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La folie des grands dards

Chapitre 1

[Insérer titre ici]

Orgie / Partouze
Cela faisait fort longtemps que Jackie et Michelle, un couple de cinquantenaires habitant dans une petite maison dans la banlieue d’une ville lambda, étaient mariés. Leurs enfants avaient tous deux atteint l’âge adulte : le premier, Rocko, avait fêté ses vingt ans quelques jours auparavant ; la seconde, Sifrédie, avait dix-huit ans depuis environ deux mois. Rocko, ayant obtenu un diplôme de logistique quelques mois auparavant, avait réussi à être embauché dans une entreprise de transport routier. La jeune femme, quant à elle, était entrée en première année de droit et, depuis son entrée dans l’âge adulte, multipliait les soirées durant lesquelles l’alcool et le sperme coulaient à flots, et parfois directement dans son estomac.
Jackie, cinquantenaire depuis bientôt vingt-deux ans, était un homme quelconque travaillant pour une société quelconque, récoltant un salaire quelconque pour le dépenser aussitôt de manière quelconque dans de quelconques endroits servant suffisamment de boissons quelconques pour remplir la panse de n’importe quel ivrogne quelconque. Même son pénis était quelconque : il ne mesurait que deux mètres trente-cinq pour une circonférence de trois kilomètres et demi. Toutefois, ses modestes mensurations convenaient pleinement à Michelle, une femme plantureuse dont la poitrine, à peine contenue dans un soutien-gorge de taille 20985H, la ferait basculer à la renverse si son arrière-train, plus épais que des œufs d’autruche, ne rétablissait pas son centre de gravité.
-Dis, sale putain de chienne, ça te dirait de me sucer ? demanda Jackie à sa femme.-Oh mais oui ! Je suis ta chienne ! Alors je vais te sucer jusqu’à ce que la pute que je suis ait comblé ton énorme bite !
Jackie, allongé dans son lit double, ferma les yeux tandis que sa femme le prit en bouche. Elle lui fit une gorge profonde, le suçant comme si le pénis de son mari était moins long qu’un extincteur. Jackie hurla tandis que la langue de Michelle s’agitait autour de son pénis.
-Je vais jouir dans ta putain de bouche de chienne, salope !-Oh ! Oui ! Remplis ma bouche ! Remplis la bouche de ta chienne ! Ta pute va tout avaler pour toi !
Dans un grondement féroce, Jackie laissa son pénis relâcher environ trois litres de liquide séminal qui rejoignit directement le cassoulet digéré auparavant, et ce sans passer par la case « œsophage ».
-Merci pour ce délicieux repas, mon beau, magnifique, fort et tendre époux. Une chienne de pute telle que moi ne te mérite pas.
Jackie l’ignora et ferma les yeux. Ce fut alors que la porte de leur chambre s’ouvrit en grand.
-REGARDE ! JE T’AVAIS DIT QU’ILS ÉTAIENT EN TRAIN DE BAISER ! rugit Sifrédie en entrant, totalement nue, dans la chambre de ses parents.
-Ouè, t’avè rèzon, répondit Rocko en entrant à son tour, sa verge de trois mètres huit pointant fièrement vers l’arrière-train de sa sœur. -DU COUP, ÇA TE DONNE PAS ENVIE DE FAIRE DES TRUCS COCHONS AVEC MA CHATTE ? poursuivit la jeune femme.
Pour toute réponse, Rocko la poussa sur le lit de parents ; Sifrédie se retrouva penchée en avant, offrant à son frère une magnifique vision de son intimité.
-Pré-part twa, jeu vè te daifonssé la schattheuh.
D’un geste violent, le jeune homme posa l’extrémité de son pénis à l’entrée de la grotte intime de sa sœur.
-OH OUI ! JE SENS TA BITE ME FAIRE TELLEMENT DE BIEN ! CONTINUE ! DÉFONCE TA PETIT SOEUR AUSSI FORT QUE TU LE PEUX ! JE VEUX QUE LA GIGANTESQUE BITE DE MON GRAND FRÈRE ME PERFORE SI FORT QUE JE JOUISSE PLUS QUE J’AI JAMAIS JOUI DANS TOUTE MA VIE !
Encouragé par les hurlements de sa sœur, Rocko la pénétra.
-OH OUI ! JE SENS TA BITE ME FAIRE TELLEMENT DE BIEN ! PERSONNE NE M’AVAIT JAMAIS FAIT ÇA AVANT TOI ! Y A PAS À DIRE, C’EST TOI QUI ES LE MEILLEUR, GRAND FRÈRE ! PUTAIN, JE SENS MA CHATTE SE DÉCHIRER TELLEMENT TU ES BON !
Les cris de Sifrédie encouragèrent le jeune homme à entamer ses coups de reins.
-O Puthein, tas schattheuh è tèleman böne queue gens nait dés friçon, gémit Rocko.
la jeune femme hurla jusqu’à ce que sa mère, baisée par Jackie, vînt l’embrasser. Leurs langues se mélangèrent violemment jusqu’à ce que les deux hommes se vidassent dans les parties intimes des deux femmes.
-OH OUI ! REMPLIS-MOI ! JE VEUX PORTER L’ENFANT DE MON GRAND FRÈRE ! JE VEUX POUVOIR NOURRIR L’ENFANT DE MON GRAND FRÈRE AVEC MES GROS SEINS PLEIN DE LAIT PENDANT QUE MON GRAND FRÈRE ME NOURRIRA AVEC LE LAIT DE SA BITE ! JE VEUX POUVOIR CHANGER LA COUCHE DE L’ENFANT DE MON GRAND FRÈRE PENDANT QUE MON GRAND FRÈRE M’ENCULERA ! JE VEUX CHANTER UNE BERCEUSE À L’ENFANT DE MON GRAND FRÈRE PENDANT QU’IL SE SERVIRA DE SA BITE POUR JOUER DU TAM-TAM SUR MON CUL ! -Oh oui ! Remplis la chatte de ta putain de chienne ! hurla Michelle tandis que Jackie se vidait en elle.
Puis les deux hommes changèrent de partenaire. Ainsi, Jackie pénétra brutalement sa fille avant d’aller et venir violemment en elle. Rocko, de son côté, fit de même avec sa mère.
-OH OUI ! JE SENS TA BITE ME FAIRE TELLEMENT DE BIEN ! PERSONNE NE M’AVAIT JAMAIS FAIT ÇA AVANT TOI ! Y A PAS À DIRE, C’EST TOI QUI ES LE MEILLEUR, PAPA ! PUTAIN, JE SENS MA CHATTE SE DÉCHIRER TELLEMENT TU ES BON !
Bientôt, les deux hommes éjaculèrent derechef.
-OH OUI ! REMPLIS-MOI ! JE VEUX PORTER L’ENFANT DE MON PAPA ! JE VEUX POUVOIR NOURRIR L’ENFANT DE MON PAPA AVEC MES GROS SEINS PLEIN DE LAIT PENDANT QUE MON PAPA ME NOURRIRA AVEC LE LAIT DE SA BITE ! JE VEUX POUVOIR CHANGER LA COUCHE DE L’ENFANT DE MON PAPA PENDANT QUE MON PAPA M’ENCULERA ! JE VEUX CHANTER UNE BERCEUSE À L’ENFANT DE MON PAPA PENDANT QU’IL SE SERVIRA DE SA BITE POUR JOUER DU TAM-TAM SUR MON CUL ! -Oh oui ! Remplis la chatte de ta putain de chienne de mère ! hurla Michelle.-Prends-toi ça ! Putain de salope de pute de chaudasse de connasse de putain de baleine à bosse ! Hurla Jackie.-Mamhen, jeu vè éjakullé ! Pré-part twa, tues vah daibhaurdé !
La porte de la chambre s’ouvrit à nouveau, et bientôt leurs douze voisins, les oncles, les tantes et les grands-parents de Rocko et Sifrédie pénétrèrent dans la petite pièce de sept mètres carrés pouvant aisément contenir soixante-douze personnes. S’ensuivit alors une orgie durant laquelle aucune femme ne se faisait arroser de liquide blanchâtre moins de douze fois par seconde. Ce fut alors qu’un nouvel homme, totalement inconnu, entrât dans la pièce. Son pénis, mesurant cent-trente-cinq kilomètres de long, trente-trois mille sept cent douze de largeur pour une circonférence rendant négligeable le nombre aleph-1, fit blêmir tous les hommes de la pièce. La totalité des femmes présente dans la pièce se jeta alors sur lui, et toutes le sucèrent chacune leur tour. Elles eurent toutes droit à la même dose de sperme, jusqu’à ce que chacune fût passée. Le nouveau venu décida alors de baiser toutes les femmes en même temps : il enfonça son dard dans l’anus de la première venue. Traversant la totalité de son intestin grêle, le pénis ressortit par la bouche de la jeune femme pour pénétrer l’anus de la suivante, et ainsi de suite jusqu’à ce que chacune des femmes fît partie de cette brochette absurde. Lorsque l’homme éjacula, ce furent plusieurs centaines de mètres cubes de liquide séminal qui recouvrirent tout dans la pièce, des meubles jusqu’aux humains.
Bientôt, ce furent un chien, un cheval, un hérisson, un ornithorynque et une licorne qui se joignirent à l’orgie. Le chien, par le truchement de sa langue et de son pénis, satisfaisait deux femmes quelconques tandis que le cheval, malgré son micropénis de cinquante-deux centimètres de longueur, parvenait tant bien que mal à satisfaire Michelle. Le hérisson, quant à lui, se roulait en boule et se servait de ses épines afin de masser les poitrines et les clitoris de toutes celles croisant son chemin. L’ornithorynque se servait de son bec comme d’un spéculum afin de faciliter le travail de Jackie en pleine copulation avec l’une de ses sœurs. Enfin, la licorne pénétrait Sifrédie avec sa longue corne frontale pendant que Rocko sodomisait l’animal.
Lorsque l’orgie fut terminée, chacun rentra chez soi, ne laissant derrière eux qu’une pièce remplie de liquide séminal, ainsi qu’une famille composée de deux hommes totalement vidée et de deux femmes intégralement pleines.
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