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La fois la plus hard.

Chapitre 1

Un client bien chaud.

Trash
La fois la plus hard.
Bonjour à tous,
J’ai un peu de temps libre là, je me mets donc à poursuivre un peu mon histoire que j’avais laissée, il me semble, à Monsieur X !
J’ai beaucoup appris avec cet homme. Doux, charmeur, j’adorais me retrouver dans ses bras malgré cette différence d’âge qui nous séparait. Outre ma première sodomie, j’ai aussi pris goût à la fellation que je ne pratiquais que pour faire plaisir à mon mari et plutôt rarement, je l’avoue. Lui, c’était comme une évidence, il me touchait, m’excitait et j’avais très envie de sucer cette queue qui me comblait de plaisir... Il m’appelait à l’agence, me disant avoir reçu des papiers du notaire qu’il ne comprenait pas bien… Je comprenais, bien entendu, son intention mais comme un désir incontrôlable, j’acceptais de passer le voir le lendemain ou surlendemain en quittant le bureau.
A peine raccroché que je me disais que ce n’était pas bien, mais une force me poussait vers lui... J’avais dès lors la journée plus le lendemain pour y penser et cela me troublait au plus haut point. Une boule de tension m’envahissait… Pourtant, plus fort que moi, le lendemain je mettais une jolie tenue pour lui, pour un rendez-vous que je savais sexe. L’image de ses mains sur moi, son regard me poussait inexorablement vers cet homme qui aurait pu être mon père. La fois la plus hard, que j’ai vécue avec lui, reste inoubliable à mes yeux.
Cela faisait un moment que nous ne nous étions vus et c’est un soir de décembre bien froid que j’avais accepté de passer. C’était, contrairement aux autres fois, un rendez-vous pris sur le vif ; il m’avait téléphoné vers 17 heures et je repassai le soir même vers 18h30... Son épouse travaillait dans un hôpital spécialisé et avait des horaires décalés… Il profitait donc des semaines où sa femme était de l’après-midi et terminait vers 21 heures pour me contacter. Ce soir-là, j’étais en robe stricte, il faisait froid… -3°, de mémoire... Une grosse veste, de bons vieux collants et mes bottes à talons... Je tremblais de froid lorsqu’il m’a ouvert la porte. Je me suis mise face à la cheminée, me frottant les mains face aux flammes, quelque peu penchée en avant...Il était en forme, se blottissant contre mon dos tout en cherchant à me masser pour m’aider à me réchauffer.
Il m’a alors enlevé la veste qu’il a posée avec soin sur une chaise... Les flammes douces me léchaient les mains, il me frottait les épaules et je frissonnais tout en me réchauffant quand, d’un coup, j’ai senti sa main se glisser sous ma robe. Cette main chaude sur mes fesses gelées... je ne sais pas ! Cela l’a excité, moi de même... J’ai creusé les reins sans un mot, lui offrant mes fesses... Il a grondé en constatant que je portais des collants (lol), j’ai ri, lui rétorquant qu’il faisait froid et là il s’est agenouillé derrière moi, se mettant à m’embrasser les fesses...
Une fois de plus, je me suis prêtée à la caresse, posant même les mains sur la pierre chaude devant moi, bien penchée en avant... Je me délectais de ses caresses !!! Là, il m’a alors mordillée, j’ai ri, bougeant les fesses sous l’effet et il m’a donné une fessée, me disant que cela allait me réchauffer… Il a ensuite complètement arraché mon collant prétendant qu’il n’aimait pas du tout… oups, une certaine violence qui ne m’a pas déplu... Il m’a tirée par les hanches, vers le bas, et je me suis retrouvée à quatre pattes face à la vitre de l’insert. Situation un peu humiliante, la robe sur les hanches, le collant arraché, à quatre pattes, les mains en appui sur la pierre, cuisses ouvertes, creusant les reins, lui offrant ma croupe !
Je sentais ses gestes un peu fous. Sa queue plus dure que d’ordinaire, il me léchait, me doigtait et je ronronnais de plaisir, le stimulant certainement à poursuivre dans ce sens sans même m’en rendre compte... Et c’est ce qu’il a fait après un long moment à me lécher, me fesser. Sous mes petits cris étouffés, il s’est redressé et m’a prise avec force... Je voyais mon reflet dans la vitre, les cheveux défaits, les seins aux trois quarts hors de mon chemisier, qui rebondissaient au rythme de ses coups de reins...
Il s’est déchaîné sur moi, sur mes fesses, me maintenant par les hanches et se ruant en moi au plus profond de mon antre… Je rugissais, criais, je fermais les yeux, forcée à creuser les reins par ses mains puissantes. En ouvrant les yeux, je me voyais systématiquement dans la vitre, le visage tuméfié, grimaçante, me mordant les lèvres, mes genoux me faisaient mal, la fermeture de ma botte raclait le carrelage, il me propulsait en avant, rageur et comme fier de dominer sa proie...
Je criais comme rarement, son bas-ventre claquait sur mes fesses et je sentais sa verge buter sur le fond de ma paroi vaginale.... Oh la la ! Cet orgasme qui nous a terrassés tous deux.En même temps, j’en avais mal au dos, je creusais les reins comme jamais, le cul offert à sa verge de plus en plus consistante... Mes genoux avaient glissé et j’étais écartée au point d’en avoir mal... J’ai joui en me regardant dans cette vitre, je me sentais salope mais comblée… sa jouissance n’en finissait plus, il râlait, je sentais son sperme chaud en moi...

Ce fut un super moment au fond, même si la gêne était de mise en rentrant chez moi. Le haut du collant complètement craqué, les fesses rougies par les fessées et le minou bavant de son plaisir... Morte de honte, j’ai eu peine à soutenir le regard de mon mari qui, bien entendu, n’en savait rien... Heureusement, j’ai vite pu m’isoler dans la salle de bains et cacher mon méfait...
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