Il y a quelque temps déjà, un petit pari entre nous m’a permis de remporter un prix d’une valeur inestimable à mes yeux... tu dois réaliser un de mes fantasmes. C’est ce soir que nous allons ensemble en profiter, mais ça fait quelques jours que nous le préparons déjà. Depuis un petit moment, nous avons sélectionné plusieurs profils masculins sur notre site préféré, discuté avec eux, échangé photos et petites vidéos. Ce soir, nous allons rencontrer celui qui a retenu toute notre attention et qui semble parfaitement sur la même longueur d’onde que nous. Douceur, plaisir, respect, nous sommes tous les deux impatients. Nous arrivons au restaurant, il nous attend sur le parking. Nous le reconnaissons sans mal, nous avons pu le voir sous toutes les coutures avant. Jean, chemise blanche, un peu plus grand que nous, il s’approche, tout sourire, manifestement tout aussi content que nous d’enfin pouvoir se rencontrer. Il faut dire que tu as mis le paquet, une de tes plus jolies robes, assez courte, décolleté profond, les jambes galbées de tes bas et des talons qui affinent ta silhouette. Il n’est pas possible d’être autrement que sous le charme. Nous entrons et prenons place à notre table, une grande banquette en demi-cercle, tu t’assieds entre nous deux, je suis à ta droite, notre invité, Jean, à ta gauche. Nous commandons, discutons de tout et de rien. A notre grand étonnement, la conversation est étrangement naturelle. Il y a bien eu un moment de flottement en début de repas, mais maintenant que les choses sont lancées, nous discutons légèrement comme si de rien n’était. Puis forcément, plus le temps passe, plus l’apéritif et le vin sont consommés, plus les sujets dérivent autour du sexe, pour nos plus grands plaisirs à tous. Fantasme, envie, souvenir, projets, tout y passe. Tu ne m’as pas encore donné le signal signifiant que tu as envie de continuer cette soirée dans un cadre plus intime, mais je te sens de plus en plus détendue. Nous en sommes au dessert, Jean nous raconte ce qu’il aime, les plages naturistes et coquines qu’il fréquente. Tu te tournes vers moi, le visage radieux, me disant qu’il faudra tester ces plages aux beaux jours. Puis tu te redresses et je vois ta main gauche se poser sur la cuisse de Jean. La sienne vient se poser également sur ta jambe et relève un peu ta robe, il caresse ta peau au-dessus de la lisière de tes bas, sans trop remonter cependant. Je vois à ton attitude que ce contact t’électrise. Tu attrapes ma main sur la table et tu la serres fort, signe indéniable de ton excitation. Puis tes mains passent sous la nappe, relèvent ta robe et tu fais doucement glisser ton tanga à tes pieds. Tu le récupères discrètement, et le glisses dans la main de Jean, signal dont nous avions convenu pour indiquer que tu as envie de continuer la soirée de manière plus poussée. Le serveur a dû comprendre notre petit jeu, ses regards complices et ses grands sourires ne laissent pas de place au doute. Mais peu importe, nous allons quitter les lieux. Avant de te lever, tu échanges un long baiser avec Jean tout en massant son entrejambe maintenant bien ferme, il glisse sa main plus haut entre tes cuisses et effleure ton intimité humide. Puis c’est vers moi que tu te penches, m’embrasses et me demandes d’aller à l’hôtel comme nous l’avions prévu si la soirée se passait bien. Nous arrivons sur le parking, Jean et moi nous serrons contre toi entre les voitures, je t’embrasse goulûment alors que ses mains attrapent ta si jolie poitrine, puis glissent le long de tes flancs pour arriver à la commissure de tes jambes. Il est collé contre ton dos, tu sens sa virilité exprimée contre tes fesses, et ses doigts qui te titillent à travers le fin tissu de ta robe, tout cela alors que nos langues sont mêlées dans un baiser passionné. Tu glisses à ton tour ta main sur ma braguette, et sens à quel point je suis dur... « Allons-y vite, je suis impatiente de la suite ! » nous déclares-tu avant de t’avancer vers notre voiture. Je te glisse à l’oreille en passant à côté de toi que tu peux rejoindre notre invité sur la banquette arrière si tu le désires, mais tu préfères rester à côté de moi.Par contre, Jean, durant le court trajet de moins de 10 minutes, se presse contre ton siège. Pour ton plus grand plaisir, il caresse tes voluptueuses courbes à travers le tissu de ta robe, glisse parfois sa main à l’intérieur de ton décolleté magnifique, ou remonte le long de tes cuisses pour effleurer ton petit fruit du plaisir maintenant très humide... Tu gémis sous ses caresses, te mords les lèvres de plaisir. Je suis excité comme jamais, il me faut produire un effort surhumain afin de rester concentré sur la route. Nous arrivons enfin, je t’embrasse et nous descendons, direction la chambre. Coquine comme tu es, excitée comme une puce qui plus est, nous passons tous les trois dans le hall, Jean et moi chacun d’un côté, tu nous serres contre toi, les mains sur nos fesses. Le veilleur de nuit, assis derrière la réception n’en perd pas une miette... il nous sourit et nous souhaite une excellente nuit, un grand sourire sur le visage. Nous arrivons dans la chambre, le silence se fait. Nous avions discuté tous les deux de la manière dont tu souhaitais que les choses se passent. J’invite donc notre partenaire du soir à s’assoir sur la banquette qui trône à côté du lit. Je prends place sur le fauteuil. Face à nous, tu ouvres la fermeture éclair dans le dos de ta robe, glisses délicatement les bretelles sur tes épaules, et laisses tomber l’étoffe à tes pieds. Tu es nue devant nous, juste habillée de tes bas. Tu te retournes, et te penches ostensiblement en avant en faisant glisser ces derniers le long de tes jolies jambes, nous offrant ainsi une délicieuse vue sur ton cul, et ta petite chatte qui brille de désir. Une fois revêtue de tes plus beaux habits, ceux du jour de ta naissance, tu te diriges vers la salle de bain, et l’air mutin, nous invites à te suivre.
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