s’est passé. Mais j’aurai peut-être un petit service à te demander, parfois... Je souris et lui dit que j’étais d’accord. J’imaginais toutes les nuits à passer avec Andrew. Et aux moments privilégiés avec son père... cela n’était pas si mal...
