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De folles relations en famille…!

Chapitre 2

Inceste
Pendant ce temps-là, Blaise, le père de Véronique et le mari de Blanche discute avec son gendre Brice, qui, tout d’un coup, lui dit :— « Ah, excusez-moi, j’ai complètement oublié, je dois descendre à la cave chercher du bon vin blanc pour le repas anniversaire de Bernard ».
— « Faites mon cher gendre », répond Blaise.Blaise se dirige dans le coin cuisine du salon où Véronique s’affaire devant son évier à couper des tomates pour la salade du début de repas.— « Que prépares-tu ma chérie », demande Blaise à sa fille.— « Des tomates », répond Véronique toujours penchée sur son plan de travail, situé à côté de l’évier.Le père de Véro, Blaise se dirige vers sa fille et se positionne juste derrière elle et commence à faire courir ses mains sur les jambes de sa fille et commence à remonter les mains vers la jupe de sa fille, qu’il commence à soulever. Sa fille sentant son père faire ceci lui dit d’un ton sec :— « Mais t’es devenu fou, papa, mais qu’est-ce qui te prend, ça ne va pas enlève tes mains de sur moi ! »— « Mais, c’est rien ma fille je veux voir ton petit cul, regarder tes belles fesses pouvoir les caresser. »— « Mais t’es en manque ou quoi, il faut que tu te jettes sur ta fille, maintenant, t’es devenu fou ou quoi, c’est vraiment étrange se faire peloter à 34 ans par son père de 51 ans, je rêve ou quoi ? », soupire Véronique, dont le père continue de caresser avec sa main droite les fesses de sa fille.— « Non tu ne rêves pas », répond Brice, qui revient de la cave avec sa bouteille de vin blanc à la main, « Véronique, c’est bel et bien vrai, ton père regarde ton beau fessier. Alors je vois, beau-papa qu’on ne s’en fait pas ! ».— « Ah, je suis confus répond Blaise », déconcerté que son gendre l’ai surpris. « Cela fait longtemps, que je suis emballé par le cul de ma fille, je le trouve beau. »— « Bon arrête-là papa, cela en devient choquant, tu devrais te taire sinon ça va dégénérer. »
— « D’accord, ma fille », approuve Blaise qui rabaisse la jupe de sa fille.— « Je tiens à m’excuser de m’être ainsi égaré, Brice, envers Véronique, qui ne m’appartiens plus mais qui est désormais votre épouse. Véro et Brice, vous me promettez, tous les deux que vous n’en direz aucun mot à Blanche, sinon ce serait un scandale dans la famille. D’accord, les enfants ».— « D’accord », répond Brice, « mais quant à moi », continue Brice, « je ne tolèrerai plus ceci de votre part beau-papa, c’est compris ».— « Moi aussi », dit Véronique, « tu n’as qu’à le faire à maman, elle n’attend peut-être que ça ».— « Oh, ça fait des lustres qu’on n’a pas fait l’amour et moi j’ai Popol qui commence à faire grise mine ».— « Mais ça viendra papa, allez ne te fais pas de soucis, chut j’entends maman qui descend l’escalier ».— « Ah, enfin te voici Bernard, mais que faisais-tu dans ta chambre, depuis tout ce temps », demande Véronique à son fils.— « Rien de bien spécial, je cherchais des photos sur Internet pour un prochain exposé. »— « Mais ne le rabroue pas comme ça ton fils », réplique Blanche.— « Allez, dis au-revoir à tout le monde, Blanche, il faut qu’on y aille », s’exclame Blaise.
— « Mais vous allez où ce soir papa et maman ? », demande Véronique.— « Et bien, nous sommes invités par un jeune couple noir, dont le mari est un collègue de Blaise ».— « Bon allez, Blanche, arrête de papoter, on y va ! », renchérit Blaise, qui commence à tourner en rond.Blaise et Blanche disent au-revoir à Bernard, Brice et Véronique.Brice et Véronique raccompagnent jusqu’au pas de la porte Blaise et Blanche, qui montent dans leur Mercedes.C’est Blaise qui conduit et dans la voiture, Blanche dit à son mari :— « Tu sais, ce que j’ai envie de faire pendant que tu conduis mon chéri »— « Non », répond Blaise, très sérieux dans sa conduite.— « Et bien, j’ai envie de te branler et de te sucer, cela fait tellement longtemps qu’on n’a rien fait ensemble ».— « Non, ça ne va pas, Blanche, tu ne peux pas faire cela, pendant que je conduis, je risque d’avoir un accident ».— « Mais ne crains rien, mon chéri, je vais y mettre un doigté dont tu me reparleras, tu vas voir », répond Blanche en train de baisser la fermeture éclair du pantalon de son époux.Le sexe de son mari est tout riquiqui et Blanche commence à le branler avec sa main droite et le suce goulûment. Et tout en continuant en suçant et en branlant le sexe de son mari, Blanche se dégrafe sa chemise qui laisse entrevoir un soutien-gorge rempli d’une fort belle poitrine.— « Ah, tu as du mal à bander, mon époux », dit Blanche toute excitée ! « Qu’est-ce qui t’arrive ? »— « Je ne sais pas », répond Blaise, tout surpris de la fougue de sa femme.
— « Tu sais que c’est un régal de te sucer et de te branler pendant que tu conduis, ah quel pied ! »— « Calme-toi ma chérie, on va arriver à l’immeuble de nos amis, je vais me garer dans le parking souterrain qui jouxte leur immeuble, arrête Blanche et lâche ma queue. »— « Mais non, tu commences à devenir tout dur mon chéri, faut pas gâcher ! », dit Blanche, tout en tirant sur le sexe de son mari et en le suçant avec envie.Tout d’un coup, un vigile s’approche du véhicule de nos vieux dévergondés, qui est immobilisé dans un emplacement du parking. Le vigile ordonne à Blaise de baisser sa glace, car il se demande ce qu’il se passe dans ce véhicule.— « Baissez la glace », dit le vigile à Blaise.— « Quoi ? », surenchérit Blaise, qui appuie sur le bouton adéquat, pendant que sa femme continue à le masturber et à le sucer comme une vraie furie.— « Mais qu’est-ce que c’est que ça ? », demande le vigile « mais vous n’avez pas le droit de faire l’amour ici ! », hurle le vigile.— « Oh, mais c’est qu’il est mignon le flic », s’exclame Blanche, les seins à l’air en train de continuer à secouer le phallus de son mari.— « Arrêtez, Madame ! C’est un ordre ! »— « Mais arrêtez de crier Monsieur, vous voyez bien qu’on ne fait rien de mal, mon mari a eu une petite érection et je m’occupe de son cas, c’est tout ! Allez faites le tour et venez de mon côté pour me chercher ».— « D’accord », dit le vigile.Le vigile fait le tour de la voiture et va du côté de la vitre du côté passager. Une fois arrivé à hauteur de celle-ci, Blanche descend la vitre et commence à palper les testicules du vigile à travers son pantalon.— « Mais qu’est-ce que vous faites là ? C’est outrage à agent ! », dit vexé le vigile.— « D’abord, ceci n’est pas un outrage, mais un massage et vous allez voir jeune homme que vous m’en direz des nouvelles.Laissez-vous faire sinon je hurle le plus fort possible et je rameute tout le quartier et tout le monde saura ce que vous faites de vos rondes, d’accord ».— « C’est d’accord »— « Mets-toi courbée sur le siège passager, ma chérie », dit Blaise à sa femme, en train de baisser la fermeture éclair du pantalon du vigile.— « Oui, mon amour ! »Donc, Blanche, se penche la tête vers la fenêtre côté passager, les pieds sur le coffret, qui sépare le passager du conducteur, défait la ceinture du vigile, défait le bouton du pantalon, lui baisse le pantalon, recommence à palper les testicules au travers, désormais, du slip du gardien et elle dit.— « Ah, quel bonheur, j’adore ça, moi, palper des couilles, j’aurais dû en faire mon métier ! »Pendant ce temps, Blaise, les deux pieds sur son siège chauffeur se penche sur la cambrure de sa femme et commence à soulever la jupe de celle-ci. Après lui avoir complètement soulevé la jupe, il lui ôte sa culotte et humecte son index avec lequel il commence à exciter le clitoris de sa femme.— « Ah, c’est bon, oui, continue », dit Blanche, toujours en train de palper les couilles du gardien à travers son slip.Tout d’un coup, le vigile s’exclame :— « Bon, alors, Madame, c’est quand que je vais pouvoir sentir votre langue sur ma queue ? »— « Oh, là jeune homme, vous me semblez bien pressé, on a tout notre temps, mais il est vrai qu’à force de vous palper vos deux joyeuses, il me semble que votre slip n’en peut plus et qu’il va craquer sous la pression de votre verge. Je vais donc passer à l’étape suivante », dit-elle, en faisant passer sa langue sur ses lèvres enfiévrées tout en regardant fixement le vigile.Blanche enfouit sa main droite dans le slip du vigile, d’où sort un phallus énorme et elle commence à léchouiller le gland et commence à branler la bite avec entrain.Pendant ce temps-là, Blaise continue de titiller le clitoris de sa femme et commence à lécher et sucer les deux « lèvres de l’amour » de sa femme, qui continue, quant à elle de son côté à administrer une somptueuse pipe au vigile.
— « Ah, t’aimes quand je te fais ça, eh, ma femme, t’aimes quand je laisse courir ma langue sur ton clitoris tout chaud », dit Blaise, tout excité.— « Oui, j’adore, oui continue ! », répond Blanche.— « Oh, je sens que je commence à bander, je vais te prendre par derrière, d’abord je vais t’exploser la chatte, après on verra. »Blaise se dégrafe le pantalon, saisit son sexe tout en l’excitant manuellement et s’engouffre dans le sexe béant de sa femme, qui pourrait en accueillir deux facilement. Pendant au moins un quart d’heure, il la chevauche tel un jeune homme de 20 ans et elle, toujours aussi valeureuse, continue de sucer la queue du vigile, qui commence à devenir super excité.— « Oh, ma chérie, que c’est bon, je vais t’enculer maintenant », dit Blaise, ragaillardi par cette soirée de baise.Il continue son œuvre encore quelques 5 minutes. Puis ensuite, il demande au vigile.— « Vous n’avez pas mal à votre queue à force que ma femme tire dessus et vous la suce ? »— « Non, vous savez j’ai jamais connu de femme aussi experte en fellation, c’est un plaisir inavoué ».— « Oh, elle est de plus en plus dure votre queue et elle a encore grossi depuis tout à l’heure », dit Blanche toujours affairée à ses plaisirs buccaux.— « Bon, il va falloir quand même, que tu nous fasses jouir ma femme, moi j’ai envie de te voir le visage rempli de sperme, ah comme dans les films pornos, ça te dit ma salope de femme ? »— « Bien sûr, que ça me dit, dit Blanche, toujours en train de sucer le phallus du gardien et en lui palpant les couilles.— « De ce fait, il faudrait que tu sortes de la voiture, ma chérie », ordonne Blaise.— « D’accord », répond Blanche, qui sort de la voiture avec la jupe complètement soulevée avec le sexe à l’air.Les deux hommes se mettent à droite de la voiture et encadrent Blanche, qui continuent à sucer simultanément les deux bites.— « Ah, vraiment, vous êtes vraiment des obsédés, tous les deux, vous n’attendiez que ça, hein, à ce que je vous suce la queue accroupie, comme une chienne que je suis. Ah, oui, j’adore ça sucer des queues, ah qu’elles sont bonnes vos bites les gars, je sens que vous allez venir, allez, j’ai envie de sperme », dit-elle, tout en subissant des coups de queue sur la figure.— « Allez, redonnez-moi, de la queue en bouche, je suis en manque, allez », renchérit-elle, en se caressant la chatte.— « Tais-toi et suce », demande Blaise à sa femme « tu vas te taire, tu vas rameuter tout l’immeuble, si tu continues comme ça. »— « Votre mari a raison, parlez moins et agissez plus, je sens que je vais vous asperger de mon sperme alors soyez sérieuse, vous allez voir ce que vous allez voir ».Donc, Blanche, se remit à sucer de plus belle les queues tout en se caressant la chatte et elle décida aussi de commencer à dégrafer son chemisier et à palper sa fort belle poitrine.— « Ouais, c’est ça, palpe ta poitrine, chiennasse », s’exclame le gardien, dont le sexe commence à devenir rouge boursouflé.— « Eh, là l’ami, on se calme, vous rendez-vous compte que vous venez de tutoyer ma femme ? »— « Mais c’est normal, on se tape la même nympho, on n’a bien le droit de la tutoyer ».— « Oui, mais vous ne l’avez pas complètement possédée, vous ne l’avez pas pénétrée. »— « C’est vrai, mais j’ai vraiment envie de me la taper la mamie. »— « Comment me parlez-vous, jeune goujat », s’exclame Blanche toujours en train de sucer le vigile, « il est vrai que je suis mamie, mais je vous fais quand même envie, alors pénétrez-moi. »Donc, le vigile tringle la mamie et pendant ce temps-là elle suce son mari. Ils restent dans cette position au moins 5 bonnes minutes et ensuite Blanche ordonne au vigile de la sodomiser, ce qu’il s’empresse de faire, il est vrai que Blanche a un cul à faire revivre un mort : deux belle fesses fermes et un trou gigantesque.— « Ah que j’aime ça, faire l’amour, comme ça dans l’improvisation totale, c’est le panard ! », dit Blanche en train de subir les assauts du vigile et de sucer goulûment la queue toujours aussi raide de son mari.— « Ah, je sens que ça va arriver », dit Blaise à sa femme, « je sens que je vais éjaculer ».— « Ah, attends un peu, retiens-le, j’adore me faire sodomiser par ce jeune homme plein de fougue », dit-elle en se retournant vers le vigile.— « Il faudrait quand même que je reprenne mon service, si un de mes supérieurs venait à passer, ce serait pour moi la porte », dit le vigile qui continue à enfoncer sa queue dans le cul de cette bonne vieille salope de Blanche.— « Bon d’accord, messieurs, j’accepte qu’on mette un terme à ces agissements, mais permettez-moi de vous administrer pour une dernière fois une pipe mémorable à tous les deux et je désirerai que vous m’éjaculiez en plein visage et en plus je sais que mon mari sera content, regardez ça lui met déjà la trique ! »
Blanche se remet à sucer son mari et le vigile qui l’entourent et elle se délecte de ces derniers instants de stupre et d’échangisme ; tout en suçant le vigile, elle lui demande :— « Au fait, comment vous appelez-vous bel étalon ? »— « Philippe COUILLU ».— « C’est votre véritable nom, COUILLU, alors ça vous le portez bien ? », dit Blanche tout en relevant la tête et en soulevant le sexe du vigile.Elle décida de lui mordiller les couilles en les palpant de plus en plus fort. Parallèlement elle continuait à branler son mari et à force, après plus d’une heure de débauche, le grand moment arrive.— « Ah je crois, que je vais éjaculer », dit le vigile !— « Moi aussi », surenchérit Blaise. « Tu vas en prendre plein la gueule ma chérie ».— « Mais c’est bien, ça j’ai envie de votre foutre, allez envoyez la purée ».Blanche continua à branler et ce de plus en plus vite les deux sexes et tout d’un coup après les coups de buttoir assénés par la main experte de Blanche, le vigile éjacule sur le visage de la délurée mamie et de ce fait son maquillage commence à partir sous les giclées de sperme.— « Et bien, mon ami, vous aviez les bourses pleines, depuis quand tu ne t’es pas tapé de femme », lui demande Blanche.— « Oh, il n’y a pas longtemps, mais je suis quelqu’un qui a toujours beaucoup de sperme », répond le vigile.— « Ah ça c’est bon à savoir », dit Blanche, qui continue à sucer la queue du jeune homme tout en continuant néanmoins de branler celle de son cher époux.— « Ah, je sens que je vais te faire un nouveau maquillage, ma chérie, oh allez, aide-moi, allez, allez branle plus fort et plus vite, allez suce », dit Blaise à sa femme toujours accroupie les seins pendants.Elle se met à sucer le sexe de son mari et tout d’un coup une giclée de sperme vient se répandre sur le visage de Blanche, dont le maquillage finit de trépasser.Blanche se relève, les hommes se rhabillent et rangent leurs sexes, qui ont fort bien travaillé. Blaise et le vigile s’assoient tous deux sur le capot de la Mercedes et Blanche les rejoint et se met au milieu d’eux et leur dit :— « Et bien messieurs, je tiens à vous remercier du bon moment que je viens de partager avec vous et j’espère qu’on remettra ça un de ces jours, mais dans un autre contexte, n’est-ce pas ? », demanda-t-elle à son mari et au vigile.— « Pour ma part, je n’y vois aucun inconvénient, répond le vigile, mais en dehors de mes heures de travail ».— « Bon d’accord », surenchérit Blaise, mais alors d’abord tu vas reboutonner ton chemisier et remettre tes nibards au chaud sinon tu risques de causer un accident dans le parking avec tout ton attirail.— « Oh, ils sont beaux mes seins, ne trouvez-vous pas Monsieur le vigile ? Et même je voudrais qu’il me suce les seins le jeune homme, Blaise, allez accepte ? Et pendant ce temps-là je voudrais que tu te branles devant moi, d’accord ? »— « Mais vraiment, tu es imprévisible ma femme, mais c’est bien pour ça que je t’aime » « Allez jeune homme, profitez-en, c’est pas tous les jours qu’une femme mariée vous demandera de lui toucher les nichons ! »Donc, le vigile commença à sucer les nichons de Blanche et celle-ci prenait son pied également à regarder son mari en train de se masturber devant elle. A un moment elle esquissa un geste et demanda à ce que son époux éjacule sur la carrosserie de la Mercedes.— « Tu veux vraiment ça, mais c’est que je n’ai pas encore envie de gicler », répond Blaise.— « D’accord », répond Blanche, tu n’as qu’à continuer, moi je suis en de bonnes mains avec COUILLU, allez suce mon bon ami, suce les lolos à mamie, allez profites-en, t’en a jamais vu d’aussi beaux je te parie », dit-elle, en collant la tête du vigile contre sa poitrine.— « Ah non, c’est un régal, c’est tout doux, tout chaud, ça me rappelle ma mère, à la seule différence, que je ne me la suis jamais tapée ».— « Encore heureux, mon bon ami ! », s’écria Blanche dans un râle de plaisir.Pendant ce temps-là, Blaise continuait de se masturber en regardant sa femme en train de se faire peloter les seins par le vigile et à force après, près d’une demi-heure de masturbation, il évacuait sa semence sur la carrosserie de la Benz., et plus particulièrement sur le capot, tout à côté de sa femme. Celle-ci s’empressait de remercier le jeune homme de sa participation effrénée et décidait de lécher le capot pour recueillir de sa langue le sperme de son mari.— « Oh, il est vraiment délicieux ton sperme mon chéri », dit Blanche, qui, tout en s’avançant vers son époux, de ses lèvres recouvertes du liquide de l’amour, embrasse avec fougue son Blaise chéri.— « Quel baiser, ma chérie ! Mais maintenant il faudrait penser à aller retrouver nos amis, ils doivent s’impatienter ! », dit Blaise en train de se rendre vers la place du passager. « Mais que fais-tu », demande-t-il empressement à sa femme qui en fait de même. « Ce n’est pas toi qui conduit ! Que viens-tu faire à ma place ? »— « Je le sais Blaise », répond Blanche, qui a reboutonné son chemisier mais dont la jupe et la culotte sont toujours au niveau du ventre. « Tu vas le voir de suite. »Blanche se met à genou sur le siège conducteur, s’avance jusqu’au pommeau de levier de vitesse et enfonce celui-ci dans sa chatte tout en disant :— « Tu vois, je voulais passer les vitesses à ma manière », dit Blanche en train de se contorsionner de gauche à droite afin que le pommeau fasse office de sexe.— « Bon, allez arrête maintenant tes excentricités, rhabille-toi, c’est un bien beau spectacle que de te voir posséder par ce pommeau, mais moi je commence à avoir faim, allez on y va ! », s’exclame Blaise en train de se masturber tout en matant sa femme.— « Oui, d’accord, j’arrête, mais j’ai la chatte en feu, j’ai besoin d’un visiteur », répond Blanche, en train de s’introduire trois doigts dans l’orifice tout suintant.Blanche, enfin se décida à sortir de la Mercedes, se remit la culotte et enfila convenablement sa jupe...
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