Je vais vous conter une histoire, mon histoire. Ou plutôt l’histoire des personnes qui sont venues à ma rencontre pour me confesser leurs péchés les plus inavouables. Ces mots qui m’ont été confiés à voix basse dans le secret d’un confessionnal. Oui comme vous l’avez déjà deviné ‘ je suis prêtre’. Depuis mes vœux que j’ai prononcés il y a cinq ans maintenant, portés par l’espérance vertueuse de ma foi que j’avais vis-à-vis de mes prochains, j’ai - au cours de ces années - perçu peu à peu, toutes leurs détresses, leurs tentations et leurs faiblesses. J’ai été élevé vers les cieux, par des personnes simples, miséricordieuses et altruistes envers l’autre, mais j’ai aussi été entraîné dans le fond des enfers, par d’autres, méchantes, fourbes, envieuses, cupides et égocentriques. Mais pendant ces cinq années, j’ai découvert aussi une autre catégorie de personnes. Celles qui veulent jouir. Les hédonistes qui ne cherchent que le plaisir sans les contraintes morales. Bien sûr cette quête du plaisir, surtout charnel, peut assez vite nous amener à des dérives. Mais l’humanité est ainsi faite et la modernité est aussi l’outil de cette nouvelle soif de liberté sexuelle. Celle d’assouvir plus facilement ses fantasmes, sans avoir peur d’être jugé par une morale corrompue par ses propres instigateurs. J’ai ainsi découvert ces personnes, en tout cas, celles à qui il restait une once de culpabilité, au travers de leurs aveux, car couvertes par le secret de la confession. Ces chères ouailles dévoilant leurs secrets à la recherche d’une jouissance singulière. S’excitant encore en me confiant leurs turpitudes, dans toutes leurs obscénités. Bien sûr, vous constaterez que l’expérience répétée de ces aveux a fini par me détourner peu à peu de ma mission sacrée pour m’entraîner sur les chemins de la perdition. Je suis bien conscient qu’en divulguant ces confessions, je trahis mon serment, mais comme vous pourrez le constater par la suite, je ne suis plus à ça près... La première confession que je souhaite vous révéler est celle d’une jeune femme qui me demande timidement de la recevoir en confession. Ayant pris place dans le confessionnal, elle commence : — Pardonnez-moi mon père, car j’ai péché !!— Je vous en prie mon enfant, racontez-moi ce qui vous amène à moi ?— Ce n’est pas facile à confier, mais... il arrive à mon mari de sortir le soir. Il rejoint des copains, soit pour voir un match, soit pour une partie de poker. Nous n’avons pas encore d’enfants alors je reste seule en son absence et je l’attends. En fait, c’est lui qui souhaite que je reste éveillée jusqu’à son retour. Ce n’est d’ailleurs pas sa seule exigence... Il veut que je sois nue également. Il est souvent agité lorsqu’il rentre. Il me demande alors de lui faire face en me demandant si je me suis caressée en son absence. Je n’ai pas fini de lui répondre qu’il me pousse dans le canapé. Mais je ne réagis pas. Il continue en me traitant de vicieuse. Que j’aime me balader nue dans l’appartement pour exciter les voisins. Puis il sort son sexe déjà en érection, il me retourne, claquant mes fesses à plusieurs reprises, il dépose son gland sur mon anus et me sodomise sans ménagement. Alors que je gémis, il me fesse. Il s’enfonce dans mon fondement jusqu’à la garde, me remplissant complètement. Je reçois alors, pendant un long moment, de grands coups de boutoir, ses testicules fouettant ma vulve. Alors qu’il sent qu’il va éjaculer, il se retire, me retourne et gicle sur mon visage en m’ordonnant d’avaler tout. Il lui arrive même après de me laver le visage, en urinant dessus. Je suis troublé et abasourdi par ces révélations. J’essaye de garder mon calme, mais je lui conseille fermement d’en parler à des proches, ou à une association d’aide. C’est alors qu’elle me coupe en m’expliquant qu’elle n’est pas ici par rapport à l’attitude de son mari, mais qu’en fait elle est très troublée, car elle prend énormément de plaisir à être humiliée, qu’elle jouit plusieurs fois pendant ces séances avec une intensité qu’elle ignorait auparavant, qu’elle attend avec beaucoup d’impatience que son mari réédite ces humiliations. Elle me dit avoir honte, car la dernière fois, alors qu’elle se caressait en attendant le retour de son mari, elle s’imaginait être l’enjeu d’une de ces parties de poker que son mari perdait. Alors elle s’imaginait être prise par les trois joueurs gagnants recevant leurs sexes dans la bouche, la chatte et le cul jusqu’à être couverte de leurs semences, ou encore qu’il l’emmenait chez ses amis pour voir un match de foot. Qu’elle devait leur servir les bières et les amuse-bouche, entièrement nue. De cette manière, ils profitaient tous de la caresser, de la pénétrer de leurs doigts gras dans toute sa chatte ou son cul. A la mi-temps, son mari l’attachait dans les toilettes, afin que chacun leurs tours ils lui pissent dessus ou dans la bouche, puis à la fin du match, ils la prenaient tous en même temps dans tous ses trous disponibles, pour finir par éjaculer sur son visage. — Mon Dieu mon père, pardonnez-moi pour ces pensées impures. Je suis atterré par ce dernier aveu, et dans mon esprit s’impriment les images de son fantasme. J’y mets fin en clôturant la confession par un: — Je vous pardonne mon enfant, toutefois je tiens à vous mettre en garde sur les dangers de la soumission, vous allez perdre votre libre arbitre. Et encore plus vis-à-vis d’une personne usant de manipulations envers vous. Vous risquez de devenir dépendante de ces pratiques.— Oui mon père, j’en suis consciente, mais je suis déjà dépendante et j’aime être soumise. Pour preuve, rien que de me confier à vous, je suis inondée... Ce détail alors me trouble profondément et je décide de stopper l’entretien. J’absous ma paroissienne et la libère. Vous comprenez bien que pour moi qui ai fait vœu de chasteté, ce genre d’échange me bouleverse jusque dans les fondations de mes convictions, car oui je suis un homme de foi, mais surtout depuis ma naissance je suis un homme sexué.
