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Florien et Véronique

Chapitre 3

Erotique
Florien et Véronique
Les jours s’écoulaient et Véronique n’avait aucune nouvelle de Florien. Ni par lui ni par Simon, son fils. Elle avait osé lui demander au moins s’il allait bien et laconiquement Simon lui avait répondu « qu’il était crevé car trop de boulot ».
Véronique se sentait responsable. Elle ne culpabilisait pas. Pas encore. Mais un malaise se répandait doucement en elle et elle n’aimait pas ça. Plusieurs questions l’assaillaient au quotidien et il devenait de plus en plus compliqué de démêler le vrai du faux. «Va-t-il bien ? Ne déprime-t-il pas ? Pense-t-il encore à moi ? » étaient les interrogations qui revenaient le plus souvent dans sa tête et plus elle s’acharnait à tenter d’y trouver une réponse et moins elle y parvenait. C’était difficile de se mettre à la place de quelqu’un et de deviner ses réponses.
Un matin, n’y tenant plus, elle prit une grande décision : elle partit à sa recherche. Grâce à Simon, elle savait qu’il travaillait dans une petite boulangerie-pâtisserie de quartier. Elle avait l’adresse exacte. Du reste, elle trouva la boutique facilement. Bien qu’elle ne connaissait pas ses horaires de travail, elle entra, bien décidée à demander au vendeur ou à la vendeuse si Florien était disponible quelques instants.
Le vendeur était…Florien ! Occupé qu’il était à servir une vieille dame, il ne leva pas la tête immédiatement. Ce n’est que lorsqu’elle avança au comptoir qu’il sursauta en la voyant.
-Véronique ? Ici ? Comment tu m’as trouvé ?
-C’est Simon qui me l’a dit.
-Ah oui. Évidemment, grommela-t-il. Ça ne peut être que lui.
-Tu l’air d’aller bien. Je m’inquiétais pour toi.
-Ah oui, vraiment, demanda Florien avec une nuance d’ironie dans la voix.
-Oui, vraiment. Et entre nous, je ne trouve pas ça chic de ta part de t’enfuir en faisant comme si rien ne s’était passé.
-Attends ! Tu n’es quand même pas venu jusqu’ici pour m’engueuler ? Parce que j’ai déjà mon patron qui en met une couche alors…
-Je ne t’engueule pas. Je suis juste un peu déçue. Et je veux que tu en sois conscient.

Légèrement mal à l’aise devant Véronique qui ne paraissait pas fâchée mais dont le ton était d’une grande froideur, il ne sut que dire.
-Écoute. Tu sais comment on s’est quittés la dernière fois. Tu parles de déception. Et moi alors ? J’ai pas mon mot à dire ? J’ai pris ça comme un manque de confiance. Je pensais que c’était enfin le bon moment.
-Notre conversation en ce moment même prouve le contraire. Je pensais qu’en attendant un maximum, en prenant le temps de bien nous connaître, surtout intimement, ce n’en serait que meilleur. Et j’en suis toujours persuadée.
-J’ai toujours eu ce caractère entier. Je ne vais pas changer auprès de toi. Ou tu m’acceptes comme ça, ou tu peux repartir chez toi.
-Chacun a ses petits défauts. Je les accepte. Comment crois-tu que je fais avec mon mari après 20 ans de mariage ?
-Alors on fait quoi ? Tu es venue pour me dire au revoir ? Ou on repart de zéro ?
-Ni l’un ni l’autre. Si tu veux bien, on reprend là où l’on s’est arrêté. L’incompréhension entre nous est levée.
Beau joueur, Florien sourit.
-Je finis à 11h. Si tu veux, on en reparle à ce moment-là. Tiens, mes clés. Attends-moi chez moi. J’habite l’immeuble au bout de la rue. Étage 4. Tu peux pas te tromper.
-Entendu. Je m’éclipse alors.
Elle faisait bien car 2 autres clients venaient d’apparaître pour prendre leur baguette du matin.
Elle trouva facilement l’appartement et, sur les conseils de Florien, se permit d’entrer. C’était un petit deux-pièces relativement en désordre. Elle en sourit. Des restes de vaisselle traînaient au fond de l’évier et autant par réflexe que pour s’occuper, elle nettoya les couverts, fit une lessive, rangea sommairement quelques affaires. Ce n’était pas trop sale non plus. Il devait donner de temps en temps un coup de balai.
Elle se regarda dans la glace de la penderie. Elle se dit qu’elle aurait pu faire un effort. Elle n’avait pris le temps que de mettre un vieux jean et un gilet avant de sortir de chez elle. Pour un rendez-vous galant, il y avait mieux. Mais elle savait que ce n’était pas ce que cherchait Florien. Ce n’était pas ses vêtements, aussi quelconques soient-ils, qu’il appréciait mais sa personne toute entière. On se persuadait comme on pouvait.
A la recherche d’un livre pour passer le temps, elle ne trouva aucune bibliothèque. Juste un magazine de football datant du mois dernier. Florien ne devait pas lire comme ses fils. Comme son mari. Et en partant un peu vite ce matin, elle avait oublié d’en prendre un. Elle s’assit dans le fauteuil et ferma les yeux pour se relaxer. Au moins, elle avait pu recoller les morceaux avec Florien. Vu le tempérament fougueux du jeune homme, ce n’était pas gagné d’avance et elle en était soulagée. Elle sourit.Quelques secondes plus tard, lui sembla-t-elle, elle fut gênée par une main qui lui passa dans les cheveux. Elle ouvrit les yeux et vit Florien l’air goguenard qui, effectivement, lui caressait la tête.
-Excuse-moi mais tu t’étais assoupie dans mon fauteuil. Tu es fatiguée ?
-Je…Non. Je ne m’étais même pas rendue compte que…C’est pas grave. Je t’attendais et j’ai du m’endormir sans m’en rendre compte, balbutia Véronique.
-Moi aussi, j’aurais bien besoin de repos maintenant que tu en parles, reconnut à son tour Florien.
-Ah, si tu veux, je peux te laisser si je suis de trop.
-Dis pas n’importe quoi. Tu me redonnes de l’énergie. Tu veux boire quelque chose ? lui proposa-t-il. Malheureusement, je n’ai que du café ou du chocolat en poudre. Je sais que tu bois du thé. Si j’avais su que tu venais, je serais allé en acheter.
-Non mais ça va aller. Ne te dérange pas.
Florien posa une main sur sa cuisse. Elle ne s’en formalisa pas.
-Tu m’as manqué avoua-t-il. Je ne sais pas si tu veux qu’on en discute encore…
-Non. L’incident est clos. Il n’y a rien de plus à en dire. Je suis contente d’être ici et de voir où tu vis.
-Un petit quartier sans prétention. Mais qui a l’avantage d’être à 2 pas d’où je bosse. Pas de frais de transport. J’y suis à pied en 5 minutes. Il ne me manque plus qu’une chose.
-Laquelle ?
-Une fille. En journée, bien sûr, je dors mais je me sens seul souvent.
-Eh bien, ce matin, je suis là. Et jusqu’à preuve du contraire, je suis bien une fille.
-Ah ! Ça demande vérification.
-Tut-tut ! le corrigea-t-elle. Nous verrons ça en temps utile.
-Le contraire m’aurait étonné, dit Florien en levant les yeux au ciel. Donc, on ne fait rien aujourd’hui. J’ai pourtant bien mérité un peu de réconfort après une journée chargée. Ou plutôt, je devrais dire, après une nuit chargée.
-Si, on fait. Je pense que le moment est venu que je m’occupe un peu de toi et de ta virilité. Qu’en penses-tu ?
-De..de moi et de ma ? Mais je t’en prie. Je te l’ai dit. Tu es ici comme chez toi.
-Je ne sais pas pourquoi mais je m’attendais à ce genre de réponses positives le taquina-t-elle.
-Si j’avais su hier soir que ça allait se passer. J’aurais même pas pu me concentrer correctement au boulot.
-Alors il a mieux valu que tu ne le saches pas, approuva Véronique. On va dans ta chambre ou on reste ici ?
-On va faire comme chez toi. Allons dans ma chambre.
Une fois dans la chambre, les deux amants s’embrassèrent. Florien avait dit que Véronique lui avait manqué. Mais la réciproque était vraie. Sentir ce corps athlétique, ces muscles sous ses mains lui faisaient du bien.
Florien s’écarta et entreprit de se déshabiller maladroitement. Dans la précipitation, il manqua de trébucher et de s’étaler les quatre fers en l’air. Véronique réprima un fou rire qu’il aurait mal pu prendre.
-Tu ne perds pas de temps, remarqua-t-elle. Si j’avais voulu y aller progressivement ?
-Je ne peux plus résister. Tu le sais bien.
Véronique le guida jusqu’à son lit, lui demanda de s’allonger et de mettre les mains derrière sa tête comme s’il allait faire une petite sieste. Florien obéit docilement. Il écarta les jambes pour lui faciliter la tâche.
Véronique remarqua qu’il bandait déjà à moitié. Elle se douta bien que ce n’était qu’une question de secondes pour avoir une érection complète. Elle caressa l’engin de ses doigts longs pour mieux l’apprivoiser. Elle n’était pas fan de fellation pour être tout à fait honnête. Ce n’était pas du tout une caresse qu’elle prodiguait à son mari. Mais elle savait que c’était ça que les jeunes aimaient aujourd’hui. A Rome, faisons comme les Romains.
Elle souffla sur la verge. Elle voulait qu’il sente son souffle chaud sur son membre. Puis, elle posa ses lèvres sur le gland, descendit doucement en le serrant et remonta. Florien avait poussé un long gémissement qui en appelait d’autres, et qui ne laissait aucun doute sur le plaisir qu’il éprouvait. Il lui prit la main qu’il serra fort dans la sienne. Elle sentait le sexe durcir dans sa bouche et au bout de quelques va-et-vient, c’était une érection flamboyante qui se dressait devant ses yeux. Le sexe était assez gros mais d’une longueur normale. Les testicules, par contre, étaient assez volumineux. La peau était douce et fine. Presque brûlante. Luisante de salive. Elle était fière de son œuvre. D’être responsable de son excitation.
-Tu arrêtes déjà ? s’inquiéta Florien qui avait ouvert les yeux.
-Non. Je te regarde. Tu es tellement beau !
Elle donna quelques coups de langue sur les bourses et vit Florien se tortiller. La jouissance était peut-être proche. Véronique fit une nouvelle pause.
-Essaie de te retenir, lui conseilla-t-elle. C’est toujours meilleur après.
-Facile à dire mais pas à faire, grogna-t-il. C’est un supplice chaque fois que tes lèvres me touchent. J’ai envie d’exploser.
Attends, si je pensais à un truc dégueulasse ? A une vieille moche et édentée au nez crochu ?
Véronique éclata de rire.
-Va savoir. Ça pourrait marcher.
-J’ai quand même du mal à t’imaginer comme ça. Et c’est pas l’image que j’ai envie d’avoir de toi. Si tu te déshabillais un peu toi aussi ? C’est pas juste que moi je sois nu et pas toi. Hein ? Qu’est ce que t’en dis ?
Véronique ne paraissait pas emballée à cette idée.
-Non. Ce n’est pas de moi dont il s’agit aujourd’hui. Et tu m’as déjà vu en partie nue. En plus, je ne crois pas que le fait de me voir nue contribuerait à faire redescendre la pression.
-Tant que tu ne me touches pas, ça va. Tu es sûre que tu ne veux pas faire un petit effort ? Pour te faire pardonner ? J’ai envie de voir tes seins. C’est la moindre des choses vu ce que tu es en train de me faire.
Véronique hésita. Et cette hésitation, Florien sut parfaitement l’exploiter.
-Tu vois. Tu es tentée. Je sais qu’on ne fera pas l’amour encore aujourd’hui. Mais juste me permettre d’apprécier ta plastique après avoir vu tes fesses la fois dernière serait déjà bien.
Véronique céda sous ses arguments. D’un geste fluide, elle enleva son gilet et dégrafa son soutien-gorge. Avec satisfaction, elle nota les yeux écarquillés de Florien comme s’il venait de voir la sainte vierge en personne.
Véronique était une femme très modeste et n’était pas du tout du genre à se complimenter elle-même sur ses attributs physiques. Cela dénotait-il d’un manque de confiance en elle ? Ce qu’il y a de certain, en revanche, c’est qu’elle était assez fière de ses seins. Ronds, lourds, avec des tétons parfaitement dessinés et durs comme en ce moment. Florien ne put résister à un tel spectacle et lança ses mains à leur rencontre.
Là encore, Véronique stoppa net son geste.
-Non. Tu m’as demandé si tu pouvais les voir. Tu peux les voir. Toucher n’était pas dans le contrat. Tu choisiras mieux tes mots la prochaine fois, dit-elle malicieusement.
-Même en ayant mon sexe dans tes mains et à moitié nue devant moi, tu arrives à rester intransigeante. C’est incroyable ça.
-Eh oui. Ce sont des années de pratique, plaisanta-t-elle.
Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est que Florien, têtu et impatient, reviendrait à la charge. Non pas avec ses mains mais avec sa bouche. Cette dernière s’abattit sur le mamelon qu’elle embrassa, téta, retrouvant de vieux réflexes de nourrisson. Véronique, sur le coup de la surprise, ne songea même pas à le repousser. Elle le laissa faire, lui caressant les cheveux d’un geste maternel.
-Au moins, je n’ai pas perdu mon temps en te demandant de juste regarder, lui reprocha-t-elle.
Florien fit la sourde oreille, totalement concentré sur sa tâche. Lorsqu’il lâcha le sein, il put enfin répondre.
-Si ça te déplaisait vraiment, tu te serais dégagée. Voire tu m’aurais donné une gifle. J’ai senti que tu aimais beaucoup ça au contraire. J’en suis même sûr.
-Pourtant je n’ai rien dit.
-Non mais je le sais au fond de moi. Je peux passer à l’autre ?
Avec un soupir et un hochement de tête qui semblait signifier « au point où on en est », Véronique donna son accord. Florien ne se fit pas prier et s’occupa de longues secondes de l’autre sein qui n’avait pas eu les joies de son attention. Une fois repu, il fit une dernière tentative, presque par désespoir.
-Tu sais, si tu veux…On peut le faire là maintenant. Vite fait. Bien fait. Regarde. J’ai même pas débandé. Tu n’as plus qu’à enlever ton jean, ta culotte. Et c’est bon.
-Non, répliqua-t-elle d’un ton sans réplique. Vite fait, bien fait, j’ai du mal à y croire sur ce sujet. Ce jour-là sera vraiment un jour à part. Extraordinaire. Le moment n’est pas encore venu. On n’est pas encore prêts. Comme je te l’ai déjà si souvent dit.
-Ça va, ça va. Toute façon, j’y croyais pas vraiment. Je demandais ça comme ça. Sur un malentendu, tu aurais pu dire oui.
-C’est ça. Ça peut marcher avec certaines. Je ne dis pas. Mais moi, c’est niet.
-Donc ça veut dire que tu vas me laisser comme ça encore une fois ?
-Non, non. Pas cette-fois.
Elle reprit la verge en main qui, comme l’avait dit Florien, était toujours aussi gonflée. Tel un fruit trop mûr, elle menaçait presque d’éclater. Elle la masturba de plus en plus vigoureusement.
Florien avait espéré qu’elle allait recommencer à le sucer. Même s’il n’avait pas envie d’éjaculer sur son visage. Il aurait pris ça comme un énorme manque de respect. Mais il était attentif d’autant que le plaisir montait de plus en plus dans ses reins, son cerveau, sa poitrine, dans tout son corps. Il remua les doigts de pied. Sa respiration s’accélérait. Vite, ce n’était plus Véronique mais une vieille femme au nez crochu, sans aucune dent, des rides de partout, des ongles jaunes, des boutons pourquoi pas. Une sorcière. Ça ne marche pas. Pourquoi ça ne marche pas ? se morfondit Florien.
Véronique se rendit compte de suite, au vu de son attitude, qu’il n’en avait plus pour très longtemps avant de rendre les armes. Elle accéléra encore pour l’achever et le feu d’artifice se produit. Florien gémit longuement. On eut dit la plainte d’un animal blessé. Les jets de semence, épais, et fournis, tapissèrent son ventre. Véronique ne fut pas touchée à son grand soulagement. Elle en reçut un peu sur la main mais son corps fut épargné.
Florien semblait groggy tel un boxeur mis au tapis suite à une droite un peu trop violente. Il avait du mal à ouvrir les yeux et à reprendre son souffle. Lorsqu’il y parvint enfin, il se regarda maculé de sperme, regarda Véronique qui lui souriait tendrement et répondit à ce sourire.
-La vache. C’était violent. Jamais, j’avais joui comme ça. Qu’est ce que tu m’as fait ?
-Rien de particulier, l’assura-t-elle avec bonne humeur. Comme tu le dis, c’était impressionnant. Je comprends mieux pourquoi tu ne pouvais pas attendre. Maintenant tu es tranquille jusqu’à la prochaine fois.
-Tu rigoles. Avec toi, j’aurais tout le temps envie. Laisse-moi le temps de récupérer et tu verras.
-Je vais plutôt te laisser prendre une douche. Regarde l’état dans lequel tu es, se moqua-t-elle.
-Hé ! Je te rappelle que c’est ta faute. C’est toi qui m’as rendu comme ça.
-Ce n’est pas faux.
-Donc viens me laver. Ou mieux, si on prenait une douche ensemble ?
-Je te vois venir. Tu me prends pour une cruche ou quoi ? Tu prends ta douche. Je t’attends et on se dit à fois suivante.
-Je préfère mon programme à moi. Mais soit, capitula-t-il en se relevant.
Il embrassa Véronique qui naturellement n’était pas la dernière à y répondre. Ses seins ne furent, à nouveau, pas épargnés.
-Comme ça, tout le monde est content, conclut Florien.
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