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Le fol anniversaire d'Antonia

Chapitre 7

Avec plusieurs femmes
Je bois des verres ici et là, jusqu’à 3h du matin. Je ne suis pas vraiment en état de reprendre le volant. Samuela est allée chercher un pack d’eau minérale. Avachis dans plusieurs canapés que nous avons réunis, sont encore présents Olivia (meilleure amie d’Antonia) et Frédéric, Florence et Marco (ami d’enfance d’Antonia et Samuela), Anne-Marie, Léonard, Viviane, Antonia, Samuela et moi. Joëlle est partie peu après minuit avec ses parents, tandis que Prisca, vannée, est rentrée avec les parents d’Antonia et Samuela.
Je demande à Antonia s’il y a quelque chose à ranger. Elle soupire :— Ma nuit risque d’être courte.Elle explique ensuite la manière dont elle doit laisser la maison pour qu’elle puisse être nettoyée.
— Bon, on commence par où ?Antonia me regarde avec des yeux ronds. — Il faudrait… heu… je peux faire l’intérieur par exemple.Viviane intervient :— Je t’accompagne. A deux nous aurons vite fait.Je reprends la parole :— Parfait. Les autres, on s’occupe de l’extérieur. Chacun avec un sac poubelle, on ramasse tout.
Léonard se propose pour aller chercher les quelques bouteilles de bière au fond de la piscine et tout le monde s’active. C’est alors un fourmillement, un regain d’énergie pour aider notre amie. Une demi-heure plus tard, il n’y a plus aucun déchet autour de la maison. A l’intérieur, Antonia et Viviane, aidée ensuite par Léonard, terminent aussi le rangement. Nous nous retrouvons tous aux canapés et après nous être désaltérés, Olivia et Frédéric, Léonard, Florence et Marco quittent les lieux.
Anne-Marie s’est couchée dans un canapé et ferme les yeux. A la demande d’Antonia, je revisse la porte d’un placard de la cuisine à l’aide d’un couteau. Nous ne sommes que les deux dans la cuisine. Antonia est soulagée, car un dégradation à l’intérieur de la maison aurait coûté cher. Elle me remercie à plusieurs reprises puis :— Je vais chercher mes affaires dans la chambre et je m’en vais, je suis crevée.— Tu veux un coup de main ?— Pas de refus, il y a quatre ou cinq sacs là-haut.Je la suis dans l’escalier et nous entrons dans la chambre. Quelques objets éparpillés sont ramassés par Antonia. Les cinq sacs sont prêts. Je m’assieds sur le lit et lui dis :— Je ne sais même pas si je t’ai dit combien tu étais adorable. Cette robe te va à merveilles.Antonia rougit et sourit. Elle salue telle une danseuse étoile en revenant devant moi, me permettant de la regarde encore une fois dans cette petite robe rose volantée. — Tu sais quoi ? J’ai deux autres robes ici. Pour me changer. Finalement, j’ai porté celle-ci toute la journée.— J’adorerais te les voir porter.
Antonia sourit et me fait un clin d’œil.— Mmmh, je pense qu’elles te plairaient en plus.— Ah bon… Tu peux me les décrire ?— La première est bleue-grise, en maille. Très décolletée et le dos est transparent. Elle est très courte et je ne l’ai pas mise à cause du décolleté trop profond. La famille aurait tiqué.— Whaw, tout à fait à mon goût, effectivement ! Et l’autre ?— L’autre, je la prévoyais pour le soir. Elle est mi-longue, très moulante avec un décolleté en V plongeant en dentelle. Je pense qu’elle aurait eu ta préférence.— Ah oui ? Pour quelle raison ?Antonia s’approche de moi et murmure :— Parce qu’aucune robe ne m’a fait un aussi beau cul que celle-là.
Disant cela, elle me repousse dans le lit et commence à ouvrir ma braguette. Antonia sort ma bite et commence à me masturber doucement. Je durcis très vite et elle me prend dans sa bouche. Elle me suce durant quelques minutes, c’est divin. Souriante, elle cesse ensuite sa caresse. Je range mon engin. Elle dit :— Considère qu’il s’agit d’un remerciement pour ton travail. Tu m’as sortie une belle épine du pied en réparant ce placard.— Remercié ainsi, je répare tous les placard de la maison s’il le faut !Antonia éclate de rire et me fait un smack. — Ne te méprends pas. Nous ne ressortirons pas ensemble même si je suis célibataire.— Qui parle de ressortir ensemble ?Elle rit à nouveau. — Ce n’est pas bien ce à quoi tu penses, mon cher. Tu devras te contenter de cela, car je ne peux pas t’inviter au restaurant, car là, je suis certaine de finir dans ton lit.— Vendredi prochain, je n’ai rien. J’accepte ton invitation.Nous rions et nous embrassons rapidement à nouveau.
Nous prenons les sacs et les descendons. Dans les canapés, Samuela et Viviane discutent, tandis qu’Anne-Marie dort profondément. Antonia discute avec sa sœur qui est chargée d’emmener un sac et les robes. Antonia nous salue ensuite et nous remercie encore une fois. Viviane réveille doucement Anne-Marie qui se lève, nous adresse un petit geste du bras avant de suivre Antonia comme un zombie. Nous rions.
Je m’installe ensuite à côté de Viviane qui me repousse assez vigoureusement. Samuela rit et dit :— Ça suffit les enfants ! On règle le problème ?Viviane répond du tac au tac :— Il a couché avec Joëlle. Je ne laisse pas passer :— Faux. Elle m’a juste sucé. Et j’ai fait de même.Samuela intervient et apostrophe Viviane :— Et c’est pour ça que tu lui fais la gueule ? Il faut bien que jeunesse se fasse, non ?— Mais elle vient d’avoir 18 ans et il en a 31.— Et ?Viviane ne dit rien. Un silence. Elle se tourne vers moi.— Ok, j’ai exagéré. Je m’excuse. Un petit smack scelle notre réconciliation.
Samuela reprend la parole en me regardant :— Bon, si je résume, vous avez baisé, nous avons baisé et tu t’es fait pomper par ma jeune cousine. Viviane rit et ajoute :— Il a aussi sauté ton autre cousine.— Prisca ? Mais comme tu as bien fait ! Elle m’a toujours semblé trop coincée !Je ris et réponds :— Pour une coincée, elle suce sacrément bien !Samuela me regarde, le sourire intriguant :— Et Antonia ? Vous avez fait un peu long avant de redescendre de la chambre.— C’est possible que ses lèvres se soient égarées sur mon corps !Samuela regarde Viviane et s’exclame :— Ah ! Tu vois, je te l’avais dit ! J’en étais sûre qu’elle lui faisait une gâterie !Nous rions. Samuela observe :— Donc, tu t’es fait sucer par toutes les cousines… Elle sourit et semble ne pas en revenir.
Viviane en profite pour s’essayer à la polémique :— Et alors ? Laquelle suce le mieux ?Je me tourne vers elle. Provocateur, je réponds :— Écoute, je n’arrive pas vraiment à me décider entre les deux sœurs. Antonia, c’était quand même pas mal.Samuela saisit l’ironie de ma réponse et ajoute :— Heu… Juste comme ça, il y a quelques minutes, j’avais la bouche la plus habile, parait-il…— J’ai dit ça ? Je ne m’en souviens pas.Viviane regarde Samuela :— Tu devrais lui rafraichir la mémoire.
Samuela se lève et vient s’asseoir à côté de moi. Elle m’embrasse tout en déboutonnant mon pantalon. Elle prend mon sexe en main, me branle avant de commencer à me sucer sous les yeux éberlués de Viviane. Elle fait ça divinement bien et je prends un pied incroyable.
Alors que Samuela s’active sur mon sexe, Antonia revient et nous fait peur aux trois sans le vouloir. Comprenant que sa soeur est en train de me tailler une pipe, elle se met à rire et nous dit qu’Anne-Marie a tout juste eu le temps de dire qu’elle avait oublié son sac à main avant de se rendormir aussi sec. Viviane lui dit :— Si elle dort, reste avec nous un moment. Tu sais ce qu’il vient de dire ? Il parait que Samuela suce mieux que toi. Antonia éclate de rire et vient nous rejoindre. Elle pousse Viviane pour s’asseoir à côté de moi et sans aucune gêne, elle se penche à son tour sur ma bite qu’elle prend dans la bouche. Après quelques allers-retours, elle me gratifie de trois gorges profondes consécutives. Viviane rit, applaudit et se moque de Samuela. Je caresse le dos et les cheveux d’Antonia qui ne semblent plus vouloir s’arrêter. Lorsqu’elle le fait, c’est pour remonter m’embrasser avec fougue. Elle halète et glisse :— J’ai tellement envie de toi.Alors qu’Antonia déboutonne ma chemise, Samuela et Viviane comprennent qu’elles sont soudainement de trop. Samuela constate :— Bon, je crois qu’on va ramener Anne-Marie.— Tu peux me déposer ?— Oui, oui, aucun problème.Elles se lèvent, prennent le sac à main d’Anne-Marie et s’en vont :— Passez une bonne soirée tous les deux. En transe, Antonia enlève son string dès que les deux femmes ont tourné le dos et s’installe à califourchon sur mon vi, toujours à l’air.
L’ébat est magnifique même s’il est assez rapide. Antonia jouit deux fois avant de m’emmener au paradis. Allongée sur moi, Antonia a rapidement froid. Elle se lève et remet sa robe. Se rasseyant à côté de moi, elle réagit à mon petit sourire :— Y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, non ?— Tu as changé d’avis ?— Non, mais j’ai eu très envie de toi. Te sucer sous les yeux de ma sœur et de Viviane était très excitant. Nous nous embrassons. Je lui demande :— On reste ici cette nuit ?Antonia sourit :— Ça me dirait bien. Je ne sais pas si on a le droit, mais on s’en fiche.Elle se lève. Je le regarde :— Où vas-tu ?— Dans la chambre, non ?— On pourrait dormir là, sur le canapé.Un sourire illumine le visage d’Antonia. Elle se rassied et m’embrasse.— Je vais chercher la couette du lit.
Antonia s’allonge sous la couette tandis que j’éteins tous les luminaires et la piscine. Je la rejoins à l’aide d’une lampe de poche. Elle est nue et je me déshabille avant de me glisser à côté d’elle. Baisers. Antonia s’installe dans mes bras et nous nous endormons rapidement sous les étoiles.
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