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Folle nuit de sexe

Chapitre 2

deuxième chapitre, découverte charnelle

Avec plusieurs hommes
Je dis à Jean de te rejoindre en premier, je vais préparer la chambre. Il se déshabille, il a un corps qui devrait te plaire. De toute façon, nous avons eu l’occasion d’échanger un peu avant cette soirée, et nous avons eu le loisir de le voir sous tous les angles. Cela dit, le réel ne se remplace pas. Je pense que tu vas être contente de notre choix, son corps et son membre devraient te satisfaire et te donner tout le plaisir que tu mérites.
J’ouvre donc le lit, monte légèrement le chauffage, installe sur la table de nuit une boîte de préservatifs, du lubrifiant, ton jouet préféré, celui qui titille ton clitoris que personne d’autre ne sait le faire, et petit plus de la soirée, n’oublions pas que ce soir, tu réalises un de mes fantasmes, l’appareil photo pour immortaliser ce moment torride qui s’annonce.
J’entends l’eau qui coule, je suis terriblement excité à l’idée de vous imaginer tous les deux sous la douche, vous savonnant mutuellement. Je me déshabille donc, prends l’appareil photo et entre dans la salle de bain. La douche est à l’italienne, nous n’aurons pas de mal à y tenir tous les trois. Je fige cet instant sur la mémoire de l’appareil photo, tu embrasses Jean, la main empoignant sa queue raide et dressée vers le plafond. Il glisse sa main entre tes jambes, te caresse, glisse ses doigts entre tes lèvres humides, mais sans aller plus loin. Me voyant arriver, tu me lances un grand sourire et te penches en avant afin de poser délicatement un baiser sur ce gland que tu mourrais d’impatience de goûter. J’enchaîne les photos, j’adore, mais mon envie de te rejoindre est plus forte.
Me voyant approcher, tu incites Jean à se plaquer contre le mur au fond de la douche. L’eau coule délicieusement sur vos corps. Tu me tends ton cul délicieux. Je pose mes mains sur tes hanches, je te caresse délicatement. Je viens caler ma queue entre tes deux globes de chair, doucement, je me glisse entre eux. Je décide de me reculer, et c’est ma bouche que je viens poser sur tes fesses. Je te vois sucer notre ami avec un plaisir manifeste si j’en crois tes gémissements et les siens. Ma langue vient doucement glisser sur ta fente intime, je goûte ton nectar déjà abondant, j’aspire tes lèvres, glisse ma bouche sur ton intimité.
Je me relève et fais couler l’eau sur nous tous. Nous devenons un peu sages, le temps de préparer nos peaux aux moments qui s’annoncent. Jean et moi savonnons chaque centimètre carré de ta peau, tandis que tes mains se baladent sur nous, finissant inéluctablement par attraper nos deux que tendues que tu te faire un plaisir de nettoyer avec une grande attention.
Je vois dans tes yeux et dans la fougue de tes baisers à quel point tu es impatiente que nous passions aux choses sérieuses. Je t’embrasse dans le cou, ma main entre tes jambes, un doigt explorant ton désir brulant, notre hôte caressant tes fesses et ta poitrine. Je te glisse à l’oreille « vas-y mon amour, reprends-le en bouche doucement et tends-moi ton cul, j’ai envie de te prendre avant d’aller dans la chambre ».
Tu me réponds par un soupir de contentement, puis te retournes, te penches en avant, appuyant tes fesses contre mon bassin, ma queue délicieusement emprisonnée par ton cul que tu ondules au rythme ou ta bouche glisse sur la tige de Jean, faisant disparaître son gland et une bonne partie de son membre... Tu me branles avec ton cul délicieux, je suis aux anges. Je prends un peu de recul, je glisse à mon sexe tout contre le tien, écartant délicatement tes chairs humides, puis doucement, je glisse en toi. Lentement, que nous prenions le temps d’apprécier chaque millimètre de progression dans ton puits de plaisir. Tu gémis de plus en plus fort, tu es obligée de retirer ce membre de ta bouche pour exprimer tout ton plaisir et encore plus ton désir : « oh oui... putain... vas-y, prends-moi, vas-y... j’aime ta queue ! ». Je pousse mon bassin pour prendre totalement possession de ton conduit humide.
Je commence à aller et venir à un rythme plus régulier, t’arrachant des petits cris ou gémissements selon que la queue de Jean soit ou non au fond de ta bouche. Je sens les contractions de ton intimité sur moi, signe que tes premiers orgasmes arrivent.
Je tends le bras pour attraper l’appareil photo après avoir arrêté l’eau. J’immortalise cet instant délicieux, cadrant pour voir ma queue en toi et celle de notre partenaire dans ta bouche... Je tremble d’excitation, il est plus difficile que je ne le pensais de figer cet instant en photo... Ce moment de baise intense est si bon !
Puis nous nous dirigeons vers le lit, telle une louve, tu montes à quatre pattes sur le lit, puis t’allonges sur le ventre, offerte à nos désirs et nos caresses. Nous nous positionnons de part et d’autre de ton corps délicieux. Nos mains, doucement, commencent à goûter ta peau, douce et chaude. La base de ta nuque, délicatement, ton dos, le long de ta colonne vertébrale, tes flancs, ton bassin, tes fesses, tes jambes, tes pieds... Nous prenons chacun un peu d’huile de massage, pour que nos caresses restent douces.
Je me mets sur ta droite, Jean lui se met entre tes jambes, qu’il écarte légèrement pour prendre place, dévoilant ainsi ton petit abricot glabre et juteux, que nous allons nous efforcer de rendre plus humide encore.
Nous prenons possession de notre aire de jeu que sont ton dos et tes jambes. Nous effleurons, caressons, malaxons doucement. L’ambiance quasiment bestiale de la douche est maintenant devenue douce, délicate et très sensuelle. Tu frisonnes sous nos caresses, à la fois pressée que nous allions plus loin plus vite, mais heureuse de cette douceur qui ne rendra la suite que plus agréable. Je m’attarde sur la base de ton cou et de tes épaules, que je sais habituellement tendus. Je ne perds pas une miette des mains de notre ami qui vont et viennent sur tes jambes, remontent sur tes fesses, les écartent délicatement et dont les pouces viennent, à chaque fois un peu plus, effleurent tes lèvres intimes, gonflées et luisantes de désir.
Tu gémis faiblement de plaisir, tu apprécies ces caresses. Nous sommes, tout comme toi, à l’écoute de ton corps. Nous aimons te faire frémir, insistons sur tes zones sensibles, j’adore. Jean glisse maintenant son pouce sur ta petite chatte affamée. Il n’a plus le cœur de te résister et enfonce ses phalanges en toi. Ton souffle s’arrête, puis tu inspires un grand coup au fur et à mesure qu’il s’enfonce en toi.
Je me penche sur ton visage, t’embrasse et te glisse à l’oreille combien je t’aime et combien j’apprécie de te voir ainsi prendre du plaisir.
Notre ami, toujours tout en douceur, s’allonge sur toi afin de te faire sentir son désir aussi. Entre tes fesses, dur comme la pierre, il se glisse lentement.
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