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De folles relations en famille…!

Chapitre 6

Inceste
Samedi
Le lendemain, le samedi après-midi, Bernard est chez lui, dans son salon, en train de réviser le Français, car il y a l’épreuve du bac qui approche. Il est tout seul, sa mère est partie faire des courses, tandis que son père est au boulot. Il se dit tout haut :
— « Quand même, hier soir, si j’y repense, j’ai baisé ma mère, mais c’est vraiment délirant ça, je n’ose pas y croire, dans la même soirée, ma grand-mère et maman ;Je ne sais pas ce qu’elles ont, en ce moment, les femmes de la famille, mais elles ont le feu au cul. Bon, il faudrait que j’arrête de penser à ça, concentre-toi sur ton Français, Bernard, concentre-toi », dit-il en se prenant la tête entre ses mains et en penchant celle-ci vers l’ouvrage.À un moment, quelqu’un sonne à la porte. Bernard laisse son livre sur le canapé, va vers la porte d’entrée et demande :— « Qui est-ce ? »— « C’est Monique, ta tante ! », répond la voix féminine, qui a reconnu la voix du jeune homme.— « D’accord, je t’ouvre ! », répond Bernard, qui met la clef dans la serrure et ouvre à sa tante.— « Bonjour Bernard », dit Monique, qui embrasse Bernard tout en lui laissant quelques traces de rouge à lèvres.— « Bonjour tante Monique, je n’avais pas reconnu ta voix ! », lui dit Bernard en embrassant sa tante. « Et bien rentre. », lui dit-il en l’amenant dans le salon, « qu’est-ce qui t’amène ? »
— « Et bien, je venais voir ma sœur, que je n’ai pas vue depuis bien longtemps », dit. Monique en arrivant dans le salon, debout devant le canapé.— « Allez, je t’en prie, assieds-toi », dit Bernard à sa tante en s’asseyant lui-même à la place qu’il avait auparavant et reprend la lecture de son livre. « Et bien, tu sais », dit Bernard, entre deux pages, « maman est sortie faire des commissions, tu n’as pas de chance ! »— « Mais cela ne fait rien, j’attendrais, je n’ai rien d’autre à faire ! Et alors toi, qu’est-ce que tu lis-là ? », lui demande-t-elle en se rapprochant de Bernard.— « Et bien, tu vois tatie, je révise pour l’épreuve de Français du bac, qui va avoir lieu dans quelques semaines », lui dit-il toujours le nez dans son livre.— « Mais mon neveu, tu ne vas pas me faire croire que tu passes tous tes week-end à réviser pour le bac ? », demande Monique.— « Et bien si, ma tante, car je veux à tout prix réussir dans mes études et il n’y a que comme ça que j’y parviendrai », répond Bernard, qui enfin relève le visage en direction de sa tante.— « C’est bien, Bernard, mais quel âge as-tu désormais, tu dois avoir 17 ans, c’est ça hein ? », demande Monique, la tante de Bernard, qui n’a pas vu celui-ci depuis un an et quelques mois.— « Non, on a fêté hier avec mon père et ma mère mes 18 ans », répond Bernard.— « Oh pardon, Bernard, je tiens à m’excuser, je ne me rappelle jamais, il est vrai, de la date de ton anniversaire, viens que je t’embrasse ! », dit Monique qui essaye de rattraper sa bévue. « Oh, mais dis-moi, tu dois avoir une cour à tes pieds mon neveu ? », demande Monique qui pose sa main gauche sur l’épaule droite de Bernard.
— « Je pourrai, peut-être en avoir beaucoup de filles, mais je consacre mon temps exclusivement aux études, il faut que je réussisse à avoir mon bac, c’est primordial ! », dit Bernard à sa tante en ne quittant pas son livre des yeux.— « Mais vraiment, ce n’est pas possible ça ! Qu’est-ce que tu me dis ? Tu as toujours le nez fourré dans tes livres ; allez arrête un peu, fait une pose, si on parlait un peu tous les deux », demande Monique qui prend Bernard par le cou.
— « D’accord, tatie, mais pas trop longtemps, car quand même il faut que tu saches que l’autre de mes occupations, c’est de regarder la télé et ce soir il y a sur Canal Plus PSG/OM ! », dit Bernard en reposant son livre sur sa gauche.— « Parce-que, sincèrement, je te trouve très beau garçon et je trouve que tu as bien changé, tu es devenu un homme, maintenant ! », dit Monique, en train de passer les mains sur les cuisses poilues de son neveu.A noter que comme il fait chaud, Bernard a décidé de se mettre « relax » et il porte des claquettes, un short, un t-shirt, cool quoi !— « C’est vrai, quoi, t’es vraiment mignon Bernard, aucune fille ne te l’a encore dit ! », dit Monique, toujours en train de passer sa main sur les cuisses de son neveu.— « Si bien sûr, mais j’y fais pas trop attention, tu sais tatie, j’ai tout mon temps ! », répond Bernard, qui tripote la télécommande de la télévision posée à sa gauche. « Mais t’es pas mal non plus, tante Monique, tu sais, toi qui as 5 ans de plus que maman ! », dit Bernard qui retire sa main gauche de sur la télécommande et, qui, de sa main droite enlace le coup de sa tante.— « Oh, non, Bernard, je n’ai pas 5 ans d’écart avec ta mère, mais seulement, elle a 35 ans, j’en ai 36 ! », dit Monique, qui de sa main gauche soulève le t-shirt de Bernard. « Alors, comme ça, tu dis que je suis encore mignonne ça me fait plaisir Bernard ce que tu me dis ! »— « Mais oui, c’est vrai que tu es mignonne, je dirais même que tu es une bombe, regardez-moi ça comme ça a l’air appétissant », s’exclame Bernard en glissant sa main dans le décolleté en forme de U du haut noir très sexy de sa tante.— « Mais, c’est que mon neveu, tu n’as pas l’air comme ça, mais tu les regardes quand même les femmes, ah mon saligot ! », dit Monique qui s’est remise à caresser les cuisses de son neveu.— « Moi, il y a un truc qui m’a toujours excité chez les femmes, c’est leurs seins et en plus toi t’as l’air d’en avoir de beaux et gros, ma tante », dit Bernard, en train de défaire l’agrafe du haut noir de sa tante, sous lequel il va découvrir un soutien-gorge bleu lagon, renfermant effectivement de gros lolos.
— « Mais, dis-moi, pour quelqu’un qui ne se préoccupe que de ses études, tu me sembles bien au courant des fermetures des habits de femme, mon cher Bernard », dit Monique, tout en remontant le tee-shirt de son neveu à l’aide de sa main gauche. « Ah, qu’est-ce que t’es poilu, Bernard, quelle toison ! », dit-elle en passant sa main gauche sur le torse de son neveu.— « Ma tante, qu’est-ce qu’elles sont douces tes mains ? Continue à me caresser le torse ! », dit Bernard, qui, de son côté continue à explorer les dessous de sa tante. « Qu’est-ce qu’elle est belle et gonflée ta poitrine dans ce soutif ? Tu fais du combien tatie Monique ? », demande Bernard en train d’enfouir sa main droite dans les lolos de sa tante.— « Du 100 D Bernard, mais toi tu sais que tu me fais envie de te voir comme ça, je voudrais voir ta queue, oh oui j’ai envie de la voir ta bite, tu dois en avoir une grosse, grand comme tu es ! Et n’est-ce pas mon neveu ? », dit Monique, en train de baisser la fermeture éclair du short de son neveu.Elle prit en main la queue de son neveu et commença à le sucer.— « Oh, j’ai trop chaud, il faut que je te suce, Bernard, c’est obligé, voyons comment elle va devenir cette bistouquette », dit Monique en train de débuter sa fellation.— « Oh oui ma tante que ça fait du bien », dit Bernard à sa tante, affairée à astiquer avec une envie folle le phallus de son neveu.Monique, la tante assoiffée de bite, continua de plus belle à sucer et à branler la bite de son neveu et quand elle devint toute dure et assez grosse, elle se leva et se mit devant Bernard et dit :— « Bernard, enlève-moi ma jupe (blanche toute fendue sur la cuisse droite) », demanda Monique à son neveu.Bernard baissa la fermeture éclair et baissa délicatement la jupe de Monique.— « Maintenant, enlève-moi ma culotte. », dit-elle à Bernard, qui s’exécuta aussitôt.Monique était donc le sexe à l’air, mais avec toujours son soutien-gorge ; elle se mit à cheval sur Bernard, de telle façon que celui-ci puisse la pénétrer tout en lui touchant les seins. « Allez, prends-moi, Bernard, j’ai envie que tu m’empales avec ta pine », dit Monique à son neveu plaqué contre le dossier du canapé.Bernard pénétra, pendant un bon quart d’heure sa tante tout en lui léchant les seins qui lui retombaient presque sur le visage. Le neveu continua à pénétrer sa tante, qui de son côté n’arrêtait pas de dire :— « Oh oui, continue, oh oui enfonce bien ta queue dans ma chatte ! Allez ramone-moi la chatte mon neveu ! ».Bernard continua encore quelques minutes et à un moment dit à sa tante :— « Oh, je sens que je vais jouir, tatie, je sens que la pression monte ! », dit Bernard en arrêtant de satisfaire sa tante Monique.
Celle-ci se lève et commence à resucer la queue de Bernard en disant :— « Ah, tu sais tu m’as mis le feu à la chatte, moi maintenant je vais te mettre le feu à ta queue, je vais te sucer, Bernard ! », dit-elle en se penchant, le fessier cambré, vers le phallus droit comme un i.— « Oh oui, tatie, fais-moi monter la pression, je commence à aimer à me faire sucer ! », dit Bernard toujours avachi sur son canapé.La tante suça et branla énergiquement le sexe difforme de son neveu, pendant au moins une quinzaine de minutes et tout d’un coup :— « Ah, je sens que je vais éjaculer, tatie, oh mais non tatie arrête de me sucer, ça arrive, ah je jouis ! », dit Bernard.En effet, Bernard éjacula dans la bouche de sa tante, de laquelle sortirent des gerbes dégoulinantes de sperme, qu’elle se délecta de lécher avec sa langue. Elle passa ses doigts sur sa bouche tout en humectant ceux-ci de sperme et en profita pour se doigter avec son majeur.— « Quelle est bonne ta semence mon neveu, j’ai tout avalé, que c’était chaud, un vrai régal ! », dit-elle en continuant de branler accroupie la queue de Bernard tout en le regardant.
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