Toujours dans les ténèbres du confessionnal, je viens vous livrer une nouvelle confidence immorale !
Celle-ci concerne une jeune femme. Elle est accompagnée régulièrement de ses parents et de son frère aîné lors des messes dominicales. Elle doit être âgée de 18 ans. Je suis étonné de sa demande, car à cet âge, les jeunes filles sont plutôt intéressées par internet et les réseaux sociaux...
Je la laisse prendre place et elle commence par la formule consacrée. — Pardonnez-moi mon père parce que j’ai péché !!— Je vous en prie mon enfant, racontez-moi ce qui vous amène à moi ? — Voilà mon père, il faut absolument que je confesse mes actes, car je n’en dors plus la nuit...— Je vous en prie, n’ayez aucune crainte, ce que vous me confiez ici restera scellé ici.— Bien alors voilà, la semaine dernière, mes deux dernières heures de cours ont été annulées. Sachant que mon frère finit son entraînement de sport, je décide de le rejoindre afin de rentrer avec lui à la maison. J’arrive au gymnase, et ne les voyant plus jouer, j’attends à l’entrée du vestiaire. Après un long moment et ayant vu tous les autres joueurs sortir, je décide d’entrer. Je le fais discrètement, ne voulant pas me faire surprendre dans le vestiaire des garçons. J’ouvre la porte sans faire de bruit, car il me semble entendre des bruits sourds. Je longe le mur qui me conduit aux casiers des joueurs. Les bruits sont plus audibles, comme des soupirs. Arrivée à l’angle du mur, je me hasarde à passer la tête, afin de vérifier si mon frère est bien là. C’est avec stupeur que je découvre mon frère à genoux, le sexe d’un autre garçon dans sa bouche ! Je soupçonnais bien, depuis quelque temps, que mon frère aimait aussi les garçons, mais là, j’en ai la preuve sous les yeux.
Cachée, j’observe mon frère suçant avec avidité la verge tendue. Je sens une onde de chaleur irradier mon entrejambe. Je refoule pourtant mes pensées impies, mais le spectacle est trop excitant, et ma main gauche glisse sous ma jupe. Sans m’en apercevoir et captivée par la scène se déroulant sous mes yeux, je m’avance pour mieux voir, alors que mon index s’immisce sous l’élastique de ma culotte pour se poser sur ma vulve trempée. C’est à cet instant qu’ils découvrent ma présence. Au début surpris, mon frère m’observe sans rien dire. Voyant ma main à l’œuvre sous ma jupe et mon regard brillant d’excitation, il m’invite à m’approcher. Son ami sourit en m’observant. Dégagée de la gorge de mon frère, je ne peux détacher mes yeux de cette verge au gland turgescent sous le regard de mon frère. Il me questionne afin de savoir si j’ai déjà vu une bite aussi grosse. Je lui réponds qu’il m’est arrivé d’apercevoir celle de Papa dans sa douche, mais les seules que j’ai pu voir aussi grosses sont sur des sites pornos. M’attrapant délicatement par le bras, il m’invite à m’agenouiller auprès de lui, face à l’énorme sexe en érection de son ami. — Tu veux essayer petite sœur ? me demande-t-il en me tendant le sexe de son amant. Je n’attendais que cela, qu’il me le propose, je mouille tellement j’en ai envie. Alors pour toute réponse, j’ouvre la bouche et avale le sexe. C’est vraiment une expérience nouvelle de sentir ce pieu palpitant envahir ma bouche et ça me fait tout de suite jouir.
Je le sens palpiter sous ma langue, alors que mon frère lui masse les couilles. — Dis donc, tu te débrouilles drôlement bien pour une débutante, tu aimes ça ?
Oh oui j’aime ça, cela fait partie de mes fantasmes, je sais que je suis en retard par rapport à certaines de mes amies, et je me branle souvent en songeant que je prends plusieurs bites en bouche, je m’invente des scénarios pervers où je deviens l’objet sexuel de plusieurs hommes dans un bar, ma bouche recevant chacun de leurs membres jusqu’à avoir le visage recouvert de leurs semences épaisses, mais je n’ai jamais imaginé que ma première pipe serait pour le mec de mon frère. Son amant gémit alors que j’enfonce sa bite de plus en plus loin dans ma bouche. Mon frère alors saisit ma main et en passant entre les cuisses de son mec, il la guide jusqu’à son anus et me dit. — Doigte-lui le cul, il adore se faire sucer et fourrer en même temps.
Ayant placé mon majeur sur son anus, je l’enfonce doucement jusqu’à la garde. Et effectivement, la queue dans ma bouche reprend de la vigueur. Cette situation m’excite énormément et je sens mon sexe inondé, lorsque mon frère ayant repris la fellation de son copain me demande de continuer à le sodomiser, mais de ne pas avoir peur de lui mettre plusieurs doigts en même temps, il aime avoir le cul rempli.
Au bout de quelques minutes, mon frère cesse et se relève. Je découvre alors sa bite tendue et gonflée. Il me demande alors de m’asseoir dos au mur. Alors que je viens de m’installer, les fesses sur le carrelage du vestiaire et la tête appuyée contre le mur, mon frère me présente sa verge. Le gland est violacé et humide. Puis il le dépose sur mes lèvres et y applique une légère pression. Je suis très excitée, mais je n’oublie pas qu’il s’agit de la bite de mon frère et que c’est un inceste. Mon excitation est la plus forte et j’ouvre la bouche pour y recevoir l’énorme pieu. Son sexe est encore plus gros que celui de son copain, plus épais.
Mais son goût est différent, plus fort. Mon frère a toujours eu des petits problèmes avec son hygiène intime. Alors qu’il me baise la bouche, il demande à son mec de l’enculer. Pendant qu’il reste immobile, sa queue dans le fond de ma gorge, une autre queue lui ouvre l’anus. Le fait de ressentir dans ma bouche grossir sa queue sous la pression de chaque pénétration, plus ses gémissements, me déclenche un nouvel orgasme.
Puis les cadences se synchronisent entre ma bouche et son cul, mais de plus en plus brutales. Lorsque les deux garçons sont arrivés à leurs paroxysmes, ils me présentent leurs bites pour gicler presque ensemble dans ma bouche avide de leurs semences.
L’homme de foi que je suis, est horrifié et mes préceptes me conduisent à condamner une telle perversion, mais en faisant l’analyse en dehors de toute morale, personne n’a forcé l’un ou l’autre, et en plus, ils ont pris un plaisir malsain à jouir de cette situation contre nature.
Pour ne pas la faire encore plus culpabiliser au risque de la traumatiser, je décide d’absoudre cette pécheresse en lui intimant l’ordre de ne plus jamais recommencer de tels actes, car l’inceste est un péché mortel. Mais une fois de plus, je suis troublé par ces comportements qui, au-delà d’être immoraux, n’en sont pas moins humains.
