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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Chapitre 1

Orgie / Partouze
I. Valery    Au printemps 2000, j?ai fait la connaissance de Valery sur un site Internet consacré à la bisexualité. Nous participions au même forum et nous nous sommes aperçus que nous habitions à quelques kilomètres l?un de l?autre et avions à peu près le même âge (il a 22 ans et moi 24). Après trois semaines d?échanges intensifs, nous avons décidé de nous rencontrer dans un bar de la vieille ville où se retrouvent de nombreux gays et lesbiennes.     Dès que je l?ai vu, il m?a plu. Il faut dire que c?est un grand mec à la silhouette fine, avec des cheveux noirs coupés en brosse, des yeux sombres et lumineux. Surtout, j?étais fasciné par le contraste entre les traits carrés de son visage, pleins de virilité, et la douceur apparente de sa peau qui lui donnait un air poupin. A voir la façon dont il m?a regardé, je peux dire que je lui plaisais également. Nous sommes restés deux heures dans ce bar à discuter, puis je lui ai proposé de prendre un dernier verre chez moi.    Une fois dans mon appartement, la conversation s?est orientée assez vite sur le sexe et il n?a pas fallu longtemps pour que nous nous retrouvions à partager un baiser, enlacés dans les bras l?un de l?autre. Lorsque j?ai aventuré une main vers son entrejambe, j?ai été agréablement surpris par l?ampleur de la bosse que je sentais vivre sous mes doigts. Car, si la nature a été généreuse avec moi, elle l?a été encore plus avec lui : il a un sexe long surmonté d?un gland énorme par rapport à la hampe. Ce sexe, je m?en suis emparé aussitôt pour le cajoler, pour le caresser, l?embrasser, le sucer, aspirer son noeud jusqu?à ce qu?il éjacule sur mon torse. Cette jouissance fut la première d?une longue série, non seulement ce soir-là mais aussi les suivants. Car Valery était un amant exceptionnel : plein de sensualité et de douceur, il était aussi plein d?imagination.    On s?entendait si bien que, finalement, il a abandonné son studio d?étudiant pour s?installer chez moi. Pour faire bonne figure envers ses parents, nous avons fait un contrat de colocation sous prétexte de diminuer les frais qu?occasionne un appartement. Ses parents étaient bien contents de pouvoir économiser un peu ; quant à moi, j?étais heureux, le soir-même, de pouvoir investir les reins de leur petit fils chéri qui, la croupe cambrée et les fesses offertes, m?encourageait de la voix à faire preuve de plus d?énergie et de vigueur ou, au contraire, à le limer tout doucement en de lents mouvements amples.     Plus tard, nous avons fait un test de dépistage pour pouvoir se passer de préservatifs. Nous avons eu les résultats (négatifs) deux jours avant mon anniversaire. Je me rappellerai toujours la petite fête que nous avons fait pour célébrer ces deux événements. Il attendait mon retour dans le plus simple appareil, avec juste un petit ruban bleu qui enserrait la base de son sexe : c?était mon cadeau ! Je pouvais en faire ce que je voulais. Alors, en guise d?apéritif, j?ai fait quelque chose que je n?avais jamais fait jusque là : je l?ai sucé jusqu?au bout de son plaisir, laissant son sperme s?écouler dans ma gorge. Le premier sperme, mis à part le mien, que je goûtais. La texture et la saveur n?avaient pas de quoi satisfaire un gourmet, mais c?est le geste qui m?excitait, le fait de l?avaler et lui montrer que je l?aimais.     D?ailleurs, ce soir-là, j?étais à deux doigts de lui offrir mon dernier pucelage. Comme souvent, il m?avait fait une feuille de rose en me doigtant doucement, puis il s?est étendu sur moi qui étais allongé sur le ventre, faisant glisser son sexe le long de ma raie culière, se masturbant entre mes deux collines. Sa queue était dure, chaude, et j?imaginais qu?elle allait bientôt pénétrer mon petit anneau. Je désirais qu?il vienne en moi comme cela, dans la continuité de ses mouvements, qu?il m?encule en une seule poussée. Je l?imaginais, je le désirais, mais j?avais aussi peur de la douleur que ce sexe généreux pouvait me provoquer. Heureusement, Valery est attentif aux autres et patient : même s?il mourrait d?envie de me prendre (il me l?avait souvent dit), il respectait mes craintes et attendait le moment où je lui demanderais de venir en moi.    Ce moment, il aura fallu que nous fassions la connaissance de Mapi pour qu?il arrive.
    II. Mapi    Mapi, de son prénom Marie-Pierre, était une cliente du bar où nous nous étions vus pour la première fois et où nous retournions souvent. Nous nous croisions sans plus, comme le font les habitués d?un même établissement. Je l?avais remarquée car cette petite brune d?une quarantaine d?années était mignonne et toujours habillée de façon excentrique. Nous avions un peu discuté et j?avais appris qu?elle était prof d?anglais dans un lycée. En fait, nous nous sommes liés, et pas seulement d?amitié, à l?occasion du nouvel an.     Un ami commun avait organisé une grande fête où nous avons retrouvé Mapi. Nous avons passé la majeur partie de la soirée tous les trois à discuter, boire, danser et flirter. Mon attirance pour elle n?a cessé de croître au cours de la soirée et, à voir la façon dont Valery et elle dansaient, il ne faisait aucun doute que lui aussi ressentait quelque chose pour elle. D?ailleurs, Mapi se faisait chatte, alternant regard langoureux, frôlements faussement innocents et remarques plus ou moins explicites (? Vous êtes mignons tous les deux... C?est bon d?avoir deux hommes dévoués rien que pour soi ... Alors comme ça vous êtes bisexuels. C?est bien de pouvoir aimer les hommes et les femmes...?).     Au petit matin, alors que la plupart des invités partaient, Mapi nous a demandé si nous pouvions la raccompagner chez elle. Comme elle habitait à une dizaine de kilomètres de la ville, je lui ai plutôt proposé de dormir à la maison et de la ramener ensuite. Etant un peu ivre, je n?avais pas envie de rouler trop longtemps ni de prendre le risque de tomber sur la gendarmerie. Elle a aussitôt accepté avec un petit quelque chose dans le regard qui m?a fait penser qu?elle ferait plus que dormir avec nous.     En effet, une fois arrivés, je lui ai demandé si elle voulait dormir sur le canapé ou bien partager notre lit. Hypocritement, je me suis entendu dire : ? En tout bien tout honneur, comme des amis. ? Pour sauver encore plus les apparences, Valery lui a prêté une vieille chemise pour dormir. Comme il fait plus d?un mètre quatre-vingt et que Mapi atteint difficilement le mètre soixante, la chemise lui faisait un habit de nuit très chaste - si on omet le fait qu?elle avait laissé les trois premiers boutons ouverts, offrant ainsi son décolleté à nos regards.     Pendant que Valery a été se préparer dans la salle de bain, j?ai demandé à Mapi si elle n?avait pas peur qu?on se jette sur elle et qu?on abuse de son corps pendant son sommeil. Alors, s?avançant doucement vers moi, elle m?a dit : ? Je n?en ai pas peur, j?en ai envie. Une terrible et ancienne envie de faire l?amour avec deux hommes. Et comme vous me plaisez bien tous les deux... ? Elle n?a pas eu le temps de finir sa phrase que, déjà, nos bouches se soudaient et nos langues s?emmêlaient. Moi qui n?avait pas touché une femme depuis plusieurs mois, j?ai laissé mes mains courir sur son corps, devinant le galbe de ses formes par dessus son vêtement.     Quand Valery est revenu, il n?a pas semblé surpris de nous trouver ainsi et, déployant ses grands bras, il nous a enlacés tous les deux pour partager notre baiser. Puis je me suis éclipsé à mon tour et, à mon retour, j?ai trouvé Mapi seulement vêtue d?un string, debout devant Valery qui lui embrassait les seins, assis sur le bord du lit. Je suis resté quelques instants à la regarder : ses longs cheveux bruns qui tombaient en cascade sur son dos, sa peau d?un blanc immaculé, sa taille qui s?évasait sur des hanches et des fesses dodues sans être grosses. De dos, il était presque impossible de dire si c?était une adolescente ou une femme de quarante ans qui était là avec mon ami. Seuls ses seins légèrement tombant ainsi que quelques rondeurs sur son ventre, pouvaient indiquer son âge.     M?asseyant à côté de Valery, je me suis occupé du sein qu?il m?a généreusement abandonné. Les mains dans nos cheveux, Mapi serrait nos visages contre sa poitrine tout en soupirant de bonheur. Je n?avais jamais vu des tétons aussi longs et durs, et je me régalais de les suçoter, de les aspirer et les mordiller. En même temps, je caressais son ventre et laissais ma main glisser jusqu?à sa culotte déjà trempée. Un doigt inquisiteur glissa dans sa toison épaisse ; il fut comme aspiré par ses lèvres gonflées d?humidité et, bien vite, il allait et venait dans sa petite chatte étroite.     Je voulais la doigter ainsi jusqu?à ce qu?elle jouisse et inonde ma main, mais elle en a décidé autrement : elle nous a fait nous lever et, prenant notre place, a entrepris d?ôter nos caleçons. En voyant mon sexe bien bandé, elle m?a lancé un regard gourmand qui valait bien un compliment. Mais que dire de sa réaction face au sexe de Valery ? Pendant de longues secondes, elle a gardé ses yeux braqués sur celui-ci comme si elle voulait graver à tout jamais cette image dans son esprit, comme si elle était en train d?en apprécier mentalement les dimensions et la consistance. Je n?ai pas été étonné qu?elle commence par gratifier mon ami de ses caresses buccales. Elle était magnifique avec un sexe dans la main et un autre qui lui déformait les joues. Elle suçait Valéry tout doucement, avec application, tout en me masturbant. Puis elle inversa les rôles pour mon grand plaisir avant de m?abandonner à nouveau au profit de mon ami.     Pendant qu?elle continuait sa fellation sur Valery, je me suis agenouillé entre ses jambes pour retirer son string. Comme me l?avaient indiqué mes doigts, sa toison était très fournie et il me fallut faire mon chemin au travers de cette broussaille de long poils noirs avant de voir le carmin de son sexe et son clitoris gonflé d?excitation. La position n?étant pas très facile pour moi, j?ai demandé à Mapi de s?allonger sur le dos pour lui faire un cunnilingus. Ce qu?elle a fait sans lâcher la queue de Valery. De temps en temps, elle abandonnait son sexe pour gémir sous l?effet de mon cunni. Deux fois de suite, son corps s?est tendu dans un cri et j?ai senti son âcre nectar couler dans ma bouche.     Après, je me suis allongé sur elle, mon visage près du sien, mon sexe a l?entrée de sa grotte. J?avais une terrible envie de la pénétrer mais pas de préservatifs. Elle nous a affirmé qu?on pouvait avoir confiance. Je sais qu?il ne faut pas se fier à ce genre de propos mais, sur le coup, je n?ai pas cherché à réfléchir et me suis glissé lentement en elle, sentant ses chairs s?ouvrir devant ma virilité. Elle a accompagné cette première pénétration par une longue plainte étouffée par le sexe de Valery. Pour elle, ça a été le début du déchaînement total : elle pompait de plus en plus vite mon ami, ne s?arrêtant que pour me demander d?aller plus vite et plus fort. Le problème est que j?avais beaucoup de mal à me retenir d?éjaculer et quand je le lui ai fait remarquer, elle m?a dit : ? C?est pas grave, viens, viens, jouis dans mon ventre. ? Ces mots furent fatales et j?ai joui comme rarement. Ma jouissance a provoquée la sienne et Valery et moi avons attendu quelques instant qu?elle savoure ce moment et qu?elle récupère.     Quand elle a semblé redescendre un peu de son nuage, Valery est venu à son tour se présenter devant son sexe. ? Fais doucement s?il te plaît, lui a-t-elle dit, elle est vraiment grosse et je n?ai jamais... - Ne t?en fais pas, je vais être tendre, a-t-il répondu. Si ça ne va pas, dis-le et je me retirerais. ? Effectivement, quand il a présenté son phallus devant le sexe de Mapi, je me suis demandé comment cette petite bonne femme pourrait accueillir un tel morceau. Mais, finalement, à force de patience et de douceur, Valery a pu la posséder de toute sa longueur (enfin presque toute sa longueur : Mapi lui a demandé de ne pas aller tout au fond car elle ressentait une petite douleur). Comme à son habitude, Valery a été très attentif à ce que disait Mapi. Au bout de quelques minutes de lents allers et retours en elle, nous avons vu les prémices de l?orgasme sur le visage de Mapi. Valery a alors commencé à accélérer ses mouvements, décuplant le plaisir de notre partenaire qui ne pouvait s?empêcher de hurler ? Oui, oui, oui... ? jusqu?à ce qu?elle se retrouve sans voix, au bord de l?asphyxie, la tête et le corps comme possédés. Son orgasme a été si intense, son corps était si plein de sensation que le sexe toujours fiché en elle en devenait douloureux. Alors, elle a demandé à Valery de se retirer et, comme le pauvre n?avait pas encore joui, je l?ai sucé pour achever son plaisir, gardant son sperme dans ma bouche pour ensuite le partager avec Mapi ; initiative qui a semblé la surprendre et la dégoûter un peu. Ensuite, fatigués et repus de plaisir, nous nous sommes glissés sous la couette, Mapi entre nous deux.     Quand je me suis réveillé, la nuit était déjà tombée. J?ai regardé à côté de moi pour voir si je n?avais pas rêvé : non ! Mapi et Valery étaient bien dans le lit. Mapi était elle aussi éveillée et quand elle m?a vu ouvrir les yeux, elle s?est tendue pour m?embrasser tout en chuchotant à mon oreille : ? J?ai passé une très bonne soirée. Vraiment, vous êtes incroyables tous les deux. J?ai joui comme jamais. Cela faisait longtemps que je voulais faire l?amour avec deux mecs mais je ne pensais pas que ce serait si bon. - C?est aussi grâce à toi, répondis-je. Et, si tu le veux, ce n?est qu?un début : on a encore plein de choses à découvrir tous les trois. - J?espère bien mon petit chéri, j?espère bien profiter encore de vos deux jeunes queues. ? Sur ces mots, nous sommes embrassés puis avons été déjeuner en attendant que Valery se réveille (ce qui peut prendre du temps car dormir est son activité préférée).     Pendant le déjeuner, nous avons fait un peu mieux connaissance. J?ai parlé de ma rencontre avec Valery, de ma précédente copine avec qui j?étais resté trois ans, de mon travail. Mapi m?a raconté son divorce, il y a deux ans, la bataille juridique avec son mari pour avoir la garde de leur fille... Elle a aussi évoqué la période d?abstinence qui s?en est suivi, abstinence seulement rompue par deux ou trois aventures, et les raisons pour lesquelles elle avait flashé sur nous. En fait, elle avait d?abord été attirée par moi et s?était renseignée auprès de Cathy (une amie commune) pour savoir qui j?étais. Lorsqu?elle a appris que j?étais bi et que le grand mec qui m?accompagnait toujours était mon homme, elle a été déçue. Puis, peu à peu, son vieux fantasme s?est réveillé et, quand elle se masturbait, je n?étais plus seul dans son esprit : je lui faisais l?amour avec Valery ou nous faisions l?amour sous ses yeux. J?étais étonné par la façon naturelle dont elle parlait de sa sexualité, en particulier de sa passion pour la masturbation : ? Je ne m?étais jamais caressée avant de connaître mon premier petit copain. Et puis, tu sais, comme j?étais vierge, j?avais un peu peur de le faire. Alors on passait de longues soirées à s?embrasser et à se caresser. Et j?y prenais un plaisir si grand que j?ai commencé à le faire toute seule. En plus, ma première fois n?a pas été un grand souvenir : je n?ai pas eu mal mais je n?ai pas eu de plaisir non plus, juste une sensation bizarre d?inconfort. Du coup, je me contentais assez bien de mes plaisirs solitaires... Jusqu?au jour où j?ai rencontré Jean-Marc, mon ex-mari. C?est vraiment avec lui que j?ai découvert le sexe et la jouissance que cela pouvait procurer. Pendant quatre ans, il m?a fait merveilleusement bien l?amour et puis, le temps passant, il s?est contenté de me baiser, de moins en moins longtemps, de moins en moins souvent, et de plus en plus égoïstement. Alors j?ai repris mes masturbations et, après le divorce, je me suis même acheté un petit coffret avec différents godes... ?     Pendant qu?elle parlait, je caressais doucement son ventre et ses seins. Ses confidences et la douceur de sa peau sous mes doigts faisaient gonfler mon sexe. Mon caleçon cachant mal mon excitation, Mapi m?a déculotté, elle a relevé sa chemise au dessus de ses seins, écarté son string, puis, me chevauchant, elle s?est emparée de mon phallus qu?elle a frotté longuement sur sa fentine. Progressivement, mon gland traçait son sillon, écartant les poils, séparant les grandes lèvres pour atteindre son intimité soyeuse. Puis, elle s?est laissée descendre sur mon sexe, m?accueillant petit bout par petit bout. J?étais aux anges car, non seulement j?adore être chevauché, mais à la différence de mon ancienne copine, Mapi ne se contentait pas de monter et de descendre : elle roulait des hanches ou, meilleur encore, basculait son bassin d?avant en arrière, malaxant mon sexe avec délices.     Nous étions tellement pris par notre échange charnel que nous n?avions pas entendu Valery arriver. C?est lorsqu?il nous a embrassés tous les deux que nous l?avons remarqué. Il était nu, tendu, et s?est laissé glisser à nos pieds pour lécher nos sexe. Incroyables sensations que celles que procure une langue qui titille votre sexe et vos testicules pendant que vous allez et venez dans le ventre d?une femme. A un moment, Mapi s?est arrêtée, les yeux grand ouverts, disant : ? Oh lala, il me lèche le... il me lèche les fesses. Oh ouiiiii !!! ? Elle ne remuait plus sur mon sexe, profitant des caresses linguales de Valery sur son anus. Elle est restée quasiment immobile jusqu?à ce que je sente un doigt qui la pénétrait par derrière, serrant encore plus mon sexe dans son vagin. J?ai synchronisé mes mouvements sur ceux du doigt. Mapi ahanait, gémissait, se trémoussait comme une possédée avant de s?arrêter net à nouveau : un second doigt forçait son anneau, lui arrachant un râle de satisfaction. Sentant les doigts se mouvoir, elle a recommencé à s?agiter sur moi jusqu?à éclater dans un orgasme dévastateur qui l?a laissé pantelante. Puis elle s?est dégagée de moi pour s?allonger sur le canapé (je me suis rendu compte, par la suite, que chaque fois qu?elle jouit très fort, Mapi ne supporte plus, pendant quelques instants, qu?on la touche).
    Aussi, Valery, toujours à mes pieds, a embouché mon sexe. Mapi s?est approchée de nous et a glissé sa main dans les cheveux de mon ami. Il y avait beaucoup de tendresse et quelque chose de l?ordre de l?amour dans son regard. Quand Valery m?a abandonné pour aller chercher le tube de lubrifiant dans la chambre, Mapi m?a demandé s?il allait me sodomiser. J?ai répondu que non, que j?aimerais bien mais, étant toujours vierge, j?avais un peu peur. ? Ca nous fait un deuxième point commun, remarqua-t-elle : on aime tous les deux les sexes des hommes mais il reste encore en nous des endroits inexplorés. ?     Quand Valery est revenu, il a rapidement lubrifié son anus et mon phallus puis, prenant la même position que Mapi auparavant, il s?est empalé franchement sur moi. Notre étreinte fut vigoureuse, presque sauvage : je lançais mon bassin à la rencontre du petit cul de Valery qui n?en demandait pas tant. Même Mapi était excitée par ce qu?elle voyait, et elle branlait énergiquement mon amant jusqu?à ce qu?il jouisse sur mon ventre et moi dans ses reins. Après cette frénésie sexuelle, nous avons retrouvé lentement nos esprits puis, l?un après l?autre, nous sommes allés nous laver. Ensuite, la nuit étant déjà bien avancée, nous avons raccompagné Mapi chez elle.
    III. L?impossible quadrature du triangle    Pendant le mois qui a suivi, nous avons revus Mapi très souvent : elle passait au moins deux nuits par semaine chez nous, la plupart du temps le week-end, et pas forcément pour faire l?amour. Avec le temps, je me suis pris de passion pour elle et, comme si je fonctionnais à niveau constant d?amour, je commençais à être irrité par certains comportements de Valery. En fait, je crois que je ne supportais pas qu?il ne développe pas à l?égard de Mapi les mêmes sentiments que moi. Pour lui, c?était juste une copine avec laquelle on s?amusait bien sexuellement. Pour moi, elle était devenue une complice par le corps et par l?esprit et quand nous faisions l?amour ce n?était pas tant pour prendre mon pied que pour la faire jouir, lui procurer le plus de plaisir possible. J?aurais voulu une relation à trois totale, où chacun aime les autres de façon aussi intense    Nous avons exploré les différentes variantes du trio et, si chaque combinaison était excitante, nous avons vite vu les préférences de chacun. Personnellement, ce que je préférais, c?était de faire un fellation à Valery avec l?aide de Mapi, de se passer son sexe d?une bouche à l?autre, de toucher nos lèvres autour de son gland, de gober ses belles couilles pendant qu?elle prenait soin de sa hampe. Mapi, elle, aimait particulièrement se caresser en nous regardant faire l?amour. Elle aimait aussi, pendant les préliminaires, qu?on lui fasse simultanément un cunni et une feuille de rose. Mais ce qui la faisait monter au septième ciel, c?était lorsque l?un d?entre nous la prenait en levrette pendant qu?elle suçait l?autre. Valery, lui, avait pris un pied dingue avec le ? petit train ?, c?est-à-dire qu?il faisait l?amour à Mapi pendant que je le sodomisais. On ne l?a fait qu?une fois car, sous l?effet du plaisir, Valéry oublia toute retenu et pénétra trop fortement Mapi, la faisant souffrir. Il n?a pas été trop frustré car, peu après, il a enfin pu me sodomiser. Nous ne savions pas à l?époque que ce serait la dernière fois qu?on ferait l?amour ensemble.    C?était un samedi soir. Nous avions passé la soirée au bar et, en rentrant, on avait commencé à s?embrasser et à se caresser les uns les autres. Au moment où j?ai voulu retirer la jupe de Mapi, elle a refusé car elle avait ses règles : elle ne voulait rien faire sauf nous regarder faire l?amour, Valery et moi. Alors nous nous sommes donnés en spectacle sous les yeux de notre maîtresse qui frottait délicatement sa motte par dessus ses vêtements. Elle ne restait pourtant pas inactive : pendant qu?on était en 69, elle a approché son visage de celui de Valery et, pendant qu?il tétait mon noeud, elle a fait rouler mes testicules dans sa bouche puis est remontée vers mes fesses. Elle a embrasé chacune de mes petites pommes, a laissé sa langue glisser le long de mon sillon, et elle s?est finalement arrêtée sur mon petit trou qu?elle a pénétré avec sa langue dardée. Je ne sais pas pourquoi mais j?étais hyper réceptif à ses caresses et je lui ai demandé d?introduire un doigt, puis deux. Concentré sur mon propre plaisir, j?ai négligé Valery qui est venu prêter main forte à Mapi. Et c?est comme cela que je me suis retrouvé allongé sur le ventre, la tête enfouie dans l?oreiller, avec une homme et une femme qui me fouillait le cul. Quand Mapi m?a dit qu?elle aimerait bien voir Valery me pénétrer, je n?avais déjà plus toute ma tête et j?ai accepté. En fait, j?ai vraiment réalisé ce que je faisais quand j?ai senti la froide noix de gel sur mon anneau et, peu après, le sexe de Valery qui butait contre ma petite porte. Moi qui avait toujours eu à la fois envie et peur de ce moment, je n?avais plus aucune crainte. Mon amant a été parfait cette fois-ci. Il s?est un peu introduit, a attendu que la douleur se dissipe, a pénétré un peu plus profondément, a encore attendu... et ainsi de suite jusqu?à ce que je sente les poils de son pubis contre mes fesses. La douleur initiale a vite disparu mais je ne pourrais pas dire que je ressentais vraiment du plaisir. Mon plaisir était surtout cérébral, c?était plus la situation que l?acte en lui-même qui m?excitait : c?était ma première fois et je le faisais avec un homme et une femme. D?ailleurs, je ressentais fortement cette proximité car Valery s?était allongé sur moi et me mordillait le cou, alors que Mapi avait posé son visage près du mien et me parlait, me réconfortait, me demandait si ça allait... Et oui, ça allait ! Ca allait et ça venait. Ca devenait même bon. Valery, qui se contentait de longs et lents va-et-vient, me fit mettre à quatre pattes et commença à me limer énergiquement. Deux ou trois fois j?ai dû lui demander de freiner ses ardeurs car j?avais l?impression que son sexe gonflait encore plus à chaque accélération. Aussi, me sodomisait-il presque au ralenti. Profitant de ma position, Mapi s?est glissée sous moi pour prendre mon sexe en bouche. A partir de là, ce fut une montée fulgurante vers la jouissance. J?ai prévenu Mapi que j?allais éjaculer pour qu?elle se retire car elle n?aimait pas avaler. Mais elle m?a gardé en bouche jusqu?à ce que ma source se tarisse. Juste après, j?ai senti le sexe de Valery palpiter, se contracter et expulser de grands jets de sperme en moi. Nous sommes restés de longues minutes immobiles. Valery a débandé petit à petit avant de se retiré. J?étais plein de frissons, tremblant, et des larmes coulaient sur mes joues. Mon cul était d?une sensibilité incroyable et je ressentais une douleur assez vive que l?excitation avait fait taire.     Pour calmer le mal, je suis allé prendre une douche bien froide. En sortant, Mapi était là. Elle m?a dit que j?aurais pu refuser. Alors je lui ai dit que, sur le moment, la douleur était moindre que le plaisir. Et puis, je voulais le faire pour elle, pour lui montrer que je tenais à elle et qu?elle était plus qu?une bonne copine. Emue, elle s?est pendue à mon cou et m?a dit que c?était pour me faire comprendre la même chose qu?elle m?avait laissé jouir en elle.     Cette révélation m?a mis sur un petit nuage et a profondément changé la nature de notre relation. Plus qu?on aurait pu l?imaginer d?ailleurs. Valéry nous avait entendus et il a compris qu?à mes yeux Mapi prenait sa place : j?avais accepté de faire pour elle ce que j?avais toujours refusé de faire pour lui.    Dès le lendemain, Valery a été plus distant et irritable. Au début, je pensais qu?il s?agissait d?une simple bouderie. Mais, comme celle-ci durait, je lui ai demandé s?il avait des problèmes qui le préoccupaient : ses parents, ses études... Enfin, un soir, nous avons eu une longue explication. On s?est dit ce qu?on avait à se dire. Lui commençait à être lassé des trios et souhaitait qu?on arrête un peu de voir Mapi. Ce qui était impensable pour moi. La discussion était bizarre : pas de larmes, pas de colère... en un mot : plus de passion. Et c?est de façon assez froide que nous sommes arrivés à la conclusion que nous ne ressentions plus grand chose l?un pour l?autre. Le lendemain, Valery a occupé la chambre d?amis. Pendant une semaine, la cohabitation s?est assez bien passée, jusqu?à ce qu?il ramène un mec à la maison. En soi, cela ne me gênait pas trop. Mais ce que j?ai difficilement admis c?est qu?ils baisent dans le salon et, surtout, que Valery crie plus fort qu?à l?habitude, comme s?il voulait attiser ma jalousie et me faire comprendre qu?il prenait plus de plaisir avec ce mec qu?avec moi.    Le lendemain, on était fin février, je prenais un sac, quelques affaires et j?allais m?installer chez Mapi qui me l?avait proposé.
    IV. Sylvie    Tout de suite, Mapi m?a présenté à sa fille comme étant son nouveau compagnon. Claire avait l?âge dit ingrat, mais ma présence fut bien acceptée et, au bout de quelques jours, je me suis senti comme chez moi.     Sexuellement, ce fut une période très riche. Mapi se comportait comme une midinette insatiables et vicieuse. Ainsi, peu après mon arrivée, elle m?a montré son coffret de godes : il y en avait de différentes tailles et de différentes formes. Elle les a essayés sur moi et j?ai ressenti un plaisir monstre sans les désagréments que j?avais connu la première fois (il faut dire qu?en comparaison de Valéry, même le plus gros gode était d?un gabarit bien modeste). Elle aussi était très excitée de me pénétrer avec les jouets et, bien vite, nous avons commandé un modèle à ceinture qui avait deux protubérances : en plus du grand gode devant, il y en avait un plus petit qu?elle s?enfonçait dans le vagin. Il faut voir ma petite maîtresse parader nue ainsi harnachée de son sexe en plastique, m?obligeant à le sucer avant de me prendre fermement les hanches et de me sodomiser. Dans ces cas-là, elle se comporte comme un mec et parle même comme le ferait un vrai macho : ? T?aimes bien ça, hein, t?aimes te faire enculer ?... ? A croire qu?elle a toujours voulu être un garçon. Mais cela n?ôte rien à sa féminité ni à sa sensualité. Et, de mon côté, j?ai aussi utilisé les jouets sur elle pour lui faire découvrir les joies de la pénétration anale. Au début, je prenais les plus petits car son étoiles était vraiment étroite et serrée. Puis, on est passé à plus gros, jusqu?au jour elle a voulu que je vienne en elle. Elle a eu un orgasme de tous les diables et, régulièrement, elle m?invite à recommencer mes intrusions anales.    En fait, tout plait à Mapi tant que cela se passe dans la maison : pas question pour elle de faire l?amour dehors, dans une voiture ou un ascenseur. La seule fois où elle a dérogé à cette règle, ce fut l?été dernier, à la piscine municipale : comme d?habitude on s?est changé dans la même cabine et je l?ai presque suppliée de me faire une petite gâterie car j?étais passablement excité. Elle l?a fait mais ce fut la seule et unique fois. Sinon, on fait l?amour dans sa chambre et, le week-end, quand Claire est chez son père, c?est toute la maison qui est témoin de nos ébats.     Au début de l?été 2001, j?ai rendu mon appartement pour m?installer définitivement chez Mapi. Pour officialiser, en quelque sorte, notre union, nous avons organisé une fête avec des amis et des collègues. Nous étions une quinzaine en tout et la soirée s?est très bien passée. A la fin de la soirée, nous nous sommes retrouvés à trois : Mapi et moi, bien sûr, ainsi que Sylvie. Sylvie devait passer deux ou trois semaines avec nous. C?est la soeur de l?ex-mari de Mapi, et la seule personne de la belle-famille avec qui des liens ont été maintenus après le divorce. C?est une blonde très bien portante (façon Rubens), qui doit avoir une petite trentaine d?années. Mapi me l?avait présentée en disant qu?elle collectionnait les mecs comme d?autres filles les sacs à main. Ce que son comportement au cours de la soirée a confirmé : papillonnant d?un groupe à un autre, elle avait une façon de se tenir proche des hommes avec qui elle parlait qui semblait dire : ? prenez, ceci est mon corps. ?     Pendant que je rangeais et m?occupais de la vaisselle, les deux belles-soeurs discutaient sur la terrasse. Je n?entendais pas ce qui se disait mais, par moments, de grands rires fusaient. Par contre, j?ai eu la certitude qu?on parlait de moi car, lorsque je les ai rejointes, je fus accueilli par un silence évocateur.    Quand nous nous sommes retrouvés seuls dans la chambre, Mapi s?est faite très câline. J?ai essayé de ne pas céder à ses avances après lui avoir demandé de quoi elle parlait avec Sylvie. Elle voulait faire l?amour tout de suite et parler après, alors que je souhaitais l?inverse. Ne voulant pas me répondre, et voyant que je ne ferais rien tant qu?elle ne m?en dirait pas plus, elle a glissé sa main dans mon caleçon pour caresser mon sexe.     En moins de temps qu?il n?en faut pour l?écrire, nous nous sommes retrouvés nus et Mapi s?est agenouillée pour couvrir mon sexe de baisers. Elle a toujours aimé cette position pour la fellation : accroupie devant moi, les mains posées sur mes hanches, n?utilisant que ses lèvres et sa langue pour me procurer du plaisir, alternant profondes mises en bouche et suçotage du gland, caressant parfois tout son visage avec mon sexe. Quand elle a commencé à taquiner mes fesses, j?ai bien senti que je n?allais plus tenir longtemps. Je l?ai prévenue car elle n?a jamais vraiment apprécié le goût du sperme, préférant me faire jouir sur ses seins (surtout que, selon Valéry, mes éjaculations sont abondantes). Mais là, preuve d?une extrême excitation, elle est restée sourde à mes appels, me retenant même plus fortement, accélérant ses mouvements de tête jusqu?à ce que je me répande en elle. Alors, je l?ai fait se lever, s?appuyer sur la commode, dos à moi, et j?ai mis un point d?honneur à lui rendre coup pour coup. De son clitoris à son anus, pas un centimètre-carré de ses fesses et de son sexe n?a été épargné. J?écoutais sa respiration et ses soupirs pour savoir ce qu?elle appréciait le plus. En même temps, je me masturbais d?une main négligente et sentais mon sexe reprendre vie : le pénis devenait phallus et, bientôt, je pénétrais fermement Mapi. Sous l?effet de la pénétration, les soupirs sont devenus gémissements, des gémissements rauques et profonds venant du ventre qui m?invitaient à forcer l?allure, à faire claquer mon pubis sur ses fesses à chaque coup de reins. Tant et si bien que, dans un cri qu?elle essaya d?étouffer, j?ai senti son corps se raidir et sa cyprine noyer mon sexe. Ensuite nous sommes passés sur le lit où elle m?a chevauché, d?abord normalement puis les pied posés à plat, dans la position de la femme qui fait pipi. Les sensations étaient merveilleuses et je pouvais admirer mon sexe disparaître dans sa petite chatte poilue et en ressortir luisant. Mapi était de plus en plus bruyante et aucun de mes efforts pour la calmer n?eurent de succès, ni la main sur la bouche, ni le rappel de la présence de Sylvie à quelques mètres de nous. Je crois même que cela participait de son plaisir de savoir que sa belle-soeur pouvait l?entendre. Finalement, c?est dans la position du jockey au galop (cuisses et genoux serrés sur mon ventre, les mains posées sur mes épaules) que Mapi nous a fait atteindre les cimes du plaisir dans un grognement commun avant de se laisser complètement tomber sur moi. Dans le calme et le silence qui suivi, je lui ai susurré des mots doux tout en lui caressant la nuque. Elle semblait comme suspendue entre le monde du plaisir et celui où je me trouvais. J?attendais qu?elle achève sa descente avant de parler mais le sommeil l?a gagnée et, toujours sur moi, elle s?est endormie.     A mon réveil, Mapi et Sylvie déjeunaient déjà. En les rejoignant dans la cuisine, j?ai pu détailler un peu le corps de Sylvie qui portait un ensemble caraco et short de satin couleur pêche qui faisait bien ressortir sa peau bronzée. Dire qu?elle est gironde tient presque de l?euphémisme : de la même taille que moi, elle a un buste large et puissant qui porte une poitrine aux dimensions exceptionnelles surmontant fièrement un ventre légèrement bedonnant. Chaque fois qu?elle se penchait pour prendre quelque chose sur la table, j?apercevais le sillon entre ses seins, ce qui réveillait mon érection matinale. Mais le meilleur fut lorsqu?elle se leva pour débarrasser. Son short, un peu étriqué, moulait à merveille son gros cul et s?ouvrait sur deux cuisses athlétiques et dodues. J?imaginais le beau spectacle qu?elle devait donner lorsqu?on la prenait en levrette ou quand, vous chevauchant, ses seins dansaient sous vos yeux au rythme de ses coups de butoir.     A-t-elle remarqué que je la regardais ? En tout cas, j?avais l?impression qu?elle se trémoussait rien que pour moi, exagérant ses mouvements de hanches, prenant tout exprès les positions les plus suggestives. Je bandais à en avoir mal et ai dû attendre que les deux femmes sortent de la pièce avant de me lever à mon tour.     Ce jour-là, c?était un samedi, Mapi et Sylvie sont allées faire des courses toute la journée. En fin d?après-midi, elles sont rentrées juste à temps pour assister au retour de Claire qui avait passé des vacances avec son père. La soirée s?est passée sans fait notable si ce n?est que Mapi a enfin daigné répondre à me question : ? On parlait de choses et d?autres, m?a-t-elle dit. Elle voulait savoir comment j?avais fait ta connaissance alors je lui ai parlé de toi et de Valéry. Elle m?a dit que j?avais bien fait de réaliser mon fantasme.     - Tu lui a dis que j?étais....     - Oui, bien sûr. Mais ne t?en fais pas, tout restera entre nous et puis elle a déjà eu des relations avec une autre fille, alors... Depuis que je la connais, on se dit tout. Quand mon mariage n?allait pas fort, c?est auprès d?elle que j?ai cherché conseil. Et elle, de son côté, elle me racontait ses aventures. Alors, pour une fois qu?il m?est arrivé quelque chose d?excitant, je devais lui dire. C?est pour ça que j?étais surexcité hier soir.     - Et, ai-je demandé, qu?est-ce qui t?as excité : elle ou le fait d?en parler ?     - Et bien... A un moment, comme je lui disais le bonheur que c?était d?avoir un jeune amant doux et vigoureux, elle m?a demandé en plaisantant si je voulais bien te prêter à elle. Sur le même ton de la plaisanterie, je lui ai dit que c?était envisageable, et puis on a extrapolé à partir de là.     - C?est ça qui t?a excité, demandai-je ?     - Oui, reconnu Mapi, je te voyais en train de lui faire l?amour devant moi et ça m?a rendue toute humide.     - Et tu aimerais qu?on fasse l?amour tous les trois ?     - Je ne sais pas, répondit-elle, ça reste juste un idée comme ça et puis... Mais toi, ça te plairait ?     - Ca dépend, dis-je. C?est vrai que je la trouve désirable ; d?ailleurs ce matin, en la voyant dans son petit ensemble, je n?étais pas de marbre. Mais, ce qui me plairait beaucoup c?est qu?on fasse l?amour tous les trois.     - Tous les trois ! dit-elle interloquée.     - C?est ça, cela fait un petit moment que je t?imagine avec une autre femme. Tu dois pouvoir comprendre cela : ton fantasme était de voir deux hommes faire l?amour, le mien, c?est de regarder deux femmes. ?    Un silence a suivi ma révélation. Mapi semblait plongée au plus profond de ses pensées. Enfin, elle m?a avoué que, juste après sa séparation, Sylvie était venue la consoler et, ceci amenant cela, elle l?avait embrassée. Mapi avait apprécié le baiser mais elle avait coupé court à leur étreinte car cela la choquait d?embrasser un femme, qui plus est sa belle-soeur. Lorsque je lui ai demandé si cela lui plairait d?essayer à nouveau maintenant, elle a répondu ? peut-être !? et s?est retournée dans le lit pour s?endormir.    Malheureusement, il ne s?est rien passé entre Mapi, Sylvie et moi pendant ces vacances. Lorsqu?on faisait l?amour, je racontais à Mapi comment je nous voyais faire l?amour tous les trois, je lui disais comme j?aurais aimé la prendre pendant qu?elle chevauchait sa belle-soeur dans un 69 endiablé, je lui demandais de s?imaginer en train de me sodomiser pendant que je ferais pareil à Sylvie... Je sentais bien que ces mots accroissaient son plaisir et la faisait jouir plus intensément, je voyais bien que la perspective d?une relation lesbienne l?excitait de plus en plus. Pourtant, rien ne s?est passé car le fait que ce soit la soeur de son ex-mari l?inhibait complètement. Et puis, il faut dire que la présence de Claire, sans être un problème insurmontable, incitait à rester sage.     Malgré tout, la venue de Sylvie m?a permis de parler de mon fantasme à Mapi qui, de son côté, a laissé grandir en elle le désir d?une étreinte lesbienne. C?est donc indirectement grâce à Sylvie que nous est venue l?idée de chercher une partenaire pour réaliser un trio.
    V. Marie    Nous avons commencé à surfer sur des sites échangistes pour trouver la perle rare. Nous avons été déçus de constater qu?il y avait très peu d?annonces de femmes seules et que, par ailleurs, beaucoup de couples avait la même quête que nous. Nous avons aussi laissé des annonces avec une photo de nous nus, mais les réponses étaient décevantes : entre les hommes se faisant passer pour des femmes, les affabulatrices et les autres, on a commencé à désespérer. Et puis, un jour, nous avons reçu une réponse d?une jeune femme s?appelant Marie qui se présentait ainsi : ? Etudiante de 21 ans, on me dit mignonne et sensuelle (172/64, 85 C). Je cherche aussi une première expérience bisexuelle et, pourquoi pas, avec une amante plus âgée. La présence de monsieur ne me dérange pas mais participation en fonction des circonstances ?. Elle avait joint une photo de son visage : sans être belle, elle était jolie avec ses longs cheveux châtains bouclés, ses grands yeux verts et sa bouche pulpeuse. Mapi a été très intéressée et, pendant plusieurs semaines, elles ont échangés des e-mails sur leurs envies et leurs expériences réciproques. Finalement, nous avons convenu de nous voir le premier week-end d?octobre car Claire serait chez son père et cela correspondait à la rentrée universitaire et, donc, au retour de Marie dans notre ville.     Mapi et elle avaient décidé que j?irais la chercher en ville le samedi en début d?après-midi. Elle était exactement au rendez-vous et nous n?avons pas eu de mal à nous reconnaître. Il faisait encore assez chaud pour la saison et Marie portait un cache-coeur et un pantalon en stretch qui mettaient ses formes en valeur. Surtout, ses gestes et sa peau respiraient la fraîcheur. Pendant tous le trajet qui nous ramenait vers Mapi, il y avait un silence gêné entre nous. Marie avait prévenue qu?elle était un peu timide, c?est d?ailleurs pourquoi elles voulaient passer l?après-midi ensemble afin de faire un peu connaissance. Lorsqu?elles se sont enfin retrouvées face-à-face, leur visage se sont illuminés comme pour se signifier mutuellement qu?elles étaient ravies de ce qu?elles découvraient. Alors, j?ai pris le prétexte d?une course en ville pour les laisser seules.    A mon retour, vers dix-huit heures, je ne les ai pas trouvées au salon ni dans la cuisine. Pensant qu?elles seraient peut-être dans la chambre, je m?y suis rendu sans plus de succès. Par contre, les draps étaient défaits et le gode-ceinture trônait sur le lit. Je m?en suis emparé et, voyant qu?il avait servi, je l?ai humé : il sentait la cyprine, cela ne faisait aucun doute, mais j?étais incapable de dire si c?était celle de Mapi. Poursuivant mon exploration de la maison, je les ai finalement trouvées toutes les deux en train de prendre un bain.    Après s?être assurée que cela ne dérangeait pas Marie, Mapi m?a invité à les rejoindre. Alors que, nu, j?attendais qu?on me fasse une petite place, Marie a dit qu?elle me trouvait mieux que sur les photos, ce qui m?a bêtement fait rougir. Mapi, fière de montrer son bel amant, a pris mon sexe en main pour achever mon érection. Puis, elle m?a fait une place derrière elle et, s?asseyant dos à moi, elle a bien pris soin de guider mon sexe en elle. Son vagin était bouillant et c?est sans mal qu?elle s?est fait jouir sur moi, sous le regard intéressé de Marie qui s?était avancée pour lui caresser et lui embrasser les seins. Je ne pouvais pas bouger et Mapi s?est toute seule fait sauter sur mon sexe avec une fureur et une excitation qui m?ont rapidement fait éjaculer. ? Oh ouiiiiiii !!! Comme c?est bon, a-t-elle dit. Un gode c?est bien mais rien ne vaut un sexe en chair et en os. Qu?est-ce que tu en penses Marie ?     - C?est vrai que ça a l?air bon. Et c?est très beau de te voir jouir. J?espère que tu me prêtera ton homme ce soir.     - Tout de suite même si tu veux, répliqua Mapi.     - Non, dit Marie, je te remercie mais là je suis encore sur mon petit nuage. Pour une première fois, ça a été extraordinaire. Je ne pensais pas avoir un orgasme aussi vite mais tu m?as vraiment fait beaucoup de bien.     - Toi aussi, répondit Mapi en caressant sa joue, tu m?as donné beaucoup de bonheur. ?    Après cela, les deux naïades sont sorties du bain tout en m?expliquant comment elles en étaient venues à faire l?amour. En résumé, Mapi avait conduit Marie dans la chambre pour lui montrer toutes ses pièces de lingerie ; Marie a essayé quelques ensemble, les attouchements ont commencé sous prétexte de s?aider à les enfiler, les baisers et les caresses ont suivis et... vous devinez la suite.     Pendant qu?elles me racontaient leur exploits de l?après-midi, je regardais le beau corps de Marie : sa poitrine qui pointait fièrement vers l?avant, surmontée par de larges tétons coniques très pâles, son sexe entièrement épilé, et son fessier qui ressemblait beaucoup à celui de Mapi à la différence près que Marie a des hanches tombantes un peu comme celles des africaines.     La soirée était placée sous le signe : chandelles et lingerie fine. J?avais préparé du feu dans la cheminée et m?étais occupé de tous le repas quand j?ai vu arriver ma compagne et son amie. Mapi portait un ensemble culotte soutien-gorge en dentelle noire largement ajourée qui laissait deviner le dessin ses tétons et son pubis, ainsi qu?un porte-jarretelles et des bas noires. Marie portait un string minimal qui soulignait son superbe cul et un bustier noir et or prêté par Mapi ; bustier en satin qui s?arrête juste sous les seins, les relevant tout en les laissant libre. Pour me mettre au diapason, je suis resté en boxer. Mais inutile de dire que, entre l?ambiance tamisée, les tenues de filles et la discussion orientée sur le sexe, je n?ai pas vraiment fait attention à ce que je mangeais.     Après le repas, Mapi et Marie m?ont traîné dans la chambre et elle m?on fait m?asseoir dans un coin du lit en me demandant de ne pas bouger avant qu?elles ne me le demandent, tout juste avais-je le droit de me masturber. De leur côté, elles se sont enlacées, embrassées et ont commencé à se caresser le visage, le épaules, les seins, le ventre, les hanches... Avec la différence de taille, Mapi était à la parfaite hauteur pour lécher et sucer les seins de Marie. Les corps ondulaient l?un contre l?autre dans un silence seulement troublé par nos respirations irrégulières et nos soupirs. Petit à petit, elles se sont déshabillées mutuellement, Mapi ne gardant que ses bas et son porte-jarretelles, elles se sont laissées glissées sur le lit où ma compagne a entrepris de parcourir le corps de son amante de baisers. A quelques centimètres de moi, je la voyais faire minette à une autre femme, à une splendide jeune femme qui se caressait la poitrine en même temps. Mapi a dévoré Marie incroyablement longtemps, lui arrachant un premier orgasme qu?elle exprima dans un cri rauque et fulgurant. Puis ce fut à Mapi de s?allonger sur le dos pendant que Marie lui léchait la fleur et la rosette. Je pouvais lire sur son visage les vagues de plaisir monter successivement. Je l?avais rarement vu prendre autant de plaisir à un cunni et, quand je me suis déplacé pour voir ce que Marie lui faisait, j?ai compris pourquoi : tout en suçotant son clitoris, elle avait enfoncé le pouce de sa main droite dans son vagin et l?index dans ses fesses, qu?elle agitait d?un mouvement de piston. Le corps de Mapi se tendait, se tordait jusqu?à se raidir totalement, dessinant un pont sur le lit.     Les yeux encore embués par la jouissance, Mapi m?a demandé de sortir le coffret avec les jouets et de mettre le gode-ceinture à Marie. Je n?osais pas trop toucher Marie car je ne savais pas si elle le désirait ou non. Mais, alors que j?ajustais la sangle, elle a pris ma tête pour m?embrasser et s?est saisie de mon sexe pour la première fois. Puis elle est retournée vers Mapi et, dans la position du missionnaire, elle s?est enfoncée en elle et l?a limée doucement. Je les embrassais toutes les deux et les caressais doucement pour les accompagner dans leur étreinte. Mapi m?a demandé d?approcher mon sexe de son visage et elle m?a embouché d?un coup, à quelques centimètres de Marie qui s?est bientôt jointe à elle. C?était merveilleusement bon, trop bon même car je me suis vite senti aux limites de ma résistance. Alors, je me suis retiré à regret et Marie en a profité pour basculer sur le dos afin que Mapi la chevauche. Dans cette position, ma chérie m?offrait ses fesses que je me suis dépêché de lécher et de doigter, sentant le gode qui lui fouillait le vagin. Elle disait à Marie ce que je lui faisais, utilisant des mots assez crus qui renforçaient notre excitation à tous. Et quand j?ai présenté mon sexe devant sa rosette et que j?ai fait pénétrer mon gland, elle a demandé à Marie d?arrêter de bouger le temps que j?entre au fond d?elle. ? Il m?encule, disait-elle, je suis prise des deux côté, oh !!!!... Oh, c?est bon.... Oh ouiiiiii !!! Allez-y, bougez en moi tous les deux, oui, comme ça... ? Alors, sous ses encouragements, nous nous sommes lâchés tous les deux, lui assénant de grands coups de reins rapides et brusques rythmés par ses cris. Mon sexe était tellement comprimé que cela en était presque douloureux. J?ai joui le premier, provoquant l?orgasme de ma chérie qui s?est effondrée sur Marie dans un feulement de désespérée. Quand elle s?est désengagée de sur le gode, celui-ci était brillant de ses secrétions, et je l?ai sucé pour le nettoyer parfaitement, provoquant ainsi des vibrations qui se répercutaient dans le sexe de Marie. Pour qu?elle jouisse à son tour, j?ai retiré le gode pour la lécher, goûtant sa mouille de jeune femme, abondante et douce.    Ensuite, nous nous sommes tous rendus nus au salon pour prendre une petite collation après un passage par la salle de bain. Pendant que nous échangions sur nos ressentis respectifs quant à ce que nous venions de vivre, Marie se caressait négligemment. Comme elle était entièrement épilée, on voyait sa fleur ouverte et son clitoris saillant. Devant ce spectacle, Mapi a dit qu?elle aimerait bien nous voir faire l?amour Marie et moi. ? Oui, a dit Marie, j?ai envie de sentir son sexe en moi, d?être remplie. ? Alors, j?ai pris un préservatif en lui demandant de me le mettre. Elle a sucé un peu mon sexe, qu?elle a blotti quelques instants entre ses deux seins, puis elle m?a encapuchonné et je me suis présenté devant elle, qui était confortablement calée dans le fauteuil, les jambes repliées sur la poitrine et largement écartées. Notre étreinte a d?abord été très douce, je faisais d?amples mouvements, sortant complètement pour mieux revenir en elle, ou alors, ayant remarqué qu?elle adorait ça, me contentant de frotter lentement mon gland contre l?entrée de son vagin. Puis Mapi est venue derrière moi, posant son pubis contre mes fesses et ses mains sur mes hanches, et elle a imprimé le rythme de notre union. Cela devenait plus heurté, plus fougueux, plus profond aussi. Marie avait les yeux fermés, perdue en elle-même, un rictus de jouissance déformant son visage balafré de ses grands cheveux bouclés. Nous avons changé de position plusieurs fois pour finir en levrette. Là, j?avais son petit oeillet qui me narguait, mais quand j?ai voulu le caresser, Marie m?a dit qu?elle ne voulait pas par là car elle ne l?avait jamais fait. J?ai bien sûr suivi sa volonté mais, imperceptiblement, mes coups de reins sont devenus plus rapides, plus violents. Marie ne demandait pas mieux, jetant son bassin à ma rencontre, roulant des hanches pour mieux me sentir. Mapi, elle, avait posé une main sur les seins de Marie et une main sur son clitoris qu?elle faisait rouler sous ses doigts avec fureur. Sentant que j?allais bientôt venir, Marie m?a demandé de me retirer et de jouir sur ses seins. Ce que je fis, au plus grand bonheur de Mapi qui s?est régalée de la semence répandue sur la poitrine de son amante.     Après cela, nous sommes retournés dans la chambre nous écrouler définitivement sur le lit.    Le lendemain, nous avons refait l?amour toute la journée. Marie m?a même godé pendant que je prenais Mapi, et elle nous a dit avoir adoré le fait de posséder un homme. Quand, le soir, je l?ai ramenée à son appartement, elle s?est endormie dans la voiture, épuisée.    Suite à cela, Marie nous ayant fait part de son désir de recommencer, nous avons discuté tous les trois car je ne voulais pas que la mésaventure avec Valery se renouvelle. Finalement, nous avons été d?accord pour dire que ce qui nous unissait et nous réunissait c?était de la tendresse ainsi que le désir de vivre une bisexualité épanouie. Nous nous sommes donc revus une dizaine de fois pour des trios à chaque fois plus chauds.    En juin dernier, Marie nous a annoncé qu?elle devait changer de ville pour poursuivre ses études. Depuis, Mapi et moi avons repris nos tête-à-tête sans plus penser à intégrer d?autres partenaires à nos jeux coquins. Mais qui sait...
Thomas 2
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