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Folies en rut majeur

Chapitre 6

Jeux dangereux II

Erotique
C’était au tour d’Aline d’être prise au dépourvu. Elle repoussa vivement le gamin, ramassa son sac pour se diriger vers la caisse. Elle réglait son addition quand un homme d’une cinquantaine d’années la rattrapa.
— Allons ! Ne fuyez pas comme ça ! Ce n’est qu’une bande de gamins qui veut faire la fête.— Bien sûr ! Et je devrais me mettre à poils devant eux ? Si c’est tellement important pour vous, allez-y et déshabillez-vous, je vous regarderai volontiers !— Vous avez la répartie facile… j’aime assez. Vous buvez un verre avec moi ?— Ensuite vous m’emmenez chez vous ou nous allons chez moi ? J’ai eu une journée de merde, alors ma soirée ne peut pas être meilleure ! Bon… allons-y pour un verre !— Vous êtes belle au naturel, alors en colère, j’adore.— Je vous préviens, si c’est pour baiser… ce n’est pas moins de trois mille euros.— Et pour le double ? Vous m’offrez le reste de la nuit ?— Si vous payez d’avance, nous y allons même de suite…
L’homme venait de plonger la main dans sa poche. Un portefeuille de cuir d’une impressionnante épaisseur venait d’en sortir. Il cherchait à l’intérieur, des billets, et les compta avant de les fourrer entre les deux seins de la jeune femme, sous l’œil incrédule du barman.
— Voilà ! L’affaire est soldée. Chez moi ? Chez vous ? Nous y allons ?— Je vous suis alors !— Parfait ! J’aime les gens de parole.
Un instant plus tard, Aline se retrouvait assise aux côtés d’un inconnu dans une limousine sombre. Il roulait lentement, et venait finalement au bout de quelques minutes ranger son véhicule sous l’avant-toit d’une maison chic. Il invitait la brune à le suivre. La maison était une vieille demeure vosgienne, aux murs de pierre d’une largeur impressionnante. Il ne la fit pas entrer dans la maison proprement dite, mais dans une sorte d’annexe attenante. Elle suivait sans peur, avec cependant le cœur qui battait un peu plus vite que la moyenne. Après avoir grimpés quelques marches, ils se retrouvèrent dans une sorte de pièce sans fenêtre. Celle-ci était aménagée comme un salon, mais un salon très particulier.
Des canapés et des poufs partout dans cette pièce… tout était bizarre. Contre le mur du fond une immense table achalandée de dizaines de bouteilles d’alcool divers. L’autre la pria de s’installer, là où elle le voudrait, et de se mettre à l’aise. Il s’excusa un court instant, prétextant un coup de fil à donner. Quand il la rejoignit, il avait comme un sourire aux coins des lèvres.
— Qu’est-ce que je vous sers ? —… !— Prenons notre temps… j’attends… quelques amis… mais rassurez-vous, vous serez grassement récompensée.— Mais… ce n’est pas ce qui était prévu…
— Mais nous n’avions rien programmé, seulement une soirée… et tenez, ceci devrait calmer votre mauvaise humeur et vos peurs.
Il tendait à nouveau une liasse de billets à une Aline complément déboussolée. Instinctivement encore elle saisit l’argent. Ce qui, dans ce genre de contrat oral, équivalait à une entente irréfutable. Elle s’en rendait compte, l’autre encore une fois, l’avait manipulé et crédule, elle était tombée dans le piège. Restait à savoir qui étaient les invités de ce type.
— Et vous êtes sûrs de vos amis ?— Mais ce sont les vôtres aussi, soyez-en certaine ! Ils ne veulent rien d’autre qu’un strip-tease… ils vous l’ont réclamé haut et fort !— Comment ? Vous parlez des gamins de la pizzéria ?— Il se trouve que celui à qui vous avez si élégamment roulé un patin, est mon fils ! Alors ses amis voudraient le voir à l’œuvre une fois. Vous n’allez pas me refuser ce service. Et j’anticipe sur le fait que certains d’entre eux pourraient se laisser aller à… enfin vous me comprenez !— Vous pensez vraiment que je vais baiser avec ces gosses ? Vous êtes marteau, ma parole !— Mais… je crois que j’ai grassement acheté ces charmes que vous vendez apparemment ! Si la somme ne convient pas, je peux encore l’agrémenter de quelques…— Il n’y en a pas des mineurs dans le tas ? — Non, non, rassurez-vous le plus jeune c’est mon fils. Et Léo a eu vingt-deux ans cette année. Je peux vous demander une autre faveur ?— Ça fait déjà beaucoup, vous ne trouvez pas ?— J’aimerais seulement voir, le temps qu’ils arrivent… — Voir ? Mais voir quoi ?— Vos seins et votre… minou… après tout, je voudrais savoir ce que mon fils et ses amis vont… consommer !
Comme folle de rage, elle allait pour jeter l’argent à la figure de ce mâle qui se prenait pour Dieu le père. Puis en se ravisant, elle réalisait soudain que ce qu’il lui avait donné, aucune secrétaire ne le gagnerait en un jour, tout en s’usant les doigts et les yeux sur un clavier d’ordinateur. Alors, elle se mit debout, et ouvrit son corsage. Ses seins sous leur gaine de tissu devenaient la cible privilégiée des mirettes de ce gars. Puis quand le soutien-gorge fut ouvert, elle entreprit de relever sa jupe. Son slip descendu de quelques centimètres, l’autre avait le visage rouge. Un instant, elle crut qu’il allait faire un infarctus. Ses regards ne se détachaient plus de ce triangle de poils fins et soyeux, il ne quittait plus ce qui cachait la motte d’Aline.
— Ça convient à Monsieur ?— Appelez-moi Hector…— Alors je peux remballer la marchandise ? Hector ?
L’autre ne pouvait plus répondre. Elle remit son soustingue, et remonta simplement sa culotte. Elle s’assit de nouveau dans un canapé souple et hors de mesure.
— Bien ! Avant que vous mouriez d’une crise d’apoplexie, seriez-vous assez aimable pour me servir… une Vodka-orange, s’il vous plait ?— Oh ! Pardon ! Oui, tout de suite…
Il préparait la boisson quand un tintamarre de klaxon perturba le calme de ce début de nuit. Les jeunes gens arrivaient. Aline se raidissait puis relâchant l’air de ses poumons, en fermant les yeux elle se disait que ce ne serait qu’un autre moment de honte à passer. La meute arrivait déjà dans la pièce. Les gamins furent un instant, presque surpris de la voir assise là, à siroter un verre. Le père du futur marié mit de la musique et tamisa la lumière. Alors les jeunes, en cercle se mettaient à battre dans leur main. Sans doute que cet Hector avait déjà annoncé au téléphone à sa progéniture le spectacle à venir. Elle posait son godot et se levait lentement. Un pas en avant la propulsait directement sous une sorte de rayon de lumière, habilement dirigé par une main qu’elle ne voyait pas.
En accordant son corps au tempo de la musique, elle commençait de longs mouvements lascifs, prélude à un déshabillage savant. Elle fut rejointe au centre de ce monde par le futur marié. Alors elle s’approcha de celui-ci et se mit à mimer un accouplement imaginaire. L’autre n’avait plus les gestes très synchronisés. Sans doute que ses idées non plus n’étaient plus très claires. Il entreprenait d’ouvrir les boutons de son caraco, avec peine. Il y parvenait finalement au prix d’un long moment. C’est la jeune femme qui jeta le chiffon sur un divan proche d’eux. Le gosse maintenant cherchait avec désespoir le mécanisme de fermeture de la jupe. Voyant qu’il ne trouverait jamais, elle la dégrafa elle-même. En escarpin et sous-vêtements, elle se reculait afin que le futur marié ne la touche plus. Se déhanchant au rythme de la mélodie, Aline se tournait, montrant son dos à l’assemblée qui battait des mains. Elle appuyait soudain sur l’attache de son cache nénés.
Les deux seins encore sous les bonnets, elle les maintenait sous ses bras serrés. Lentement elle fit face à son étrange public. Et elle écartait les deux bras. Deux obus sous la lumière firent une apparition remarquée et l’assistance devint muette. Les pointes des seins, plus sombres semblaient exploser dans la pièce, se rendre au niveau des yeux des petits hommes qui ne mouftaient plus. Elle faisait quelques tours en se contorsionnant et sans rien laisser paraître, elle posait ses deux mains sur la culotte. Ils retenaient tous leur souffle. Son vis-à-vis tournait autour d’elle attendant de voir, mais voyait-il encore vraiment… il bavait presque d’impatience. Une infime partie des poils pubiens montraient déjà le bout de leur nez. Seule la musique était audible. Ils devaient tous se retenir de respirer, attentifs à la suite de ce show particulier.
Le fils d’Hector venait de tomber à genoux aux pieds de la brune. Il avançait les mains et Aline reculait. Comme pour jouer, il se mit à avancer vers celle qui persistait à se soustraire à la caresse qu’il appelait de ses dix doigts tendus. Il devenait un petit chien qui courait après sa maitresse et les autres spectateurs riaient de nouveau. Quelques-uns aboyaient, énervant de plus en plus le rampeur fou. Quand elle arrêta sa reculade, sa culotte était plus basse que ses genoux et toute sa chatte était visible de tous. Le gamin qui enfin la rattrapait fourra son museau dans la toison bien taillée. Elle tira sur ses cheveux pour éloigner la langue qui voulait déjà s’activer.
— Doucement mon petit… doucement. C’est moi qui donne le signal, c’est moi qui décide de ce que je veux… ou pas ! Compris ?— Ou… oui… Madame !— Alors, couche-toi là, sur la moquette !
Il fit ce qu’elle lui demandait.
— Toi là ! Quel est ton prénom ?— Allan, madame !— Alors, Allan, viens ici !— Oui !— C’est ça ! Déshabille-le ?— Comm… comment ?— Fait comme s’il était complètement bourré et que tu voulais le coucher… retire-lui ses fringues ! Allez, il ne va pas te mordre… comment s’appelle-t-il déjà, lui aussi ? — Léo, je m’appelle Léo ! — D’accord ! Alors Léo c’est Allan qui va te défringuer ! Pas d’objection ?— Non ! Non ! — Allez Allan, à toi de jouer… nous te regardons tous…
Le cercle s’était rétréci. Tous avaient avancé, comme pour voir mieux ce qui maintenant devenait du sérieux. La femme, nue, au milieu d’eux, qui donnait des instructions et Léo se laissait dévêtir par son ami Allan… voici qui n’était pas banal. Plus un mot, tous espèreraient une suite plus hardie, plus chaude et le futur marié était maintenant en slip, allongé au sol avec à ses côtés, son pote. Aline venait vers eux. De la pointe de son escarpin, elle titilla la chose qui renflait le coton noir du caleçon. Allan ne bronchait pas. Allan comprit qu’il lui fallait aussi retirer cet oripeau qui masquait encore le sexe de son copain. Il le fit avec mille hésitations. Ce qui faisait sourire les garçons qui n’en perdaient pas une miette, mais aussi et surtout, la brune qui s’amusait maintenant. Elle s’était décontractée, il faut dire aussi que les deux-là étaient d’une docilité… rien à voir avec les vieux barbons qui jusque-là, avaient ou auraient aimé traverser son lit.
— Bon ! Allan a fait sa part du boulot ! Un autre pour la suite ? Allons ! Ce n’est pas le tout de rire… un volontaire pour faire bander ce gaillard-là ?
Elle avait crié ça en se tournant vers tous les visages qui la visaient. Bien sûr, aucun ne faisait mine de répondre.
— Je vais vraiment devoir en désigner un ? Allons… le premier qui tente de le faire bander, aura droit… à un cadeau… je lui offrirai… ma bouche ! Alors un volontaire. — Oui ! Moi madame…
Celui qui avait levé la main et crié ces mots était bâti comme un homme. Une stature imposante, une chevelure blonde et il avançait à genoux vers le corps de son ami. Sa main sans trembler venait de s’emparer de la tige bien molle de Léo.
— Si tu la rends bien dure, je te sucerai…
Tous eurent comme un grand rire… mais c’était surtout sous l’effet de l’émotion. Le nouveau venu secouait la verge comme s’il cueillait des noix. Le branlé grognait !
— Hey ! Doucement, tu dois faire cela avec délicatesse ! Tu n’es pas là pour lui faire mal… alors, sois doux, bon sang !— Ben, je fais comme si c’était moi…— Attends ! Je vais t’aider ! Les autres… ce n’est pas la peine de sourire, au moins lui a eu le courage d’essayer.
Elle posait sa main sur celle du type qui serrait le vit. Et de son poignet, elle se mit en devoir de donner une sorte de tendresse à la caresse. Léo soufflait maintenant plus fort. Ça semblait mieux fonctionner de cette manière câline. Alors, Aline appuyait lentement de son autre main sur la tête de l’athlète qui désormais gardait une cadence plus soutenue. Elle obligeait presque le grand dadais à se courber et son visage descendit vers le sexe.
— C’est bien… tu as tout compris ! Alors, vois-tu, nous les femmes nous associons nos lèvres à cette caresse digitale. Vas-y ! Essaie ! Tu n’en mourras pas ! Oui ! C’est bien, les pipes ne sont faites que par une bouche. Féminine ou masculine, n’est en rien important. Ce qui l’est en revanche, c’est la sensualité que tu y mets. Joue avec ta langue sur la peau qui recouvre cette queue. Oui ! C’est bien, tu es un bon garçon, c’est ça ! Retrousse maintenant délicatement ce gland bien lisse. Montre-lui que tu sais sucer… tu es presque parfait… bravo ! Il est tout raide, donc tu as mérité ta récompense…
Le jeune homme n’avait pas cessé sa fellation ! Il suffisait finalement de peu de chose pour qu’un homme y prenne du plaisir. Il insistait, mais son ami, ne s’en plaignait nullement. Les autres, fascinés par la scène ne parlaient plus du tout. Aline se remit debout. Levant un pied, elle se trouvait de ce fait au-dessus des deux jeunes. Elle fléchissait lentement sur ses genoux, et ses fesses frôlèrent le torse d’un Léo dégrisé. Son visage tourné vers les orteils du garçon couché, elle se trouvait bientôt en contact avec la tête qui persistait dans sa pipe. Il se releva seulement quand il comprit ce qu’elle voulait faire. Il gardait dans sa main serrée, la bite toujours bien raide et quand la chatte de la brune se trouva en contact avec la pointe du vit, il la lâcha enfin. La bite disparut immédiatement dans cet abîme brulant.
Elle fit parallèlement signe au suceur de se relever. Inutile de dire qu’il ne se fit pas prier et elle lui offrit alors la récompense promise. La queue, elle également se trouva captée par la bouche grande ouverte. Elle réitéra les opérations sur le membre de ce gaillard trop heureux de cette bonne aubaine. Il s’agissait de montrer aux autres que les conseils qu’elle prodiguait si généreusement, elle savait aussi les mettre en pratique. Sous elle, Léo tentait des mouvements désordonnés et s’éparpillait en tous sens. Là encore, elle se mettait à la manœuvre et débutait des gestes qui affolaient le futur marié. Les trois-là formaient un trio qui restait le point de mire de tous les regards. Et parmi les autres, certains bavaient d’envie devant le spectacle de la brune suçant et chevauchant deux des leurs.
La joute amoureuse durait depuis un long moment quand elle ressentit les premiers vrais effets de cette chevauchée fantastique. La pointe d’envie se transformait en océan de jouissance. C’était si violent qu’elle en oubliait par intermittence la queue au bord de ses lèvres. Léo savourait, tentant de retenir la montée de sa semence. Fine mouche, elle sentait que le jonc qui la comblait allait bientôt se décharger d’une partie de sa marchandise. Elle se rejetait sur le côté, juste à l’instant où la sève était expulsée. L’autre braillait bruyamment et celui qu’elle ne suçait plus qu’en pointillé se rappelait à son bon souvenir. Lui n’en était qu’aux prémices de ses envies.
Elle terminait donc ce qu’elle avait si joliment commencé. Le gars se crispait de plus en plus, signe que la mayonnaise prenait. Il eut aussi quelques soubresauts et c’est au moment où la bouche féminine s’écartait que la giclée l’atteignait sur le visage. Elle avait du foutre partout. La ration déversée était conséquente. Sans doute que ce type ne devait pas se vider les couilles trop fréquemment. Ce qui se passait ensuite devenait relativement plus confus. Les uns après les autres, les jeunes hommes s’approchaient, la bite sortie, pour qu’Aline les prenne en bouche. Tous eurent droit à une petite gâterie. Elle n’aurait pas pu dire par combien de queues, ses lèvres et sa langue furent visitées. Elle s’imaginait seulement que chacune d’entre elles représentait un beau billet de cinq cents euros. Cet épisode dura une bonne partie de la nuit.
Seul Léo, le futur époux avait eu le privilège du sexe féminin. Ses amis avaient dû se contenter de la bouche, mais ils semblaient tous satisfaits par cette prestation offerte finalement par le papa de Léo. Elle demanda à se doucher et comme par enchantement Hector était revenu. Il la guida en lui donnant la main, vers une salle de bain dont elle n’avait pas même deviné la porte. L’eau comme toujours la lavait de tous ses soucis. Elle sortait de là bien réajustée, avec seulement la chevelure humide. Elle se dirigeait vers la sortie des escaliers et de nouveau le maitre de céans lui barrait la route.
  — Je vous raccompagne, il se fait tard et une mauvaise rencontre serait… chose possible.— Ah bon ! Parce que vous pensez que je n’ai pas déjà essuyé la mauvaise rencontre ?— Comme vous y allez ! Ceci dit… vous avez été… somptueuse. Merci pour notre jeunesse.— Bon ! D’accord, vous me ramenez chez moi ?— Oui, oui, naturellement !
Le voyage se fit sans trop de verbiage. L’homme raccompagna Aline jusque sur le palier de son appartement et avec un soupir, elle lui demanda :
— Bon ! Je vous fais une petite faveur ! Vous entrez un moment et on…— Ce n’est pas de refus… si vous saviez dans quel état vous m’avez mis… c’était presque du délire.— Allons arranger ça, alors !
Elle ouvrait l’huis, s’effaçait et discrètement il entrait. Pas de temps mort ! Elle le saisissait de suite par le col de la veste et sa bouche entrait en contact avec celle de ce gars qui bandait depuis un long moment.
— Les gamins c’est bien, mais l’expérience c’est mieux ! J’espère que vous avez de quoi fournir, parce que je me sens un appétit de… louve !— À vous de juger sur pièce, si j’ose dire.— Voyons donc cela !
La main féminine venait de se contracter juste sur l’endroit déformé du pantalon.
— Ah ! Bien ça ! Du premier choix ! Maintenant reste à savoir si vous savez utiliser… cette… ce truc.
Les deux-là conjuguèrent une autre partie de la nuit le verbe baiser. Elle aimait qu’il s’occupe d’elle, la léchant longuement, lui rendait la pareille et tous deux y trouvaient leur compte. À l’heure des adieux, Hector, conquis, remit la main à la poche. Quelques coupures conséquentes retrouvèrent leurs copines dans le sac d’Aline. Elle souriait en songeant, dans le calme et la solitude que parfois les évènements se suivaient, mais ne se ressemblaient en rien pour autant. Elle se sentait maitresse de son destin désormais. Demain, elle filerait payer Luigi et leur collaboration s’arrêterait là. Elle était suffisamment grande pour se débrouiller toute seule. Cette nuit en était la preuve éclatante.
— oooOOooo —
A suivre…
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